[PDF] Réduction dendomorphismes (corrigé niveau 2)



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Exercices sur le Barycentre et lignes de niveaux

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Lignes de niveau : exercices

Lignes de niveau : exercices Exercice 1 ABC est un triangle Quel est l’ensemble des points M du plan tels que : a) 2 2 1 AM



Réduction dendomorphismes (corrigé niveau 2)

PSI Dupuy de Lôme – Chapitre 07 : Réduction d’endomorphismes (Exercices : corrigé niveau 2) - 1 - Réduction d'endomorphismes (corrigé niveau 2) Valeurs propres, vecteurs propres, spectre 41 On peut ici développer directement χA puisqu’il n’y a pas de transformation simple du déterminant



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NOM : BARYCENTRES 1ère S Exercice 15 Soit ABCun triangle isocèle en Atel que BC= 8 cmet BA= 5 cm Soit Ile milieu de [BC] 1) Placer le point Ftel que BF= 1 3 BAet montrer que Fest le barycentre des points Aet Bpondérés par



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Réduction d"endomorphismes (corrigé niveau 2).

Valeurs propres, vecteurs propres, spectre.

41. On peut ici développer directement

Ac puisqu"il n"y a pas de transformation simple du déterminant.

On trouve :

)1.()2(4.3)(223+-=+-=xxxxxAc. On trouve, en résolvant les systèmes associés : 674

2VectAE,

342

1VectAE.

On remarque que

A n"est pas diagonalisable, f non plus, et :

))6,7,4(()(2-=VectfE, et : ))3,4,2(()(1-=-VectfE.

42. a. Si

s désigne une telle symétrie dans un K-espace vectoriel E, alors : Eids=2, alors 12-X est annulateur pour s et étant scindé à racines simples (dans ou dans ), s est diagonalisable. b. La linéarité de f est évidente.

De plus : "

1.2 0 n kk k

XaP, on a : ∑∑∑

1.2 0

1.21.2

01.2 1.2 01.2 ..1..)( n ii inn kkn kn k kkn

XaXaXaXPfÎ 2.n+1[X].

f est donc bien un endomorphisme de

2.n+1[X].

On remarque par ailleurs que :

P Î 2.n+1[X], )()(.1.1)(.))(()(1.21.21.22XPXPXXXPXPPnnn= +++ffff.

Donc f est une symétrie de

2.n+1[X], donc est diagonalisable et ses seules valeurs propres possibles

sont ±1. Pour déterminer les espaces propres de f, on peut repartir de l"expression au-dessus et : 1.2 0 n kk k XaP, (PP=)(f) Û (" 1.20+££nk, kknaa=-+1.2) Û (∑ n kknk k XXaP

01.2).().

Une base de

)(1fE est ainsi (nkXXknk££+-+0),(1.2) et : 1))(dim(1+=nEf. 1.2 0 n kk k XaP, (PP-=)(f) Û (" 1.20+££nk, kknaa-=-+1.2) Û (∑ n kknk k XXaP

01.2).().

Une base de

)(1f-E est ainsi (nkXXknk££--+0),(1.2) et : 1))(dim(1+=nEf.

43. a. On écrit donc :

120

10000001

=nnAaxaaxx x

LLLOOOMMOOOL

c, et en développant suivant la dernière ligne : 1 121
212
121
--+-+-+-+---++---+---=n nn nnnnnnn

Axaxxaxaaxc,

soit : )(......)(1 12

210xPxxaxaxaaxnn

nn nA=+-----=- -c. b. Si l est une valeur propre de

A, alors :

--lll l120

10000001

nnnaaaIA

LLLOOOMMOOOL

, et les 1-n

dernières colonnes de cette matrice sont libres puisque échelonnées avec des pivots non nuls.

Donc :

1).(-³-nIArgnl.

Mais puisque l est valeur propre de

A, nIA.l- n"est pas inversible et : 1).(-£-nIArgnl.

PSI Dupuy de Lôme - Chapitre 07 : Réduction d"endomorphismes (Exercices : corrigé niveau 2). - 2 -

Finalement : 1).(-=-nIArgnl, et avec le théorème du rang : 1)).dim(ker(=-nIAl.

Donc chaque espace propre de

A est de dimension 1.

c. On sait que A est diagonalisable (en général) si et seulement si son polynôme caractéristique est scindé sur K et si la somme des dimensions des sous-espaces propres vaut n.

Or pour la matrice

A de l"exercice, la somme des dimensions des sous-espaces propres est égale au nombre de valeurs propres de

A dans K.

Donc

A est diagonalisable si et seulement si son polynôme caractéristique est P est scindé à racines

simples dans K. d. Pour le cas proposée,

P s"écrit : 1.2....)(1----=-xxnxxPnn

n.

Pour :

1=n, on a : 1)(1-=xxP, qui s"annule une unique fois sur ]0,+¥) en : 1=x.

Pour :

2³n, il est clair que : " x Î ]0,1], 01.2)(2<--£xxxPn,

et on va restreindre l"étude qui suit à l"intervalle ]1,+¥).

On remarque alors que : "

1>x, 1.2....1+++-xxnn, est la dérivée de : 1

11...1

2 x xxxxn n

Donc :

212

21)1(1).2().2(

)1()1()1.().1()(--+++-=----+-= xxnxnx xxxxnxxP nnnnn n n et nP s"annule si et seulement si son numérateur N s"annule.

Enfin : "

1>x, )).(1.().2().).1().(2()("111nxxxnxnxnxnxNnnnn--+=++-+=--+.

Donc N décroît strictement sur ]1,n], et croît strictement sur [n,+¥). Comme N est nul en 1, N est strictement négatif en n et tend vers +¥ en +¥. Le théorème des valeurs intermédiaires garantit que

N (et donc )(xPn) s"annule une unique fois sur

]1,+¥) et donc sur ]0,+¥). 44.

u est évidemment un endomorphisme de E, et f est vecteur propre associé à l si et seulement si :

f Î E, 0¹f,

· l Î ,

ffu.)(l=, soit : " x Î , )(.)("xfxfl=. Or ce dernier problème a toujours des solutions, pour tout l réel, qui sont : " x x Î , )(..)(.xyAeAxyx ll==, où on a posé : " l Î , " x Î , xexy.)(l l=, qui est bien une fonction non nulle.

En conclusion, on a :

=)(uSp , et : " l Î , )()(llyVectuE=, qui est donc une droite.

45. a. Par linéarité de la dérivation des fonctions, f est linéaire et associe bien à tout élément de E un élément

de E.

Donc : f Î L(E).

b. Soient : f Î E, et : l Î .

Alors : (

ff.)(lf=) Û (" xÎ , )(.)(.)("xfxfxxfl=-) Û (f solution sur de : 0).("=+-yxyl). Or toutes ces équations différentielles ont des solutions sur et : )(fSp = ,

· " l Î ,

)()(llfyVectE=, où ly est défini par : " x Î , xxexy .2 2 l l+=. En particulier, tous les sous-espaces propres de f sont des droites. c. Tout d"abord : )()()ker(00yVectE==ff, et : " x Î , 20 2 x exy=.

Puis : "

f Î E, (0)(2=ff) Û (0))((=fff) Û )ker()(ffÎf).

Autrement dit c"est équivalent à : $

A Î , " x Î , 20

2 x eAxyAxfxxf==-. On utilise alors la méthode de variation de la constante en posant : " xÎ , )().()(0xyxCxf=, où C est une fonction dérivable sur , et f est solution de la nouvelle équation sur si et seulement si :

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" xÎ , AxC=)(" , soit : $ B Î , " xÎ , BxAxC+=.)(, et donc : )()..()(0xyBxAxf+=).

On a ainsi montré que :

=)ker(2f {Î+),(),()..(0BAxyBxAxa2}.

46. a. On peut calculer le polynôme caractéristique de

A et montrer que 1 est toujours racine de Ac (par

exemple en ajoutant à la première colonne toutes les autres, ce qui permet de factoriser l-1.

On peut aussi remarquer que si on note

X la matrice colonne dont tous les termes valent 1, on a : XXXA.1.==, en développant le produit matriciel.

1 est bien valeur propre de

A. b. On peut remarquer que

0i existe bien puisqu"on cherche le maximum d"un nombre fini de réel et

puisque

X est non nul, 0ix est non nul.

Si on développe le produit :

XXA..l=, alors en examinant la ligne 0i, on obtient : 00.. 1,in j jjixxal=∑ , et donc : ∑∑∑∑ n j ijin j jjin j jjin j jjiii xaxaxaxaxx 1, 1, 1, 1,

0000000......ll.

Il suffit alors de diviser par

0ix, pour obtenir : 1

1,

0=

=n j jial.

47. a. On peut calculer les premières puissances, puis démontrer par récurrence que :

k Î *, kkkAkABBA...=- (elle est aussi vraie pour : 0=k).

Cette égalité est vraie pour :

1=k, et si on la suppose vraie pour un entier k donné, alors :

en utilisant l"hypothèse initiale, et donc :

111).1(..++++=-kkkAkABBA,

ce qui termine la récurrence. b. Si A n"est pas nilpotente, alors : " k Î *, kA n"est pas nulle.

Mais alors pour tout entier :

k Î *, kA est vecteur propre de u associé à la valeur propre k. Donc u admet une infinité de valeurs propres, à savoir au moins tous les entiers naturels non nuls. c. Puisque u est un endomorphisme d"un espace vectoriel de dimension finie (2n), il ne peut avoir qu"un nombre fini de valeurs propres.

Conclusion : ce qu"on a supposé est absurde et

A est nilpotente.

48. a. Tout d"abord

u est linéaire, par dérivation de la dérivation des polynômes. Puis c"est une application qui à tout polynôme réel

P fait correspondre un polynôme réel.

Enfin :

Xu.2)1(-=, et : " 21££k, 11..3..2).2()(-+---=kkkkXkXkXkXu.

Donc si :

2 )(2Xu est de degré 2.

Par linéarité, on en déduit : "

P Î 2[X], 2))(deg(£Pu.

b. Cette question est immédiate puisque : "

P Î 2[X], " l Î ,

PPu.)(l=) Û ("xÎ , )()..2()(").3).(1(xPxxPxxl+=-+).

c. L"équation différentielle précédente est linéaire, du premier ordre et homogène.

On peut la résoudre sur (-¥,-1[, sur ]-1,+3[ ou sur ]+3,+¥).

Sur chacun de ces intervalles

kI, les solutions de l"équation sont : kIxÎ,  -++=∫dxxxxxy.)3).(1(.2exp)(l. On décompose alors la fraction en éléments simples et on intègre :

31)3).(1(.2

xb xa xxx l, et on trouve : 4

2l-=a, 4

6l+=b, puis :

Kxxdxxxx+-+++-=-++∫3ln.461ln.42.)3).(1(.2lll, et enfin : 46

423.1.)(

ll+--+=xxCxy.

Les solutions trouvées sont polynomiales si et seulement si les exposants sont des entiers naturels, ce

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qui conduit à : 6.4-=kl, k Î , et : k-=-24

2l, autrement dit on considère : 20££k.

Finalement, les valeurs qui conduisent à des solutions polynomiales sont :

2,2,6+-- (pour : 2,1,0=k).

En fait, les fonctions trouvées sont solutions sur de l"équation différentielle initiale puisque l"égalité

qu"on obtient sur chaque intervalle étant polynomiale (par exemple sur ]3,+¥)) est alors vraie aussi sur

, par égalité de polynômes en une infinité de valeurs. d. Les valeurs et vecteurs propres de u sont donc :

6-=l, et : ))1(()(2

6+=-XVectuE,

2-=l, et : ))3).(1(()(2-+=-XXVectuE,

2=l, et : ))3(()(2

2-=XVectuE.

e. Pour n[X], on définit u en posant : " P Î n[X], PXnPXXPu..").3).(1()(--+=.

Les valeurs propres de

u sont alors : 4 .3ll+=n k, avec : nk££0, et :quotesdbs_dbs5.pdfusesText_10