Séquence 6ème: Le loup-garou, ce monstre assoiffé de sang
Séquence sur Les Fourberies de Scapin de Molière Acte II scène 3 « vous vous souvenez de ce loup-garou, il y a six mois, qui vous donna tant de coups de bâton » Entrée : Le monstre, aux limites de l'humain Séquence sur L'Odyssée d'Homère : les monstres révélateurs de l'héroïsme
SÉQUENCE 5 – MONSTRE, A NOUS DEUX Entrée du programme : Le
La notion de monstre, comme nous l’avons déjà appris, peut être redivisée en deux catégories : - Celui qui a une apparence laide, hideuse et repoussante - Celui qui est méchant, cruel Celui qui est un monstre physiquement peut avoir bon caractère Celui qui est un monstre physiquement peut avoir un caractère de monstre
Monstre, à nous deux - Académie de Limoges
Monstre, à nous deux Éléments d’identification de la séquence Cette séquence de 6ème a été la première de l’année Elle intègre des heures d’accompagnement personnalisé, lesquelles ont amené les élèves, par binômes, à réaliser un projet artistique et culturel Classe de 6ème Séquence n° 1 C o o r d o n n é e s d e
Chapitre 4 : Monstres et héros mythologiques
Cette séquence est constituée d’un groupement de textes mêlant textes antiques, une réécriture et une réinterprétation autour du motif de la confrontation du monstre et du héros Il s’agira de définir le monstre comme un être hybride et de montrer quelle est sa fonction
LE MONSTRE, AUX LIMITES DE L’HUMAIN
davantage su l’a tion ue sur sa durée • L’impa fait présente des actions dans leur durée, en train de se dérouler ; il est utilisé pour les descriptions et les répétitions Séance pour l’élève: « Le monstre, aux limites de l'humain : séance 06 »
Proposition de séquence de rentrée Classe de Sixième Travail
Proposition de séquence Sixième – 2019/2020 – Caroline Guidon – PFA ESPE > Le monstre, aux limites de l'humain Rappel des enjeux littéraires : découvrir des oeuvres, textes et documents, mettant en scène des figures de monstres Comprendre le sens des émotions fortes que suscitent la description ou la
OBJET D ETUDE II : LE MONSTRE AUX LIMITES DE L HUMAIN
- retour sur le périple d’Ulysse à partir de la carte - récit enchâssé (Homère raconte l’histoire d’Ulysse dans laquelle Ulysse raconte son odyssée) Ø Bilan des notions : a) monstre omniprésent, b) monstres de différentes natures, c) ruse du héros
Monstres à gogo - ac-bordeauxfr
Monstres à gogo Séquence 4 (6e) (après un groupement de textes sur les récits de création) Entrée : « Le monstre, aux limites de l’humain »
LES MONSTRES - DESCRIPTION
Le farfadet est un véritable leprechaun,il mesure seulement 40 cm ses cheveux hirsute qui se lient à sa barbe,son semblable à une crinière de lion???? Avec une verrue sur le visage il ressemble à une sorcière Ces grandes oreilles pointues observent le monde de haut Ses mains sont de vraies fourchettes
[PDF] séquence sur le surréalisme
[PDF] séquence sur le théâtre en 3ème
[PDF] séquence sur les dangers d'internet cm1
[PDF] séquence surréalisme 1ère bac pro
[PDF] séquence système solaire cm1
[PDF] séquence textes fondateurs 6ème
[PDF] séquence théâtre 4ème
[PDF] séquence théâtre 4ème le cid
[PDF] séquence théâtre 5ème
[PDF] séquence théâtre première
[PDF] séquence théâtre première s
[PDF] sequence topicos espanoles
[PDF] séquence tourisme espagnol
[PDF] séquence tragédie seconde
[Nouvelle séquence = Nouvel intercalaire = Nouvelle feuille]
SÉQUENCE 5 - MONSTRE, A NOUS DEUX !
Entrée du programme : Le monstre aux limites de l'humain. Problématique : Quelle représentation du monstre est donnée par le conte merveilleux ? Comment le personnage de la Bête évolue-t-il au fil du conte ? Objectifs : Apprendre les caractéristiques du conte merveilleux.Être capable de définir les caractéristiques de la monstruosité et du merveilleux à l'écrit.
Présenter des écrits de réflexion et des opinions.Compétences : Comprendre un texte littéraire et l'interpréter. Découvrir des oeuvres d'art.
Oeuvre intégrale - La Belle et la Bête, Mme Leprince de Beaumont. Séance 1 - Un conte merveilleux. A faire le mercredi 1e avril.Support : Leçon.
Objectif : Présenter l'oeuvre intégrale.
Séance 2 - Du livre à la représentation filmique. A rendre pour le lundi 20 avril. Support : La Belle et la Bête par Mme Leprince de Beaumont - Jean Cocteau - Walt Disney.Objectif : Comparer deux oeuvres artistiques.
Séance 3 - Le portrait de la belle.A faire le mardi 21 avril.Support : Extrait n°1 - lignes 1 à 65.
Objectif : Étudier la situation initiale avec la description du personnage principal. Séance 4 - Rencontre avec la bête.A faire le mercredi 22 avril.Support : Extrait n°2, lignes 109 à 166.
Objectif : Analyser l'élément perturbateur.
Séance 5 - Outil de la langue. A faire le jeudi 23 avril.Support : Exercices.
Objectif : Travailler un nouveau vocabulaire.
Évaluation intermédiaire - Dictée A rendre le vendredi 24 avril. Séance 6 - La Bête apprivoisée. A faire le lundi 27 avril.Support : Extrait n°3, lignes 290 à 319.
Objectif : Mettre en lien la péripétie avec l'évolution de la Bête. Séance 7 - La fin du sortilège.A faire le mardi 28 avril. Support : Extrait n°4, ligne 445 à la fin de l'oeuvre. Objectif : Comprendre la résolution et situation finale du conte. Séance 8 - " Tout est bien qui finit bien. » A faire le mercredi 29 avril. Support : Extrait n°5, lignes 468 à la fin de l'oeuvre.Objectif : Découvrir la situation finale.
Évaluation finale - Production écrite.A rendre le lundi 4 mai. Séance 1 - Un conte merveilleux. A faire le mercredi 1e avril.Support : Leçon.
Objectif
: Présenter l'oeuvre intégrale. Le conte merveilleux ou conte de fées est un récit narratif court et imaginaire.Dans l'univers du conte, les personnages ne sont jamais étonnés par les évènements surnaturels qui se
déroulent car cela fait partie de leur monde. Le conte merveilleux à deux objectifs : - faire voyager le lecteur/la lectrice. - délivrer une morale à la fin de l'histoire. On remarque que dans les contes merveilleux, certains éléments reviennent tels que : - des lieux bienveillants : château, palais, forêt enchantée, chaumière... des lieux malveillants : donjon, forteresse, cachot, vieille maison, lieux abandonnés...des types de personnages principaux : prince, princesse, roi, reine, chevalier, enfant, guerrier, guerrière...
des types de personnages adjuvants (= qui aident le héros) : fée, marraine, amis, animaux, mage ...
des types de personnages opposants (= qui sont des ennemis) : dragon, sorcière, ogre, monstre* ...
La notion de monstre, comme nous l'avons déjà appris, peut être redivisée en deux catégories :
- Celui qui a une apparence laide, hideuse et repoussante. - Celui qui est méchant, cruel. Celui qui est un monstre physiquement peut avoir bon caractère. Celui qui est un monstre physiquement peut avoir un caractère de monstre. Celui qui est très beau physiquement peut avoir un caractère de monstre.Tous les contes ont la même structure chronologique (la même organisation) que nous définirons dans les
séances : - La situation initiale. - L'élément perturbateur. - Les péripéties. - L'élément de résolution. - La situation finale.La Belle et la Bête est un conte merveilleux. Il a été écrit en 1740 par la romancière Mme Leprince de
Beaumont (née en 1710 - décédée en 1780 - 18 e siècle). Elle est l'une des premières à écrire des contes pour enfants. Séance 2 - Du livre à la représentation filmique. A rendre pour le lundi 20 avril. Support : La Belle et la Bête par Mme Leprince de Beaumont - Jean Cocteau - Walt Disney.Objectif
: Comparer deux oeuvres artistiques.Consigne : Complète ce tableau à l'aide des trois oeuvres que tu auras lues/vues. Tu préciseras quelle a été ta
version préférée et pour quelles raisons.Livre - Mme Leprince
de Beaumont.1740 Adaptation filmique -
Jean Cocteau.
1946Adaptation animée -
Walt Disney.
1991Points communs
Différences
Lien pour la version animée : https://w1.streamay.xyz/film/la-belle-et-la-bete-1991/ Lien pour la version filmique : https://streamcomplet.bid/42202-la-belle-et-la-becircte.html Séance 3 - Le portrait de la belle.A faire le mardi 21 avrilSupport : Extrait n°1 - lignes 1 à 65.
Objectif
: Étudier la situation initiale avec la description du personnage principal.Il y avait une fois un marchand qui était extrêmement riche. Il avait six enfants, trois garçons et trois filles,
et comme ce marchand était un homme d'esprit, il n'épargna rien pour l'éducation de ses enfants, et leur
donna toutes sortes de maîtres. Ses filles étaient très belles ; mais la cadette surtout se faisait admirer, et on
ne l'appelait, quand elle était petite, que la Belle Enfant ; en sorte que le nom lui en resta : ce qui donna
beaucoup de jalousie à ses soeurs. Cette cadette, qui était plus belle que ses soeurs, était aussi meilleure
qu'elles. Les deux aînées avaient beaucoup d'orgueil, parce qu'elles étaient riches ; elles faisaient les dames,
et ne voulaient pas recevoir les visites des autres filles de marchands ; il leur fallait des gens de qualité pour
leur compagnie. Elles allaient tous les jours au bal, à la comédie, à la promenade, et se moquaient de leur
cadette, qui employait la plus grande partie de son temps à lire de bons livres. Comme on savait que ces
filles étaient fort riches, plusieurs gros marchands les demandèrent en mariage ; mais les deux aînées
répondirent qu'elles ne se marieraient jamais, à moins qu'elles ne trouvassent un duc, ou tout au moins, un
comte. La Belle, (car je vous ai dit que c'était le nom de la plus jeune) la Belle, dis-je, remercia bien
honnêtement ceux qui voulaient l'épouser, mais elle leur dit qu'elle était trop jeune, et qu'elle souhaitait de
tenir compagnie à son père, pendant quelques années. Tout d'un coup, le marchand perdit son bien, et il ne
lui resta qu'une petite maison de campagne, bien loin de la ville. Il dit en pleurant à ses enfants qu'il fallait
aller demeurer dans cette maison, et qu'en travaillant comme des paysans, ils y pourraient vivre. Ses deux
filles aînées répondirent qu'elles ne voulaient pas quitter la ville, et qu'elles avaient plusieurs amants qui
seraient trop heureux de les épouser, quoiqu'elles n'eussent plus de fortune. Les bonnes demoiselles se
trompaient ; leurs amants ne voulurent plus les regarder quand elles furent pauvres. Comme personne ne les
aimait, à cause de leur fierté, on disait : " Elles ne méritent pas qu'on les plaigne ; nous sommes bien aises
de voir leur orgueil abaissé ; qu'elles aillent faire les dames, en gardant les moutons. » Mais, en même
temps, tout le monde disait : " Pour la Belle, nous sommes bien fâchés de son malheur ; c'est une si bonne
fille ! elle parlait aux pauvres gens avec tant de bonté, elle était si douce, si honnête !» Il y eut même
plusieurs gentilshommes qui voulurent l'épouser, quoiqu'elle n'eût pas un sou ; mais elle leur dit, qu'elle ne
pouvait se résoudre à abandonner son pauvre père dans son malheur, et qu'elle le suivrait à la campagne
pour le consoler et lui aider à travailler. La pauvre Belle avait été bien affligée de perdre sa fortune ; mais
elle s'était dit à elle-même : " Quand je pleurerai, mes larmes ne me rendront pas mon bien ; il faut tâcher
d'être heureuse sans fortune. » Quand ils furent arrivés à leur maison de campagne, le marchand et ses trois
fils s'occupèrent à labourer la terre. La Belle se levait à quatre heures du matin, et se dépêchait de nettoyer la
maison et d'apprêter à dîner pour la famille. Elle eut d'abord beaucoup de peine, car elle n'était pas
accoutumée à travailler comme une servante ; mais, au bout de deux mois, elle devint plus forte, et la fatigue
lui donna une santé parfaite. Quand elle avait fait son ouvrage, elle lisait, elle jouait du clavecin, ou bien elle
chantait en filant. Ses deux soeurs, au contraire, s'ennuyaient à la mort ; elles se levaient à dix heures du
matin, se promenaient toute la journée, et s'amusaient à regretter leurs beaux habits et les compagnies. -
Voyez notre cadette, disaient-elles, entre elles ; elle a l'âme si basse et si stupide, qu'elle est contente de sa
malheureuse situation. Le bon marchand ne pensait pas comme ses filles ; il savait que la Belle était plus
propre à briller dans les compagnies ; il admirait la vertu de cette jeune fille, surtout sa patience ; car ses
soeurs, non contentes de lui laisser faire tout l'ouvrage de la maison, l'insultaient à tout moment.
Question n° 1 - Par quelle phrase commence le récit ? Est-ce habituel dans un conte ? Question n°2 - Relevez toutes les informations données sur Belle. Question n°3 - Relevez toutes les informations données sur les soeurs. Question n°4 - Belle ressemble-t-elle à ses soeurs ? Pourquoi ? Question n°5 - Comment réagit-elle à la pauvreté ? Qu'en pensez vous ? Question n°6 - Qu'est-ce que cette présentation annonce pour la suite ? Séance 4 - Rencontre avec la bête.A faire le mercredi 22 avril Support : Extrait n°2, lignes 109 à 166.Objectif
: Analyser l'élément perturbateur.Comme la pluie et la neige l'avaient mouillé jusqu'aux os, il s'approcha du feu pour se sécher, et disait en
lui-même : " Le maître de la maison, ou ses domestiques, me pardonneront la liberté que j'ai prise, et sans
doute ils viendront bientôt. » Il attendit pendant un temps considérable ; mais onze heures ayant sonné, sans
qu'il vît personne, il ne put résister à la faim, et prit un poulet qu'il mangea en deux bouchées et en
tremblant. Il but aussi quelques coups de vin, et, devenu plus hardi, il sortit de la salle et traversa plusieurs
grands appartements magnifiquement meublés. À la fin, il trouva une chambre où il y avait un bon lit ; et,
comme il était minuit passé et qu'il était las, il prit le parti de fermer la porte, et de se coucher. Il était dix
heures du matin quand il s'éveilla le lendemain, et il fut bien surpris de trouver un habit fort propre à la
place du sien, qui était tout gâté. " Assurément, dit-il en lui-même, ce palais appartient à quelque bonne fée
qui a eu pitié de ma situation. » Il regarda par la fenêtre et ne vit plus de neige, mais des berceaux de fleurs
qui enchantaient la vue. Il rentra dans la grande salle, où il avait soupé la veille, et vit une petite table où il y
avait du chocolat.- Je vous remercie, madame la fée, dit-il tout haut, d'avoir eu la bonté de penser à mon déjeuner.
Le bonhomme, après avoir pris son chocolat, sortit pour aller chercher son cheval ; et comme il passait sous
un berceau de roses, il se souvint que la Belle lui en avait demandé, et cueillit une branche, où il y en avait
plusieurs. En même temps, il entendit un grand bruit, et vit venir à lui une bête si horrible, qu'il fut tout prêt
de s'évanouir.- Vous êtes bien ingrat, lui dit la Bête d'une voix terrible ; je vous ai sauvé la vie en vous recevant dans mon
château, et puis vous me volez mes roses que j'aime mieux que toutes choses au monde. Il faut mourir pour
réparer cette faute ; je ne vous donne qu'un quart d'heure pour demander pardon à Dieu. Le marchand se jeta à genoux, et dit à la Bête, en joignant les mains :- Monseigneur, pardonnez-moi, je ne croyais pas vous offenser en cueillant une rose pour une de mes filles
qui m'en avait demandé.- Je ne m'appelle point Monseigneur, répondit le monstre, mais la Bête. Je n'aime pas les compliments,
moi ; je veux qu'on dise ce que l'on pense ; ainsi, ne croyez pas me toucher par vos flatteries. Mais vous
m'avez dit que vous aviez des filles ; je veux vous pardonner, à condition qu'une de vos filles vienne
volontairement pour mourir à votre place. Ne me raisonnez pas, partez ; et si vos filles refusent de mourir
pour vous, jurez que vous reviendrez dans trois mois.Le bonhomme n'avait pas le dessein de sacrifier une de ses filles à ce vilain monstre ; mais il pensa : " Au
moins j'aurai le plaisir de les embrasser encore une fois. » Il jura donc de revenir, et la Bête lui dit qu'il
pouvait partir quand il voudrait.- Mais, ajouta-t-elle, je ne veux pas que tu t'en ailles les mains vides. Retourne dans la chambre où tu as
couché, tu y trouveras un grand coffre vide ; tu peux y mettre tout ce qu'il te plaira, je le ferai porter chez
toi.En même temps la Bête se retira, et le bonhomme dit en lui-même : " S'il faut que je meure, j'aurai la
consolation de laisser du pain à mes pauvres enfants. » Question n°1 - Où se trouve le marchand ? Citez le texte. Question n°2 - Que fait-il ? Est-ce normal selon vous ?Question n°3 - Pourquoi remercie-t-il une fée ? Quel type de personnage est-ce ? (voir séance 1)
Question n°4 - Que doit-il cueillir et pour qui ? Que symbolise ce objet ? Question n°5 - Quelles informations avons-nous sur la Bête ? Question n°6 - Selon vous, qui va prendre la place du marchand ? Justifiez votre réponse. Séance 5 - Outil de la langue. A faire le jeudi 23 avrilSupport : Exercices.
Objectif
: Travailler un nouveau vocabulaire.Les mots " merveilleux » et " émerveillement » viennent du latin " mirabilia » qui signifie " choses
étonnantes, admirables
Quelque chose de merveilleux est :
- Étrange, ou inexplicable et provoque de l'étonnement. - Digne d'admiration pour ses qualités exceptionnelles. L'émerveillement est l'émotion que l'on éprouve face au merveilleux.J'OBSERVE ET MANIPULE :
Exercice n°1 - Ces lieux sont merveilleux au sens d'irréel ou au sens de magnifique ? iLa maison de la pain d'épices de la sorcière d'Hansel et Gretel : iLa Grande Muraille de Chine : iLe Pays des Merveilles d'Alice : iLe Taj Mahal : iLe palais des Mille et une nuits :Lesquels pourrais-tu photographier ?
Exercice n°5 - Remplace " merveilleux » par l'un des adjectifs suivants : délicieux - très doué - magique. Fais les accords et les transformations nécessaires. iLe Petit Poucet enfila ses bottesmerveilleuses. iNous avons fait un merveilleux repas. iCe merveilleux acteur a mérité son oscar.JE M'EXERCE :
Exercice n°2 - Surligne les phrases qui évoquent unévènement surnaturel :
iRimbaud était un génie : il a écrit" Sensation » à seize ans. iQuand Aladin frotta la lampe, un génieapparut. iQuand elle ouvrit la bouche, il en sortitmiraculeusement des pierres précieuses. iTu es arrivé à l'heure : c'est un miracle ! Exercice n°6 - Remets les lettres dans l'ordre pour trouver cinq synonymes du mot " émerveillement ».EUOLISBEEMTSN => ................................
AESTSIBNMEHE => .................................. ETESAX => .............................................NACHTNTNEEME => .................................
PUFACOSTIEN => ..................................... Exercice n°3 - A partir des noms, forme des verbes qui expriment l'action de créer le merveilleux. iFable => ..................................... iBeauté => ..................................... Exercice n°7 - Précise les niveaux de langue de ces expressions : familier - courant - soutenu. En prendre plein la vue : ................................ Être stupéfait : ............................................ En rester baba :............................................ iInvention => ....................................iSort => .....................................S'extasier :.................................................Être admiratif : ............................................
Exercice n°4 - Relie les mots de la liste en fonction de ce qu'ils expriment : l'étonnement ou l'admiration. Entoure le radical à partir duquel chaque mot est formé :