[PDF] Philosophie : Explication de texte - Psycha Analyse



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Oral de philosophie- Explication du texte de Camus

Oral de philosophie- Explication du texte de Camus Je ne puis vivre personnellement sans mon art Mais je n’ai jamais place cet art au-dessus de tout S’il m’est necessaire au contraire, c’est qu’il ne se separe de personne et me permet de vivre, tel que je suis, au niveau de tous L’art n’est pas a mes yeux une rejouissance



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Philosophie : Explication de texte - Psycha Analyse

Explication de texte Marcel Conche, Le sens de la philosophie, 1999 Dans cet extrait de Le sens de la philosophie, publié en 1999, marcel conche se penche sur le sujet de la vérité face à la sagesse en philosophie, sujet lui étant lié par l’étymologie même du mot puisque le terme de « philosophie » est composé de philo –du grec



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CAPES EXTERNE PHILOSOPHIE 12 14/20 EXPLICATION DE TEXTE A000570164 Nombre de pages Concours section Epreuve matière NO Anonymat Epreuve CAPES EXTERNE PHILOSOPHIE 12 14/20 Session EXPLICATION DE TEXTE A000570164 Matière Nombre de pages • Remp/ir soigneusement, sur CHAQUE feuille officie/le, la zone d'identification en MAJUSCULES



Corrigé du Bac Blanc TES Explication de texte : Rousseau

Explication de texte : Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes Quelques remarques préalables : exte (ce qu’ Pour expliquer vraiment le t on attend de vous), il faut des PARAGRAPHES portant sur les différentes sous-parties du texte, qui auront été distinguées dans un plan



911 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT

Expliquer le texte suivant : [Texte, auteur, titre et date ou époque de composition ou de publication de l’œuvre] La connaissance de la doctrine de l’auteur n’est pas requise Il faut et il suffit que l’explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question



LE COMMENTAIRE DE TEXTE PHILOSOPHIQUE

méthodique d’explication du texte et non sur un exposé d’histoire de la philosophie ; à moins de savoir exactement où l’extrait se situe dans l’œuvre, qui, comme vous pouvez le remarquer, n’est pas indiquée Chaque texte ne porte, en général, aucun titre qui l’introduirait ou en préciserait l’objet



Méthodologie du commentaire de texte

Méthodologie du commentaire de texte : Contrairement à la méthode de la dissertation, il ne s’agit pas ici de défendre votre propre thèse et la direction que vous souhaitez lui donner mais celle de quelqu’un d’autre Vous recevez un extrait de texte d’un philosophe qui expose son propre raisonnement philosophique



Le Bac Philosophie - e-monsite

a rédaction d’une dissertation et d’une explication de texte philosophiques n’est pas un acte de sorcellerie Le respect d’un certain nombre de règles de la méthode, ajouté aux connaissances acquises durant l’année, devrait vous assurer un minimum (pour les moins bons) ou un maximum (pour les meilleurs) de points

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Philosophie : Explication de texte - Psycha Analyse

Philosophie :

Explication de texte

Marcel Conche, Le sens de la philosophie, 1999

Dans cet extrait de Le sens de la philosophie, publié en 1999, marcel conche se penche sur le

sujet de la vérité face à la sagesse en philosophie, sujet lui étant lié par l'étymologie même du mot

puisque le terme de " philosophie » est composé de philo -du grec philein , aimer, avec une

connotaition d'amiitié- et de -sophie -du grec sophia, la sagesse, dans le sens de la connaissance et du

savoir-. A travers cet extrait un problème se pose: celui de savoir quel but le philosophe cherche-t-il à

attteindre grâce à ses rélflexions? Il apparait que l'auteur n'est pas en accord avec la citaition du

dicitionnaire Chantraine, selon lui le philosophe n'est pas tant " l'ami de la sagesse »-qui porte ici un

sens de savoir, de connaissances- que celui de " la vérité » -qui, en philosophie, est un concept

complexe représentant le fondement de toute chose, et étant donc unique. Elle est ainsi bien

disitincte d'une quelconque opinion liée à une représentaition personnelle, mulitiple par essence-.

Dans cet extrait, quatre parities majeures se disitinguent et semblent suivre le rythme des paragraphes, ainsi dans le premier paragraphe (de la ligne 1 à 3) M. Conche expose d'abord la

déifiniition donnée par le dicitionnaire Chanteraine et dénonce l'ambigüité d'une telle déifiniition de la

philosophie. Quel objecitif du philosophe pourrait donc le caractériser de façon moins équivoque ?

Ensuite, dans le second paragraphe (de la ligne 4 à10) il déifini la visée de la philosophie ainsi que les

diffférents moyens existant pour tenter d'accéder à cettte visée, qui n'est autre que la vérité sur

laquelle médite le philosophe aifin de se forger sa noition du réel qui l'entoure, noition diffférant

cependant d'un Homme à un autre. Mais alors qu'est-ce que la vérité recherchée par le philosophe ?

Puis, dans le dernier paragraphe (de la ligne 11 à 16) le philosophe argumente quant à la vérité

absolue, il y expose le fait que tous les philosophes ne sont pas d'accord quant à la possibilité de

l'attteindre mais que tous tendent à y accéder de façon " enitière », bien qu'il fût compliqué de

découvrir cettte vérité qui reste toujours incertaine pour le philosophe. Quelle vision le philosophe se

doit-il d'adopter face à la réalité qui s'offfre à lui ? Enifin, la ifin du dernier paragraphe (de la ligne 16 à

19) permet à M. Conche de conclure en abordant le fait que le philosophe se doit de faire circuler la

vérité sans la modiifier, en la prenant dans son intégrité, sans que cettte vérité soit néanmoins

déclarée comme abouitie.

PARTIE 1  selon l'auteur une déifiniition ambiguë de la philosophie est donnée par les

dicitionnaires. iEn efffet, la déifiniition étymologique du terme " philosophie » laisse entendre que le

philosophe est ami de la " sagesse ». Or la sagesse correspond ici à la connaissance, au savoir

associé généralement aux sages, sagesse que le sage possède et ne cherche plus à acquérir

ou à approfondir, il aime le savoir qui lui apparitient déjà.

La philosophe quand à lui est plus généraliste, il sait qu'il n'est pas omnipotent et ne se lflattte

donc pas d'un savoir qu'il possèderait, il accepte son ignorance et aime toute la sagesse (connaissance), et d'autant plus celle qui ne lui apparitient pas encore.

Exemple : Le premier homme à se faire appeler " philosophe », Pythagore, a uitilisé ce terme

car celui de sage lui déplaisait. En efffet il pensait que la possession de la connaissance était

un privilège divin, auquel les Hommes ne pouvaient accéder, le fait de se faire appeler sage aurait dans ce cas été arrogant. iDans les cas ci-dessus du sage et du philosophe les deux aiment efffecitivement la sagesse, bien qu'elle ne soit pas la même chez les deux, la déifiniition du dicitionnaire est donc bien ambigue car " celui qui aime la sagesse » englobe ces deux types de personnages, aux démarches pourtant bien disitinctes puisque le sage se contente de " camper » sur ses acquis sans tenter d'attteindre un idéal supérieur, ce qui n'est pas le cas du philosophe.

PARTIE 2  L'objecitif du philosophe est de chercher à décrire le réel de la façon la plus

proche de la vérité. iLe philosophe est pour M. Conche " recherche, tension vers » et ne connait alors aucun

terme, dans le sens d'une ifinalité qui serait liée à un accomplissement, un abouitissement.

Dans ce sens, celui qui se contente de ses connaissances, comme le sage, n'est en aucun cas philosophe car il se contente de sa propre sagesse et n'a donc pas l'esprit ouvert à la découverte, démarche essenitielle au philosophe.

iM. Conche parle donc de la méditaition du philosophe quant à l'idée de vérité. Il y voit

l'objecitif de " tenir un discours vrai sur le réel dans son ensemble », c'est-à-dire un discours

qui soit le plus proche possible de la réalité que se fait le philosophe de ce réel. Cela implique

l'intervenition d'un monde sensible et explique le fait qu'il existe presque autant de réels que d'Hommes qui s'en déifinissent un  pluralité de réels Ainsi l'auteur rapproche plusieurs philosophes aux pensées diverses aifin de les disitinguer, en

efffet le réel du stoïcien Chrysippe n'est pas celui du scepitique Pyrrhon ni celui d'Aristote.

Exemples : -scepiticisme (chacun possèderai sa propre vérité) -dogmaitisme (l'intuiition serait guide vers la réalité absolue)

i La noition de réel est, comme il le dit lui-même " éclatée » et c'est cela qui explique que la

science du réel, qui est une branche de la sagesse (savoir) est mulitiple car liée à des percepitions et donc impossible à déterminer de manière ifinie.

Cependant la noition de science du réel doit être associée à un raisonnement personnel aifin

d'être raitionnalisée, en efffet sans ce raisonnement excluant les convenances on n'attteint pas

la vérité qui reste cachée sous l'ombre du réel.

8Conche pense qu'il est nécessaire de penser indépendamment des croyances collecitives

inhérentes à son époque aifin de déceler dans le réel une part de vérité, pour cela il

admire Montaigne, qui selon lui a réussi à faire cela pour mieux raisonner quand au réel l'entourant.

Au ifinal si les philosophes dictent leur vision du réel c'est dans l'objecitif de tenir un discours

véridique ayant un impact sur l'avancée vers la vérité absolue, aifin de chercher à toujours

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