[PDF] THEME 1A : Génétique et évolution Thème 1-A-1 Le brassage



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Brassage génétique et diversification des génomes

Brassage génétique et diversification des génomes 1) Reproduction sexuée et stabilité de l’espèce 2) Les mécanismes de la méiose Tableau récapitulatif



Chapitre A Brassage génétique et diversification des génomes

Brassage génétique et diversification des génomes I Quelques rappels de 1ère S Conventions d’écriture NOMBRE DE CHROMOSOMES CHEZ DIFFÉRENTES ESPÈCES II



BILAN DU CHAP 1 – BRASSAGE GENETIQUE ET DIVERSIFICATION DES

Classe: TS 1ème Partie: GENETIQUE ET EVOLUTION – 1= Brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique Durée : 2/3 sem CHAP 1: BRASSAGE GENETIQUE ET DIVERSIFICATION DES GENOMES BILAN ACQUIS À MOBILISER Revoir en 2nde : - Chromosomes et ADN : support de l'information



Chapitre 3 : Brassage génétique et diversité génétique

et nous permet d’envisager pourquoi elle est responsable de la variabilité génétique des individus 3 Le brassage interchromosomique (TP6) Lors de la métaphase de la 1ère division de méiose, les 2 chromosomes homologues d’une même paire se positionnent de part et d’autre de l’équateur d’une manière aléatoire et



THEME 1A : Génétique et évolution Thème 1-A-1 Le brassage

Thème 1-A-2 Diversification génétique et diversification des êtres vivants L'association des mutations et du brassage génétique au cours de la méiose et de la fécondation ne suffit pas à expliquer la totalité de la diversification génétique des êtres vivants Il s'agit ici de donner une idée de l'existence de la diversité des



Thème IA1 – Méiose, brassage génétique et diversité des génomes

Le brassage intra chromosomique s’ajoute et ampli fi e le brassage inter chromosomique et donc la diversité des gamètes obtenus en fi n de méiose 18 P ARTIE I : GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION



Diversification génétique et diversification des êtres

PARTIE I - Diversification génétique et diversification des êtres vivants -10 points Le polymorphisme génétique des populations résulte de mutations ayant affecté les séquences codantes des gènes et de brassages intra- et interchromosomiques se produisant au cours de la reproduction sexuée Ces divers



Génétique et évolution - Terminale S

Chapitre 1 : Brassage génétique, innovation génétique et évolution des génomes Introduction Les espèces qui utilisent la reproduction sexuée consevent leus plan d’oganisation au cou des générations mais se caractérisent aussi par leur très grandes diversité génétique et phénotypique



Cours de Sciences de la Vie et de la Terre - SVTplus

IA - Génétique et évolution Chap1 - Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique Chap2 - Diversification du vivant Chap3 - L’évolution de la biodiversité Chap4 - Un regard sur l'évolution de l’Homme Chap5 - Les réponses des végétaux aux contraintes de la vie fixée IB - Le domaine continental et sa



Thème 3 : Génétique et évolution - Chap 2 : Diversification

Thème 3 : Génétique et évolution - Chap 2 : Diversification du vivant TS Activité 7 :Diversification des êtres vivants - possibilité 1 Problème : Comment des mécanismes génétiques, autres que les mutations et le brassage génétique, peuvent-ils permettre la diversification des génomes et mener à la formation de nouvelles espèces ?

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Proposition de référentiel de TS (Groupe académique Créteil)

Ce référentiel constitue un exemple de trace écrite pour les élèves mais n'est en aucune façon

une progression pédagogique. Il permet une explicitation des notions du programme et assure une hiérarchisation dans les connaissances. Outil pour l'enseignant, il ne peut donc

être donné tel quel aux élèves. Il sert exclusivement au professeur à cibler les différents

niveaux de formulation des savoirs à utiliser en fonction de ses choix.

Code de hiérarchisation des idées :

ƒ En gras, police 12 : les phrases clés du BO

¾ En normal, police 12

ƒ En normal, police 10 : ce qui est nécessaire à la compréhension des élèves o En italique, police 10 : ce qui p THEME 1 - THEME 1A : Génétique et évolution Thème 1-A-1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique

En classe de seconde, une première approche de la diversité génétique a été effectuée. En classe de première S, les

mutations ont été étudiées à l'échelle moléculaire ainsi que leur contribution à la production de diversité génétique. En

classe terminale, on étudie les aspects génétiques de la sexualité en se limitant au cas des organismes pluricellulaires.

Bilans : divisions cellulaires, ADN, gène, allèles, brassage génétique. ™ La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute ƒ La cellule possède alors des chromosomes à 2 chromatides identiques. La deuxième division de méiose succède à la première sans nouvelle réplication.

™ Dans

cellule diploïde. ¾ Les deux divisions de la méiose aboutissent à la production de cellules haploïdes à ƒ Une cellule diploïde possède des chromosomes en double exemplaire, soit 2n chromosomes ou n paires de chromosomes homologues. Une cellule haploïde possède un seul exemplaire de chaque paire de chromosomes, soit n chromosomes. ƒ Au cours de la première division de méiose, les chromosomes homologues de chaque paire se séparent et migrent aux pôles opposés de la cellule. o Les chromosomes homologues se répartissent face à f

équatorial en métaphase 1.

o

anaphase 1. ƒ La première division donne 2 cellules haploïdes avec des chromosomes à 2 chromatides.

ƒ Au cours de la deuxième division de méiose, les chromatides de chaque chromosome se séparent et migrent aux pôles opposés de la cellule. o La séparation et la m ƒ La deuxième division donne 4 cellules haploïdes avec des chromosomes à 1 chromatide. ¾ La méiose participe à la stabilité des caryotypes

ƒ De génération en génération, le nombre de chromosomes des cellules des individus est

ƒ La méiose permet la formation des gamètes haploïdes chez les organismes diploïdes. ƒ La méiose permet la réduction du nombre de chromosomes par 2. ™ Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossing over ou

ƒ Au début de la première divis

o ƒ Des échanges de fragments de chromatides entre chromosomes homologues appariés sont romosomique. o Le crossing over est un phénomène systématique. o

ƒ Le remaniement chromosomique résultant du crossing over aboutit à 2 chromatides différentes

pour chaque chromosome homologue. ™ Les chromosomes ainsi remaniés subissent un brassage interchromosomique résultant de la migration aléatoire des chromosomes homologues lors de la première division de méiose.

ƒ Le comportement indépendant des homologues répartit de façon aléatoire des chromosomes aux

chromatides remaniées par crossing-over. ƒ La migration aléatoire des chromosomes homologues remaniés aboutit à de nouvelles ™ Une diversité potentiellement infinie des gamètes est ainsi produite. ¾ Le brassage interchromosomique et le brassage intrachromosomique de la méiose génèrent une immense diversité des gamètes. ƒ Les gamètes formés lors de la méiose sont tous génétiquement différents. o Chez une espèce diploïde, si on considère " g » le nombre moyen de gènes par chromosome pour lesquels un individu est hétérozygote on obtient 2g possibles par paire, soit 2g*n combinaisons pour n paires de chromosomes. o Si la fréquence moyenne des crossing over recombinants est r, le nombre de combinaisons devient 2g*n* r o Il existe, pour chaque paire, 2 possibilités de répartition des chromosomes homologues lors de leur migration en anaphase 1. o Il existe donc 2n combinaisons possibles des chromosomes remaniés, soit 223 o Si on considère aussi les combinaisons possibles dues au brassage intrachromosomique,

23 x2g*n* r combinaisons.

¾ L

ƒ est effectué avec un individu homozygote pour les allèles récessifs.

ƒ Dans la descendance, 4 phénotypes différents sont représentés : 2 phénotypes parentaux et 2

phénotypes nouveaux dits recombinés.

ƒ Le phénotype des descendants de ce croisement renseigne directement sur le génotype des gamètes

produits par le parent hétérozygote. o

ƒ Une équiprobabilité entre les phénotypes recombinés et les phénotypes parentaux traduit seulement

un brassage interchromosomique à la méiose. o o Ces proportions indiquent que les gènes étudiés sont sur des chromosomes de paires différentes (gènes indépendants).

à la méiose

o recombinés.

o Ces proportions indiquent que les gènes étudiés sont sur une même paire de chromosomes

(gènes liés). ™ Des anomalies peuvent survenir. Un crossing over inégal aboutit parfois à une duplication de gène ; un mouvement anormal de chromosomes produit une cellule présentant un nombre inhabituel de chromosomes.

ƒ Un crossing over inégal est un échange déséquilibré de fragments de chromatides entre

chromosomes homologues au cours de la méiose. gène sur la même chromatide o homologue. o Un des gamètes issu de la méiose aura ainsi un gène dupliqué.

ƒ Une séparation anormale des chromosomes homologues ou des chromatides lors de la méiose crée

des gamètes avec un nombre anormal de chromosome. o Les chromosomes de la même paire peuvent migrer vers le même pôle de la cellule au cours de la première division de méiose. o ême chromosome peuvent migrer vers le même pôle de la cellule au cours de la deuxième division de méiose. o o Certains gamètes ne contiennent aucun chromosome de la paire. ™ Ces mécanismes, souvent sources de troubles, sont aussi parfois sources de développement et/ou de dysfonctionnements chez le nouvel individu formé. o Un individu possédant un chromosome en plus pour une paire est qualifié de trisomique. o Un individu possédant un chromosome en moins pour une paire est qualifié de monosomique. o Un individu possédant au moins un chromosome en plus pour toutes ses paires est qualifié de polyploïde.

ƒ Une méiose anormale donnant des gamètes diploïdes peut mener à des génomes nouveaux.

o méiose anormale donnera un individu triploïde

o Les différentes possibilités de croisement entre gamètes haploïdes et polyploïdes et les

o La polyploïdie se rencontre principalement chez les végétaux et est relativement rare chez

les animaux. o nouveaux gènes. o gènes homologues.

ƒ la diversification du

vivant. o nouvelles ayant des conséquences plus ou moins importantes sur le phénotype.

™ unissent : leur

fusion conduit à un zygote. ƒ Les noyaux haploïdes des gamètes mâle et femelle sont alors réunis

ƒ Les paires de chromosomes homologues sont ainsi reconstituées dans le noyau du zygote diploïde.

chaque paire. ™ La diversité génétique potentielle des zygotes est immense. Chaque zygote contient

ƒ La fécondation associe au hasard des gamètes dont la diversité génétique est quasi infinie.

o 223 x2g*n* r ) x (223 x2g*n* r ) soit 246 + 2g*n* r

ƒ En amplifiant le brassage génétique de la méiose, la fécondation est une source de diversité

™ Seule une fraction de ces zygotes est viable et se développent.

ƒ Après fécondation, des gamètes au caryotype anormal peuvent donner des zygotes incapables de se

développer. Thème 1-A-2 Diversification génétique et diversification des êtres vivants

L'association des mutations et du brassage génétique au cours de la méiose et de la fécondation ne suffit pas à expliquer

la totalité de la diversification génétique des êtres vivants. Il s'agit ici de donner une idée de l'existence de la diversité des

processus impliqués, sans chercher une étude exhaustive. En outre, une diversification des êtres vivants n'est pas

toujours liée à une diversification génétique. Bilan : processus de diversification du vivant.

™ : hybridations suivies de

¾ Les hybridations suivies de polyploïdisation créent de nouveaux génomes. o osomes de chacune des 2 espèces initiales. o a méiose est donc impossible.

ƒ La polyploïdisation rétablit la fertilité des hybrides en doublant le nombre de chromosomes

o La polyploïdisation o Cette anomalie peut être naturelle ou artificielle. o Chaque chromosome retrouve un homologue et la méiose devient possible. o La fertilité par reproduction sexuée est alors rétablie. nouveaux caractères. o Le nouvel hybride est porteur des génomes des 2 espèces croisées.

o La polyploïdisation est un mécanisme restreint chez les animaux et très répandu chez les

végétaux. o ¾ Le transfert par voie virale enrichit les génomes en y insérant des gènes étrangers o même espèce grâce à la reproduction sexuée. o Les transferts horizontaux de gènes sont des phénomènes rares mais

o Ainsi de nombreuses espèces portent des gènes hérités de transferts horizontaux dans leur

génome. o

ƒ cquisition de ces nouveaux gènes et donc de nouveaux caractères contribue à la diversification des

êtres vivants.

o différentes peuvent résulter de variations dan o Chez un individu, les séquences des gènes du développement présentent beaucoup : ces gènes constituent une famille multigénique. proches. ƒ Ces modifications peuvent changer la chronologieintensité ou la du développement.

o La durée des phases du développement peut être modifiée et conduire au développement

o

o Ces modifications sont dues à des mutations des séquences impliquées dans la régulation

du développement. ™ Une diversification des êtres vivants est aussi possible sans modification des génomes : associations (dont symbioses) par exemple. différentes. o Les lichens, les mycorhizes, les coraux, l o Cette association doit être néanmoins renouvelée à chaque génération

ƒ ement chez

chacun des deux partenaires. o La diversification des phénotypes peut se traduire par la modification de la morphologie ou du comportement des êtres vivants, par la synthèse de nouvelles substances ou la mise en place de nouvelles structures. o Ces o

ƒ : parasitisme, commensalisme,

coopération, mutualisme ƒ Les informations génétiques des deux partenaires ne sont pas pour autant modifiées. etc. ƒ Il peut être appris par imitation des autres individus du groupe.

ƒ Ces nouveautés comportementales perdurent de génération en génération sans transmission

génétique. Thème 1-A-3 De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité

La biodiversité a été définie et présentée comme produit et étape de l'évolution. Dans les classes précédentes, il a été

montré que des individus porteurs de diverses combinaisons génétiques peuvent différer par leurs potentiels

reproducteurs (plus grande attirance sexuelle exercée sur le partenaire ; meilleure résistance à un facteur du milieu, aux

prédateurs ; meilleur accès à la nourriture, etc.). Cette influence, associée à la dérive génétique, conduit à une

modification de la diversité génétique des populations au cours du temps. Bilan : la biodiversité et sa modification.

™ Sous l'effet de la pression du milieu, de la concurrence entre êtres vivants et du hasard la diversité des populations change au cours des générations

ƒ Une e occupant un même espace

géographique et se reproduisant majoritairement entre eux.

ƒ Une population est caractérisée par une diversité allélique des individus qui la constituent

¾ ression du

de survie et/ou de reproduction dans leur milieu. ƒ Les descendants de ces individus deviennent majoritaires dans les populations.

ƒ La transmission des allèles les plus avantageux dans les conditions du milieu est donc privilégiée et leur

fréquence augmente au cours des générations.

ƒ La transmission des allèles les m

leur fréquence diminue au cours des générations. dérive génétique. ƒ Les allèles ne conférant ni avantage ni désavantage sont sans effet sur la reproduction sexuée. ™ L'évolution est la transformation des populations qui résulte de ces différences de survie et du nombre de descendants

ƒ : dérive

génétique et sélection naturelle.

ƒ La survie différentielle des individ

o de se reproduire et par conséquent le nombre de leurs descendants.

ƒ La diversité génétique et phénotypique des populations est ainsi transformée au cours des

générations. ™ La diversité du vivant est en partie décrite comme une diversité d'espèces.

ƒ La biodiversité désigne à la fois la diversité des écosystèmes, la diversité des espèces et la diversité

génétique des populations au sein des espèces

™ La définition de l'espèce est délicate et peut reposer sur des critères variés qui

permettent d'apprécier le caractère plus ou moins distinct de deux populations

(critères phénotypiques, interfécondité, etc.). Le concept d'espèce s'est modifié au

cours de l'histoire de la biologie.

¾ La ressemblance phénotypique peut être un critère utilisé pour définir une espèce.

ƒ Deux indivi

o Historiquement le critère phénotypique a prévalu o ement décrit. o Cette définition typologique est fixiste. ƒ Le critère de ressemblance ne peut cependant pas être utilisé dans tous les cas. o Dans une même espèce des individus de sexe différent peuvent avoir des phénotypes différents (dimorphisme sexuel).

o Des individus très ressemblants peuvent appartenir à des espèces différentes (espèces

jumelles). espèce. ƒ Une espèce est une population ou un ensemble de populations dont les individus peuvent effectivement ou potentiellement se reproduire entre eux et engendrer une descendance viable et féconde, dans des conditions naturelles. o Cette définition biologique de l'espèce a été énoncée par Ernst Mayr en 1942, o Le fait que la descendance soit viable et fertile dans des conditions naturelles est donc un autre critère retenu. o hybridations sont fréquentes et peuvent amener si une polyploïdisation survient à la o ouvant pas se rencontrer

ƒ ce.

o La dimension écologique a été introduite par Mayr en 1982.

™ Une espèce peut être considérée comme une population d'individus suffisamment isolés

génétiquement des autres populations.

ƒ Des barrières de reproduction (comportementales, anatomiques, chromosomiques ou géographiques

o Il existe des barrières avant la reproduction : barrières écologiques, périodes de reproduction non synchrones, barrières comportementales, anatomiques ou gamétiques

o Il existe des barrières après la fécondation : avortement du zygote, hybride stérile, à

viabilité ou fécondité réduites. ƒ peut parfois entrainer un isolement génétique.

ƒ Une espèce est alors un ense

permettent de se reproduire majoritairement entre eux.

ƒ Inversement, des populations trop éloignées génétiquement ont des individus qui ne se croisent pas

ou ne peuvent pas produire une descendance fertile. ™ Une population d'individus identifiée comme constituant une espèce n'est définie que durant un laps de temps fini. ƒ Suivant à quel stade on étudie le processus on ne peut pas tou espèces distinctes.

™ On dit qu'une espèce disparaît si l'ensemble des individus concernés disparaît ou cesse

d'être isolé génétiquement.

ƒ Une espèce disparaît si les individus qui la constituent meurent sans laisser de descendants.

™ Une espèce supplémentaire est définie si un nouvel ensemble s'individualise.

Thème 1-A-

Homo sapiens peut être regardé, sur le plan évolutif, comme toute autre espèce. Il a une histoire évolutive et est en

perpétuelle évolution. Cette histoire fait partie de celle, plus générale, des primates. surtout par la position et la chr

ƒ sentent de nombreuses ressemblances.

o Quelques remaniements chromosomiques expliquent le peu de différences observées. o o Les séquences des gènes communs diffèr o Ces différences génétiques concernent essentiellement des gènes du développement. ƒ La localisation gènes organisateurs du développement o Des mutations de ces gènes peuvent entrainer des différences dans la chronologie, la durée et la zone de leur expression. ¾ Les caractères de linges se mettent en place au cours du développement embryonnaire et après la naissance ƒ Le volume cérébral par un allongement de la phase du développement embryonnaire o La phase de multiplication des cellules nerveuses est beaucoup plus longue chez

ƒ iquent par un développement post-natal

différent de celui du chimpanzé o o ou occipital en position avancée permettant alors la station debout.

ƒ aussi par un développement post-natal

différent de celui du chimpanzé. o Le développement postnatal du ch allongement de la face. ¾ La mise en place de leurs caractères dépend de facteurs génétiques et environnementaux ƒ La construction du phénotype morpho-anatomique dépend des gènes du développement. o erveau. o Le gène HAR1 est impliqué dans la multiplication des cellules nerveuses. o

ƒ La construction du phénotype comportemental dépend de facteurs génétiques mais aussi

o L articulé humain est perturbée par des mutations par exemple celle du gène FoxP2. o us. ¾ Les premiers primates fossiles datent de -65 à- ƒ Les primates regroupent diverses espèces de Mammifères dérivé comme une main au pouce opposable aux autres doigts et des ongles plats. ƒ De nombreuses espèces de Primates sont répertoriées dans la nature actuellement ƒ les singes actuels sont des Primates qui se distinguent des formes fossiles par des innovations évolutives respectives ™ La diversité des grands primates connue par les fossiles, qui a été grande, est

ƒ Les grands primates regroupent les espèces partageant le caractère dérivé " absence de

queue » remplacé par le coccyx. o Homme, chimpanzés dont le bonobo, gorille, gibbon et orang outan sont les 5 genres actuels du groupe des grands primates o Les plus anciens fossiles connus sont datés de 20 Ma.

ƒ mps.

ƒ Le groupe comptait au moins 40 genres il y a 20 Ma o tropicales et équatoriales o oire sont actuellement ™ Homme et chimpanzé partagent un ancêtre commun récent. Aucun fossile ne peut être

à coup sûr considéré c.

ƒ Les données moléculaires montrent que le chimpanzé est le ƒ Il possédait des caractères anatomiques et culturhimpanzé mais ce o Homme et chimpanzé possèdent des caractères que leur ancêtre ne possédait pas ƒ La divergence entre Homme et chimpanzé est estimée entre -7 et - 6 MA. o Cette estimation est basée sur le nombre de mutations accumulées entre les patrimoines biologique)

™ s fossiles qui se caractérisent

notamment par une face réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec un trou occipital avancé et aptitude à la course à pied, une mandibule

¾ omme actuel ou Homo sapiens et de nombreuses

espèces fossiles o Homo erectus, Homo ergaster, Homo habilis, Homo neandertalensis, Homo rudolfensis o o Depuis 30 000 ans, Homo sapiens est la seule espèce représentante du genre Homo. ¾ Le genre Homo se caractérise par des particularités de son squelette et de son crâne ƒ Son squelette est particulièrement adapté à sa bipédie. o Le trou occipital est en position avancée o Les fémur o Le bassin est large et court

ƒ Le dimorphisme sexuel est peu marqué

o de la denture et de la crête sagittale o Chez lle dimorphisme sexuel existe cependant au niveau du bassin

ƒ Sa face réduite, son volume crânien plus élevé, sa mandibule parabolique le distinguent des

autres grands primates. genre Homo, mais de façon non exclusive.

ƒ Les outils utilisés et les activités culturelles des représentants du genre Homo se diversifient au

cours du temps o de plus en plus complexe, la maitrise du feu, les rites funéraires et les représentations artistiques apparaissent progressivement. o dans le détail. ƒ Un arbre phylogénétique représente les relations de parenté entre les espèces o Chaque extrémité de branche correspond à une espèce o o agent un plus grand ƒ Les interprétations des fossiles diffèrent selon les scientifiques o fossiles très anciens notamment de panidés o ancêtre commun est mosaïque de manière synchrone. o Les différences entre des fossiles peuvent être des variations entre des individus de la même espèce.quotesdbs_dbs7.pdfusesText_13