[PDF] Sommaire - Chambres dagriculture - Normandie



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LA LUZERNE - Chambres dagriculture - Normandie

Document réalisé avec le soutien de la Région de Basse-Normandie Jean-Jacques Beauchamp - Chambre d’agriculture du Calvados - tél 02 31 70 25 16 - 06 32 47 05 02 Edition 2013 Résultat selon l’évolution du prix du blé vendu et du prix du tourteau de colza acheté Intérêt de la luzerne selon le rendement Prix du blé Prix du colza



NOTE PLOTAGE DE PRODUCTONS ELEVAGES - Chambres dagriculture

Chambre régionale d’agriculture de ormandie - Service commun 27 76 Agrople ormandie - 6 rue des Roquemonts - CS 4346 - 14 03 CAE cede 4 SIRET : 1814000200021



EN CHAMPAGNE-ARDENNE NORMANDIE - meusechambre-agriculturefr

Luzerne bio ou en conversion: sur les 17 parcelles en agriculture biologique, 58 sont implantées en sol nu d’été, 36 sous couvert et 6 en sol nu de printemps Pour l’implantation des luzernes « bio » la méthode sous couvert est recommandée En phase de conversion, l’implantation se fait plutôt sur sol nu d’été



la luzerne - marnechambre-agriculturefr

www culture-luzerne com Enquête 2020 [ Résultats de l’enquête réalisée en 2020 sur la récolte 2019 ] en Bretagne, Grand-Est, normandie et





Caractéristiques des principales espèces LES - Normandie

Prairie multi espèce avec luzerne et trèfle blanc Luzerne + dactyle en 3° coupe * humides l'hiver, séchants l'été (1) pour ce mélange, pérennité limitée à 2-3 ans ; choisir les variétés les plus pérennes (2) le trèfle violet permet d’améliorer la proportion de légumineuses la 1° année, surtout au printemps



Bien concevoir sa rotation - normandiechambres-agriculturefr

Les racines de luzerne ou de crucifère peuvent descendre au-delà de 2 mètres Elles améliorent ainsi la circulation de l’eau et de l’air, contribuant à la fertilité globale du sol Maîtriser maladies et ravageurs Améliorer la fertilité des sols CA 34



Sommaire - Chambres dagriculture - Normandie

Un système adapté à la diversité des troupeaux et à la Normandie 47 Une ingestion de foin élevée 47 Une production laitière selon les objectifs des éleveurs 48 L’expression du potentiel laitier possible avec du foin séché en grange 48 Des variations d’état corporel plus importantes avec le foin 49 Les rations 50



BAREMES POUR PERTE DE RECOLTE DE LA CAMPAGNE - Normandie

Chambre d’agriculture de la Manche Maison de l'Agriculture Hélène GARBIN Avenue de Paris Tél 02 33 06 49 94 50009 SAINT-LO Cedex Chambre d’agriculture de l’Orne 52 boulevard du 1er Chasseurs Margot DENERY CS80036 Tél 02 33 31 47 75 61001 ALENCON Cedex Chambre d’agriculture de l’Eure 5 rue de la petite cité



Vivre des grandes cultures biologiques en Normandie

Les Chambres d’agriculture de Normandie ont engagé un travail de construction de références, en élaborant 2 cas-types représentatifs de ces systèmes en grandes cultures AB Deux cas-types normands en grandes cultures biologiques Source : Recensement Agricole 2010, Agreste

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Sommaire - Chambres dagriculture - Normandie 1

Sommaire

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1' 2?L FhmDo8mDhgL IhNk DgLm8ee?k Ng LR:ChDk ?g bk8gb?,

Pk zRingmk kt mygtmk z'gjgv'k U rg Ruysgtjok6

Des zones de montagnes à l'Ouest...5

La technique s'est adaptée5

De multiples motivations pour ces " sécheurs de l'Ouest »5

Deux grands profils d'éleveurs intéressés par la technique611' 2?L bk8g>L IkDg:DI?L >? Ahg:mDhgg?F?gm >N LR:C8b? >N AhDg ?g bk8gb? /

ct luti'outtkskt' zosvrk: Réduire le temps de séchage au sol pour conserver au maximum la qualité foin.9 Engranger le foin dans le séchoir en couches successives 9 Ventiler de l'air réchauffé est indispensable11ct hT'oskt' k' jkz Rx"ovkskt'z zvRiolox"kz24 Le bâtiment dédié au séchage et au stockage du foin13 Un matériel performant pour optimiser la récolte14

Le capteur solaire sous toiture.15

La localisation du séchoir par rapport aux bâtiments d'élevage15

Autres systèmes de séchage possibles17

Pkz iuâ'z j'"t zRinuoy- ot»kz'ozzkskt' k' luti'outtkskt'31Coût d'investissement d'un séchoir solaire20

Dépenses annuelles d'un séchoir solaire22

Pkz jollRykt'kz R'gvkz vu"y iutik»uoy zut zRinuoy34

Anticiper la mise en place du séchoir23

Les étapes administratives pour la réalisation du projet23

111' 3kb8gDL8mDhg >N LqLmSF? AhNkk8b?k),ctk vrgik ikt'ygrk vu"y rk vT'"ygmk36

Pk luot zRinR kt mygtmk iutz'o'"k rk vyotiovgr z'uiq j'nkyhk iutzky»R38

Les surfaces récoltées27

Répartition des tonnages d'herbe récoltée28 L'essentiel des stocks provient de prairies temporaires.28 Des stocks constitués d'abord lors des deux premières coupes29

Une première coupe parfois tardive29

L'essentiel des chantiers entre 15 mai et le 30 juin30 Un rendement de 3 tonnes de matière sèche/ha et par fauche31

Des surfaces exclusivement fauchées31

Près de 3,5 tonnes brut de foin par vache et par an32Euâ' jkz yRiur'kz kt luot zRinR kt mygtmk43

Exemples de chaînes de récolte cohérentes33

17' 4k8DkD?L ?m o8e?NkL 8eDF?gm8Dk?L >N AhDg LR:CR ?g bk8gb?*,Msvrgt'g'out jk vygoyokz jk lg"ink jkz'otRkz g" zRingmk kt mygtmk46

Quelles espèces semer?35

Association simple ou prairie multi-espèces?36

Quelles espèces choisir?36

Quand semer?40

Entretenir la fertilité du sol41

dgrk"y groskt'goyk j" luot »kt'orR54Une valeur supérieure à celle des foins séchés au sol43

Des valeurs équilibrées pour composer des rations44 Analyser pour pouvoir ajuster la complémentation46 2

7' 0hg>NDm? >N mkhNI?8N+.

ct zûz'Ssk gjgv'R U rg jo»kyzo'R jkz 'yu"vkg"oe k' U rg Ruysgtjok58

Une ingestion de foin élevée47

Une production laitière selon les objectifs des éleveurs48 L'expression du potentiel laitier possible avec du foin séché en grange48 Des variations d'état corporel plus importantes avec le foin49

Pkz yg'outz61

Des rations hivernales basées d'abord sur un fourrage unique50 Et de l'herbe pâturée au printemps et en été50

Du concentré consommé avec modération51

Une règle d'or l'hiver, distribuer du bon foin sans oublier une part de foin " grossier »52

C"'ykz otjoig'k"yz64

Qualité du lait53

Un meilleur profil d'acides gras du lait53

Des frais vétérinaires réduits53

71' 5RLNem8mL R:hghFDjN?L,,

VRzkg" jkz Rrk»k"yz Ruysgtjz66

Un produit brut des systèmes avec séchoir dopé par une bonne valorisation du lait57 Le séchoir génère des économies sur le coût alimentaire58 Tous les grands postes de charges de structures impactés par la mise en place du séchoir59 Malgré de lourds investissements, jeu égal sur le résultat courant par UMO60

Un investissement sur le long terme61

aos"rg'out j'"t ingtmkskt' j'"t zûz'Ssk sgÉz »kyz "t zûz'Ssk luot zRinR72 Des marges directes assez proches avant prise en compte de l'investissement61

711' 6g mk8o8De FD?Np kRI8kmD >8gL e%8ggR? ?m IeNL 8bkR89e? F8DL IeNL :hgmk8Dbg8gm -,

Pg yRj"i'out j" 'yg»gor j'gz'ykot'k jgtz rkz zûz'Sskz rgo'okyz myTik g" zRingmk kt mygtmk76 L'alimentation des vaches laitières plus rapide65

Mais un temps de traite qui s'allonge66

De meilleures conditions de travail en hiver grâce à la griffe à foin66 Des points clés à maîtriser pour conserver ces avantages67

Pk 'yg»gor jk zgozut t'kz' vgz yRj"o'78

Mais un travail mieux réparti sur l'année...68 Une répartition et une organisation du travail sur la SFP différentes68 L'organisation des récoltes de foin ventilé: des avantages et des inconvénients.69 ct mgot kt iutluy' zo ik t'kz' kt nk"ykz jk 'yg»gor81

7111' 6g? 8FReDhk8mDhg >? e8 >Nk89DeDmR >?L ?pIehDm8mDhgL.(

Fkz vuot'z luy'zB

Une gestion durable de l'espace?

Des pratiques agricoles respectueuses de l'environnement? Des démarches de qualité très présentes?

Une autonomie des exploitations élevée...?

Des éleveurs investis dans les réseaux d'échanges? Fkz zûz'Sskz Riutusox"kskt' »oghrkz z"y rk rutm 'kyskB S'appuyer sur une efficience économique élevée? 3

Édito

À l"Ouest, du nouveau avec le séchage en grange.

Les orientations des systèmes laitiers se diversifient avec une recherche d'un nouvel équilibre

entre productivité et faible impact environnemental. Le séchage en grange est l'une de

ces nouvelles voies mises en oeuvre et adoptée par les éleveurs comme une réponse aux enjeux de société, notamment environnementaux. Cette technique est apparue en Normandie

au début des années 2000 et comme toute nouvelle manière de produire, suscite des

questions, des demandes de références.

Les travaux de l'appel à projet CasDAR " Le séchage solaire en grange: une technique

innovante et durable de gestion des systèmes herbagers de l'Ouest de la France », ont permis une meilleure connaissance de la technique et ce document concrétise les références accumulées.

Ce document, une première en France pour les zones de plaine, se veut le recueil des expériences

conduites en Normandie. Il est le fruit d'un travail original qui associe étroitement les pratiques,

les résultats des éleveurs pionniers qui ont balisé les grandes règles de mise en oeuvre

et les travaux en stations expérimentales qui ont produit des références techniques précises.

Les travaux de la ferme expérimentale de la Blanche Maison permettent aujourd'hui d'avancer

des références zootechniques comparées avec une organisation fourragère classique à base

de maïs ensilage. Inexistantes auparavant, ces repères permettent de chiffrer un changement

de système. L'aspect économique -point qui suscite toujours de l'intérêt-, l'organisation

fourragère, la conduite des troupeaux, ont été directement étudiés en élevage avec douze

exploitations suivies selon la méthode des réseaux d'élevage pour le conseil et la prospective.

L'éleveur, ses représentants, son encadrement, trouveront donc des données précises et des

références objectives sur les grandes lignes de la conception et de la conduite d'un projet

de séchage en grange. Les décideurs y trouveront de la matière pour étayer leurs choix

en matière d'orientations des exploitations.

Stéphane Grandval

Président de SEGRAFO

NormandieRémy BailhachePrésident de la Chambre d'agriculture de la MancheDaniel GénisselPrésident de la Chambre régionaled'agriculture de Normandie

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Des zones de montagnes

à l"Ouest...

La technique de séchage en grange est originaire des zones de montagnes comme la Suisse, l'Autriche, le Jura, la Savoie. Dans ces régions, où la culture du maïs est parfois difficile et où les hivers peuvent être longs et rigoureux, les besoins en stocks fourragers sont importants. D'autre part, les productions fromagères de ces zones (pâtes cuites pressées) imposent une qualité sanitaire du lait irréprochable et notamment l'absence de butyriques, ce qui conduit les producteurs laitiers à l'utilisation du foin comme fourrage principal et souvent unique. Le séchage en gra nge est une technique permettant de maximiser la valeur du foin, élément important lorsque l'on vise une ration de qualité et le maintien d'une bonne productivité animale.

La technique s"est adaptée

Aujourd'hui, cette technique a été exportée dans l'Ouest en y apportant une adaptation majeure: l'hygrométrie de l'air ambiant étant beaucoup plus importante dans l'Ouest, il est indispensable de réchauffer l'air ventilé afin d'augmenter son pouvoir évaporatoire,

à la différence des zones de montagnes, où il esthx m•UbSax xh alShax lxjimx mol fS l•Uifnx V'oh yiollSax xhUilx bogcVx Vihn fx m•UbSax mx jiolmocn xh alShax jSl pxhncfSncih V'Scl UbSoV- Axnnx nxUbhckox+ ShUcxhhx xn tcxh Uihhox+ m'xmn jxlyxUncihh•x So Uiolm Vo nxgjm xn Vxjocm koxfkoxm Shh•xm yScn Vx jfom xh jfom V'SVxjnxm bilm Vx mxm l•acihm nlSVcncihhxffxm V'oncfcmSncih-

aIIIII II possible de ventiler uniquement avec l'air ambiant. De plus, le réchauffage de l'air permet de récolter le foin un peu plus humide, et donc d'améliorer sa qualité. Pour réchauffer cet air ventilé, les choix se sont souvent portés sur les énergies renouvelables: solaire, chaudières à bois, à huile, chaleur coproduit de la méthanisation (très peu développé jusqu'à présent), aux dépens des chaudières à fuel, gaz, résistances électriques, et des déshumidificateurs (déshydratation de l'air).

De multiples motivations

pour ces " sécheurs de l"Ouest » Cette technique se développe dans l'Ouest depuis l'année

2001, à partir du moment où l'association SEGRAFO (SEchage

en GRAnge des FOurrages) a été créée pour en faire la promotion et la développer. Ainsi entre 2001 et 2009, une centaine de séchoirs ont été progressivement mis en place en Normandie, Bretagne et Pays de la Loire. Cette technique est parfois soutenue financièrement par les collectivités publiques et par certaines laiteries intéressées par la production de lait sans fourrages ensilés. Pour certains, les CTE ou CAD ont

également constitué une aide possible.

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100 mf ij VDy, 70 stxrfsijy,

370000 qnzxjy ij qfnz uxti'nzy,

y²hmtnx ij 350 ztssjy htsyzx'nz js 2007. Le séchage en grange pour des filières de qualité. Depuis notre installation en GAEC à deux associés en 1991, notre système a évolué progressivement pour aller vers un système plus durable. Nous avons choisi de développer un système herbager car les terres argilo-siliceuses du Pays d'Ouche (61) gardent l'humidité, portent mal l'hiver et sont difficiles à travailler. La prairie est adaptée dans ce type de terrain. Aujourd'hui, nous sommes certifiés en Agriculture Biologique (AB) (depuis 2002) et livrons notre lait en Appellation d'Origine Contrôlée (AOC). Nous avons choisi de construire un séchoir en 2007 pour différentes raisons: - Cette solution nous est apparue comme naturelle et en lien avec notre mode de production AB et AOC. - Nous produisons ainsi un lait de qualité, avec des taux intéressants et présentant une bonne fromageabilité que nous pouvons valoriser par le circuit de commercialisation AOC. - Nous recherchons des conditions de travail simplifiées au maximum et le séchoir répond à cet objectif pour la distribution Fjy ê y²hmj'xy ij q'R'jyz à ytsz uxnshnufqjrjsz ijy ²qj"j'xy qfnznjxy itsz qjy rtzn"fzntsy ytsz yt'"jsz qn²jy b 's hmtn» ij y...yz_rj kt'xxfljx. of "tqtsz² i'fgfsitssjx qj rfçy jsynqflj jyz yt'"jsz ux²yjszj. hqqj y'fyythnj kx²v'jrrjsz b i'f'zxjy tgojhznky zjhmsnv'jy zjqy v'j qf xjhmjxhmj i'f'ztstrnj kt'xxfl_xj jz uxtz²nv'j, ij zxf`fgnqnz² i' qfnz (yfsy Rjp), ij v'fqnz² yfsnzfnxj i' qfnz qn"x². Lq kf'z f'yyn ²"tv'jx qjy rtzn"fzntsy ê knqn_xj à qn²jy f'» jslfljrjszy ij hjxzfnsy ²qj"j'xy ifsy qjy i²rfxhmjy v'fqnz² ij qj'xy qfnzjxnjy. ojy rtzn"fzntsy ê zxf"fnq à ytsz ²lfqjrjsz, ut'x hjxzfnsy ²qj"j'xy, 'sj uxntxnz² f"jh qf xjhmjxhmj i''sj f'ztstrnj ij hmfsznjx, ij ynruqnknhfznts jz i'fr²qntxfznts ij qf v'fqnz² ij zxf"fnq js mn"jx. t 02 "-). +-*!$'. &<' 1 0-. $)/<- ..<. +- ' / #)$,0

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