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SOMMAIRE

ABBASSI 14. & IIENASSY il. - LIne nouvelle cochenillt: inféodé'e aux pêchers : Ilseudatrlrrraspi: I)ettlu!/ttttu Targ. (Hornopterû, Corcidue), la nouvelle Cochenill: tlu rnùrier rf introtluction récente au Marr-ic SALAH tsENNANL\. - Queltlues données ltiologiques et résulta[s de lutt,e c]rirnirluer cttnlre le Pou rouge de ( ltr lif ornie. BtrSRI M. -- Les rnéthorles do lutte utilisées contre les agents des trachéofflycoses tle la tornate au Maroc. . . BUYCIHSE E.J. - Sous-Réseau de recherche sur la protec- tion de l'olivier'. CtrRVIGON J.I". & CADAHIA D. - Sensibilités clans les varié|,és de blé d'oriRine Mexicaine e t aui,res en

Espagne.

CERVIGON J.L. & Al. - 'l'ordeuses rie l''aeillet lCacoeci- m'orpha pronulra Hb. et Epichorislotles acerbella

Walk) en Espagne

CERYIGON J.L. Al. - ilulbes, boutures, etc... de fleurs et plantes ornementales irnporlés porteurs cle rn:tlaclit's t\ rlétecter par l'inspection. CERVIGON J.[". & Al. - Controle r]e ceruli,lis r:apitata wied ett Es1 rag11g CtrRVIGON J.I". & A1.- Renforcernr:nt Ilelicouerpa arrrû,gera Hb. aux insecticides r9 ,1 DD alt 3!) 43
51
DD 67
les cahiersde larechereheagronomique

ROYAUME DU MAROC

Ministère de l'Agriculture

Institut National de la Recherche Agronomique

Rabat 1 984 w-7L171z rt)J-rly 7l.lz2fJla-- -)a tf u -J- lv-- J- v-ai-%rJ Ministère de I'Agriculture et de la Héforme Agraire Organisation Européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes

ETUDE DES PROBLEMES

PHYTOSANITAIRES A CARACTERE

PRIORITAIRE EN REGION MEDITERRANEENNE

ET AU PROCHE . ORIENT

Du 11 au 12 Mai 1979

RABAT 1984

UNE NOUVELLE COCHENILLE INFEODEE AUX

PECHERS : PSEUDAULACASPIS PENTAGONA

TARG. (HOMOPTERA, COCCIDAE},

LA NOUVELLE COCHENILLE DU MURIER

D'INTRODUCTION RECENTE AU MAROC

ABBASSI M.' d C. BENASSY / * *

I. INTRODUCTION

Le 15 Mars t9?8, nous avons reçu un échantillon del'ameirux de pêcher et nectarines (Pntnus percicae L.) entière-

rnent coulerts d'une diaspine, qui après identification, s'est révèlée comtme étarrt la cochenille du rnùrier, P.seudaulacaspis Pentagona TARG. (Hontoptera Diaspidirtotil ; l'échantillon provient de la propriété Ras Ei .Ibala, sise à Sidi Abdel Aziz, dans la région de

Sidi Slimane.

Or la bibliographie consacr'ée à cet insecte (I3ALACHOWSKY,

1954) nous indigue que l'espèce n'est pas signalée d'Afrique du

Nold, ni même' d'Espagne, ni des Baléares.

i.SODEA _ RABAT + * I.N.R.A, VALBONNE FRANCE Les Cahiers de la Recherche Agronomique, 40, I N R A, Rabat, tr984.

ABBASSI, M. ET C. BEINASSY

Voilà donc un nouve&u venu, particulièrement dangereux pour certaines rosacées f ruitières du Maroc, car les infections dans la propriété contarninée ont atteint un tel nive'au qu'une éradication semble bien difficile à obtenir nnaintenant. En effet, dans un verger comportant, près de 200 Hectares de rosacées (pêchers, nect,arines...), quelques 250 arbres sont déjà entièrement recouverts par la Coch'enilles, avec des infections s'étendant de la base du tronc jusqu'au niveau des jeunes pousse,s de I'année. De ce fait, Ia pr.és'ence du P. perLtagona dans ceUe propriété pourrait remonter à la date d'introduction des plants. soit à six ou sept ans (âge de la plantation). Il y a donc intérêt à m,ieux connaître ce rava€ieur et à Ie conlbattre e,fficacement, afin d'éviter sa propagation à d'autres plantations. TI. DESCRIPTION ET CYCTE EVOTUTIF DE LA COCHENIIIE Pseudaulacaspis pentagon.a TARG. est au mêm,e titre clue Ie pou de Californie, une cochenille de la famille des Diaspitlidae, se caractérisant, chez la femelle, par la présence d'un bouclier protecteur oblong, d'une couleur blanchâtre, orné, au centre, d'une ou de plusieurs auréoles concentriques, rougeâtres, correspondant, aux ,exuvies larvaires ; ce bouclier recouvre entièrement le corps de la Cochenille qui est rose pâie à rose vif . Les mâles de Pentagona ont une forrmre allonsée. avec un follicule blanchàtre de i t\ 2 m'nt de long. P. Pentago'na'es\ une espèco ovipale r1ui, au lllom,ent de lir parturition, dépose, sous un bouclier, des oeufs de couleur hlanch": à rose saumon, donnant naissance, progressivement, à de jeunes larves mobiles qui quittent leur loge maf,ernelle pour se fixer sur leur hôte végétal. A cette fixation, fait suite la sécrétion d'un bouclier qui recouvre peu à peu tout le corps cle la cochenille. A la suite d'une première mue, la Cochenille fixee atteint le deuxième stade lat'vaire qui se reconnaît par la persistance dans le 'bouclier de I'exuvie du première stade, la,rvaire. Au niveau de ce dernier et mêrr-re au niveau de l',aeuf, on peut déjà reconnaÎtre la différ,ence des sexes qui est nettement plus marquée au deuxième stade larvaire; les individus femelles de celui-ci poursuivent leur développement (la croissance du bouclier étant parallèle à celle du corps de I'insecte) pour donner naissance après une deuxième mue à la fem'elle adulte. Le follicule mâle, par contre, s'allonge pour recouvrir une cochenille qui se transforme successivement

NOUVEIJUE COCHE}'NILLE INFEIODEE AU PECHER

en pfonymlphe, puis ,en nymphe avant de donner naissance à la suite d'une de,nnière mue à un adulte ailé. Dans Ia nature comme dans les ,élevages de laboratoire de cette espèce, la sortie des mâles coïncide avec I'apparition des jeunes femelles (stade réceptif pour I'accouplerment) ; la durée de ponte des fernelies adultes et celle de l'éclosion des jeunes larves peuvent varier de 'quelques jours a plusieurs semaines, selon les saisons ef les biotopes considérés. Malgré ces variations, le cycle évolutif de P. Pentagona comporte en général de 2 à 3 généra.tions annuelles, qui se succèdent selon

Ie schéma suivant :

__ La ponte des indir.-idus hivernants se situe fln avril début mai ; eile se cont,inue jusqu'aux premiers jours de juin, époque clurant, laquerlle les f,emelles issues des premières pontes font leur apparition. Elles seront fertilisées et donneront des raeufs, puis rles jeunes larves de deuxième génération t'out au long du mois de juillet. La troisième génératiorl n'apparaîtra qu'en octobre les individus qui en sont, issus passeront I'hiver, en grande majorité au stade femelle (noon et al 19?3 eruassv l.c.). IùI. Répcrtition geogrcrphique, dégôts et moYens de lutte PseudaulacaTtsis pentctgona 'l'ARG. est une Cochenille cosmo- potite et polyphage, originaire d'Extrême-Orient ; signalée dans plusieurs contrées du globe, elle est connue com;me un ennemi potentiel du mùrier:, des rosacées et des pla;ntes ornementales (na.lacuowsKy, 1[,]31, 1954 ; nnnr,nsn, 1911, LEONARDI, 1920 ; sIMl\4oNDs

1958).

Llette cochenille a envahi les cultures de mùriers italiens à ia fin du siècle dernier entraînant de sérieux dégâts que les pulvérisations insecticides de l',époque n'ont, pu contenir ; de là, la Cochenille a gagné toute l'Europe mériodionale où elle s'attaquait rndjstincternent au nrhrier et au pêcher (BENNET'T et IIROWY

19il, BENASSY l.c.). Outre Atlantique, cette cochenille a oausé

de sérieux domrlages ,en [i'éorgie et en F]oride dans les vergers cle pêchers (COLLINS, l9?5). Aux Ilermudes, le ra.vageur fut rlécouvert en 1917 ; trois ans plus tard, l'infest'ation sur laurier (t- et'itr,rn, olea.nd.er') était telle que les plantations de cet arbre nrnemental tendaient à disparaîire (SIMIIONDS, I.c). La [,ocltenille ne s'att'aque généralern,ent qu'au bois de sorr hôte ; elle est, rarement observée sur: ft'uits (sauf dans les cas de trés foltes pullulations). Les fernelles se fixent sui: toutes les lrlarrclles tle I'arllre, depuis la l-ra,se du t,r'onc jusqu'aux jeutles

Itlindille-" rlc I'i ttrtée.

L'historique des moyens de lutte, rapporté par différentsauteurs, a tlontré que, jusqu'en 19O6, les pulvcirisations insecticides

étaient, d'usage courant contre ce ravageur, mais n'assuraient pas

une protection complète des arbres forfem,ent infestés. En lgt4, unparasite, Itro,spaltella Iierl,esi,i HOW. introduit d'Extrême-Orienb

(BERLESE, 1915) s'est acciirrlaté avec succé,s en Italie et plus tarcl en llrance. Mais on devait assister dans les années b{), clans ce-c deux derniers pays, à une réapparition de P. Penta,gone (MONTI,

1956 ; BENASSY, ig|'r? et 1958), par suite de I'usage excessif de,r

insecticides organirlues de synthèse qui ont affecté les ennernis naturels de la Cochenille et entraîné de nouvelles nullulations de oelle-ci. Aux Bermudes cependant, la réapparition du ravageur err

1958 esf attribuée à une modification du mricro-climat ambiant

autour des plantes hôtes (Lauriers) et, Èr f introduction accitlentelle de la fcrurrni d'argentine (Iridiomyrlne'x. lr,urrùlis nIAY). qui aurart joué le rôie de prédateur du complexe des ennerrr,is natureis de

P. Pe'ntagona.

Par ailleurs, les difficultés de Ia lutte chimique proviennent du fait que les formulat'ions proposées par I'industrie, efficaces contre les jeunes stades de la Cochenille, doivent avoir une r'Éma- nence peu fréquente de I'ordre de 4 à ir senraines, afin t1u'e1 lers puissent toucher toutes les néonates qr-ri quiitent progressivement le bouclitrr maternel. Les huiles blanches en traitement d'hiver, suivies de parathions en traitement d'été ont donné les meilleuls résultats aux U.S.A. (llOBB et a]. 1973). IV. Etct des populB,qs El Jbclcr cru prirltemps 1978 (Tcbl. I) Iln échantillonnage et un dénomhrement des populations cle coche,nilles sur bois d'un an et sur ranteaux fructifères ont ét! effectués les 15-4, l5-5, et 16-6-f978. Les résultats de ces obselvation-" sont rapportés dans les Tableaux I et II. On remarque qu'au 15 ,\r,ril, gby" de la populatiolr de cocitenilles est encore au stade femelie, sr-rii en cours d'ovogénèse soit,en cours de ponte (1ère génération) ; les sorties de larves mobiies restent encore faibles à cette clate (1 à g %) ,et le nonlbre d'aeufs dénornibr:és sous chaque femelie larie de 23 i\ 150 avec une tllo.vennc cte '/àJ.

NOTIVELI]E COCHENILITEINI'EODEE AU PECHER

Tesr,ulu I

ETJTT DE LA POPULATION AU 15 AVRIT 1978

Bois d'un anStades Evolutifs

de Cochenilles

Rameaux fructifères

ds I'annésNombre%

Jeunes Iarves mobiles

Premier stade txé

Deuxième stade flxé

Jeunes femelles

Femelles en cours de

maturation

Femelles rnûres productrices

d.'aeufs

Total stades viva,nts

Total stades morts

t2 7,32 Eo

87 4,08 %

2 A,24 '/o

20 2,2O %lI

Bb2 B8,e *lo+'s

Ie82 53,26 %t

905
445

3 3,22 %

L t,oT %

00 + a,so%lI% zz 8s,78 % ls5'7 % I

48 51,67 % |

93
56

Nombre be cochenilles vivantes

par cm linéaire de rameau 17 dont 15 Femelles 0,35 dont 0,3 I'emelles Oeufs déuombrés par femelle ponderrse : 108, 43, 55, 79, 23, 85 750. IVloyenne : 78,5

Tlsr-neu 2

ETAT DE I,A POPULATION AU 15 MAI. PUIS AU 15 IUIN 1978

Bois d'un ANRameau; fructiferes

de I'annéeStades Evolutifs de Cochenilies1O-A- ( 6

Nombre %

15-6-78

Nombre %

15-5-78 16-6-78

Nbre % Nbre %

Jeunes larves rnobiles

Premier stade flxé

Deuxième stade ûxé

Jeunes fernelies

Pronyrnphes mâies

Femelies en cours de

maturation l-emelles productrices d'aeufs

Total stades vivants

Toial stades morts

Nombres de cochenilles

par cm linéaire de rameau

I 5,77 cie

?4 2L,80 cI

79 50,64 %

6 3,84 ya

18 71,53 %

4 2,56 %

6 3,84 7o

l- Dt) 607

1,65 dont

0,10 femelles

0- t 2,70 %

7 78,92 %

t7 45,9+ % 0-

I 27,62 lo

4 70,8 %

37
91

0,9? dont

0,76 femelles

0- 0- 1.25% 0- 0- L 25% 2 sO% 4 102

0,007 dont

0,006 fem.

I t L4 20

0,10 dont

0,06 fem.

0 1 3 0 0

ABBASI. M. ET C. BENASSY

A I'inverse du compta9e du 15-4, les observations du l5-b et tiu 15-6 révèlent un taux de m'ortalifé élevé faisant suite t\ I'applica- tion d'urr insecticide organique de synthèse (parathionl. Il est à remai"quer que les plus fortes populations re,stent Iocalisées sur bois d'un an et plus, oir les femelles de P. Pentagana ont passé I'hiver.

V, Conclusions resommcrndqtions

Les introductions accidentelles de lavageurs nouveaux, all niveau de's pays riverains du Eassin Méditerranéen suivent à peu près le même processus de propagation , à savoir : introduction du ravageur à partir de sa contrée d'origine ou d'une zone réoernment infestée, accompagnée, ultérieurement, à partir du pays hôte, d'une propag'ation de proche en proche vers les pays voisins. Ilans la plupart des c,as, cette propagation est consécutive à des échanges de matériel végétal infesté par des ravageurs dont

1'existence n'a pu être détectée au contrôle des frontières.

Flusieur:s exernples illustrent ce phénomène ; pour les seuis pays du Bassin Occidental de la Méditerranée, les introductions au cours de ces deux dernières décades (sur rosacées et sur citrus) intéressent les espèces suivantes : - Dialeurotles citri ASMtrAD (Sur Citrus) qui s'est propagé en l'rance et en Italie et récemment en Algérie ; des traces de ce ravirgeur sont actuell,e,m,ent leti'ouvées au Maroc (ONILLON, 1975 ; ABBASSI, t9?7), - Aleurothrirus lrloccosus MASKELL (sur Citrus) qui a envahi la France et I'Espagne vers 1966, ensuite I'Italie et la Cor-qe en 197O et enfin le Maroc en 1973 (ONILLON, 1975 ; ABBASSI, $n), - (inas7ti.,s yan.onettsis KUW. (Sur Citrus) qui, signalé en France en 1964, s'est étendu actuelletnent à une Jronne partie rie la zone agrulrticole des Alpes Maritimes (llllNASSY eb PINET, te72), - Q'ualt'trspirli,oltts Tterniciosus L. Pou de San José (Sur Rosaoée-q) qui a envahi pratiquernerrt toute I'Europe au rnilieu de ce siècle ; il se trouve iùctuellernent disséminé dans tle nombleuses légions cl',\lgéi'ie oir il occasionne de sérieux dégâts (MIl,AIRll),

1975).

NOIIVELIJE COCHENILIjE INFEODEE AU PECHER

- Pseutla'ulacaspis'pe'nlagon(r,'|ARG. Pour le Matoc, dans I'imurédiat, il est à craindre une propaga-quotesdbs_dbs14.pdfusesText_20