[PDF] Devoir commun français 4ème (corrigé) – Avril 2014 Guy de



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Guy de Maupassant - APPARITION

Apparition, Guy de Maupassant L’APPARITION 1 On parlait de séquestration à propos d'un procès récent C'était à la fin d'une soirée 2 intime1, rue de Grenelle, dans un ancien hôtel, et chacun avait son histoire, une histoire 3 qu'il affirmait vraie Alors le vieux marquis de la Tour-Samuel, âgé de quatre-vingt-deux



Guy de Maupassant - APPARITION

APPARITION de Guy de Maupassant On parlait de séquestration à propos d'un procès récent C'était à la fin d'une soirée intime, rue de Grenelle, dans un ancien hôtel, et chacun avait son histoire, une histoire qu'il affirmait vraie Alors le vieux marquis de la Tour-Samuel, âgé de quatre-vingt-deux ans, se leva et vint s'appuyer à



Séance 1Séance 1 :::: à la découverte de Maupassant

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Guy de maupassant, « Les Bijoux » Une situation réaliste 1 Cette histoire se passe à Paris, comme en témoignent les indications suivantes : rue de la Paix (l 1), les Tuileries, la Seine (l 24), les Champs-Élysées (l 25), ou encore la rue des Martyrs (l 14) Ces lieux sont bien réels 2 M



CLASSE DE 4EME : ÉTUDIER UNE NOUVELLE RÉALISTE DU XIXE SIÈCLE

PRÉPARER LA LECTURE DU RECUEIL AUQUEL ELLE APPARTIENT SEQUENCE REALISEE PAR PATRICE DEIDDA, AGREGE DE LETTRES MODERNES Guy de MAUPASSANT,« Aux champs » in les Contes de la Bécasse 1883 (texte intégral présenté en deux parties distinctes, cf annexe VIII) Séance 1 (1 h) : dominante lecture (analytique) Analyser l’incipit



Cuentos completos - Editorial Páginas de Espuma

Maupassant tenía en su cuarto una mano disecada, que fue propiedad del poe-ta inglés Algernon Swinburne (1837-1909); la vio por primera vez en la villa «La chaumière de Dolmancé» —nombre de un personaje de La fi losofía en el tocador, novela del marqués de Sade—, alquilada en Ëtretat por ese poeta, a quien Maupas-



Guy de Maupassant LA MAIN - Pulib

Guy de Maupassant – LA MAIN La Main a paru dans le Gaulois du 23 décembre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885 On faisait cercle autour de M Bermutier, juge d’instruction qui donnait son avis sur l’affaire mystérieuse de Saint-Cloud Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris Personne n’y comprenait rien



Travail sur la nouvelle Aux Champs Questionnaire de lecture

Questionnaire de lecture Séance 1 Entrer dans la nouvelle : Lecture de la nouvelle De combien de familles est-il question ? Comment se nomment-elles ? Ont-elles des points communs ? Peut-on les différencier ? Quels nouveaux personnages font leur apparition à partir de la ligne 24 ? Séance 2 I LE CADRE ET LES PERSONNAGES

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Devoir commun français 4ème (corrigé) - Avril 2014

Guy de maupassant, " Les Bijoux »

Une situation réaliste

1. Cette histoire se passe à Paris, comme en témoignent les indications suivantes : rue de la Paix (l. 1), les

Tuileries, la Seine (l. 24), les Champs-Élysées (l. 25), ou encore la rue des Martyrs (l. 14). Ces lieux sont bien

réels.

2. M. Lantin est " employé au ministère de l'Intérieur » (l. 13-14).

3. Ces détails indiquent que nous lisons un récit réaliste, puisque les lieux sont bien réels et reconnaissables par

le lecteur, et que le personnage mis en scène est un homme de classe moyenne, un employé.

Des révélations surprenantes

4. L'étonnement de M. Lantin est ponctué de points de suspension (l. 9-10). La seconde révélation est ponctuée,

quant à elle, de points d'interrogation et d'exclamation, exprimant la vive émotion de M. Lantin.

5. Le point de vue est interne, c'est celui de M. Lantin, puisque le lecteur a accès à ses pensées et même à

l'avancée de ses réflexions, comme dans un monologue intérieur : - Non, certes. - Mais alors, c'était un

cadeau ! Un cadeau ! Un cadeau de qui ? La connaissance du lecteur progresse au même rythme que celle de

M. Lantin.

6. M. Lantin comprend que sa femme l'a trompé et que ces bijoux sont des cadeaux d'un amant fortuné.

L'argent n'a pas d'odeur !

7. Les deux dernières lignes du texte nous indiquent que M. Lantin décide de vendre ces bijoux pour

profiter de l'argent. Ce choix s'explique par sa faim, mais ausssi par les rêves de vie facile qu'il caresse

(l. 41-43).

8. Aux lignes 39-40, les imparfaits sont descriptifs. M. Lantin, remis bien vite de son émotion, s'absorbe dans

la contemplation d'un nouveau jour plein de promesses.

9. À partir de la ligne 38, M. Lantin semble réveillé d'un cauchemar, totalement remis du bouleversement de

la veille. La nuit a vite effacé sa tristesse, et M. Lantin se prépare à tourner la page. Nous lisons dans cette

soudaineté l'amusement de Maupassant qui montre que les chagrins ne résistent pas longtemps aux

promesses d'argent...

10. M. Lantin aurait pu décider de ne pas profiter de cet argent mal acquis et qui le plonge dans le

déshonneur.

11. La capacité du personnage à se remettre de son chagrin nous fait évidemment penser qu'il ne va plus

guère penser à sa défunte femme. Il va au contraire dilapider joyeusement l'argent. Et on ne sait qui

blâmer le plus, de la femme infidèle ou du mari sans scrupules. C'est encore une façon pour Maupassant de nous dire qu'aucune morale ne peut conclure une intrigue réaliste.

Réécriture :

Ils reprirent connaissance dans la boutique d'un pharmacien où les passants les avaient portés. Ils se

firent reconduire chez eux, et s'enfermèrent. Jusqu'à la nuit ils pleurèrent éperdument, mordant un mouchoir

pour ne pas crier. Puis ils se mirent au lit accablés de fatigue et de chagrin, et ils dormirent d'un pesant

sommeil. Un rayon de soleil les réveilla, ils s'habillèrent et sortirent.

Dictée :

Or, ce goût pour le théâtre fit bientôt naître en elle le besoin de se parer. Ses toilettes demeuraient toutes

simples, il est vrai, de bon goût toujours, mais modestes ; et sa grâce douce, sa grâce irrésistible, humble et sou-

riante, semblait acquérir une saveur nouvelle de la simplicité de ses robes, mais elle prit l'habitude de pendre à

ses oreilles deux gros cailloux du Rhin qui simulaient des diamants, et elle portait des colliers de perles

fausses, des bracelets en similor , des peignes agrémentés de verroteries variées jouant les pierres fines.

Maupassant, " Les Bijoux »

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