[PDF] Quand les À de l’édition contemporaine I



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UNICEF Competency Framework

Our framework has behavioural indicators for every competency, which makes it much more real, tangible and a foundation for discussions Eva Mennel



RAPPORT ANNUEL 2011 - PRAH

de livres pour le cahier spécial Regard sur notre patrimoine Reli-gieux paru en novembre Magasine continuité: le magasine du patrimoine au Québec, Jo-siane Ouellette, photos pour article sur la Société Étudiante: demande d’infomations su les œuves de Paul Émile Borduas pour une future exposition



Psychosociologie de la communication

joie, l'argent, le pouvoir, l'amour, la persévérance, la détermination, l'entraide, le partage, l'écoute, la communication, l'engagement, la confiance, l’intégrité, la loyauté, le courage, l’honnêteté, l’équité, responsabilité et l'hygiène 3-Communication et dynamique de groupe 1 Définition du groupe



Le potager urbain - WordPresscom

melon musqué au monde; il pouvait peser jusqu’à 30 livres Son goût exquis lui a conféré une renommée au-delà de la frontière, et les melons de Montréal étaient même exportés vers les hôtels et restaurants luxueux des États-Unis Pour vous donner une petite idée de sa



À Thomas Edison, À Eadweard Muybridge, À William Friese

gériatriques de la conservation patrimoniale À part peut-être le théâtre de boulevard, le théâtre, même contemporain, même expérimental, n’est qu’un souvenir Un malade imaginaire, une sorte de fantôme qui hante les salles de classe et survit grâce à la charité d’un ministère de la Culture inculte et compatissant



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Quand les À de l’édition contemporaine I

livres et de manuscrits rares, cogérant du groupe Lagardère, président du fonds de dotation Mémoire de la créa-tion contemporaine, Pierre Leroy était au conseil d’administration de l’IMEC depuis 2007 Il connaît donc bien le lieu, les projets en cours, les défis à relever Il entend à présent poursuivre

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[PDF] Conservative Party of Canada Amended EC

[PDF] Conservative Win Would Endanger Abortion Rights - Arcc

[PDF] conservatoire - Ville de Saint

[PDF] Conservatoire à rayonnement communal de Lagny sur Marne

[PDF] Conservatoire à Rayonnement Départemental 2-4 rue

[PDF] Conservatoire à Rayonnement Départemental Place Foch

[PDF] CONSERVATOIRE À RAYONNEMENT RÉGIONAL

[PDF] Conservatoire à Rayonnement Régional 1

[PDF] Conservatoire à Rayonnement Régional 127 avenue

[PDF] CONSERVATOIRE A RAYONNEMENT REGIONAL 5 rue Franklin

Supplément menSuel

Jeudi 6 marS 2014

Paraît le premier jeudi de chaque mois

Quand les poètes s'en vont

quelques jours d'intervalle, deux de nos plus grands poètes d'expression arabe,

Ounsi el-Hajj et Joseph Harb, ont

tiré leur révérence. Pourquoi sont- ils partis avant l'heure ? Est-ce par dégoût d'un monde où la poésie est devenue " secondaire », où les poètes, au lieu d'être des guides et des visionnaires comme chez Hugo, sont désormais traités tels des " mar- ginaux

», des "

illuminés ? Est- ce parce que le Liban, célébré par

Fairouz et Magida qui ont chanté

leurs plus beaux poèmes, n'est plus que l'ombre de lui-même, défiguré par la laideur, la haine et la corrup tion ? Est-ce, tout simplement, pour rejoindre " les nuages » qui leur ont appris, selon la formule d'Ounsi el-

Hajj, "

la joie de la disparition » (farah el zawal) ? En écrivant ces mots, je ne puis m'empêcher de penser à un pas sage révélateur tiré de l'introduction de Michel Chiha à son recueil poé tique La maison des champs. Homme d'État, économiste de renom, Chiha aurait pu se passer de poésie. " Un poème survit à un empire, telle est la puis sance de l'esprit, écrivait-il pourtant. Et le souvenir des générations mortes peut ne se retrouver que dans un chant. La puissance que ce siècle met au service du laboratoire (et des armes, devrait-on ajouter il faut en mettre une part au service de la poésie. Et nous entendons par poésie tout ce qui est élévation de l'âme servie par l'har- monie du langage. Il y a des jours où, sans poésie, il n'y aurait plus de con solation ni d'espoir ; où, sans elle, la nature serait sans voix. Les gouvernements sans horizons et sans allégresse ne savent plus son bienfait.

S'ils se servaient mieux d'elle, ils auraient

moins de soucis et de plaintes. Et les vi vants ne ressembleraient pas aussi souvent aux morts.

» La poésie ne peut sans

doute pas sauver notre pays. Mais elle peut nous aider à en supporter les malheurs.

AlexAndre NAJJAR

dito

Numéro 93 - VIII

e année

Comité de rédaction

: AlexANdre NAjjAr, ChArif m

AjdAlANi, GeorGiA mAkhlouf, fArès sAssiNe,

j

Abbour douAihy, rittA bAddourA.

Coordination générale

: h iNd dArwiCh

Secrétaire de rédaction

: AlexANdre medAwAr

Correction

: yvoNNe mourANi

Contributeurs

: tArek Abi sAmrA, fifi Abou dib, Z eiNA bAssil, GérArd béjjANi, kArim bittAr, NAdA C hAoul, PhiliPPiNe de ClermANt-toNNerre, l

AmiA el sAAd, sAmir frANGié, kAtiA GhosN,

m

AZeN kerbAj, riChArd millet, sAlAh stétié,

r

Amy ZeiN.

E-mail

iNfo@lorieNtlitterAire.Com Supplément publié en partenariat avec la librairie

Antoine.

WWW. LORIENTLITTERAIRE.COM

VI. Vivre ensemble et en paix

VII. Abbas Beydoun : choisir l'illusion

VIII. Gamal Ghitany, guetteur d'éternité

III. Maylis De Kerangal : une question de coeur

IV. Ounsi el-Hajj : l'énigme de Lan

V. Le livre de chevet du Président

I l faut le dire simplement, la mission de l'IMEC, l'Institut

Mémoires de l'édition contem

poraine, est une mission essen tielle. Elle exige de la rigueur, de l'obstination, de la persévérance car il s'agit de convaincre les donateurs, de constituer les fonds, d'analyser les documents recueillis et de les classer de la manière la plus pertinente ; mais il s'agit surtout d'ouvrir les archives à la consultation, à l'interprétation et à l'échange. Il n'est donc pas question d'un lieu sombre et poussiéreux où seraient conservés des documents rares mais accessibles aux seuls connaisseurs ou nostalgiques. La volonté d'ouverture sur le monde intellectuel et sur les re cherches et réflexions les plus novatrices était inscrite dès le départ dans le cahier des charges de l'institution car, comme le souligne Albert Dichy, son directeur littéraire, " l'IMEC a été créé par des chercheurs et non par des archivistes, et cela a beaucoup déterminé la straté gie et la vision de ceux qui ont piloté ce projet à ses débuts

Nous avons été

plus attentifs aux attentes des consul tants qu'au strict respect des règles de l'archivage poursuit-il.

Car il manquait

en France ce qui existait déjà aux USA ou en Allemagne par exemple, c'est-à- dire un lieu ouvert, permettant l'accès aux documents dont ont besoin ceux qui travaillent sur la littérature, la pen sée et les arts contemporains

». Associa

tion régie par la loi de 1901, l'IMEC permet aux écrivains et à leurs héritiers de devenir membres de l'Institut ; elle les traite ainsi non en simples donateurs mais en partenaires, ce qui a contribué

à lever nombre de réticences de la part

des écrivains ou de leurs héritiers. Aussi, après un démarrage forcément difficile, parce qu'on ne confie pas ses archives

à une institution qui n'en a pas encore,

le projet a véritablement pris forme avec les éditeurs comme premiers par- tenaires et a connu un développement fulgurant. Les premiers dépôts ont eu lieu en 1989 et le soutien de Jack Lang a été déterminant pour assurer la visibi lité, la solidité et la pérennité du projet. " L'ouverture a été le mot d'ordre de l'IMEC dès le début, commente Dichy, ouverture vers les éditeurs certes, mais

également vers les autres métiers de la

chaîne du livre tels que les graphistes ou les imprimeurs. Du côté des auteurs, nous avons accueilli des écrivains, mais aussi des sociologues, des philosophes, des historiens... Nous avons en outre pratiqué l'ouverture vers différents pays et langues puisque nous avons reçu des archives en berbère, en turc et en arabe

». Dès sa création en effet,

l'IMEC a accueilli sans les classer dans une section à part, les archives d'au teurs qui avaient développé une oeuvre en langue française hors des frontières de l'hexagone : Amadou Hampaté Bâ,

Kateb Yacine, Irène Némirovsky ou

Andrée Chedid figurent ainsi parmi les

fonds mis en dépôt dès les premières années.

Mais faire don de ses archives, est-ce

une démarche facile ? Cette séparation est toujours un moment très particulier, vécu différemment selon les personnes et l'étape de leur parcours à laquelle se fait le dépôt. "

Patrice Chéreau a fait un

dépôt majeur il y a quelques années, à un moment où il avait besoin de pas ser à autre chose, raconte Dichy. Il a vécu ce geste comme une libération.

Andrée Chedid avait un désir profond

de dépouillement : elle donnait ce à quoi elle tenait le plus et elle le donnait avec une sorte de joie ; sa démarche s'apparentait à quelque chose de quasi mystique. Adonis le fait de façon plus méthodique, plus détachée. Peut-être y a t-il dans sa motivation des raisons qui ont à voir avec la sécurité : il veut préserver ses documents des risques liés

à la guerre et à tous les soubresauts du

présent

Une fois la préservation des archives

assurée, il importe de les mettre en partage, principalement avec leur pays d'origine, ce qui passe par la numé risation mais aussi par le partenariat avec des institutions locales : le fonds

Georges Schéhadé a ainsi donné lieu

en 1999 à une grande exposition de l'IMEC au musée Sursock et à la publi cation des oeuvres complètes de l'auteur aux éditions an-Nahar.

Pour Nathalie Léger, sa directrice géné

rale, le succès de l'IMEC repose sur trois dimensions essentielles : la confiance des déposants, la rigueur dans le choix des fonds et la passion des chercheurs. C'est tout cela qui lui a permis de devenir l'une des institutions de conservation et d'archives contemporaines les plus ré putées d'Europe. Sous la présidence de

Pierre Leroy qui a succédé à Jack Lang

en février 2013, la mission de l'Institut va se poursuivre et se développer, avec le soutien de l'État et de la région Basse-Normandie. Grand collectionneur de livres et de manuscrits rares, cogérant du groupe Lagardère, président du fonds de dotation Mémoire de la créa tion contemporaine, Pierre Leroy était au conseil d'administration de l'IMEC depuis 2007. Il connaît donc bien le lieu, les projets en cours, les défis à relever. Il entend à présent poursuivre l'enrichissement des collections, veiller

à la pérennisation des fonds, et assurer

le rayonnement de l'abbaye d'Ardenne.

Expositions et rencontres littéraires

permettant de faire connaître au public certains aspects méconnus d'une oeuvre ou d'un auteur, spectacles, résidences d'écrivains ou d'artistes sont quelques unes des activités qui, à côté de l'archi vage, font de l'IMEC un vrai centre culturel ouvert à tous.

Ouverture, c'est ce mot-là qui revient

dans toutes les bouches. La visite des lieux, de toute beauté, empreints de sé rénité et inscrits dans le paysage depuis si longtemps, communique une sensa tion de justesse et de ferveur. L'abbaye, solidement ancrée dans son sol nor- mand et magnifiquement transformée en lieu de travail et de consultation, par la grâce d'une réalisation architecturale

à la fois respectueuse du passé et d'une

modernité joyeusement assumée, reste ouverte sur les champs, sur la lumière des cieux changeants, et sur son envi ronnement. Mais l'ouverture tient aussi aux installations qui lui permettent d'accueillir des expositions, des projec tions, des concerts, ou des résidences.

Ou aux nombreux partenariats avec des

organismes de recherche, des universi tés, des musées, des éditeurs. "

L'IMEC

n'est pas un monument qu'on visite ni un capital qu'on enfouit

», affirme

Nathalie Léger. Ses paroles font écho à

celles d'Albert Dichy : " L'IMEC n'est pas un panthéon. Ce n'est pas un lieu sacralisé mais un lieu qui met en réseau et en activité

On se prend à rêver d'un IMEC liba

nais. On aurait tant de besoin de cette mémoire vivante et de cette ouverture sur la recherche et l'échange.GeorGiA MAKHLOUF L'IMEC, mémoire vivantede l'édition contemporaine L'Institut Mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) rassemble, préserve et m et en valeur des fonds d'archives et d'études consacrés aux principales maisons d'éd

ition, aux revues et aux différents acteurs de la vie du livre et de la création contemporaine.Visite guidée...Roman

PAS DE COUTEAUX DANS LES CUISINES DE

CETTE VILLE (LA SAKAKINE FI MATABEKH HA

ZIHI AL-MADINA)

de Khaled Khalifa,

Dar el-Adab,

2013, 255 p.

K haled Khalifa, l'écrivain syrien né dans un vil lage au Nord d'Alep, est d'abord scénariste, il écrit pour les télévisions arabes des feuille tons à succès. Son passage au roman s'en est forcément ressenti surtout au niveau du découpage séquentiel. Ainsi son nouveau roman

Pas de couteaux

dans les cuisines de cette ville qui a reçu le prix Naguib Mahfouz et vient d'être nominé dans la liste courte du

Booker arabe, tout comme le précé

dent, Éloge de la haine (paru en fran- çais chez Actes Sud après avoir été in terdit en Syrie), fait défiler une suite ininterrompue de scènes intenses ra contant avec beaucoup de volubilité un temps, une ville et une famille.

Le temps est celui du dictateur puisque

la Syrie sombre comme une fatalité et pour de longues décades sous le règne du Président (entendons Hafez el-As sad dont le nom n'a pas besoin d'être cité), omniprésent avec ses services de renseignement tentaculaires et son système d'inféodation sanguinaire, et avec lequel Khalifa essaie de des siner les contours d'une figure litté raire bien familière dans la littérature d'Amérique latine. Cette chape grise, cette violence dans tous les interstices du tissu social, métamorphose len tement la vie des hommes et semble décider d'abord de la dégénérescence d'une ville et de la guerre civile lar- vée qui ne disait pas encore son nom, entre baassistes et islamistes.

Alep aux mille traditions, de la riche

cuisine à la musique, en passant par une aristocratie nostalgique et des mi crocosmes sociaux qui s'enrichissent d'apports de tous genres dans cette ville ouverte où la coexistence isla mo-chrétienne est bien ancrée dans l'histoire. Mais où la peur et la haine minent le quotidien pour définir l'en fer d'une famille que le roman de Khaled Khalifa accompagne.En bon roman familial, Pas de cou- teaux dans les cuisines de cette ville commence par un non dit : la fuite du père aux Amériques en compagnie d'une blonde de passage, laissant deux garçons et deux filles en face à face avec une mère qui ne peut pas oublier sa noble extraction et son père grand fonctionnaire des voies ferrées et qui s'est laissé lentement et élégamment mourir sous les rails d'un train de mar- chandises. Et c'est cette mort lente, re nouvelée qui devient le sort de cette fa mille subissant l'ombre pesante d'une mère vi vant comme une bles sure indigne la maladie de sa fille et l'homo sexualité de son frère.

L'oncle transmettra sa

marginalité sexuelle et son amour de la mu sique à son neveu qui tentera l'aventure isla miste jihadiste en Irak tout en regardant sa soeur Sawsan s'identifier à l'oppresseur quand elle s'est embrigadée dans les rangs de la milice du Baas au pouvoir après avoir été une manière de pros tituée pour finir à l'image de sa mère qu'elle disait toujours haïr.

La narration menée par le frère qui

ne s'inscrit presque jamais dans le fil de l'histoire, est un peu trop sac- cadée et fait donc défiler des person nages parfois obscurs mais avançant toujours sur une corde raide les me nant presque tous vers une fin inéluc table comme celle de Rachid, l'autre frère qui a vite épuisé toutes les pos sibilités de survie dans une Syrie carcérale et sur lequel se clôt le roman : " J'ouvris la porte de notre chambre et je fus pris de vertige. Le corps de Rachid pendait du plafond comme une lampe salie par les restes des mouches.

Nizar le vit à travers

la porte entrouverte et fit entendre sa plainte. Il savait qu'il allait mourir mais il attendit l'aube pour s'assurer que le compagnon de sa vie a bien serré le noeud cou lant, pour ne laisser aucun doute que la mort est aussi simple qu'un verre d'eau versé sur une terre sèche

JAbbour DOUAIHY

La descente aux enfers d'une famille alépine

© Marwan Bu Haidar

La mort est aussi simple qu'un verre d'eau versé sur une terre sèche. »

Manuscrit du scénario de

India song

de Marguerite Duras. © Fonds Marguerite Duras / Archives IMEC

Manuscrit de la nouvelle

Dernier soliloque

d'Andrée Chedid. © Fonds Andrée Chedid / Archives IMEC © Christophe Daguet© Christophe Daguet© Christophe Daguet Le XV e

Sommet de la

Francophonie

Le XV e

Sommet de la Francophonie,

qui réunit les chefs des États franco phones se tiendra à Dakar, au Séné gal, les 28 et 29 novembre 2014. Il aura pour thème : " Femmes et Jeunes en Francophonie : vecteurs de paix, acteurs de développement

Le mois de la Francophonie au

Liban

Comme chaque

année, le Liban organise au mois de mars "

Le mois de

la francophonie et propose, en collaboration avec l'OIF, l'Institut français et plusieurs ambassades de pays francophones, une série de manifestations aux quatre coins du pays, notamment le 20 mars, proclamé "

Journée

internationale de la francophonie

Le programme complet est

disponible sur le site : www. institutfrancais-liban.com C omme tous les premiers sa medis du mois, la rue des

Jésuites à Monnot se pré

pare à un banquet d'une naquotesdbs_dbs14.pdfusesText_20