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Philosophie :
Explication de texte
Marcel Conche, Le sens de la philosophie, 1999
Dans cet extrait de Le sens de la philosophie, publié en 1999, marcel conche se penche sur lesujet de la vérité face à la sagesse en philosophie, sujet lui étant lié par l'étymologie même du mot
puisque le terme de " philosophie » est composé de philo -du grec philein , aimer, avec uneconnotaition d'amiitié- et de -sophie -du grec sophia, la sagesse, dans le sens de la connaissance et du
savoir-. A travers cet extrait un problème se pose: celui de savoir quel but le philosophe cherche-t-il à
attteindre grâce à ses rélflexions? Il apparait que l'auteur n'est pas en accord avec la citaition du
dicitionnaire Chantraine, selon lui le philosophe n'est pas tant " l'ami de la sagesse »-qui porte ici un
sens de savoir, de connaissances- que celui de " la vérité » -qui, en philosophie, est un concept
complexe représentant le fondement de toute chose, et étant donc unique. Elle est ainsi biendisitincte d'une quelconque opinion liée à une représentaition personnelle, mulitiple par essence-.
Dans cet extrait, quatre parities majeures se disitinguent et semblent suivre le rythme des paragraphes, ainsi dans le premier paragraphe (de la ligne 1 à 3) M. Conche expose d'abord ladéifiniition donnée par le dicitionnaire Chanteraine et dénonce l'ambigüité d'une telle déifiniition de la
philosophie. Quel objecitif du philosophe pourrait donc le caractériser de façon moins équivoque ?
Ensuite, dans le second paragraphe (de la ligne 4 à10) il déifini la visée de la philosophie ainsi que les
diffférents moyens existant pour tenter d'accéder à cettte visée, qui n'est autre que la vérité sur
laquelle médite le philosophe aifin de se forger sa noition du réel qui l'entoure, noition diffférant
cependant d'un Homme à un autre. Mais alors qu'est-ce que la vérité recherchée par le philosophe ?
Puis, dans le dernier paragraphe (de la ligne 11 à 16) le philosophe argumente quant à la vérité
absolue, il y expose le fait que tous les philosophes ne sont pas d'accord quant à la possibilité de
l'attteindre mais que tous tendent à y accéder de façon " enitière », bien qu'il fût compliqué de
découvrir cettte vérité qui reste toujours incertaine pour le philosophe. Quelle vision le philosophe se
doit-il d'adopter face à la réalité qui s'offfre à lui ? Enifin, la ifin du dernier paragraphe (de la ligne 16 à
19) permet à M. Conche de conclure en abordant le fait que le philosophe se doit de faire circuler la
vérité sans la modiifier, en la prenant dans son intégrité, sans que cettte vérité soit néanmoins
déclarée comme abouitie.PARTIE 1 selon l'auteur une déifiniition ambiguë de la philosophie est donnée par les
dicitionnaires. iEn efffet, la déifiniition étymologique du terme " philosophie » laisse entendre que lephilosophe est ami de la " sagesse ». Or la sagesse correspond ici à la connaissance, au savoir
associé généralement aux sages, sagesse que le sage possède et ne cherche plus à acquérir
ou à approfondir, il aime le savoir qui lui apparitient déjà.La philosophe quand à lui est plus généraliste, il sait qu'il n'est pas omnipotent et ne se lflattte
donc pas d'un savoir qu'il possèderait, il accepte son ignorance et aime toute la sagesse (connaissance), et d'autant plus celle qui ne lui apparitient pas encore.Exemple : Le premier homme à se faire appeler " philosophe », Pythagore, a uitilisé ce terme
car celui de sage lui déplaisait. En efffet il pensait que la possession de la connaissance était
un privilège divin, auquel les Hommes ne pouvaient accéder, le fait de se faire appeler sage aurait dans ce cas été arrogant. iDans les cas ci-dessus du sage et du philosophe les deux aiment efffecitivement la sagesse, bien qu'elle ne soit pas la même chez les deux, la déifiniition du dicitionnaire est donc bien ambigue car " celui qui aime la sagesse » englobe ces deux types de personnages, aux démarches pourtant bien disitinctes puisque le sage se contente de " camper » sur ses acquis sans tenter d'attteindre un idéal supérieur, ce qui n'est pas le cas du philosophe.PARTIE 2 L'objecitif du philosophe est de chercher à décrire le réel de la façon la plus
proche de la vérité. iLe philosophe est pour M. Conche " recherche, tension vers » et ne connait alors aucunterme, dans le sens d'une ifinalité qui serait liée à un accomplissement, un abouitissement.
Dans ce sens, celui qui se contente de ses connaissances, comme le sage, n'est en aucun cas philosophe car il se contente de sa propre sagesse et n'a donc pas l'esprit ouvert à la découverte, démarche essenitielle au philosophe.iM. Conche parle donc de la méditaition du philosophe quant à l'idée de vérité. Il y voit
l'objecitif de " tenir un discours vrai sur le réel dans son ensemble », c'est-à-dire un discours
qui soit le plus proche possible de la réalité que se fait le philosophe de ce réel. Cela implique
l'intervenition d'un monde sensible et explique le fait qu'il existe presque autant de réels que d'Hommes qui s'en déifinissent un pluralité de réels Ainsi l'auteur rapproche plusieurs philosophes aux pensées diverses aifin de les disitinguer, enefffet le réel du stoïcien Chrysippe n'est pas celui du scepitique Pyrrhon ni celui d'Aristote.
Exemples : -scepiticisme (chacun possèderai sa propre vérité) -dogmaitisme (l'intuiition serait guide vers la réalité absolue)i La noition de réel est, comme il le dit lui-même " éclatée » et c'est cela qui explique que la
science du réel, qui est une branche de la sagesse (savoir) est mulitiple car liée à des percepitions et donc impossible à déterminer de manière ifinie.Cependant la noition de science du réel doit être associée à un raisonnement personnel aifin
d'être raitionnalisée, en efffet sans ce raisonnement excluant les convenances on n'attteint pas
la vérité qui reste cachée sous l'ombre du réel.8Conche pense qu'il est nécessaire de penser indépendamment des croyances collecitives
inhérentes à son époque aifin de déceler dans le réel une part de vérité, pour cela il
admire Montaigne, qui selon lui a réussi à faire cela pour mieux raisonner quand au réel l'entourant.Au ifinal si les philosophes dictent leur vision du réel c'est dans l'objecitif de tenir un discours
véridique ayant un impact sur l'avancée vers la vérité absolue, aifin de chercher à toujours
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