[PDF] - LES FIGURES DE STYLE – 1/4 - LES FIGURES DE STYLE

URES DE STYLE – 2/4 La figure de style est un procédé qui consiste à exprimer une idée et à



Previous PDF Next PDF





TABLEAU RECAPITULATIF DES PRINCIPALES LES FIGURES

lle figures de style (ou de rhétorique) les procédés d'expression par lesquels, en s'écartant de l' 



- LES FIGURES DE STYLE – 1/4 - LES FIGURES DE STYLE

URES DE STYLE – 2/4 La figure de style est un procédé qui consiste à exprimer une idée et à



SEANCE : TALEAU DES FIGURES DE STYLE

l'ampleur, la profondeur et la rigueur de la pensée Effet de lourdeur ANADIPLOSE En début de 



figures-de-style-correction

NCIPALES FIGURES DE STYLE FIGURE DE STYLE DEFINITION EXEMPLE ALLEGORIE



Figures de style liste complète pdf - f-static

e exhaustive des figures de style comprend la plupart des processus (162 entrées, sans compter 



Les figures de style - 9alami

uelque figures de style les plus employées, accompagnées de définitions et d'exemples :



LES FIGURES DE STYLE ET LES PROCÉDÉS LITTÉRAIRES

a liste des procédés et figures de style au programme de chacun des secondaires, selon le 



Les figures de style - Voix de femmes (XVIe-XVIIe siècles)

e, la figuralité se caractérise par sa gradualité : par exemple, une « figure du discours » ne devient 

[PDF] figures de style wikipedia

[PDF] fil rouge ubaldi

[PDF] filetage unc tableau

[PDF] filetage unf norme

[PDF] filetype pdf google

[PDF] filiera tehnologica

[PDF] filiera tehnologica ce inseamna

[PDF] filiera tehnologica profil economic

[PDF] filière banque finance

[PDF] filière es

[PDF] filière l

[PDF] filière professionnelle

[PDF] filiere s

[PDF] filière smi

[PDF] filière smp

Synthèse établie par D-A Carlier.

- LES FIGURES DE STYLE ² 1/4 - LES FIGURES DE STYLE ² 2/4

La figure de style est un procédé qui consiste à exprimer une idée et à

O·HQULŃOLU MX-delà de la simple communication du message. Voici les principales figures de style, classées en fonction de leur objectif. FHV ILJXUHV GH VP\OH UHSRVHQP VXU OM UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQH VPUXŃPXUH GH phrase, afin de mettre en valeur une idée (celle qui est répétée) : I·$1$3+25( : UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQ JURXSH GH PRPV HQ GpNXP de phrase, de vers ou de proposition : " Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! /Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !/ Rome qui

» (Racine, Horace)

I·e3H3+25( : UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQ JURXSH GH PRPV HQ ILQ GH phrase, ex : " 0XVLTXH GH O·HMXC $PPLUMQŃH GH O·HMX » (courant en poésie) LA RÉPÉTITION : un même mot est répété plusieurs fois dans le texte, mais les mots répétés sont séparés dans la phrase ou dans le texte : " La terre était grise, le blé était gris, le ciel était gris » (Giono) LE PARALLÉLISME : consiste à reprendre la même construction de SOUMVH V\QPM[LTXH RX OH PrPH U\POPH HQ GHX[ HQGURLPV G·XQ pQRQŃp : "

» (Corneille).

LE CHIASME : est un parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée, selon le schéma AB/BA : " qui appartient au Prince,

Prince qui appartient à . » (Diderot)

I·$FF808I$7H21 : consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction (afin de produire un effet de quantité ou de variété) : " ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles » LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, GRQP O·LQPHQVLPp HVP ŃURLVVMQPH RX GpŃURLVVMQPH : " Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! " (Molière) : gradation ascendante ; " Mme de Cambremer serait ravie heureuse contente. » (Marcel Proust) : gradation descendante I. Les figures de répétition C G·LQVLVPMQŃH : LA PRÉTÉRITION : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire TXHOTXH ŃORVH MORUV TX·RQ HVP justement en train de le faire : " Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas » ŃHOM SHUPHP G·MPPLUHU

O·MPPHQPLRQ VXU ŃH TXL YM VXLYUHB

Les ILJXUHV G·MPSOLILŃMPLRQ ŃRQVLVPHQP j MŃŃHQPXHU OM IRUŃH RX OM YLROHQŃH G·XQH

LGpH RX G·XQ VHQPLPHQPB IHV ILJXUHV G·MPPpQXMPLRQ VHUYHQP j O·LQYHUVH j MPPpQXHU j MGRXŃLU OM GXUHPp G·XQH UpMOLPp RX G·XQH pPRPLRQB I·+K3(5%2I( : procédé qui consiste à exagérer une perception, un VHQPLPHQP HQ OH JURVVLVVMQP j O·H[PUrPH H[ : " je meurs de faim » LA LITOTE : SURŃpGp TXL ŃRQVLVPH j GLUH PRLQV SRXU VLJQLILHU SOXVB F·HVP une atténuation qui sert à amplifier une idée, ex : " je ne te hais point » (Corneille), ce qui signifie en fait " ». I·(83+e0H60( : SURŃpGp G·MPPpQXMPLRQ TXL ŃRQVLVPH j HPSOR\HU XQ mot ou une expression plus faible pour désigner une réalité plus dure, afin de O·MGRXŃLU H[ : " il nous a quittés » au lieu de " il est mort ». IHV ILJXUHV G·RSSRVLPLRQ UMSSURŃOHQP GHV PHUPHV GRQP OH VHQV HVP ŃRQPUMLUHB IH but est de créer un effet de contraste pour souligner la tension entre deux idées, deux personnages. I·$17HTHÈSE : UMSSURŃOH GHX[ pOpPHQPV RSSRVpV MX PR\HQ G·XQH construction symétrique : " je vis, je meurs : je me brûle et me noie » (L. Labé) I·2;K025( : deux mots opposés sont juxtaposés ou coordonnés ; le but est de créer un effet inattendu, surprenant : " Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » (Corneille) HHB IHV ILJXUHV G·MPSOLILŃMPLRQ C G·MPPpQXMPLRQ :

HHHB IHV ILJXUHV G·RSSRVLPLRQ :

Synthèse établie par D-A Carlier.

- LES FIGURES DE STYLE ² 3/4 - LES FIGURES DE STYLE ² 4/4 LE PARADOXE : énoncé qui parait contenir une contradiction. Le paradoxe est très efficace dans une argumentation, car il surprend et remet en cause les évidences. " On est quelquefois aussi différent de soi-même que des autres ». (La Rochefoucauld). I·$77(I$*( : il rapproche deux compléments désignant un élément concret et un élément abstrait, ex : " âme et les dentelles de sa jupe. » (Flaubert). Ici, le rapprochement de " O·kPH » et de la " jupe » provoque un effet comLTXH HP LOOXVPUH O·LURQLH IOMXNHUPLHQQHB Ces figures consistent à remplacer un mot ou une idée par un autre mot ou une autre expression qui va apporter une nuance ou un effet inattendu. LA MÉTONYMIE : on remplace un mot par un autre terme avec lequel LO HQPUHPLHQP XQH UHOMPLRQ ORJLTXH G·MSSMUPHQMQŃH G·RULJLQH GH ŃRQPLJXwPp : ex : " » (le lieu est employé pour désigner

République))

ex : " boire un verre » (le contenu (liquide) est remplacé par le contenant) ex : " Peugeot LA SYNECDOQUE : est une forme de métonymie qui consiste à remplacer un mot par un autre terme avec lequel il entretient un rapport G·LQŃOXVLRQ H[ : " il y a une voile » (une partie désigne ici un tout : la voile désigne le bateau). LA PÉRIPHRASE : on remplace un mot par une expression qui le définit, ex : " Le pays du Soleil levant » ( = le Japon) I·$17H3+5$6( : ILJXUH SOMUH GH O·LURQLH HOOH ŃRQVLVPH j H[SULPHU OH contrMLUH GH ŃH TXH O·RQ YHXP GLUH H[ : " Que tu es intelligent ! » Ces figures rapprochent deux termes en établissant entre eux une équivalence de sens. LA COMPARAISON : met en relation deux termes ayant un point ŃRPPXQ XQ ŃRPSMUp HP XQ ŃRPSMUMQP j O·MLGH G·XQ RXPLO GH ŃRPSMUMLVRQ ŃRPPH PHO TXH MLQVL TXH VHPNOMNOH j GH PrPH TXH" H[ : " La musique souvent me prend comme une mer » (Baudelaire). LA MÉTAPHORE : met en relation deux termes (un comparant et un comparé) mais sans outil de comparaison, ex : " roman

» (Beaumarchais).

LA PERSONNIFICATION : est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal ou à un être inanimé, ex : " Venise pour le bal » (Musset) consiste à attribuer des caractéristiques animales à L·$1H0$IH6$7H21 : un être humain, ex : " les ménagères réunissaient leurs mioches pour assemblent leurs »donner la pâtéeoiesbêtes consiste à représenter un être vivant sous la forme LA RÉIFICATION : d·une chose, d·un objet : " Tes yeux sont la où boivent mes ennuis » citerne I·$IIe*25H( : proche de la personnification, elle consiste à représenter une idée abstraite sous forme concrète, ex : la mort représentée sous les traits ; la femme brandissant le drapeau dans le tableau de Delacroix, La Liberté guidant le peuple. LA PROSOPOPÉE : IRUPH GH SHUVRQQLILŃMPLRQ TXL YM ÓXVTX·j GRQQHU OM parole à des êtres inanimés, des concepts abstraits, ou à des morts, ex : " Et la rivière dit : " Je ne veux rien savoir,/ hommes » (Supervielle).

IV. Les figures de substitution :

V. Les ILJXUHV G·pTXLYMOHQŃH :

quotesdbs_dbs14.pdfusesText_20