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alain mingat ESSAI TOME ESSAI
Tome I
Alain MINGAT
Thèse présentée et soutenue publiquement
le 12 novembre 1977 en vue de l'obtention du Doctorat d'Etat de L 1
UnivePsité
; aes considérées
INTRODUCTION
Avec de démocratie.
Jules FERRY -
les querelles en gements politiques, de phases d'extension de l'enseignement public -2 de qui réclamait des citoyens avertis et capables d'exercer librement leur choix dans on a alors assisté la naissance d'établis sements qui tiraient leurs même si au départ plus modeste, ont toutes conduit poursuivait toujours des buts moraux et d'intégration au travail. Cette dernière caractéristique devenait même spécialement importante .car la contrepartie de l'ac croissement de la structure 1 apprentissage, en. notable per te 1
Nous avons hésité il est vrai que
ce phénomène de centrifugation utilisation - 3 - a besoin-certains défendent même l'idée 1 il n'a parfois pas tant de besoins -. res il est surtout important de s'attacher aux structures différentielles et qui 1
M. DEBEAUVAIS et
qui d~ l'offre. En fait, il apparaît dans le cas de la France, que la réalité se trouve effectivement plutôt du côté de la première pro posi auraient cherché .•.•• 4'•• L. nées par, la ,d,e, de parfois.de s'exprimer ou en détournant les choix dans une lieu, de façon directe par la création de places. Ain si, en fonction objectifs, notalillllent déterminés par la planifica- tion et par la définition des besoins en j aux objectifs de l Le rôle de l'offre est très visible dans les grandes orientations
Technique
- 5 façon, dans l'enseignement sur les conditions
1954-1955 1961-1970
___ + 52 ;_ ce Comme savoir, celui des inégalités ignorer toute livres qui nous servira de fil conducteur au long de ce travail. il est fondé sur deux points principaux. Le premier concerne et sont considérés sent pas compétent
1 '.économiste renvoie le problème
se manifeste pas et l'analyse économique res te incomplète au des phénomènes étu diés. individuelle d'éducation, notre approche sera micro-économique. Nous nous attacherons donc du qui sont on dispose de matériaux relativement ri ches pour le cas français. D'une façon de et elle est explicitement faite par économistes, l 1 aurait prédit la théorie économique, c'est en raison de 1' inégale distribution des individuelles. Il convient alors de stinterroger
à leur
il est nécessaire dans cette avec il existe un marché parfait des ca pitaux sur lequel les individus peuvent indéfiniment pour éclairer plus efficacement la réalité.
Par rapport à ces réflexions
du moins 1 au il est les pa
à l'outil sa puissance analytique (et de
la grande sachant qu'il
à la prise en compte de ce
la transcription de ces déterminismes se caractérise par des coûts. Dans cette direction, on peut de sociale. De longitudinales exis la seconde consiste en un essai plus détaillé des choix de disciplines
Enfin, au niveau nous aborde
rons certains biais introduits par la structure de l'offre dtéducation. -12 -
PREMIÈRE lA DEfvlANDE P
1
ÉDUCATION
INTRODUCTION.
une 1
A. MINGAT, J.M. CARRE et J.J. FRIBOULET
extra-scolaires). De des familles.
Le troisième chapitre s'attache
les familles
1•
On
De même
en ce aux familles nombreuses, alors que vant leur niveau d'éducation et calcule un certain nombre de taux de rendeme nt pour la France en "Les et so -14 De plus, une recherche des variables agissant sur chacun des types de coûts sera effectuée ce sont tantôt les titulaires de revenus bas tantôt les titulaires de revenus élevés qui sont favorisés par les aides. De meme en ce qui concerne la taille de la famille, avec certaines aides qui sont spécialement destinées aux familles nombreuses, alors que d'au tres aides sont d'autant plus importantes que la famille est de plus petite taille. Le dernier chapitre de cette première partie don nera des indications sur les revenus obtenus par les individus sui vant leur niveau d'éducation et calcule un certain nombre de taux de rendement pour la France en retard sco laire, localisation géographique 15 L'analyse de l'éducation en termes économiques s'est principalement développée depuis une 1 et ceux de E. t on s'est rapi dement aperçu que quelque chose avait changé et dans un système d'interactions sociales. Quant de la théorie du capital humain. Le point de ·
2 ·
·us cé'rmni"ttee"'
3
L.~ • le ;erosrè.s
-OCDE, and. analysis- 'té -16 - outre la contribution de l'éducation à la croissance, est l'observation d'une relation positive entre les gains perçus par un individu et son niveau d'éducation. Cette constatation a donné lieu à deux analyses classiquement complémentaires. La première se situe au niveau transforme pas l'analyse mais conduit à la justification du rôle par 1 ''éducation. Ils sup portent des -17 - Le point important ici est de connaître les buts, les fonctions, les "motivations" de l'éducatiàn, ainsi que la séquen ce temporelle de ses effets. La connaissance de cette séquence tempo relle est importante pour affecter l'activité à l'investissement ou bien à, la consmmna tian dans la mesure du à un _compte d'investissement, alors que si la pé riode comptable avait -18 - considérer
1 au plan de 1r individu.
Plaçons-nous tout d'abord
des arts et de la.vie d'autre part l'école du peuple préparant les enfants de travailleurs on trouve simultanément une compo sante consonm1ation - 2 et 1 Ce de ce type. Toutefois notons que cette pas des connaissances utiles dans la pro duction,
61 n ° 2, mai 1 971
2 Si
WE!SBROD
in human .eco11;o,my 1 oct. 1962 et an. 19 - qui diffusent educationem, se déplace dans le ces effets
étant la
t acquiert.
à l'acquisition de connaissances
ainsi que le supplément de
à une activité productive alternative.
Ces deux éléments sont des produits joints de l'en il est possible de sur les conditions de
Dijon,
il a de ces 0
SECTION
1
ÉDUCATION -
La section
à partir
qui est très classique en afin de pouvoir se concentrer sur ce qui offre le plus de facilités
Nous n'entrerons pas
·n est
avec une référence observable,
à. la réalité est moins
presssante dans le choix des hypothèses puisqu'il sera toujours hypothèse f accordent à penser qu'elle est plus proche de la l? 1 (H 1) sont meilleures que les prédictions P2(H 2 1 des scolarisations
1 'éducation
La mesure des effets
1
Al A2 A3 AR Age
Ces profils peuvent être calcules de deux façons dif férentes. La première dite longitudinale part des de revenus perçus par le même échantillon d'individus à des dates et par consé
à un ins-
tant donné mais d'âges différents . Ces deux méthodes sont très inégalement difficiles qu '.histori que dans'la mesure où il faut attendre que la cohorte étudiée sorte de la à la collecte statistique puisque les profils peuvent cnstruits instantanément. Toutefois, la limitation qui tient à la méthode est grande, car on
197~. En effet, la forme de
sachant que pour la France, des coupes opérées -24 il ne s'agit que dtune apparence due au caractère transversal de la collecte statistique car. en termes nominaux, les et que 1 ils 1 J. 1 1 1
à avoir,
Il faut noter ici qu'on ne peut parler que de calculs marginaux au delà de l'âge de la scolarité obligatoire, carjusqu'à cet âge, le problèmè ne se pose pas dans les mêmes termes et parce que le revenu G marginaux
Graphique 1 -
t
Coûts
totaux c -Graphique 2 - _.__,..... -26 - r. k)t ct tl (1 + ou bien dans le cas continu (2) avec R(t 2 ,t) t2),
Revenu correspondant au capital
de la période t (t > t1),
Gains marginaux
dans la période t oG
1•
-27 ce s • Dans la sous-section précédente (11.1.) nous ralement la collectivité d'autre part.
II.2 .1. Le calcul privé prend
en compte les coûts directs de l'éducation. Nous n'avons a priori ni il appara'tt si on 1 par exemple. 3. journa,l
Vol. 74 avril
de distinguer marginalement les deux
à isoler le
éduquées au niveau (n) et
un groupe
à mettre le.
doigt sur cette difficulté; en pour cent des différentiels de gains 1, ce 1
D. WOLFLE et J.
... Education, avr. a à si on ne tient compte que des aptitudes et multiple, l'une utilisant le niveau mesures d'aptitudes. + bS + avec y = nombre d'années y CA + d'etudes' il reste que la rela tive imprécision de la mesure de A
à 1 'uni
1 'OCDE
des gains, -31 - coefficient àquotesdbs_dbs18.pdfusesText_24