Corrigé du TD no 7 - Institut de Mathématiques de Toulouse
Corrigé du TD no 7 Exercice 1 D’après la question précédente, pour montrer que l’ensemble quotient E/ kest en bijection avec R ∪{∞},
RELATION BINAIRE - Claude Bernard University Lyon 1
Exercice 1 : Soit { }et la relation binaire sur dont le graphe est {( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( )} 1 Vérifier que la relation est une relation d’équivalence 2 Faire la liste des classes d’équivalences distinctes et donner l’ensemble quotient Allez à : Correction exercice 1 : Exercice 2 : 1 Montrer que la relation de congruence
On pose - Claude Bernard University Lyon 1
3°) L’ensemble quotient est l’ensemble des classes d’équivalence : On est obligé de considérer (ou car pour , donc si on considère , on écrirait deux fois chaque classe Exercice 4 : Soit la relation définie sur par : Montrer que est une relation d’ordre total Correction Première méthode donc , est réflexive
Module B03 Feuille d’exercices N 5 - univ-rennes1fr
d’´equivalence Trouver une bijection de l’ensemble-quotient N2/S sur Z Exercice n 5 Soit E l’ensemble dont les ´el´ements sont les parties finies de N On d´efinit une relation binaire S sur E en posant ASB si X a∈A a = X b∈B b Montrer que S est une relation d’´equivalence sur E Montrer que les classes sont des ensembles
Logique, ensembles et applications - e Math
Exercice 14 **** Pour n > 1, on pose H n = ån k=1 1 k Montrer que, pour n > 2, H n n’est jamais un entier (indication : montrer par récurrence que H n est le quotient d’un entier impair par un entier pair en distingant les cas où n est pair et n est impair) Correction H [005116] Exercice 15 ***I Théorème de CANTOR
INF124 - imag
Exercice 5 : Relation d’équivalence et ensemble quotient (10pt) OnconsidèrelarelationR surN définiepar x R y sietseulementsi x 10 = y 10 Exemples : - 40 R 49 puisque40 10 = 4 = 49 10 - : 49 R 50 puisque49 10 = 4 6= 5 = 50 10 6
THS-COURS
exercice corrigé Chapitre fonction inverse EXERCICE 3 : fonction avec un quotient temps estimé:5mn ENONCÉ Donner l'ensemble de dé nition des fonctions ci-dessous Chacune des courbes ci-dessous correspond à une des fonction données, déterminer quelle est la repré-sentation graphique de chacune d'elles 1 f(x) = x+3 x+2 2 g(x) = 3 x 2
Examen partiel - Corrigé
L3MathESR–Algèbre5 2novembre2016 Examen partiel - Corrigé I - Exemples (5 points) 1 Donner un exemple de polynôme P ∈R[X] de degré 2 tel que l’anneau quotient R[X]/(P) nesoitpasisomorpheàC (justifierrapidement,deuxphrasesdevraientsuf-
CAHIER D’EXERCICES
Exercice 7 Soit X = (xi)i2I un ensemble quelconque qu’on appelle alphabet On se propose de construire le groupe libre F(X) dont les g en erateurs sont les el ements de X On associe a X un ensemble X 1 = (x 1 i)i2I de telle sorte que l’application xi 2 X 7 x 1 i 2 X 1 soit une bijection On appelle mot sur X toute suite nie u = x"1 i1:::x
[PDF] exercice relation d'equivalence
[PDF] chargaff adn
[PDF] ordre de grandeur de la voie lactée
[PDF] a+t / g+c
[PDF] niveaux d'organisation du vivant svt
[PDF] les différents niveaux d'organisation du vivant
[PDF] niveau d'organisation du vivant exercices
[PDF] les différents niveaux d'organisation des êtres vivants
[PDF] niveau d'organisation biologique
[PDF] décomposition d'un vecteur dans une base 1ere s
[PDF] diamètre du noyau d'un atome
[PDF] ordre de grandeur electron
[PDF] ordre de grandeur d'un noyau atomique
[PDF] a l aide de la relation de chasles simplifier les expressions suivantes
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CPP - 2013/2014 Algèbre générale I
J. Gillibert
Corrigé du TD n
o7Exercice 1 Dire si chacune des relations ci-dessous est réflexive, symétrique, ou transitive.1. La relationRsurQdéfinie par :
xRy?xy?= 0 (a) La relationRest-elle réflexive? C"est-à-dire, est-il vrai quexRxpour toutx?Q? IcixRx signifiex2?= 0, ce qui est faux pourx= 0. DoncRn"est pas réflexive. (b) La relationRest-elle symétrique? C"est-à-dire, est-il vrai quexRy?yRxpour tout couple (x,y)?Q2? La réponse est oui, carxy?= 0?yx?= 0.(c) La relationRest-elle transitive? C"est-à-dire, étant donné trois nombresx,yetztels quexRy
etyRz, est-il vrai quexRz? La réponse est oui. En effet, sixy?= 0alorsx?= 0ety?= 0. De même, siyz?= 0, alorsy?= 0etz?= 0. Il en résulte quexz?= 0puisquexetzsont non nuls.2. La relationTsurZdéfinie par :
aTb?a-best divisible par2ou par3 (a) La relationTest réflexive. En effet, pour touta?Z,a-a= 0est divisible par2(et par3!). (b) La relationTest symétrique. En effet, siaTbest vrai, alorsa-best divisible par2ou par3, donc son opposéb-aest lui aussi divisible par2ou par3, c"est-à-dire quebTaest vrai. (c) La relationTn"est pas transitive. On peut donner le contre-exemple suivant :6T3et3T1sont vrais, mais6T1est faux.Exercice 2
On considère la relationRsurRdéfinie par :
xRy?x2-y2=x-y1. On remarque que :
xRy?x2-x=y2-yGrâce à cette nouvelle formulation, il est facile de vérifier queRest une relation d"équivalence (ce
que nous ne faisons pas ici).2. Soitx?R. Par définition, la classe d"équivalence dex, notéeCl(x), est l"ensemble
Cl(x) ={y?R|xRy}
On cherche donc l"ensemble desysatisfaisantx2-y2=x-y. Bien sûr,y=xest solution, puisqueRest réflexive. Pour trouver les autres solutions, on peut supposer quey?=x. Sachant que x2-y2= (x-y)(x+y), l"équation devient(x-y)(x+y) =x-y, d"oùx+y= 1en divisant les
deux côtés parx-y. Autrement dit,y= 1-x. Au final, nous avons montré que :Cl(x) ={x,1-x}.
Exercice 3
On définit une relation≂surP(R)(l"ensemble des parties deR) en posant :X≂Y?X?[0,1] =Y?[0,1]
11. Vérifions que≂est bien une relation d"équivalence :
(a) Réflexivité : pour toute partieXdeR, il est vrai queX?[0,1] =X?[0,1], doncX≂X. (b) Symétrie : siXetYsont deux parties deR, alors :X?[0,1] =Y?[0,1]?Y?[0,1] =X?[0,1]
c"est-à-dire queX≂Y?Y≂X. (c) Transitivité : siX,YetZsont trois parties deRtelles queX≂YetY≂Z, alors nous avonsX?[0,1] =Y?[0,1]etY?[0,1] =Z?[0,1]
il en résulte queX?[0,1] =Z?[0,1]
c"est-à-dire queX≂Z.2. La classe d"équivalence deXpour la relation≂est
Cl(X) ={Y?P(R)|X?[0,1] =Y?[0,1]}
Afin de décrire plus explicitementCl(X), on fait la remarque suivante :X?[0,1] =Y?[0,1]si et seulement siX\[0,1] =Y\[0,1]. À partir de là, on voit que :Cl(X) ={(X\[0,1])?A|A?[0,1]}
3. Par définition, l"ensemble quotientP(R)/≂est l"ensemble des classes d"équivalence pour la relation
≂. Pour identifier cet ensemble, on peut choisir un représentant, le plus naturel possible, dans chaque
classe. Or, d"après la question précédente, la classe deXest caractérisée parX\[0,1], que l"on
peut prendre comme représentant. Vu sous cet angle, l"ensemble quotient s"identifie à l"ensemble
des parties de la formeX\[0,1], c"est-à-dire à l"ensemble des parties deR\[0,1].Exercice 4
SoitEl"ensemble des droites du plan euclidienR2. On considère la relation?surEdéfinie par :D?D??Dest parallèle àD?
1. Vérifions que?est une relation d"équivalence :
(a) Réflexivité : une droiteDest bien parallèle à elle-même. (b) Symétrie : siDest parallèle àD?, alorsD?est parallèle àD.(c) Transitivité : siDest parallèle àD?, et siD?est parallèle àD??, alorsDest parallèle àD??.
2. SoitE0l"ensemble des droites passant par l"origine. Alors chaque classe d"équivalence pour la
relation?contient un unique élément deE0: en effet, d"après le postulat d"Euclide, si l"on se donne
une droiteDdu plan, alors il passe par un point donné (ici en l"occurence, l"origine du plan) une unique droite parallèle àD. En d"autres termes, l"application E0-→E/?
D0?-→Cl(D0)
est bijective, ce qu"on voulait.3. D"après la question précédente, pour montrer que l"ensemble quotientE/?est en bijection avec
R? {∞}, il suffit de montrer queE0est en bijection avecR? {∞}. Pour cela, on considère l"application E0-→R? {∞}
D0?-→le coefficient directeur deD0
avec la convention suivante : la droite verticale a pour coefficient directeur∞. Il est facile de vérifier
que cette application est bijective, d"où le résultat. 2Exercice 5
On considère la relationRsurZ×Z?définie par : (a,b)R(c,d)?ad=bc1. Montrons queRest une relation d"équivalence
(a) Réflexivité : soit(a,b)?Z×Z?. Alorsab=badonc(a,b)R(a,b). (b) Symétrie : nous avons (a,b)R(c,d)?ad=bc?cb=da?(c,d)R(a,b) (c) Transitivité : soient trois couples(a,b),(c,d)et(e,f)tels que(a,b)R(c,d)et(c,d)R(e,f), c"est-à-diread=bcetcf=de. Alors il vient adf=bcfetbcf=bde d"où adf=bde. Commedn"est pas nul, on en déduit queaf=be, c"est-à-dire que(a,b)R(e,f).2. On considère l"application
q: (Z×Z?)/R -→QCl((a,b))?-→ab
Il faut d"abord vérifier que cette applicationqest bien définie, autrement dit que si(a,b)et(c,d)
sont deux représentants de la même classe, alors ab =cd . Or cette dernière condition se traduit par ad=bc, qui est la définition même de(a,b)R(c,d). Autrement dit : ab =cd ?(a,b)R(c,d)Ceci montre à la fois queqest bien définie, et qu"elle est injective. La surjectivité est évidente.