Tê te-d Jupi r 1-2
No t e: L 'é ad s ch m i np uê rv b là S up e rf i cd s t : 2 6 1Km² 0 500 1 000 1 500 2 000 2 500 m 1:4 0€ N o r d g é o g r a p h i q u e N o r d m a g n é t i q u e 20º 17' Déclinaison moyenne approximative au centre d el a rés vf u n iq j 20 1 Variation annue le décroissante de 11' (Est) N Chicotte ouest - Partie 3 Secteur:
Île dAnticosti
D f ç og é scd u è, p1 mk Ba i e -Sn t Cl r Lac-Martin Martin-la-Mer Chutes Kalimazoo Jupiter-30 Jupiter-12 Anse-Castor McDonald Canyon de l'Observation Galiote-la-Mer Chicotte-la-Mer Tête-de-Jupiter Pointe-de-l'Est Cap Sandtop Note : Le calcul des distances est approximatif avec une marge d'erreur de ± 2km / 50 km 1km = 0 62 mile
Morkeg Books
Introduction La langue Nangnda est une langue Sara parlée au Sud du Tchad dans le Département du Mandoul Occidental, Région du Mandoul, et dans le Département de Kouh-Ouest, R
Lexique Laga
N chicotte faite de la peau d'hippopotame àb lày tō ùndà ndáy g m La chicotte de la peau d'hippopotame fait plus mal que celle de l'arbuste de Grewia venusta á ō CNJ et, et que (dans les phrases conditionnelles) m -ng b-ī á ō - è àńg námà m-á kàw Je t'attends, et si tu ne viens pas alors je vais partir
Livre Afrique 2 a
é dans d’Ombre et Noires (les occurrences ne sont cit é es qu’une seule fois): d’Ombre 2 s è k ô tam-ka ï c é r ô r é totem, wo ï marigot, tama, k ô s è ty é do, noires assimil é civilis é bi è mil, cases, s è talb é s, , chicotte, appartiennent à revisit é et refond é m é talinguistique l’identit é
HissèneHabré, laterreurpolitiqueenprocès
l’électricité,d ec oups de chicotte, sans le moindreé gardp our l’enfantq ue porteG i Sons eulc rime estd ’êtren é zaghawa,lamêmeethniequel’actuelprési
Début des formations officielles de Niveau 1 pour maitres
là Mais il y avait d’autres classes qui étaient restées en paillotte Les élèves qui étaient dans ces salles n’é-taient pas contents avec leurs maîtres et faisaient beaucoup de bruit en classe Leurs maîtres les tapaient avec la chicotte Aujourd’hui, avec Foi et Joie, les parents nous ont construit un autre bâtiment de trois
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Sam Chicotte / Alice / Réal : Pascale Cusson / Point de mire, 2008-11 C I N É M A My Salinger Year / High School Girl / Réal : Philippe Falardeau / micro_scope, 2019 Slaxx / Libby / Réal : Elza Kephart / Ema films, 2019 Les salopes ou le sucre naturel de la peau / Katou / Réal : Renée Beaulieu / Les Productions du Moment, 2018
Groupe Scolaire Saldia – Groupe Scolaire Saldia
A ce titre, I'organisation se devait de dénoncer le scandale, d'où qu'il vienne, où qu'il é late, quelque forme qu'il prenne L'UNESCO devait avoir le courage d'élever la voix et d'agir Elle devait avoir à coeur de ne pas tolérer l'intolérable Cette mission me paraît aujourd'hui plus actuelle, plus urgente que jamais
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Bulletin trimestriel d'information de l' Association Foi et Joie Tchad n°6 Début des formations officielles deNiveau 1 pour maitres communautaires
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Foi et Joie n°1
le niveau de première année et 2è- me année. Il y a 28 participants dans cette formation, venus de 14écoles du réseau FJ1. Du fait que
ces enseignants ont été appelés au moment où les classes fonctionnent,Foi et Joie s'est chargée de recruter
des maîtres suppléants pour rempla- cer ces maitres communautaires dans leur classes respectives.Le 27 février nous avons com-
mencé la formation des maitres communautaires niveau 1 du ré- seau d'écoles Foi et Joie N°1, né- gociée entre l' Association Foi etJoie et le Centre de Formation
Continue de Mongo (CFC). Cette
formation va durer 45 jours et elle est scindée en 3 étapes de quinze jours: la première étape, du 27 février au 10 mars; la seconde, dans les deux premières semai- nes du mois de juin; et la dernière, pour avoir un certificat de forma- tion, qui aura lieu les deux derniè- res semaines du mois de Septem- bre. Les attestations seront don- nées par le responsable des mai- tres du CFC de Mongo, avec l'ac- cord de la Direction de la Forma- tion des Enseignants. Les formateurs pour cette première session sont Abdelaziz Abbas, res- ponsable du CFC; le coordinateur des activités pédagogiques duCFC, Mahmat Hassan; le directeur
de Foi et Joie numéro 1, Jean Bap- tiste Walouda, le responsable péda- gogique de Foi et Joie numéro 1,Hassan Awada; le directeur de Foi
et Joie numéro 2, Pierre Mbailas- sem, et le directeur de Foi et JoieTchad, Joaquin Ciervide.
Le but principal de cette formation
est d 'amener des maitres commu- nautaires recrutés sans formation pédagogique de base a maîtriser la tenue d' une classe et aussi à avoir un niveau académique leur permet- tant de maîtriser le contenu à ensei- gner. Ceci leur permet également d'accéder au niveau 1 afin d'aborderDébut des formations officielles de Début des formations officielles de Début des formations officielles de
Niveau 1 pour les maitres communautaires
Niveau 1 pour les maitres communautaires Niveau 1 pour les maitres communautairesPar Jean Baptiste Walouda, Directeur du Réseau Foi et Joie 1Par Jean Baptiste Walouda, Directeur du Réseau Foi et Joie 1Par Jean Baptiste Walouda, Directeur du Réseau Foi et Joie 1
En partenariat avec le CFCEn partenariat avec le CFCEn partenariat avec le CFC - - - MongoMongoMongo
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Dans le cadre de la collaboration
avec la Radio Communautaire deMongo (RCM), un atelier d'introduc-
tion au langage radiophonique a eu lieu en janvier au bureau de Foi etJoie à Mongo. Cet atelier, réalisé
par la RCM a été possible grâce au soutien de l' ONG ACRA, dans le cadre du projet TCDEGU. Le direc- teur de la RCM, M. Dimanche Gaye a été chargé d'organiser cette for- mation.Depuis le mois de janvier, Foi et
Joie produit chaque semaine une
émission qui a pour nom " Ecole et
Communauté » à la RCM. Le pro-
gramme " Ecole et Communauté » a pour but de sensibiliser les com- munautés sur l' importance de l' éducation et travailler pour la gref- fe de l'école au village. Il s'agit d'un espace de partage dans lequel les différents acteurs de l'éducation au Guéra peuvent parler de la réalité de l'éducation dans la région, des pro- blèmes et des défis à relever. Entre autres sujets, l'atelier a touché quel- ques principes sur la théorie de laFoi et Joie et la RCM: deux jeunes
institutions qui cheminent ensemble communication, les genres de pro- grammes radiophoniques et l'élabo- ration d'un programme radio avec l'aide d'enregistreurs numériques.Foi et Joie n°1
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Je réponds au nom de GABANGA
TCHERE DABDANGLAH, instituteur
de premier échelon, affecté à Banda par une décision d'octobre 2010. J'ai déjà fait 6 ans dans cette école.Après avoir fini la 3eme année, on
m'a affecté à Banda. Je suis origi- naire de Bitkine, précisément deMataya Kenga. Je viens d'une famil-
le de neuf frères, deux garçons et sept filles. Il y a quatre qui sont vi- vants. Mes parents sont décédés.J'ai perdu ma mère au moment ou
j'étais en CPII, en 1983, et j'ai perdu mon père en 92. Je suis marié, père de 8 enfants... et demis. -Comment ca ? -Ma femme est presque à terme. (rigole) -Tu as combien de garçons et combien de filles ? -Trois garçons et cinq filles, ainsi que deux garçons qui sont à ma charge: les enfants de mon frère qui est décédé. -Comment est-tu devenu ensei- gnant ? C'était clair pour toi ? -Non. Je voulais être gendarme, mais je suis le plus grand de mes frères, il fallait que je m'occupe de ces petits et mon tuteur a pensé que dans l'enseignement peut être j'aurais la possibilité d'aider ces enfants.Mon proviseur au lycée de Bitkine
a voulu que je continue pour obte- nir le BAC. Je suis allé à Abéché faire la formation de deux ans pour devenir instituteur adjoint. Après plusieurs destinations (Mangalme,Somo, prés de Bitkine, Konyo
Gayambo, Djibin, Bungu, Bardan-
gal...) en 2006-2007 j'étais affecté a l'école de Banda.Le travail de l'enseignant
C'est un travail qui rend service
aux autres mais... à la personne qui enseigne ça ne lui rend pas service, parce qu'ici au Tchad on travaille beaucoup pour gagner peu. Si vous faites le tour il n'y a pas un enseignant qui est riche. Il n'y a pas un enseignant qui peut s'occuper normalement de sa fa- mille. Il travail du matin au soir. On a l'impression qu'on n'est pas pris en compte.Ce qui me plait dans le métier d'
enseignantJe forme les gens de demain,
quand demain ils me rencontrent ils me respectent. C'est la fierté de voir le produit de son travail. De- main ils deviennent des directeurs, des infirmières...L'école c'est important parce que
ça développe les capacités, ça
change les comportements. ÇaMon parcours
GABANGA
TCHERE
Enseignant
du CM à BandaL'interview
Qui je suis
Foi et Joie n°1
Page 5 Al Khyam!!
Les formations de Foi et Joie
" C'est bien, c'est bien, c'est bien.Ça nous réveille. (...) Et on nous fait
du suivi. Il se peut que la répartition, le tableau des charges... ne soient pas respectés. Mais quand tu sais qu'il y a quelqu'un qui va venir te suivre, tu commence à préparer.Qui est l'instituteur de Foi et Joie
qui passe vous visiter a Banda ?C'est Benoit [Erbi]. Pour la sensibili-
sation c'est Akouna [Annour] et Er- bye [Dépé]. Benoit, il visite les clas- ses. La propreté de votre classe, les documents obligatoires (cahier de préparation, registre d'appel, ta- bleau de charges, le règlement inté- rieur de la classe, le tableau de sur- veillance des enfants...). Il passe dans la classe et il voit, il observe.Et après, le maitre observé, il appel-
le pour lui prodiguer des conseils : les insuffisances, le coté positif et négatif, ça, ça, ça... là il faut que le maitre change. La visite se passe deux fois par mois. C'est très positif.Qu'est que tu penses qui nous
manque dans ce que nous som- mes en train de faire ?Le bâtiment nous manque à Banda.
On a un bâtiment de trois salles de
classe, or à présent on a sept clas- ses. En octobre c'est un peu difficile pour faire les hangars parce que la récolte n'est pas encore arrivée à maturité... On a aussi le problème d'eau. On a un forage pour le villageà coté de l'école, fait par l'UNICEF.
C'est un forage mal géré, mainte-
nant il est en panne et on n' arrive pas à le réparer.Est-ce qu'il y a une différence po-
sitive à ton avis dans les écolesFoi et Joie ?
Oui. On ne s'absente pas dans nos
écoles, et nous sommes suivis.
Par exemple: s'il y a une petite fête,
dans les autres écoles les gens dé- sertent toujours. A l'école de Foi etJoie les gens restent à l'école. Si
c'est une fête de trois jours on fait la fête un jour et c'est tout. change le mode de vie au quoti- dien. C'est important pour l'enfant d'être avec d'autres enfants qui viennent d'ailleurs. L'enfant décou- vre qu'il y a un autre monde au tour de lui, d'autres enfants. Si l'enfant reste à la maison il ne connait pas tout ça.Des problèmes à Banda
A Banda, on a un gros problème
au moment des activités agricoles.Au moment de la récolte les pa-
rents sont obligés de faire appel aux enfants. Un autre problème est les enfants qui passent en 6eme et qui n'ont pas de tuteur pour suivre ses études. Il y a beaucoup d'élè- ves qui ne peuvent pas commen- cer la 6ème parce qu'ils n'ont pas quelqu'un a Mongo pour s'occuper d'eux.Cette année j'ai quatre candidats
filles pour la 6ème. Dans plusieurs cas, le papa ne leur achète pas les cahiers, les habits... J'ai dû appe- ler la grand-mère d'une pour lui dire que je voudrais 2000 F pour les études de la fille et elle a dit " non, elle ne peut pas continuer ».Je ne sais pas comment je vais
l'aborder. On nous dit que la fille est faite pour la cuisine mais de nos jours nous disons que la fem- me est égale à l'homme. Le travail que l'homme fait au bureau, la femme est aussi capable de faire.Il y a des femmes qui peuvent être
ministres, qui peuvent être dépu- tés. Une femme instruite peut édu- quer mieux les siens.Les APE à Banda paient régulière-
ment les maitres. Il y a toujours de l'argent qui reste dans la caisse.En ce qui concerne la caisse de
l'APE je n'ai pas de difficulté.Cette année j'ai 13 élèves au CM2
et 42 au CM1.Foi et Joie n°1
Je voudrais raconter aux autres élèves des écoles du réseau Foi et Joie n°1 l'évolution de notre école de Baï-
wangué.Quand j'avais encore sept ans, le toît de notre classe était en paille et les murs en secko. Après quelques an-
nées ACRA a aidé nos parents à construire un bâtiment en pierres de trois salles de classe. Nous sommes
rentrés dans ces nouvelles salles dès le premier jour de la rentrée scolaire. Nous étions très contents ce jour-
là ! Mais il y avait d'autres classes qui étaient restées en paillotte. Les élèves qui étaient dans ces salles n'é-
taient pas contents avec leurs maîtres et faisaient beaucoup de bruit en classe. Leurs maîtres les tapaient
avec la chicotte. Aujourd'hui, avec Foi et Joie, les parents nous ont construit un autre bâtiment de trois salles
de classe en briques compactées. Maintenant tous les élèves sont dans des salles en dur. Par ABDOULAYE OUMAR, élève de CM2 à Baïwangué