Les Français et le financement de la Sécurité Sociale
Ifop pour Le Journal du Dimanche Les Français et le financement de la Sécurité Sociale Septembre 2013 2 Méthodologie Ce doument présente les résultats d’une étude réalisée par l’Ifop Elle respecte fidèlement les prinipes sientifiques et déontologiques de l’enquête par sondage
Les Français et les frais de santé : budget, financement et
notamment chez les 50 ans et + (61 ) Les soins dentaires, les soins d’optique et les prothèses auditives sont les soins dont le « reste à charge » est le plus élevé pour les Français Près d’un Français sur cinq (18 ) a eu des difficultés pour payer ses frais de santé au cours des 12
Le système de retraite français et son financement
Le système de retraite français et son financement Comment fonctionne notre système de retraite ? Notre système de retraite repose sur le principe de la répartition : les actifs ayant un emploi versent des cotisations à une caisse de retraite qui les utilise immédiatement pour payer les pensions des retraités actuels
Cartographie des acteurs français pour le financement du
optimale et non mises à disposition par l’Etat L’objectif du financement des CCD par les candidats est double : augmenter l’attractivité des projets pour le secteur privé et permettre d’assurer de la concurrence afin de maximiser la valeur ajoutée des projets pour les Etats
LESFRANCAIS ET LES FRAIS DE SANTÉ : BUDGET, FINANCEMENT ET
Echantillon constitué d’après la méthode des quotas sur les critères suivants : sexe, âge, profession, région de résidence et catégorie d’agglomération CSA pour Cofidis –Les Français et les frais de santé -Octobre 2018
Le financement du système de retraite français
présentant les réserves financières et les capacités d’endettement des régimes de retraite français en 2012 Il fait également le point sur les contraintes et modalités de gestion des réserves selon les régimes La fiche 3 présente l’architecture et le financement des systèmes de retraite dans une
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Pourquoi les plateformes de financement participatif doivent intégrer le plan « France relance » Le plan « France Relance » s’appuie su une am ition légitime que les plateformes de financement participatif partagent : dynamise l’épagne des Français, pour la diriger vers la relance et des investissements de long terme
8 Français sur 10 considèrent que les associations manquent
Au-delà du financement des associations, ce sondage apporte également des données très intéressantes et nouvelles concernant l’opinion des Français en matière d’emploi salarié dans les associations, de bénévolat ainsi que sur l’économie solidaire Le sondage révèle ainsi un
FICHE RESUME : LE FINANCEMENT DES ECOQUARTIERS
Le test conduit avec les villes a été riche en enseignements, la démarche suscitant des débats vifs et animés En conclusion du test, il est important de souligner que la méthode d’analyse et de pilotage finanie reste une démarche unique car absente des labels et des certifications existants à ce jour 6 Les prochaines étapes
DES ENTREPRISES EN AFRIQUE - franceinvesteu
Le financement des séries A et B s’accélère En 2017, le secteur du capital-innovation a évolué vers une stratégie de long terme L’accès au capital nécessaire à la création de PME africaines innovantes a d’abord nécessité une meilleure structuration du financement «early stage» en fonds propres C’est pourquoi les
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A l'occasion du
Communiqué de presse
- Mardi 20 novembre 2007 Pour la première fois, grâce à un sondage CSA 1 réalisé pour le Crédit Coopératif et Deloitte et In Extenso, les Français donnent leur opinion sur le financement des associations.8 Français sur 10 considèrent que les
associations manquent de financement... et 2 Français sur 3 pensent qu'elles ont un poids important dans l'économie nationale !Cette année, le sondage "
Les Français et le financement des associations », mené par CSA pour le Crédit Coopératif et Deloitte et In Extenso, innove sur 2 points : en interrogeant, pour la première fois, les Français sur le niveau et la nature des financements des associations et en termes de méthode, en apportant, dans le libellé même des questions, des données d'ensemble sur le secteur associatif.Ainsi, l'écueil de résultats fondés sur une méconnaissance du monde associatif est évité.
Les conclusions sont sans appel : 84% des Français estiment que les financements des associations sont insuffisants, et ils sont 2 sur 3 à considérer que le poids des associations dans l'économie est important (82% souhaitent d'ailleurs qu'il se maintienne ou se renforce dans les années à venir)2Les associations manquent de financements
84% des Français considèrent que les financements des associations sont insuffisants pour
mener à bien leurs missions. Ce chiffre passe à 87% lorsqu'on les interroge sur les ressources des associations d'action sociale et de santé. Deux sources de financement apparaissent encore insuffisantes aux yeux des Français : la participation des entreprises (56%) et les subventions publiques (40%). Cependant, 45% des Français estiment que les subventions publiques sont à un bon niveau. " Il ne s'agit pas d'opposer les financements publics et privés », préciseHugues Sibille, directeur général délégué du Crédit Coopératif. " Les associations,
parce qu'elles remplissent des missions d'intérêt général, ont besoin d'argent public. Les
deux mots clés sont : sécurité des financements et diversification vers d'autres sources de financement ». 1Sondage réalisé en novembre 2007 auprès d'un échantillon représentatif de 1000 français âgés de 18 ans et plus
2Le secteur associatif représente 5% du volume de l'emploi dans le pays, et son budget près de 3,5% du PIB
1 / 2 Les associations sont reconnues par les français et leurs spécificités sont bien perçues Malgré les aléas, les Français font massivement confiance aux associations (71%). Ils sont nombreux (85%) à souhaiter qu'elles réalisent des progrès pour améliorer leur fonctionnement : qualité des informations communiquées, gestion des ressources, instances statutaires... Comme le souligne Jean-Pierre Vercamer, associé Deloitte, en charge de l'audit des associations , " C'est le résultat d'une confiance qui se mérite et a été obtenue sur le long terme : respect du donateur, contrôle du financeur public, partage d'uneinformation renforcée tant sur le plan financier que sur la qualité des prestations rendues ».
La spécificité des associations est reconnue : près d'un interviewé sur deux (47%) estime que les services rendus par les associations sont moins chers que ceux d'une entreprise privée : car elles " ne font pas de profit » (pour 53% des interviewés) car elles " bénéficient du travail des bénévoles » (58% des interviewés). Ils ne sont que 6% à l'expliquer par une moins bonne qualité des services proposés. La reconnaissance des spécificités des associations se traduit aussi dans l'opinion des Français sur les dérogations dont elles pourraient bénéficier en matière de droit fiscal ou social : plus des ¾ d'entre eux souhaitent que les associations " bénéficient de dispositions fiscales particulières » (78%) et " paient moins de charges sociales que les entreprises » (76%). Ils estiment néanmoins que ces dérogations ne doivent pas avoir un caractère systématique mais être appréciées en fonction de critères. Au-delà du financement des associations, ce sondage apporte également des données très intéressantes et nouvelles concernant l'opinion des Français en matière d'emploi salariédans les associations, de bénévolat ainsi que sur l'économie solidaire. Le sondage révèle
ainsi un important potentiel de bénévolat car nombreux sont les Français prêts à s'engager et ils sont particulièrement peu nombreux à mettre le travail bénévole en concurrence avec le travail salarié. Hugues Sibille et Jean-Pierre Vercamer s'accordent pour dire que " l'opinion des Français, au travers de ce sondage, est nuancée, ce qui témoigne d'une certain maturité du public à l'égard des associations ».Un sondage au coeur de l'actualité associative
Ce sondage fera écho au 2
nd Forum National des Associations & Fondations, qui se tiendra le vendredi 30 novembre prochain au Palais des Congrès de Paris, avec comme thématique générale : " Ressources humaines et financières, la nouvelle donne ». Véritable lieu de formation, d'information et d'échanges, ce forum réunira plus de 2000 responsables et dirigeants du secteur associatif, ainsi que l'ensemble des professionnels qui les accompagnent (experts, banquiers, collectivités locales, établissements publics...).Ce sondage pourra également offrir des éléments d'appréciation supplémentaires dans les
forums, rencontres et débats qui se tiendront lors de la Journée Mondiale du Bénévolat, le 5 décembre prochain.