L’hémosidérose pulmonaire de l’enfant
fibrose pulmonaire) Elle peut aussi, dans certains cas, s’aggraver rapidement et entraîner une hémorragie pulmonaire massive, qui peut mettre la vie en danger Cependant des pro - grès ont été réalisés et elle est aujourd’hui nettement mieux prise en charge Le diagnostic
L’hémosidérose pulmonaire de l’enfant
fibrose pulmonaire) Elle peut aussi, dans certains cas, s’aggraver rapidement et entraîner une hémorragie pulmonaire massive, qui peut mettre la vie en danger Cependant des pro-grès ont été réalisés et elle est aujourd’hui nettement mieux prise en charge Le diagnostic
Qu’est-ce que le THH?
une hémorragie (un saignement important), sans aucun avertissement Les personnes atteintes de MAV pulmonaires courent également le risque d’un AVC, lorsque des caillots de sang passent au travers de la MAV pulmonaire Lorsque que ce sont des amas de bactéries qui traversent les MAV pulmonaires, il y a
Parasitaire Bactérienne Alaria Alata - ONCFS
de parasites : hémorragie pulmonaire et entérite Dans le milieu naturel : Résistance de plusieurs semaines dans les carcasses en putréfaction Au froid : Sensible à la congélation -20°c pendant 10 jours Au chaud : Sensible à la cuisson (65°c) Aux agents chimiques : Sensible aux détergents classiques (javel, formol, éthanol) Résistance
Nouveau texte des informations sur le produit – Extraits des
2 Méthotrexate – hémorragie alvéolaire pulmonaire 2 1 Pour les médicaments contenant du méthotrexate utilisés pour des indications non oncologiques Résumé des caractéristiques du produit 4 4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi Évaluation du système respiratoire
Evaluation d’un symptôme réfractaire
Atteint d’un aner pulmonaire augmente le risque d’avoir esoin d’une SP Les personnes qui ont eu esoin d’une SP ont eu moins de symptômes en moyenne La dyspnée et l’hémorragie sont des symptômes à risque L’évolution des doses de morphine dans les 7 derniers jours n’a pas montré une différence dans les deux groupes
DÉTECTION PRÉCOCE ET PLANS D’URGENCE POUR LA PESTE PORCINE
- Hémorragie pulmonaire, œdème moins fréquent - Lésions spléniques moins massives - Péricardite séreuse à fibrineuse Conf OIE 2010, 149-158
HYPERTENSION PULMONAIRE ET REPERCUSSIONS CARDIAQUES CHEZ LE
Deuxième partie : Physiopathologie de l’hypertension pulmonaire et des répercussions cardiaques associées I Modifications de la physiologie pulmonaire à l’origine d’une hypertension pulmonaire 37 A Physiologie de la circulation pulmonaire normale 37 1 Un système grande capacité, basse pression, basse résistance 38 2
Guide de prescription ELIQUIS (apixaban)
d’hémorragie est augmenté Le traitement par Eliquis doit être interrompu en cas de survenue d’hémorragie sévère Bien que le traitement par apixaban ne nécessite pas de surveillance de routine de l’exposition, un test quanttiatf ci abli ré ant- Fi acteur Xa peut être utle di ans certani es stiuatoi ns exceptoi nnelles
MONOGRAPHIE DE PRODUIT - Bristol Myers Squibb
Hémorragie digestive récente Hémorragie intracrânienne récente Anomalies vasculaires intrarachidiennes ou intracérébrales Chirurgie cérébrale, spinale ou ophtalmique récente Bronchiectasies ou antécédents d’hémorragie pulmonaire Autres Âge > 75 ans
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ÓéTecin cUeffe Te clinique
HôpiWaux UniverViWaireV Te Genève
MpW Te réaTapWaWion eW méTecine palliaWive
Service de médecine palliative
Je n'ai aucun conflit d'intĠrġt rĠels ou potentiel en lien aǀec le contenu de cette présentationDéfinition Sédation Palliative
Administration inWenWionnelle Te substances VéTaWiveV au ToVage minimal néceVVaire TanV le buW d'obtenir le VoulagemenW d'un ou pluVieurV VympWômeV réfracWaireV en réTuiVanW l'Ġtat Te conVcience temporairement ou TéfiniWivemenW d'un paWienW porWeur d'une maladie avancée TonW l'espĠrance Te vie eVWimée eVW courWe (jourV ou VemaineV)H ceci en collaboraWion avec une équipe mulWiTiVciplinaire compéWenWe.Aspects éthiques
sédation palliative (SP) pour soulager la souffrance1) Autonomie*
3) Doctrine du double effet
*Beauchamp and CUilTreVVDoctrine du double effet
Historique
ÒXIIIème siècle
ÒA propos de la légitime défense
Doctrine du double effet
ÒUn acte peut avoir deux effets: un bon - un mauvaiV1.L'acte ne ToiW paV êWre mauvaiV en lui-même (т immoralH conWre la loi eWc.)
2.L'effet inTirecW (" effeW VeconTaire ») n'est paV voulu, même s'il eVW attendu.
3.L'effet inTirecW mauvaiV n'est paV lui-même le moyen d'atteindre l'effet bon.
MiVWincWion claire enWre effeW eW inWenWion -L exJ morW ne ToiW paV êWre l'effet bienfaiVanWH reVpecWivemenW recUercUé (inWenWion)4.Proportionnalité enWre bon eW mauvaiV effeWJ le bienfaiW Te l'effet bon voulu
l'emporte Vur la nociviWé Te l'effet mauvaiV non voulu5.Il n'edžiste paV d'autres moyenV pour aWWeinTre l'effet bon voulu
Définition Symptôme réfractaire
C'est un VympWôme vécu par le paWienW comme inVupporWable eW ne pouvanW êWre conWrôlé Te manière VaWiVfaiVanWe pour le paWienW en TépiW d'une priVe en cUarge palliaWive correcWemenW menée quiH personne malaTe avec auWrui . Le moment pour commencer une sédation palliative ÒDes facteurs liés au malade: gestion de sa maladie, son expérience Te Vouffrance auparavanWH VeV aWWenWeV enverV la fin ÒDes facteurs liés au personnel soignant: expériences profeVVionnelV eW privéeVH propre percepWion Te la VouffranceH Symptôme vécu par le patient comme insupportableÒPatient donne son consentement pour une SP
ÒA besoin de sa capacité de discernement pour donner son conVenWemenW à la SP discernement? ÒEtat confusionnel avec agitation psychomotricePrévalence
PrĠsence d'un ou plusieurs
symptômes réfractairesÒDelirium hyperactif (13.8% à 91.3%)
ÒDyspnée (8.7% à 63%)
ÒDouleur (9.5 à 49.2%)
ÒHémorragie (3.5%)
ÒInsomnie/Fatigue
ÒNausées/Vomissements
ÒSouffrance psychique/ spirituelle
Maltoni eW al. JCO. 2012;30H12.
JaVperV eW al. J PalliaW ÓeT. 2012;15H6.
Symptôme réfractaire* N = 24
Dyspnée 18 (75%)
Mélirium UyperacWif 9 (37.5%)
Anxiété 4 (17%)
Insomnie/Fatigue 4 (17%)
Pain 3 (12.5%)
Hémorragie aiguë maVVive 2 (8%)
Hémoptysie 1 (4%)
* La Vomme L100% en raiVon Te pluVieurV VympWômeV réfractaires présents parallèlementAnalyse de littérature
ÒDosage des sédatifs utilisés: en moyenne 23mg/24h de miTaYolam par voie Vc. dernière semaine de vie chez les patients ayant nécessité une VéTaWion comparé à ceux TécéTéV VanV VéTaWion. ÒLe risque de finir sa vie sous sédation est augmenté en cas d'utilisation de hautes doses d'opiacĠs dans les derniğres 72h de vie.Fainsinger eW al.JPSÓ.1998;16H3.
OoUara eW al. JPÓ.2005;8H1
OoVWen eW al. NJC.2011; 47.
Le vécu des proches
0%20%40%60%80%
At the right moment
Maybe too late
Doesn't know
No answer
Am J HoVp PalliaW Care. 2013 Jan 15. [Npub aUeaT of prinW]Hypothèse
Il y a une Tifférence enWre l'Ġǀolution Te l'utilisation TeV opiacéVH TeV benYo-TiaYépineV eW TeV neurolepWiqueV TanV la
Vemaine avanW la VéTaWion palliaWive cUeY
leV perVonneV recevanW une VéTaWion palliaWive en comparanW à ceux VanVVéTaWion palliaWive.
Méthodes (1/2)
ÒEtude réWroVpecWive comparaWive enWre un groupe " caV » (avec VéTaWion palliaWive) eW un groupe " conWrôle » VanV VéTaWion palliative ÒInclusion TeV 29 paWienWV VéTaWéV penTanW la périoTe Tu0.1.07.2010 eW le 30.06.2012 (24 moiV) eW un groupe Te conWrôle
(ranTomiVaWion Vimple) Te 99 paWienWV UoVpiWaliVéV penTanW la même périoTe Te WempV.Méthodes (2/2)
ÒAnalyse TeV ToVageV TeV opiacéVH benYoTiaYépineV eW neuroleptiques uWiliVéV 7 jourV avanW eW au momenW Te la VéTaWionH reVpecWivemenW le jour Tu TécèV (pour le groupe Te conWrôle). ÒMême analyVe Tu nombre Te réVerveV uWiliVéV eW Te la quanWiWé totale TeV réVerveV uWiliVéeV Vur leV 7 jourV avanW la VéTaWion palliative, reVpecWivemenW avanW le TécèV (pour le groupe Te conWrôle.) ÒRécolte TeV TonnéeV généraleV Vur leV paWienWVJ âgeH malaTie WerminaleH VympWômeV réfracWaireVH reVpecWivemenW principauxDonnées
démographiquesGroupe sédaté
N=29Groupe
conWrôle N=99ÓalaTie oncologique
Pulmonaire
ORLHématologique
Gynécologique
MigeVWif
Urologique
NnTocrinologique
OVWéo-muVculaire
Rénal
Neurologique
MermaWologique
AuWre25 (86%)
12 3 3 2 1 1 1 1 1 0 0 078 (79)
12 1 2 10 289 1 2 2 5 3 3 p = 0.001
ÓalaTie non
oncologiqueNeurologique
CarTiaque
MigeVWif
Pulmonaire
Rénal
InfecWieux
4 (14%)
1 1 1 1 0 021 (21)
10 3 3 2 2 1 p = 0.8Groupe sédaté N=29 Groupe contrôle N=99
Age moyen (ans), écart-Wype 67 (12.6) 75 (12.5) t = 3.14H p = 0.002 Sexe M/F 19/10 (65.5%/34.5%) 52/47 (52.5%/47.5%) 2 = 1.53H p = 0.2 Maladie oncologique 25 (86%) 78 (79%) 2 = 0.76H p = 0.4 Nombre moyen de symptômes 1.4 1.7 t = 1.9H p = 0.06 -Avec 1 symptômeDyspnée
Hémorragie
Etat confusionnel
Anxiété
Douleurs
Nausées/vomissements
Autres
18 (62%)
7 4 4 1 1 1 044 (44.5)
7 0 4 0 17 2 14 -Avec plusieurs symptômesDyspnée
Etat confusionnel
Anxiété
Douleurs
Hémorragie
Anxiété
Nausées/vomiVVemenWV
AuWreV
11 (38%)
8 7 3 3 2 0 0 055 (55.5)
17 319 37
3 9 13 11
Symptômes
Sedation Odds Ratio P [95% Conf. Interval]
anxiety 0.98 0.972 0.24 3.89 bleeding 5.06 0.041 1.07 24.06 delirium 1.31 0.585 0.50 3.46 dyspnoea 2.59 0.054 0.98 6.83 fatigue (omitted) nausea 0.36 0.352 0.04 3.11 pain 0.21 0.012 0.06 0.71Symptômes
Utilisation des opiacés
(doses équivalentes à la morphine)Evolution sur 7 jours
Groupe
sédaté N=29Groupe
contrôle N=99P IC 95%
7 jours avant
(moyenne) 72 mg48 mg 0.35 -26.6;75.3
Au moment de la
sédation/décès103 mg 99 mg 0.92 -64.7;72.1
Utilisation des benzodiazépines
(doses équivalentes au diazépam)Evolution sur 7 jours
Groupe VéTaWé
N=29Groupe
contrôle N=99P IC 95%
7 jours avant
(moyenne)6.34 mg 3.48 mg 0.69 -5.77;0.38
Au moment de la
sédation/décès27.1 mg 5.9 mg 0.02 -39.53; -2.9
Utilisation des neuroleptiques
Evolution sur 7 jours
Groupe VéTaWé
N=29Groupe
contrôle N=99P IC 95%
7 jours avant
(moyenne)0.54 mg 0.44 mg 0.68 -5.74;0.38
Au moment de la
sédation/décès2.9 mg 0.7 mg 0.0016 -3.42; -0.82
Utilisation des réserves
sur les 7 joursMédicaments
Groupe VéTaWé
N=29Groupe contrôle
N=99 pMorphine (mg) 54.0 50.5 p = 0.99
Morphine (doses) 6.8 4.0 p = 0.001
Benzodiazépines (mg) 19.2 13.0 p = 0.15
Benzodiazépines (doses) 4.4 1.9 p = 0.0002
Neuroleptique (mg) 3.8 0.6 p = 0.01
Neuroleptique (doses) 2.3 0.8 p = 0.008
Conclusion
ÒL'Ġǀolution des doses de morphine dans les 7 derniers jours n'a pas montré une différence dans les deux groupes. En revanche, chez les perVonneV qui onW eu une SPH leV ToVeV Te benYoTiaYépineV eW neurolepWiqueV onW éWé pluV imporWanWeV au momenW Te la SP
ÒPour chaque groupe de médicament, les doses (en nombre) de réserves qui ont été utilisées lors de la dernière semaine ont été VignificaWivemenW pluV élevéeV TanV le groupe SP