Passer de l’espace vécu à l’espace représenté
permet à l’élève d’agir sur des objets en appr éciant, par la vue, la position des objets isol és passage du méso au micro espace Cette étape favorise : - une attitude de décentration (l’enfant n’est plus un objet de l’espace mais en devient un observateur) - une transition avec l ’espace graphique (ou représenté)
Global System for Mobile Communication (GSM)
Par une vue d’ensemble du réseau le OSS contrôle et gère le trafic au niveau du BSS 4 RÉGIONS GÉOGRAPHIQUES D’UN RÉSEAU GSM La figure 4 ci-dessous illustre les différentes zones géographiques auxquelles on peut relier un réseau GSM Une cellule correspond à la région couverte par une station de base (BTS)
Partie I : les critères et conditions de la transformation
ses règles propres la transformation ne doit donner naissance à une forme nouvelle sans respecter les conditions nécessaires à sa création sous prétexte qu’il y a survie de l’ancienne société » Donc c’est un passage d'une forme de société à une autre forme de société : une SA se mue en SARL ou en SAS, une SNC devient 2
JOSUE, serviteur et leader
promis par l’Éternel, sous la conduite de Josué Israël vie une expérience soudaine et puissante en passant d’un peuple nomade à un peuple sédentaire, au travers d’une longue période de guerre Un tel passage laisse des traces, le peuple en sera meurtri et fatigué, mais il sortira vainqueur de l’épreuve qui aura éprouvé sa foi
Partie I : génétique et évolution
passage d’une phase à une autre correspond à des processus de la reproduction sexuée La méiose permet le passage de la phase diploïde à la phase haploïde Elle produit 4 cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde La fécondation, deuxième mécanisme de la reproduction sexuée, assure le passage de la
CHAPITRE V : ETUDE DES ORGANITES CELLULAIRES
Chaque cellule est enfermée dans une membrane, une enveloppe protectrice appelée membrane cytoplasmique ou plasmalème En biologie cellulaire, la membrane désigne un assemblage de molécules sous forme d’une couche séparant la cellule de son environnement et délimitant les organites à l'intérieur de celle-ci
Les trois torsions de la bande de Moebius
- Fonction : elle représente le mouvement de passage d’une proposition à l’autre, c'est-à-dire la torsion comme telle, la globalité de la bande de Mœbius comme telle, qui est torsion triple, lorsque la fonction au lieu d’être bloquée en objet, se
Des raisons d’une écriture à torsions
Si on s’en tient à ce que j’ai définit de la torsion : passage d’une face à une autre on passe bien d’une face à une autre , du point de vue qui est le notre , le point de vue de quelqu'un qui lit quelque chose qui est écrit
PNDS McArdle FINAL
musculaire existe sous deux formes : une forme déphosphorylée inactive et une forme phosphorylée active Le passage d'une forme à l'autre est sous le contrôle enzymatique de la phosphorylase kinase Lorsque la phosphorylase est déficitaire, le glycogène ne peut plus être dégradé correctement et s'accumule dans les cellules
CHAPITRE 2 : Les mécanismes de la création monétaire
financiers, c’est-à-dire une augmentation de la masse monétaire La création monétaire signifie la mise en circulation d’une nouvelle quantité de monnaie et non la substitution d’une forme à une autre On a trois catégories d’agents qui ont le pouvoir de la création monétaire : la banque centrale
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Economie (cours)
Ch. 2 - Les mécanismes de la création monétaire CHAPITRE 2 : Les mécanismes de la création monétaireLa création monétaire consiste à accroître la quantité de monnaie détenue par les agents non
financiers, c'est-à-dire une augmentation de la masse monétaire. La création monétaire signifie la
mise en circulation d'une nouvelle quantité de monnaie et non la substitution d'une forme à une autre.
On a trois catégories d'agents qui ont le pouvoir de la création monétaire : la banque centrale
(billets), le trésor public (pièces) et les banques. Section 1 : Le processus de création monétaire :1.1) Les banques et la création de monnaie scripturale bancaire :
Les banques créent de la monnaie lorsqu'elles distribuent des crédits aux agents non financiers ;
lorsqu'elles souscrivent à des émissions de titres ; ou lorsqu'elles achètent des devises ou
lorsqu'elles achètent des actifs réels. Pour comprendre ce processus, on va prendre le cas d'une économie simplifiée avec une seule banque, puis une économie avec plusieurs banques.1.1.1) La création monétaire dans une économie simplifiée :
On suppose qu'il existe une seule banque, donc une seule forme de monnaie : la monnaiescripturale. La banque accorde un crédit de 100 000 € à une entreprise X (la somme est inscrite dans
le compte courant ou dans le dépôt à vue, en échange d'un engagement de remboursement à
l'échéance prévue). Au bilan de la banque, l'opération correspond à une double inscription : à l'actif,
ce sera la créance de la banque sur l'entreprise X ; au passif, ce sera le compte courant de l'entreprise
X.La double inscription d'un même montant à l'actif et au passif du bilan de la banque constitue l'acte
par lequel elle crée de la monnaie. En effet, il y a un accroissement de la quantité de monnaie
détenue par les agents non financiers. Ce sont les crédits qui font les dépôts et non l'inverse. Il n'y a
pas ici des sommes préexistantes au sein de la banque (création monétaire à partir de rien).
Les paiements entre agents s'effectuent au moyen de transfert de compte à compte au sein dupassif de la banque. La monnaie ne peut jamais quitter la comptabilité de l'établissement émetteur,
puisqu'il n'y a qu'une banque il n'y a aucune fuite du système bancaire.La seule différence entre la création monétaire, à l'occasion du crédit (ou achat de titre de dettes :
obligations...) est que cette création n'est que provisoire. Quand le crédit ou la dette est remboursé, il
y a destruction monétaire.La quantité de monnaie en circulation augmente que si les flux de création l'emportent sur les flux
de destruction.1.1.2) La création monétaire dans un système à banques multiples :
A- Le système non hiérarchisé : en pratique, il existe plusieurs banques dans uneéconomie et la monnaie créée par une banque peut être redéposée dans une autre banque.
L'établissement est alors confronté à des fuites du circuit bancaire. B- Le système hiérarchisé : dans un tel système, il existe une banque centrale, qui crée la monnaie centrale, et des banques commerciales (ou banques de second rang), qui créent de la monnaie bancaire. Cette monnaie centrale a la forme de billets, mais se présente aussi sous une forme scripturale, comme la monnaie bancaire. En effet, chaque banque commerciale détient un compte à la banque centrale, qui lui permet de régler ses opérations avec les autres banques. Plus généralement, lorsqu'il existe un grand nombre de banques, les opérations de refinancement s'effectuent sur le compartiment interbancaire du marché monétaire, sur lequel les banques négocient leur excédent et leur déficit de trésorerie.Ainsi, le système bancaire dans son ensemble a toujours un pouvoir de création monétaire
théoriquement illimité. En effet, les fuites d'une banque limitent sa propre création monétaire
et elle va s'effectuer en faveur d'une autre banque. Par conséquent, elle favorise la création monétaire
de cette dernière.Tout d'abord, la création monétaire est nécessairement limitée par les besoins des agents
économiques, puisque l'origine de la création monétaire est l'acquisition par le système
bancaire d'une créance sur les agents économiques.Par ailleurs, jusqu'à présent, on a supposé que la totalité du refinancement bancaire est
réalisée par les banques. Or, les banques devront faire appel en dernier ressort au refinancement de la banque centrale. 1/3Economie (cours)
Ch. 2 - Les mécanismes de la création monétaire Enfin, le système bancaire doit y mettre de sa propre monnaie, appelée monnaie de banque oumonnaie scripturale. En revanche, des problèmes de liquidité se posent à lui lorsque les agents
économiques demandent des billets, forme de monnaie que le système bancaire ne peut pas
émettre ; ou souhaitent acquérir des devises étrangères ; ou quand ces agents sont en relation
avec le Trésor public ; dont le compte n'est pas géré par les banques mais par la banque centrale.
Toutes ces opérations mettent le système bancaire en état de dépendance vis-à-vis de la banque
centrale.Section 2 : les limites de la création monétaire : les facteurs de la liquidité bancaire :
Les fuites sont les billets en circulation ; les fuites sous forme de devises ; les opérations avec le trésor public ; et enfin les réserves obligatoires.Les trois premiers facteurs sont qualifiés d'autonomes. Le dernier est qualifié d'institutionnel car il
est conditionné par la banque centrale. A- Les fuites sous forme de billets : la circulation des billets constitue un facteur structurel de pression sur la liquidité bancaire. En effet, les demandes de conversion de monnaie scripturale en billets constituent pour les banques une fuite de monnaie centraleimportante, qui réduit leur liquidité bancaire, qui les oblige à obtenir ces fonds auprès de la banque
centrale. B- Les fuites sous forme de devises : ces besoins de liquidité sont liés aux mouvements internationaux de marchandises et de capitaux. Ils sont liés aux échanges entrerésidents et non résidants. Il y a amélioration de la liquidité bancaire en cas d'entrée de devises ;
détérioration de la liquidité bancaire dans le cas inverse.Par exemple, si un résident détient une créance sur un non résidant, il a par exemple vendu des
marchandises en contrepartie de devise. L'agent résidant va céder les devises à sa banque, qui va, à
son tour, les vendre à la banque centrale, et obtenir en contrepartie de la monnaie centrale. Dans ce
cas, on parle d'augmentation de la liquidité bancaire.Dans le cas inverse, si le client de la banque a une dette envers un agent non résidant qu'il doit
régler en devises, la banque va se procurer ces devises contre de la monnaie centrale. Par
conséquent, la liquidité bancaire va diminuer. C- Les fuites vers le Trésor public : les clients des établissements de crédit sonte n relation régulière avec le Trésor public, notamment lorsqu'ils paient leurs impôts ou, à
l'inverse, lorsque le Trésor public paie ses fonctionnaires.Or, il se trouve que le compte du Trésor public est géré non pas par le système bancaire mais
par la banque centrale. De ce fait, toutes les opérations entre les clients des établissements de
crédit et le Trésor public vont affecter les avoirs de ces établissements auprès de la banque
centrale.Par exemple, lorsqu'un agent non financier paye ses impôts, le compte de la banque de ce client est
débité à la banque centrale et le compte du Trésor public est crédité. Dans ce cas, il y a une perte de
liquidité.Au contraire, lorsque le Trésor public paye ses fonctionnaires, le compte du Trésor à la banque
centrale est débité et le compte de la banque est crédité. Dans ce cas, il y a une augmentation de
liquidité. D- La règlementation des réserves obligatoires : la banque centrale ajoute undernier facteur de pression sur la liquidité bancaire par le système des réserves obligatoires. Chaque
banque commerciale est obligée de maintenir sur son compte à la banque centrale une certaine somme. Ce montant de réserve obligatoire est calculé en proportion de la masse desdépôts des clients (ce sont généralement les dépôts à vue et les dépôts à court terme). Par ce
mécanisme, la banque centrale augmente l e besoin de refinancement de s banques commerciales en monnaie centrale.E- Le bilan (simplifié) de la banque centrale : ACTIFPASSIF - Devises (créances sur les agents non
résidants) - Refinancement - Concours apportés au Trésor public - Billets en circulation - Réserves (comptes créditeurs des banques commerciales) = réserves obligatoires + réserves libres (réserves excédentaires) - Compte du Trésor public (compte rarement 2/3Economie (cours)
Ch. 2 - Les mécanismes de la création monétaire créditeur ; quasiment toujours endetté) Au passif du bilan de la banque centrale, on observe la monnaie centrale, appelée aussi basemonétaire, qui comporte les billets en circulation ; les comptes créditeurs des banques
commerciales (réserve) ; le compte du Trésor public.Cette monnaie centrale a été créée en contrepartie des créances inscrite à l'actif, c'est-à-dire : les
devises acquises par la banque centrale ; les concours apportés au Trésor public ; les créances
sur le système bancaire sont représentées à l'actif par les opérations de refinancement.
Les agents non financiers font appel aux banques commerciales, qui leur accordent des crédits sous
forme de monnaie scripturale (= monnaie de banque). Mais les banques centrales ont égalementbesoin, en permanence, de refinancement (à cause des fuites) auprès de la banque centrale, qui leur
fournit de la monnaie centrale. Section 3 : Les contreparties de la masse monétaire (M3) :M3 est la source de la création monétaire, c'est-à-dire les opérations qui conduisent à une
création monétaire. Les contreparties de M3 sont constituées des créances détenues par les
institutions financières monétaires à l'origine de la création monétaire. Bilan des institutions financières monétaire : ACTIFPASSIF - Créances sur les agents résidants - Créances sur les agents non résidants - Divers (actifs immobiliers...) - M3 - Ressources non monétaires des institutions financières monétaires - Engagements vis-à-vis des agents non résidantsM3 = créances sur les résidants + créances nettes sur les non résidants (créances - engagements)
+ divers - ressources non monétaires des IFMLes créances sur les résidants comprennent les crédits accordés (au secteur public ou privé) par
les IFM aux résidants de la zone Euro ; les titres achetés par les IFM.Les ressources non monétaires : comprennent les titres à long terme (dont la durée est
supérieure à 2 ans) ; l e s dépôts à terme d'une durée supérieure à 2 ans ; les dépôts
remboursables avec préavis supérieur à 3 mois.Les créances sur les non résidants correspondent aux avoirs des agents n'appartenant pas à la
zone Euro ; aux crédits accordés aux non résidants ; aux titres émis par les non résidants.
Les engagements sont les dépôts des non résidants de la zone Euro auprès des IFM résidants ;
des crédits accordés par les non résidants aux institutions financières résidantes ; les titres des
IFM résidantes, qui sont achetés par les non résidents. 3/3quotesdbs_dbs12.pdfusesText_18