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Biomasse et transition énergétique - Prospective 2100
Biomasse et transition énergétique le forum des laBos Versailles, 21 juin 2013 membre fondateur de Centre de Versailles- grignon route de saint-Cyr - rd10
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En 2013, cinq écoles de musiques (une par département) Les Labos Lobe par Mus’Azik 10 000 dépliants et affiches de sensibilisation
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novembre 2013, l’évaluation des nouveau-nés des labos de l’Unité de biologie médicale où 539 employés, affiches d’identification des locaux et
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Sep 18, 2013 · ca ro c o mp 2013 j o IN t S cIeNt IFIc m eet IN G SeptemBer 18 – 21, 2013 s m oNtral, Qc welcome to CARO COMP 2013 ii Objectives the Caro Comp 2013 Joint Scientific meeting will highlight Innovations in Imaging in radiation oncology and medical physics attendees will join colleagues and leaders in radiation oncology, medical physics and medical
Échos du CE TRT-France - CFDT THALES
dilués dans 4 labos et le fonctionnement au quotidien restent des questions posées La réorganisation réussira si elle est faite avec les salariés À défaut de la comprendre, de l accepter et de la partager, les salariés la rejetteront Les missions de chaque laboratoire ont été présentées en détail
Bulletin de l’AA-ESIEE
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Journal interne • CHU Sainte-Justine
Vol. 38, no 5 • Mai/Juin 2016
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dans cette édition :La signalisation au CHUSJ :
étage, bloc, chambre, local,
comment s'y retrouver?... p. 4Perfo + : les indicateurs de performance... p. 10
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et le lauréat du Prix CMDP 2016... p. 16Nouvel Exécutif du CMDP ... p. 16
Les du Gala reconnaissance et du Gala du CIIPages 7-9 et 14-15
L'Interblocs est publié neuf fois par année par le Bureau de la direction générale, Communications et affaires publiques du CHU Sainte-Justine.Disponible sur notre site :
chusj.orgÉditrice :
Par Isabelle Demers, présidente-directrice générale adjointe Coordination : Patsy Coulanges, Josée-Lina AlepinGraphisme :
Norman Hogue
Photographie :
Stéphane Dedelis, Véronique Lavoie,
Alexandre Marchand et Charline Provos
tImpression :
Imprimerie du CHU Sainte-Justine
Vous pouvez joindre l'équipe d'Interblocs par courriel à : interblocs.hsj@ssss.gouv.qc.ca ou par téléphone au 514 345-4663Prochaine parution :
septembre 2016Reproduction permise avec mention de la source
DANS CE NUMÉRO
Interblocs
| Mars-Juin 2016 2 Le dépistage de la surdité chez les nouveau-nés : un succès partagé! 3Mot de la PDGA
3J'aimerais vous parler de...
4Grandir en santé
Signalisation - Étage, bloc, chambre, local : comment s'y retrouver ? 6Centre de recherche
Étude de l'immunité des mères et des enfants infectés par le VIH et l'hépatite C 6Des études à découvrir
7 Le Gala reconnaissance : Félicitations à tous les lauréats et candidats ! 10Perfo+ : Indicateurs de performance
12Centre de promotion de la santé
De nouveaux outils pour promouvoir l'allaitement maternel au CHUSJ 13Des pratiques exemplaires et dignes de mention
14 7 eGala du CII
16Sous les projecteurs
- Fellowship - Le Prix annuel du CMDP décerné au Dr Stephan Waelti 16 Le nouvel Exécutif du Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens 17J'aimerais vous dire
18 CRME Améliorer le bien être de nos jeunes et leur famille grâce à la Fondation Martin Matte 19Fondation
Plus de 5,6 M$ remis dans la grande région de Montréal pour adapter les soins aux besoins des enfants! 20Enseignement
Nouvelle parution aux Éditions du CHU Sainte-JustineLe dépistage de la surdité
chez les nouveau-nés : un succès partagé!Par Chantale Tremblay, audiologiste, pour
les équipes du Service d'audiologie et du dépistage de la surdité La participation du CHU Sainte-Justine à la phase pilote du programme provincial de dépistage de la surdité chez les nouveau-nés (PQDSN) a per mis de faire la preuve que les centres hospitaliers offrant des soins spécialisés ont la capacité de bien implanter le programme dans leurs unités de soins et d'atteindre les objectifs attendus. Ceci ouvre la voie à une implantation prochaine dans d'autres centres hospitaliers universitaires. Depuis le début des activités de dépistage en novembre 2013, l'évaluation des nouveau-nés sence d'une surdité permanente chez 36 d'entre des services de réadaptation. Sans le dépistage, que vers l'âge de 2 ans. pour remercier l'ensemble des intervenants des plateaux Mère-enfant et Néonatalogie qui contribuent au programme québécois de dépistage de la surdité chez les nouveau-nés. Sans leur précieuse collaboration, le CHU Sainte- Justine ne pourrait dresser un bilan aussi positif de son apport au programme. Leur collaboration au programme québécois de dépistage de la surdité chez les nouveau-nés a permis de faire une différence dans la vie de plusieurs familles. Dépistage auditif fait par la mesure des émissions oto-acoustiques 3La modernisation de l'existant
va de l'avantPar Isabelle Demers,
présidente-directrice générale adjointe du CHU Sainte-Justine ...des labos de l'Unité de biologie médicale où 539 employés, coiffés d'une douzaine de titres d'emplois différents,sont impliqués de diverses façons, dans la trajectoire du patient, de son arrivée à son congé de l'hôpital.
C'est en réalisant une multitude d'analyses d'échantillons, chaque année, que ces techniciens spécialisés apportent
leur expertise en fournissant aux équipes de soins des informations essentielles à la prévention, au dépistage, au
diagnostic, au traitement des maladies et à l'évaluation de l'état de santé des patients. Ils transmettent également
leur savoir-faire aux utilisateurs des laboratoires en assurant un suivi dans l'interprétation, l'évaluation et l'utilisa
tion des résultats d'analyse.Ces équipes regroupent sept champs d'activité : biochimie, hématologie, banque de sang, microbiologie, pathologie,
génétique et prélèvement d'échantillons. Elles contribuent à l'excellence des soins, de la recherche, de l'innovation
technologique, en plus d'offrir des services en sous-traitance à d'autres laboratoires d'hôpitaux.
J'aimerais saluer l'importance, mais également la contribution de toutes ces personnes qui s'avèrent essentielles à
l'offre de services du CHU Sainte-Justine, aux mères et aux enfants du Québec.Interblocs | Mai-Juin 2016
Par Isabelle Demers, présidente-directrice générale adjointe du CHU Sainte-JustineMot de la PGDA
J'aimerais vous parler...
Parmi les principaux dossiers qui
retiendront prochainement notre attention se place la modernisation des espaces existants. En effet, alors que les nouveaux bâtiments seront bientôt prêts, libérant ainsi des espaces, divers scénarios d'aménagement à court, moyen et long termes, seront proposés et validés au cours des prochaines semaines.Découlant des principes directeurs
de la modernisation, adoptés dans le cadre de ce vaste projet organi sationnel, des chantiers prioritaires-vraient être réalisés au cours de l'année suivant le déménagement. Parmi les est assuré par Grandir en santé, on re-trouve l'aménagement de la clinique d'orthopédie au 1
erétage du bloc 9, la
relocalisation de la Banque de sang au 3 eétage du bloc 3, l'aménagement des
chambres de cohabitation du secteur mère-enfant du 4 eétage et l'installa
tion du Centre du savoir.Un autre projet d'envergure est celui
de la modernisation, de la mise aux normes et de l'agrandissement de la pharmacie, pour lequel une rechercheÀ plus long terme, les déplacements en cascade des secteurs d'activités de l'effet domino, permettront de regrouper l'ensemble des cliniques externes pour former un grand centre ambulatoire destiné à faciliter l'accès des patients et des familles aux services offerts en externe.
À terme, l'intégration de ces espaces dans
un tout nouvel environnement favorisera non seulement une organisation optimale des lieux, mais également des activités de soins et services. Cela fait partie intégrante de la transformation de notre CHU dans une vision d'intégration de l'ensemble de la modernisation.Signalisation
Parce que la signalisation sert à informer, guider et faciliter l'orientation et les déplacements dans l'espace.Par Martin Massé, directeur adjoint, et Véronique Simoneau, conseillère en communication, Direction Grandir en santé
Grandir en santé
Interblocs | Mai-Juin 2016
En quoi consiste une bonne signalisation?
Elle fournit la bonne information, au bon moment et dans le bon format pour faciliter la prise de décision des usagers tout au
Charte de couleurs pour chaque bloc
Près des aires publiques centrales et des ascenseursChambres 4.11.25 à 4.11.44
2291017
78
9 12 6 4 12 3 5 5A 11
Entrée principale
Fini la signalisation maison
signalisation dans le bâtiment existant sera exercéeConsultez le cahier des normes disponible dans
l'Intranet à la section : outils Bureautique 4Deux " méga blocs » !
Nous devons dorénavant faire référence au bloc 11 lorsque nous parlons du Bâtiment des unités spécialisées (BUS), et au bloc 17pour le nouveau Centre de recherche. De superficie impressionnante, ces deux blocs s'ajoutent aux douze autres que compte le CHU
Sainte-Justine. Passez le mot à vos collègues!Étage, bloc, chambre, local
Prochaines étapes pour la signalisation aux blocs 11 et 17 Continuer la mise en plan et le développement de la signalisation• Recueillir les commentaires et effectuer les correctifs nécessaires (sur les directionnels)
À savoir
La lecture de la signalisation est dépendante de l'utilisateur : des indications verbales sont par fois nécessaires pour aider l'usager à s'orienter.Une période d'adaptation associée au change
ment est à prévoir lors d'un ajout de signalisa tion ou lors de l'ouverture de nouveaux locaux, secteurs ou bâtiments. N'hésitez pas à proposer votre aide aux visiteurs et à les guider dans leurs déplacements!Des questions?
Communiquez avec l'équipe de
Grandir en santé
au poste 7752, ou à l'adresse grandirensante.hsj@ssss.gouv.qc.ca 5Interblocs | Mai-Juin 2016
comment s'y retrouver dans le CHU ?Gestionnaire de projets
Johanne Laliberté
Étude de l'immunité des mères et des enfants infectés par le VIH et l'hépatite C Par Maude Hoffmann, technicienne en communication, Direction de la recherche Par Maude Hoffmann, technicienne en communication, Direction de la recherche Bientôt un outil pour prédire les déforma tions du dosLes travaux récents de
Stefan Parent
, MD, PhD et de son équipe, nouvellement primés par la Scoliosis Research Society, permettront bientôt de créer un outil au moyen duquel les médecins pourront éva luer si la croissance passée et à venir de la colonne d'un enfant est normale ou pathologique. Ces don sance dont se servent les pédiatres et les habiliter à dépister un développement anormal. Par ailleurs, après une intervention destinée à corriger une déformation de la colonne avec ou sans fusion des vertèbres, les cliniciens seront à même de valider si la colonne poursuit une croissance normale ou s'ils devraient envisager une autre intervention. Une commotion cérébrale en bas âge changerait la relation parent-enfantUne étude de
Miriam Beauchamp
, PhD, publiée dans leJournal of
Neuropsychology
, révèle les effets indésirables d'une commotion cérébrale sur la qualité des relations interpersonnelles parent- enfant. Effectivement, le jeune cerveau est particulièrement vulnérable aux chocs en raison de sa boîte crânienne mince et encore malléable. Dans les mois suivants un traumatisme, jeune enfant est la dégradation de sa relation avec ses parents. Sachant que de bonnes relations parent-enfant en bas âge sont synonymes de développement de meilleures habiletés sociales plus tard, la chercheuse souligne l'importance pour les parents de rester à l'affût des changements dans le comportement de leur enfant dans les semaines qui suivent le traumatisme, de manière à pouvoir s'ajuster à son état durant cette période et d'en parler à son médecin de famille ou à un neuropsychologue,si les symptômes persistent.La Fondation canadienne pour l'innovation vient d'annoncer un octroi majeur dans de nouvelles infrastructures de recherche. Grâce à ce soutien, le pro-
fesseur Hugo Soudeyns approfondira l'étude des infections virales chez la mère et l'enfant, plus particulièrement pour comprendre comment le VIH et le virus de l'hépatite C interagissent avec le système immunitaire . Il tentera de répondre à des questions comme : "La réponse immunitaire de la femme
enceinte peut-elle prévenir la transmission à l'enfant lors de la grossesse ou de l'accouchement ? Comment le système immunitaire se développe-t-il chez l'enfant atteint ? Et comment la réponse immunitaire se rétablit-elle chez les enfants ayant souffert de leucémie, pour qui les infections virales sont en gé Ces travaux font partie de l'étude pancanadienne EPIC 4 , qui examine le deve nir d'enfants infectés par le VIH et ayant été traités avec de puissantes com binaisons de médicaments antiviraux. "Nous avons déjà montré que certains
de ces enfants traités précocement peuvent monter des réponses immuni taires contre le virus, qui contribuent peut-être à maintenir l'infection sous Il nous reste à savoir quelles sont les caractéristiques précises qui rendent 4 est codirigée par ce dernier et la Dre Fatima Kakkar au CHU Sainte-Justine, en collaboration avec le Children's Hospital of Eastern Ontario et le Sick Children. Les travaux du groupe sont menés sous l'égide de l'International AIDS Society, dans le cadre de sa stratégie internationale de recherche sur la guérison du VIH-sida, menée de concert sur cinq continents.Centre de recherche
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