J -B Roux La mise au point et l'expérimentation de nouvelles variétés de sur le VPC d'Earias auprès de Tt'RCOTTE, dem:: lignèes GP 159 et GP 160 de G barbadeuse spécialement though very marked increase in production was no-
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31 déc 2018 · will to improve the protection of human rights and to strengthen inter-American justice Proof of office,” and “[j]udges having the same seniority in office shall take 349; Case of V R P , V P C et al v Página 160 de 186
Inclusive production of protons, anti-protons, neutrons - CORE
9 avr 2013 · B Baatar4, G Barr8, J Bartke3, L Betev6, O Chvala9,b, J Dolejsi9, V Eckardt7, H G Fischer6,a, Z Fodor2, increase of the effective statistical fluctuations, an increase between available TPC information and the GTPC/VPC combination ion cross sections in the lab angular range from 70 to 160 de-
Inclusive production of protons, anti-protons, neutrons - SpringerLink
9 avr 2013 · B Baatar4, G Barr8, J Bartke3, L Betev6, O Chvala9,b, J Dolejsi9, V Eckardt7, H G Fischer6,a, Z Fodor2, increase of the effective statistical fluctuations, an increase between available TPC information and the GTPC/VPC combination ion cross sections in the lab angular range from 70 to 160 de-
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phenomena, and triviality in quantum field theory / R Fernandez, J Frohlich, A D the temperature is high enough), Mo(f3) = O Now increase the value of f3 Is (7 139) with 'P* connected _1_ pmrrax (_ XCP/2)-1) VpC'P*)1 C(P*) p=3 polymer chains introduced by Edwards [160], de Gennes [120] and des Cloizeaux
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en 1981-1982 en pays tropicaux en 1982 en métropole Nous rappelons à nos lecteurs notre nouvelle adresse: I.R.C.T., 42, rue Scheffer,75116 Paris. Tél. 704-32.15.
Merci de s'en souvenir.
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D1VISION AGRONOMJE L.
Richard
_,.,. S"' Qe ,n<> '!:; CD -·o .. ,,. D ::i: "' :;, HINSPECTEUR GENERAL J.
Raingeard
ADJOINT
AU HDIRECTEUR TECHNIQUE
J.Cauquil
DIVISION
GENETIQUE
J.-a. Roux M.Buffet
PRESIDENT
J.Autin ,.
DIRECTEUR
GENE~AL
J.Dequecker
DIRECTEUR
TECHNIQUE S.
Creh,net
NSECRETAIRE Gf'NEFIAl ET
ADJOINT
J. lltlsC. îhevi,1
1SERVICE ADMINISTRATIF
R. Frerlng
COMPTAB1L1TE
J.Gl11ot
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S.Perrin
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l'Institut dans les trois domaines de l'administration, des recherches et des missions extérieures.59 agents sont en métropole :
-28 a la Direction générale à Paris ; -31 dans les laboratoires du G.E.R.D.A.T. à Mont· pellier.48 agents servent outre-mer :
- 2 en Guadeloupe ; -26 dans 7 pays africains sur convention générale ; -20 répartis dans 10 pays ont leur financement couvert par des conventions particulières ou des marchés. Les spécialistes en poste en France et ceR'\'. d'outre rner, dans une moindre mesure, ont effectué de nombreuses missions extérieures d'appui, d'infonna· tian ou de définition et ont participé à divers congres scientifiques dans les pays suivants : Guadeloupe, Réunion, Allemagne, Angleterre, Bel gique,Danemark, Grèce, Suisse, Egypte, Madagas
car, Niger,Zaïoe, Zambie, Argentine, Etats-Unis,
Mexique, Nicaragua,
Paraguay, Salvador, Venezuela,
Chine, [nde,
Indonésie, Israël, Philippines, Thaîlande.L'engagement
dans le domaine de la formation est très important et s'observe à différents niveaux; -dans les pays en voie de développement, les agents de l'I.R.C.T. aident les sociétés d'intervention en participant à la formation des cadres de terrain, au moy,fü de stages, de travau.x pratiq_ues ou d'ateliers de réflexion sur des thèmes simples ; des stagiaires venant de pays producteurs de coton, francophones ou non, sont envoyés avec l'accord des autorités locales par le C.I.E.S. ou l'I.F.A.R.C. sur des stations de recherches afri caines où travaillent des spécialistes de l'I.R.C.T.:I.DES.SA.
Bouaké (Côte-d'Ivoire), I.R.A. Maroua
Cameroun).
Les ingénieurs nationaux les plus motivés sont dirigés vers des universités ou écoles françaises et l'LR.C.T., avec le concours d'organismes spécialisés comme T.F.A.R.C., C,N.EAR.C., I.A.M., O.R.S.T.O.M., parfait leur spécialisation dans le domaine de la re cherche appliquée. Les laboratoires du G.E.R.D.A.T. à Montpellier jouent un rôle important dans ce domaine pour l'obtention de thèses ou de diplômes. En France aussi, des spécialistes de l'I.R.C.T. sont partie prenante dans l'enseignement supeneur d'écoles ou d'instituts avec l'agronomie tropicale ou l'industrie textile: C.N.E.A.R.C., I.F.A.R.C., l.S.T.0.M.,T.T.F ...
La valorisation des résultats de l'I.R.C.T. passe par la publication de rapports techniques : en 1982, 40 à45 rapports de mission, 35 à 40 rapports annuels
d'activit~ outre-mer et 6 à 10 rapports des labora. toires du G.E.R.D,A.T. à Montpellier. Coton et Fibres tropicales, qui est diffusé dans73 pays, est l'instrument essentiel de cette valorisa,
tion vis-a-vis de l'é\tranger. En 1983, cette revue tri· mestrielle bénéficiera d'une nouvelle présentation avec bilinguisme complet de tous les textes français, anglais ou espagnol. Une collection supplémentaire, intittùée " Etudes, documents et synthèses», est lan cée cette année et pré.voit quatre titres par an (demr. en 1982).Le service de documentation couvre depuis 35 ans
l'essentiel de l'information scientifique et technique q_ui concerne la culture du cotonnier et des princi· pales plantes textiles tropicales et, dans une certaine mesure, leurs produits.En plus des documents produits par les spécia
listes de l'I.R.C.T., le service de documentation a reçu pour 1982 :IBO périodiques ;
40 ouvra
0 es ·330 broch~re~,
concernant l'agronomie tropicale, la culture, la technologie du cotonnier ou des autres fibres textiles exotiques et les activités qui s'y rapportent.Le fonds documentaire total renferme, en sus des
collections de périodiques, 3 766 ouvrages et 19 000 documents divers. L'ensemble de cette documenta· tion est sélectionné, analysé et répertorié dans un fichier qui comprend actuellement 46 000 fiches·mères. Ces références sont pour la plupart publiées dans un bulletin bibliographique annexé à Coton et Fibres tropicales, accompagnées souvent de quelques lignes de résumé ou d'une analyse courte. La diffusion de l'information consiste à procurer, sur leur demande, à nos chercheurs en France et à l'étranger, ainsi qu'à d'autres utilisateurs, ks documents nécessaires à leurs travaux: ainsi, en plus des abonnements à des périodiques souscrits pour nos chercheurs de Mont pellier et de l'étranger, nous avons satisfait, en 1982,479 demandes de documi::ntation dont 26 émanant
d'organismes extérieurs, et ouvert notre bib1iot1ièque à un grand nombre de lecteurs, étudiants ou autres. Enfin, l'I.R.C.T. est partie prenante dans le projet commun d'informatisation de la documentation au niveau du G.E.R.D.A.T. Retour au menuCot, Fib. Trop., 1983, vol. XXXVIII, fasc. 1 Acnvrrn DE L'I.R.C.T. -9Orientation des recherches en 1982-1983
DIVISION DE G'.ÉNÊTIQUE
J.-B. Roux
La mise au point et l'expérimentation de nouvelles variétés de cotonniers toujours mieux adaptées aux
besoins des pays producteurs, plus performantes sur le plan agronomique, comme sur celui des qualités de
la fibre et de la graine, s'est poursuivie dans divers pays. Plusieurs variétés créées au cours des 10 dernières
années couvrent à présent des surfaces importantes, voire des pays entiers, permettant une amélioration du bilan d'ensemble: de la production cotonnière de ces pays. D'autres sont en début d'extension. Lavariété SR 1-F 4 du Tchad, précoce et rustique, est cultivée dans une grande partie de la R.C.A. et
du Tchad et dans l'Est de la Haute-Volta. B163 de R.C.A. est généralisée au Mali depuis 1981. Cette variété combine à Ùn excellent rendement au
champ un rendement à l'égrenage nettement accru par rapport à la variété précédente (BJA) et une fibre
plus propre et plus longue. MK73 du Tchad est cultivée dans une partie du Tchad et couvrait toute la zone Ouest de la HauteVolta
en 1982. Cette variété est aussi eu cours d'extension dans le Nord du Bénin. Elle est intéressante pour
ses qualités agronomiques et ses qualités de fibre (longueur, ténacité).L299-10/75
de Côte-d'Ivoire est remplacée en Côte-d'Ivoire par ses propres descendances (T 120-76,,T 120.77). Sa multiplication se poursuit au Bénin, en remplacement de la variété 444-2. L'extension en est
avancée au Sénégal et, à un moindre degré, en Haute-Volta. La forte augmentation de rendement à l'égrenage
procurée par cette variété constitue un atout économique important. Par contre, sa sensibilité relativement
grande à la Bactériose (Xantlwmonas malvacearum} et Ja petitesse de ses graines posent un problème en zone soudano-sahélienne.
La variété Bou 79 du Togo, issue de la famille L 299-10, est notamment par un fort renderntmt à l'égrenage. HC4-75 du Mali est en début de multiplication dans l'Est
SR 1-F4.
en grande culture au Togo. Elle se signale de la Haute-Volta où elle .doit remplacer 1 196-97 (Vantha) du Cameroun est en début de multiplication au Cameroun où il est envisagé de l'étendre
enremplacement de la variété L 142-9. D'autre part, l'étude approfondie de cette variété est entreprise dans
plusieurs autres pays, en raison de ses excellentes caractéristiques.Les sélections
" glandless » de Côte-d'Ivoire, ISA-BC 2 et ISA-BC 3 sont en grande culture (1200 ha} dansle Nord de la Côte-d'Ivoire. La question d'une plus large extension (à 20 000-25 000 ha, soit une zone d'usine)
se pose actuellement. ISA-BC 4 est en début de multiplication.IRllt.[A.197, Yariété " giandiess ,i du Cameroun, présente un ensemble de qualités qui pourraient justifier
la mise en place de champs expérimentaux au Cameroun, en Haute-Volta et au Mali, à. partir de 1983.
Parmi le matérièl récent, il convient de citer encore la variété ISA-205 de Côte-d'Ivoire, à très fort ren
dement à l'égrenage, dont une large expérimentation a été entreprise ainsi qu'un début de multiplication.
En Amérique latine, plusieurs variétés obtenues avec le concours de l'I.R.C.T. sont utilisées sur des
surfaces importantes.Au Paraguay, 1a variété Reba P 279 couvre l'ensemble du pays (300000 ha environ) depuis 1980. Eile a
aussiété très largement étendue en Argentine; les travaux de sélection en cours dans ces deux pays visent
à la mise au point de variétés capables de rivaliser favorablement avec cette variété particulièrement perfor
mante. Introduite am: Philippines, Reba P 279 y est en début de multiplication. En El Salvador, les variétés Cedix et Cetex sont largement cultivées.Au Nicaragua, les variétés Conal SR, C
286 VR, H 373 et Conal SN, sélectionnées sur la station de Posol
tega, sont utilisées sur de grandes surfaces.Au Brésil,
la variété C 71 de type Moco, adaptée à la culture pérenne, est multipliée dans les Etats du
Paraiba, du Ceara et du Piani. Sa productivité est sensiblement supérieure à celle du Moco.Divers
programmes sont, d'autre part, poursuivis : -développement et maintenance de la Banque de génotypes (Montpellier et Guadeloupe); Retour au menu10 -AcrrVrrÈ nu 1.'LR.-C.T. Cot. Fi.b. Trop., 1983, vol. XXXVIII, fasc. l-prospection dè cotonniers sauvages ou subspontané3 pour 1e compte de l'I.B.P.G.R. (Amérique latine);
-étude et amélioration des variétés à cycle court (Montpellier, I.N.R.A. Corse}; une coopération a été établie
avec l'Institut de recherche du Coton de Grece;-étude des possîbilltes d'exploitation de certains croisements interspéc:ifiques, notamment en utilisant les
espèces sauvages australiennes (station ~e )~ouaké, Montpellier);-mise au point de tedmiques permettant la proqucthn de coton hybride (Guadeloupe) et étude de combi·
naisons hybrides F 1 f diverses sLations et essai 1IiLer11ational Argentine-Grèce-Haute.Volta).Enfin.
il convient de citer les actions dh,erses entreprises dans le cadre de la coopération avec certains
pays (I.N.T.A. d'Argentine, Philippillé'5, Haïti; Zambie).DIVISION D'AGRONOMIE
L. RICHARD.
On distingu,;: dem:: secteurs d'activite en agronomie: les essais annuels sur les facteurs de production
qui intéoessent le développement à brève écheance, et les o;;Ssais permanents relatifs à l'êvolulion de la
fertilite des sols sous divers modes d'intervention. Ces deux secteurs concourent à la définition des systèmes
de culture qui. chaque année, se dévelopvent àans chaque zone avec le concours de tous les agronomes et
des spécialistes du milieu.En 1981, on a porté une attention particulière à ]a rentabilité des formules d'engrais proposées am::
cultivateurs. Quelles sont actuellement les ttôndances en matiere de fertilisàdon ? Pour le cultivateur, il ne
semble pas y avoir dè modifications : il a pris conscience de la nécessité des engrais et le rapport entre les
prix ·n'a pas tendance à évoluer, en fonction des soutiens; depuis plusieurs années. avec l kg de coton-graine
le cultivateur peut acheter environ 1.5 kg d'engrais. Par contre, certains économistes ont une réaction
rzstrictive vis-à-vis des engrais importés dont ils voudraiènt limiter l'emploi au profit, sans doute, d'une
mdlleure . utilisation des oessources locales tphosphat~s tricaldques, azote des légumineuses, terre de parc!.
Cette évolution est certainement souhaitable et les agronomes de l'I.R.C.T. en étudient d'ailleurs les diffè
rents aspects depuis plusieurs anné;;;s, mais Ja subsfüu tion ne peut. être i.mmediate et ne pourra se faire que
d::ms des conditions prêcises d'une agriculture sédentarisée. Dès maintenant, on recherche cependant un
meilleur ajustement des formules d'engrais importés aux conditions locales; des réseau.'< d'essais par 1a.
méthode des blocs dispenês sont implantés au Togo, Ccimeroun, Tchad, Bénin et en Haute-Volta; ils per
mettent de mieoe,c situer les relations entre le sol, caractérisé par l'analyse physique et chimique, et la réponse
à la fertilisation.
Lesherbicldes représentent un moyen d'action efficace lorsque l'ensemble des productions d'une rêgion
s'intensifie ; en Côte-d'Ivofre, !es cultures recevant des herbicides occUpent maintenant 6 ° ô des superficies
culth•èes en coton. Les essais mis en place au Cameroun, en Côte-d'Ivoire. au Mali. en Centrafrique et au
Togo mettent en comparaison une dizaine de produits herbicides. Divers. composés peuvent ètre proposés à
h vulgarisation. oe sont ec1. gênérnl dè bons graminicides; on s'oriente donc vers l'utilisation d'herbicides
binaires également efl'icaoes sur les adyentices latifoliées. Ladéfinition et l'implantation dè nouveau.x systèmes de culture ·se sont poursuivies, notamment au
Tchad. où quatre systemes en culture attelée sont mis à l't:lpreuve depuis 198L dans diverses situations
pédologique-; de la zone cotonnière. Lorsque les terres de parc produites par le bétail d'exploitation par
tidr,ent à la fertfüsation du système, on peut limiter les apports d'engrais à moins de 200 kg par hectare et
par àn, et équilibrer oependant un bilan minéral des cultures.· L'activité de la Division d'agronomie s'est poursuivie en Amérique latine par des missions au Nicara
gua, au Paraguay et en Argentine.Quant à la lutte chimique contre les mauvaises herbes. une dizaine de matières actives, employèes
seules ou en association. ont êtê testées dans des e§sais repartis au Benin, au Cameroun, en Cote-d'Ivoire,
au Mali et en Republique oentrafricaine. Leur efficacité sur les adventices et leur sélectivi.té vis-à-vis de la
culture dans des conditions variées ont ab.si été comparées. Cette expérimentation a montré en particullei·
que le mélange cyanazine + noti1urazon, dont l'efficacité avait été reconnue les années précédentes, peut
présenter une certaine phytotoxidté vis-à-vis des cotonniers en sol léger, phytotoxicité imputable à la dose de
cyanazine employée. Dans la recherche d'herbicides binaires à spectre d'efficacité large, les premiers résultats
obtenus avec l'association fluométuron + prométryne sont interessants et l'étude de ce produit sera pour
suivie et approfondie. · Retour au menuCot. Ffb. Trop., 1983, vol. XXXVIII, fasc. 1DIVISION. D'J!CONOMIE .RURALE
M. BRAUD
ApfÜ'lTÉ DE L'l.R.C.T. -11
L'objectif central de la Division d'économie ruralè de l'I.R.C.T., qui concerne l'étude des systèmes de
production dans lesquels le cotonnier est la culture de rente dominante, a été précisé en 1982. Il doit conduire
à une aide aux décisions à prendre à différentes échéances (court, à long terme) dans un contexte tant
écologique que sochéconomique très aléatoire. L'intérêt du cotonnier entrant en rotation avec d'autres
spéculations végétales dans différents systèmes de cultures, parties intégrantes de ce système de production,
a été souligné ; supports de tests biologiques pour l'é 11olution du potentiel de production du système, satis
faction des objectifs d'ordre socio-économique, moyens d'introduction d'un certain progrès, etc.
Le contenu du programme correspondant comporte toujours les mêmes actions de recherche: Etudes du suivi de l'opération de développementCes études
se sont poursuivies à des échelles div~rses au Cameroun, en République centrafricaine, enHaute-Volta et au Togo. Une mention particulière est à faire en ce qui concerne la Côte-d'Ivoire: une coopé
ration a commencé en fin d'année pour une action importantè de ce type à l'usage immédiat de 1a C.I.D.T.,
mais dont les retombées méthodologiques pourraient s'avéoer importantes pour les autres pays intéressés.
Madagascar et le Tchad ont montré leur intérêt pour ces études, L'usage de l'informatique, et particulièrement
de la micro-informatique, prend une part croissante, ce qui a pour conséquence une collaboration importante
avec notre Service de biométrie et d'informatique.Etudes de cas
Une de ces études, réalisée au Mali avec un objectif principal de recherches méthodologiques, a montré
l'intérêt de cette démarche pour inventorier les différents itinéraires techniques suivis en conditions réelles
sous l'influence des contraintes de natures diverses rencontrées avec les conséquences sur l'évaluation de
l'obtention des objectifs des responsables des systèmes de production concernés.Des actions
de recherches analogues ont été commencées en Haute-Volta et envisagées à Madagascar selon une méthodologie voisine. Outil de simulationLa complexité des problèmes est confirmée par les quelques études de cas et nous conforte dans la
nécessité de disposer à terme d'un outil de simulation pour une aide à la décision aux différentes échelles
du processus de développement. Un dèbut de concrétisation est abordé dans le cadre de notre coopération avec la C.I.D.T.En dehors de cet objectif central, des actions de recherches ont été entreprises pour améliorer nos
connaissances sur l'économie de la filière du cotonnier (évolution de production, coût, etc.). Elles deman·
deront à être développées en collaboration avec tous les partenaires concernés.DIVISION PHYTOSANITAIRE
J. LE GALL
Au cours de la campagne cotonnière 1981, l'incidence des ravageurs a pris une importance très variable
selon les situations géographiques.Au Cameroun, elle
est restée très modérée durant toute. la campagne.En République Centrafricaine, les pertes causées par les chenilles se développant au détriment des
organes fructifères du cotonnier sont plus imporantes qu'au cours des années précédentes.
En Côte-d'Ivoire, dans le sud de la zone cotonnière, les attaques par les ravageurs restent très sérieuses :