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o B t À * 4 ÿ 7 t 4

Au cours de l’apprentissage en physique et en chimie, de nombreuses consignes soumises aux élèves renvoient à des éléments plus ou moins théoriques, aux observations possibles et aux liens entre ces deux « mondes » : décrire, interpréter, expliquer, prévoir, exploiter telle loi, modéliser la situation



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Centre collaboratif de compétences en physique (C3P

Centre collaboratif de compétences en physique (C3P C'est innovant L'action C3P vise à faire un état des lieux de la continuité des pratiques pédagogiques mises en uvre en physique au lycée et à l'université, à en identifier les points communs et les spécificités afin d'améliorer l'intégration et la fluidité des



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QUOI ?

Titre Centre collaboratif de compétences en physique (C3P

C'est innovant !

L'action C3P vise à faire un état des lieux de la continuité des pratiques pédagogiques mises en uvre en physique aulycée et à l'université, à en identifier les points communs et les spécificités afin d'améliorer l'intégration et la fluidité des

parcours des bacheliers en licence de physique.Quel(s) thème(s) ?

- Alliances éducatives (familles, autres établissements, associations, collectivités locales, entreprises, etc.)

- Décrochage scolaire - Passerelles (inter-degrés, inter-cycles, inter-établissements) - Évaluation des élèves

Quel(s) dispositif(s) ?

- Alliances éducatives

Quelle(s) matière(s) ?

- SCIENCES (MATHEMATIQUES, PHYSIQUE, CHIMIE, SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE)

Expérimentation ?

Lien avec la recherche ?

La démarche est accompagnée par Nathalie YOUNES, Enseignante Chercheur en sciences de léducation au LaboratoireACTE de l'Université Clermont Auvergne.

QUI ?

C'est innovant !

Le projet C3P s'appuie sur la collaborations, la co-élaboration de documents de travail et l'analyse conjointe de pratiquesentre enseignants de physique-chimie au lycée et enseignants-chercheurs de Physique à l'université.L'équipe

Les partenaires

Les participantsNom prénomRôleAcadémie

Grevoul StephaneRédacteurClermont-Ferrand

Orloff CharlotteRédacteurClermont-FerrandStructureParticipationContactPériode EUPIhttps://eupi.uca.fr/Coordonnateur universitéLuc BIDEUXDu : 01/09/17Nombre d'académie(s)1

Nombre d'établissement(s)2

Nombre de classe(s)2

Nombre d'élève(s)500

Nombre d'enseignant(s)2

Nombre d'autre(s) participant(s)8

OÙ ?

C'est innovant !

L'action se concentre sur la continuité lycée-université et permet une collaboration concrète entre enseignants de lycée etd'université.Quel(s) niveau(x) ?

- Lycée - Post-Bac

Quelle(s) classe(s) ?

- TERMINALE GENERALE

Clermont-FerrandRENE DESCARTESFrédérique Chaptal, enseignante au lycée Descartes, repérsente auprès du groupe les pratiques pédagogiques développées en lycée et met en uvre les documents de travail communs élaborés avec les enseignants chercheurs

Clermont-FerrandBLAISE PASCALChristine KRIEGLER, en collaboration avec Nathalie YOUNES élabore un sondage pour établir un état des lieux des pratiques des enseignants de physique en lycée et en université

POURQUOI ?

Problème identifié

La bonne intégration et la réussite de tous les étudiants du département de physique malgré leur très grande diversité deprofils, de parcours et de projets est la principale problématique du projet.L'action a notamment pour but de :-suivre les cohortes, leurs résultats et leur motivation à l'université,-analyser les pratiques pédagogiques pour identifier les points communs et les spécificités au lycée et à

l'université-fluidifier la continuité des cours de physique entre le lycée et l'université

Indicateur(s) qualitatif(s)

Profils divers et entrées d'étudiants en cours de licence rendent difficile la pratique enseignante à l'université.Des étudiants décrochent ou stoppent leur parcours sans aller au bout de la livence ou poursuivre en master.

QUAND ?

Action(s) liée(s)

COMMENT ?

C'est innovant !

Quatre thématiques, associées à un groupe travail ont été identifiées : Suivi de cohorte étudiants, Compétencestravaillées, Pratiques pédagogiques, Exploitations de sondages étudiantsLes enseignants et enseignants chercheurs développent les quatre axes en sous groupes de travailLes enseignants du second degré engagés sont rémunérés via des IMP.Modalités de mise en uvre

Des observations de séance ont initialement permis de faire un état des lieux des pratiques.cet état des lieux a fait émerger le besoin de formaliser les objectifs communs de développement des compétences de ladémarche scientifique en adaptant à l'université celles des programmes de lycéeLes compétences ainsi formulées ont été une base de travail exploitée par les enseignants dans leurs pratiquespédagogiques.Les sondages d'étudiants et suivis de cohorte ont permis de mieux cibler la divsersité des bacheliers intégrant ledépartement de physique.Des séances d'analyse de pratiques enseignantes sur la base de captations vidéos ont été initiées au cours de cettetroisième année (lycée, université voire IUT)Date de débutDate de fin

01/09/1730/06/20

QUEL BILAN ?

Quelles modalités et méthodes d'évaluation ? Auto-évaluation de l'action par l'équipe pédagogique Résultats et parcours des étudiantsIndicateur(s) qualitatif(s)

Le premier suivi de cohorte a montré que parmi les plus de 400 étudiants, une grande majorité ont eu des bons résultatsau lycée.Les élèves de lycée commencent à être familiarisés avec les compétences de la démarche expérimentale évaluée auBAC. Les enseignants-chercheurs visent à se mettre dans la continuité.Des organisations différentes (ergonomies des salles, travaux de groupe, badges de compétences, ...) peuvent être misen place avantageusement avec les étudiants.

ET APRÈS ?

À retenir

La continuité des pratiques au lycée et à l'université nécessitent des temsp de coopération entre enseignants de lycée etenseignants chercheurs.Les analyses de séances ou, mieux, les observations croisées sont des modalités intéressantes de partages et diffusionsde pratiques.Suites de l'action

Des enseignants chercheurs initialement hors du groupe de travail (IUT et département de chimie) ont intégré certainstravaux du groupe.

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