Le Poème de la Création - Église catholique en France
Au commencement, Dieu crée le ciel et la terre La terre est vide et obscure, l’Esprit de Dieu plane sur les eaux Dieu dit : « Que la lumière soit » Et la lumière apparait Il l’appelle jour et il la sépare de la nuit Du rouge, du bleu, du jaune, du vert, toutes sortes de jolies couleurs viennent illuminer l’obscurité
POEMES ET CREATION POETIQUE
La mesure du vers La longueur d’un vers se mesure par le nombre de syllabes (ou pieds) qui le composent Toutes les syllabes se prononcent et sont comptabilisées sauf pour le cas de la syllabe terminée par « e » : • quand elle est placée à la fin d’un vers, elle n’est pas comptée, c’est donc une
La création du monde
mélange du chaud et du froid Étendu sur les zones, l'air, plus léger que la terre et que l'eau, est plus pesant que le feu [ ] 20 À peine tous ces corps étaient-ils séparés, soumis à des lois éternelles, les astres, longtemps obscurcis dans la masse informe du chaos, commencèrent à briller dans les cieux
Séance 1 Lecture analytique : « la création » Support
Séance 1 Lecture analytique : « la création » obj : analyser la vision que donne la poétesse de la création Support : poème de Marguerite Yourcenar, 1964, p 193 Le mot « Dieu » ouvre le poème Il est mis en valeur avec une majuscule et répété huit fois Le mot est répété en début de vers : on appelle cela une anaphore
SÉQUENCE : LA POÉSIE DE L’OBJET EN QUOI L’OBJET DU QUOTIDIEN
Qu’apporte au poète/au peintre la description d’un objet du quotidien ? En quoi peut-on dire que la poésie est présente dans notre vie quotidienne ? Le processus de création poétique est-il inhérent à l’imaginaire du poète ou à l’observation du monde qui l’entoure ? S’interroger sur la forme du poème : composition du sonnet
Séance 4 : La création dimages poétiques
- S'interroger sur le regard particulier que le poète porte sur le monde - Etudier la relation des mots pour former des images - Réactiver les accords de l’adjectif qualificatif Activité 1 : Lecture et compréhension du poème Support : Raymond Queneau, Paris-ci, Paris-là et autres poèmes
Séance 1 : Du Bellay : Pourquoi le poète écrit-il
Cette lecture nous porte à nous interroger sur les raisons qui poussent un poète à écrire, sur la fonction du texte poétique Nous verrons d’abord que le texte est le récit d’une expérience personnelle, qu’il donne une représentation duelle du poète, et qu’il permet au poète d’exprimer ses sentiments
[PDF] Poeme sur La famine
[PDF] Poème sur la forêt
[PDF] poeme sur la fuite du temps
[PDF] poème sur la fuite du temps victor hugo
[PDF] Poème sur la guerre
[PDF] poème sur la guerre 14-18
[PDF] poeme sur la guerre 39 45
[PDF] poème sur la guerre victor hugo
[PDF] Poeme sur la liberté
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[PDF] poeme sur la mort d'un etre cher
[PDF] poème sur la mort rimbaud
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Toutes (sauf rapport texte/image) Ovide, Les Métamorphoses - 6 eDegré de difficulté : 1-2
La création du monde
Activité de perfectionnement
en autonomie Compétences : sens littéral, inférence, personnages, espace-temps, logique du texte, syntaxe, lexique, compréhension générale. Le présent document propose une Activité e en autonomie : de proposer classe la possibilité de perfectionner une ou plusieurs compétences selon leur niveau. Support : Ovide, Métamorphoses, I, adaptation C. Bertagna.Matériel par élève :
- Le document : un extrait des Métamorphoses . - Le questionnaire - La fiche autocorrective.Activité de perfectionnement
en autonomie Temps estiméDéroulement Observations
Activité du maître Activité des élèves50 minutes
1. Explique
consignes, fait reformuler bonne compréhension de la tâche à réaliser.2. Il apporte son aide en cas
de besoin.Activité individuelle ou en
binôme, en autonomie.Les élèves peuvent,
quand ils le décident, aller vérifier leurs réponses avec la fiche mise à leur disposition.Cette Activité
peut être mise en dirige un ACT avec un petit groupe.Page 2
DOCUMENT (à remettre à chaque élève)
La création du monde
Avant la formation de la mer, de la terre, et du ciel qui les environne, la nature dans l'univers n'o ffrait qu'un seul aspect ; on l'a ppela chaos, masse grossière, informe, mélange confus d'éléments qui se combattaient entre eux. L'air, la terre, et les eaux étaient confondus : la terre sans solidité, l'fluide, l'airétait privé de lumière. Les éléments étaient ennemis ; aucun d'eux n'avait sa forme 5
actuelle. Un dieu, ou la nature plus puissante, sépara le ciel de la terre, la terre des eaux, l'air le plus pur de l'air le plus grossier. Après que ce dieu, quel qu'il soit,eut ainsi débrouillé et divisé la matière, il arrondit la terre pour qu'elle soit égale dans
toutes ses parties. Il ordonna qu'elle soit entourée par la mer, et la mer fut soumise à 10 l'empire des vents, sans pouvoir franchir ses rivages. Ensuite il forma les fontaines, les va stes étangs, et les lacs, et les fleuves Ce die u dit, et les plaine s s'étendirent, les vallons s'abaissèrent, les montagnes élevèrent leurs sommets, et les forêts se couvrirent de verdure. La terre fut divisée en cinq régions qui co rrespondent à celles du ciel qui 15 l'environne. La zone du milieu, brûlée par le soleil, est inhabitable ; celles qui sont vers les deux pôles se couvrent de neige et de glace éternelles : les deux autres, placées entre les zones polaires et la zone du milieu, ont un climat tempéré par le mélange du chaud et du froid. Étendu sur les zones, l'air, plus léger que la terre et que l'eau, est plus pesant que le feu. 20 À peine tous ces corps étaient-ils séparés, soumis à des lois éternelles, les astres, longtemps obscurcis dans la masse inf orm e du chaos, commen cèrent à briller dans les cieux. Les étoiles et les dieux y installèrent, afin qu'aucune région ne soit sans habitants. Les poissons peuplèrent l'eau ; les quadrupèdes, la terre ; les oiseaux, les plaines de l'air. Un être plus noble et plus intelligent, fait pour dominer 25 sur tous les autres, manq uait en core à ce grand ouvrage. L'homme naquit. L'homme, distingué des autres animaux dont la tête est inclinée vers la terre, put contempler les astres et fixer ses regards sublimes dans les cieux. Ovide, Métamorphoses, I, adaptation C. Bertagna 3