Physiologie respiratoire Structure et fonctions de l’appareil
à l'étage bulbaire: 1 Un groupe respiratoire dorsal (neurones inspiratoires) faisceau réticulospinal lat (contra lat) vers le groupe respiratoire ventral vers le centre pneumotaxique reçoit toutes les afférences venant des récepteurs pulmonaires mais également des chémorécepteurs carotidiens 2 un groupe respiratoire ventral
REGULATION DE LA RESPIRATION
A LE GROUPE CELLULAIRE RESPIRATOIRE DORSAL 1 Est le centre bulbaire de la régulation de la ventilation 2 Reçoit les informations de la IX et X paires de nerfs crâniens 3 Contient uniquement des neurones de type inspiratoires 4 A une activité rythmique REGULATION DE LA RESPIRATION Tlemcen Novembre 2018 Dr A Benammar 42 B LA
L appareil respiratoire
Un centre respiratoire: Bulbaire : plancher du 4éme ventricule (+directement P° P de gaz carbonique et PH sg et indirect par les FOSC: hypoxie = P° P O2 ) Des fibres centrifuges: Nerf phrénique ++(diaphragme) TPG
APPAREIL RESPIRATOIRE
Les efforts physiques vont aussi stimuler le centre bulbaire, qui va faire augmenter les mouvements respiratoires Le sommeil : baisse de la ventilation et de la pO2 et augmentation de la pCO2 VII/ Anoxie et hypoxie Anoxie : baisse importante de la quantité d'O2 apportée aux tissus
RESPIROT - Pharmanimal
centre respiratoire bulbaire Elle entraîne un approfondissement et une légère accélération des mouvements respiratoires et supprime les dépressions respiratoires consécutives à l'administration d'anesthésiques
UE3-2 - Physiologie – Physiologie Respiratoire
Automatisme respiratoire • Centre apneustique (APN) – Excitateur des centres bulbaires, rôle mal connu • Centre pneumotaxique (PNX) – situé dans la partie supérieure du pont – module de l’activité des centres bulbaires en fonction d’informations centrales et périphériques
La dyspnée
Un centre respiratoire bulbaire: -Situé dans le plancher du ventricule -excité directement par la pression partielle de gaz carbonique et le pH sanguin -excité indirectement par l'intermédiaire des fibres centripètes d'origine sino-carotidienne par l'hypoxie (baisse de la pression partielle d'oxygène) Des fibres centrifuges :
Lorraine Waechter - http://fichesecnwordpresscom/
Dysrythmie respiratoire Küssmaul Rythme lent – 4 temps Inspiration et expiration profondes régulières entrecoupées de pause respiratoire Etio : Acide métabolique Cheynes-Stockes Cycle respiratoire anarchique Accélération et amplification puis décélération jusqu’à une pause Etio : Atteinte du centre respiratoire bulbaire
Motricité du tractus digestif : La déglutition, anatomie
fonctionnement en harmonie avec le centre respiratoire, la digestion et la respiration passant toute deux par le pharynx Plusieurs parties sont impliquées dans la déglutition, Le pharynx: C’est une voie ommune aux systèmes respiratoire et digestif La
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Motricité du tractus
digestif :La déglutition, anatomie
musculaire et nerveuseI. Introduction
La motricité gastrique est assurée par des fibres musculaires lisses, exception faite du couche circulaire interne et longitudinale externe. Elles sont organisées en syncytium et sont temps. De plus, les fibres musculaires lisses sont capables de se contracter toutes seules, sauf aupar le fait que les cellules musculaires lisses sont sujettes à des variations lentes et rythmiques
de leur potentiel membranaire. Ce rythme est donné par des cellules dites pacemaker appeléescellules de Cajal dont la fréquence de dépolarisation est supérieur à celle des cellules voisines.
Ils existent différents rythmes caractéristiques des différentes parties du tractus digestif.
dans la paroi digestive, il assure une connexion entre les neurones et les cellules effectrices, deLe système nerveux extrinsèque est constitué de cellules afférentes, efférentes et
d'interneurones. Il edžiste dans la paroi digestiǀe des cellules affĠrentes. Ces cellules sont des
cellules sensorielles sensibles aux messages, mécanique (mécanorécepteur), chimique(chémorécepteur) ou thermique (thermorécepteur). Le système efférent quant à lui est
composé de motoneurones excitateurs ou inhibiteurs. Enfin il existe aussi des interneurones qui permette une intégration des messages sensorielles et sont responsables des réflexesmastication, du début de la déglutition et de la défécation. Cela est expliqué par le système
et par les systèmes végétatifs parasympathique et sympathique qui vont influencer le système
nerveux entérique.II. La déglutition, anatomie musculaire et
nerveuseLa déglutition fait suite à la mastication et représente une suite d'actes moteurs
stéréotypés et séquencés conduisant les aliments mastiqués de la bouche vers le fundus
fonctionnement en harmonie avec le centre respiratoire, la digestion et la respiration passant toute deux par le pharynx. Plusieurs parties sont impliquées dans la déglutition, Le pharynx ͗ C'est une ǀoie commune audž systğmes respiratoire et digestif. La musculature est uniquement striée. on y trouve le muscle cricopharyngé qui crée une zone de haute pression sur 2 à 4 cm. couches de cellules musculaires lisses, une longitudinale externe et une circulaire interne. Le tiers supérieur est constitué de muscle strié qui laisse progressivement place à une musculature lisse. réservoir gastrique. Il est constitué de fibres musculaires lisses qui font suite à la épaississement de la couche musculaire lisse interne. En plus du système musculaire susmentionné il existe une riche innervation permettant muscles striés, est constituée de fibres nerveuses provenant directement du système nerveuxcentral sans relais ganglionnaire. Dans ce cas le neurotransmetteur utilisĠ est l'acĠtylcholine. Les
nerfs afférents ou sensitifs ont leur récepteurs tout le long de la voie oro-pharyngé. Les voies
afférentes sont représentées par le nerf trijumeau (V), glossopharyngien (IX) et vague (X). Les
voies efférentes passent par le nerf V, VII, IX, X et XII. Pour les muscles lisses, les neurones le nerf vague. Les neurones post-ganglionnaires sympathiques font synapses avec les plexus représentée par deux plexus, le plexus myentérique et le plexus sous-muqueux. Ce systèmeintégrateur de la déglutition est situé au niveau du plancher du IVème ventricule bulbaire. Il est
connecté au centre de la respiration, du vomissement et au centre de la salivation. Enfin il estconnecté au cortex frontal expliquant la possibilité de déclencher la déglutition de manière
volontaire. QCM