[PDF] Cours 5 : Sémiologie psychotique



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STRUCTURES ET MECANISMES DE FORMATION DES PRINCIPAUX IONS DES

mécanisme de dissociation de ces trois diurétiques reste néanmoins non élucidé C’est dans ce contexte que, nous nous sommes proposés d’étudier la dissociation induite par collision afin de déterminer les fragments caractéristiques de trois benzothiadiazines et d’expliquer leurs principales voix de dissociation



LA DISSOCIATION COMME MÉDIATEUR ENTRE LAGRESSION SEXUELLE ET

Dissociation et symptomatologie clinique 40 l'AS est significativement associée à la dissociation comme mécanisme de défense, sans toutefois être associée à un niveau clinique de dissociation



Temperature,pressure,and compositionaleffectsonanomalous or

de dissociation, supportent fortement nos arguments précédents qu’un effet d’écran de la glace produit par dissociation partielle le long des surfaces de grain de l’hydrate ne constitue pas le mécanisme premier de cette conservation anomale



Cours 1 (1 partie) : Mécanismes moléculaires de la

élevée avec une kd (constante de dissociation) de 10-10 équivalente à l’affinité enzymatique On distingue ensuite deux situations : 1) le passage du ligand dans la cellule Cela concerne les petites molécules comme les ions, les sucres Le récepteur peut alors être un canal ionique, un transporteur



III- RACTIONS RADICALAIRES

Les énergies de dissociation homolytique de plusieurs types de liens ont été mesurées expérimentalement et sont symbolisées par DH0 Tableau 3 1: Énergies de dissociation homolytique de liens simples à 25° C Lien brisé DH0 (kj mol-1) Lien brisé DH0 (kj mol-1) Lien brisé DH0 (kj mol-1) H-H 435 Et-OMe 335 CH 2CHCH 2-H 356 D-D 444 n



Cours 5 : Sémiologie psychotique

étrange A différencier de la dépersonnalisation qui correspond à une altération de la perception par rapport à soi-même • Dissociation : mécanisme inconscient de défense impliquant la ségrégation d’un processus comportemental ou cognitif du reste de l’activité psychique du sujet (ex personnalités multiples)



Un mécanisme de hasard-sélection pourrait expliquer la

La probabilité de déplacement de a vers b est fonc-tion de la constante de dissociation entre le régulateur et les séquences d’affinité dans les régions promotrices de a et b B Dans cet exemple, le régulateur sur le gène a est équidistant de b et d, et de c et e Les gènes b et d sont plus près, respectivement, de c et e que de a



Mécanismes de défense et coping - Dunod

7 1 Les mécanismes de défense en tant que processus cognitifs 9 7 2 Les processus de coping en tant que processus cognitifs 10 8 Traits ou états 10 9 Défense et coping : une vision unitaire réductrice 11 PartIe 1 Les méc AnIsmes de défense Chapitre 1 Les méc AnIsmes de défense : c LAssIfIcAtIon, méc AnIsmes m Atures et névrot Iques



Physiologie de lovulation

La décharge ovulante de FSH est surtout le pic LH vont modifier l'ovocyte et les cellules folliculaires, l’ovulation survient 37 à 40 h plus tard (la décharge LH induit la dissociation du curnulus ophorus puis la libération de l'ovocyte de l er ordre avec 2n chromosome entouré de la corona radiata)



Troubles somatoformes

Troubles de la coordination et de l'équilibre avec difficultés de la marche (abasie) et/ou de la station debout (astasie) Faiblesse localisée voire une parésie d'un membre ou de plusieurs membres Contractures musculaires et des phénomènes dystoniques Tremblements et des myoclonies

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Ronéo 7 1/6!UE7 - Psychologie médicale Pr M. Marinescu Le 15/11/13 de 10h30 à 12h30 RT : Maxime Jin RF : Shirley Odouard Cours 5 : Sémiologie psychotique Cours très rapide de 11 diapos, chacune correspondant à un listage. J'ai essayé d'être le plus clair possible, le prof n'ayant fait que li re ses diapos avec son incompréhensible accent italien. La deuxième partie du cours consiste en des vidéos de patients psychotiques que je n'ai pas jugées nécessaire de rajouter à la ronéo. Plan : I. Dans quelles pathologies ? II. Altérations de la pensée : délire III. Altérations de la perception : hallucinations IV. Altérations de l'attention V. Altérations de la suggestibilité VI. Altérations des émotions VII. Altérations de comportement moteur VIII. Altérations de la pensée IX. Altération du langage X. Troubles dissociatifs

Ronéo 7 2/6!I. Dans quelles pathologies ? On retrouve la sémiologie psychotique dans énormément de pathologies (psychiatriques ou pas) telles que : • Schizophrénie +++ • Psychoses toxiques : déclenchées par la cocaïne, amphétamines, ca nnabis, alcool... Tous les consommateurs ne développe nt pas de psychoses, mais certains font des épisodes psychotiques brefs. Il est possible que la consommation de toxiques révèlent une maladie psychiatrique (schizophrénie +++) sous-jacente. • Maladie bipolaire avec symptômes psychotiques : le mélancolique qui délire sur une dimension de culpabilité (ex : j'ai ruiné mon entreprise, j'ai détruit la vie de mes enfants). • Trouble schizoaffe ctif : entre la maladie bipolaire et la schiz ophrénie. C'est une schizophrénie avec des symptômes bi polaires. On ne sa it pas si c'est une forme particulière de schizophrénie ou une congruence des deux maladies. • Trouble psychotique bref (BDA) : bouffé délirante. • Trouble psychotique induit (toxiques) : dû à une consommation chronique de toxiques. Ce n'est pas une psychose aigue d'origine toxique, mais une psychose en lien avec le produit. • Psychose hallucinatoire chronique • Délire chronique non schizophrénique (paranoïa, érotomanie...) : très limité, le patient paranoïaque ne délire que sur un seul sujet. L'érotomanie est la conviction délirante d'être aimé (chez la femme surtout). • Psychose puerpérale : chez la patiente en post-partum jusqu'à 6 mois, qui fait des épisodes délirants, très brut aux. Déclenchée par la grossesse, el le est souvent le premier épisode d'une maladie bipolaire. • Psychoses infantiles • Démence (ex. Alzheimer). • Maladies neurologiques (ex. Maladie de Huntington, sclérose en plaques). • Il y a be aucoup de mala dies somatiques qui peuvent entrainer des épisodes psychotiques (hypothyroïdie, phéochromocytome...). II. Altérations du contenu de la pensée : délire Le mot vient du latin " delirare » (= sortir du sillon = être à côté). C'est une altération de la conscience, le début est souvent brutal. Mais cela peut s'installer progressivement (dans le cas des voix chez les patie nts para noïaques). Les thèmes sont variés : perséc ution, mégalomanie, culpabilité... Le délire est soit congruent à l'humeur (souvent dans les troubles bipolaires), soit non congruent (parler de la mort d'un proche avec le sourire). III. Altérations de la perception : hallucinations Le mot vient de " hallucinatio » (= mépri se). Il faut différencier l'ha llucinat ion qui correspond à une perception sans objet, de l'illusion qui est une perception déformée de l'objet. On distingue :

Ronéo 7 3/6!• Les hallucinati ons psycho-sensorielles (auditives, visuelles, olfact ives, gustatives, cénesthésiques...). Tous les sens peuvent être sujets aux hallucinations. Les hallucinations cénesthésiques correspondent à des sensations corporelles, souvent chez la femme atteinte de psychose hallucinatoire chronique. Ces hallucinations sont souvent très sexualisées (la femme ressent des onde s au niveau du vagin). Les hallucinations visuelles sont rares en psychiatrie, et plutôt la conséquenc e de la consommation de toxiques. • Les hallucinati ons intra-psychiques : le pa tient entend des voix dans sa tête. Les patients atteints du syndrome d'influence entendent des commentaires de leur acte, ou bien discutent avec la voix dans leur tête. A différencier de l'hallucinose (éïdolies), où le patient garde son sens critique vis à vis de ce qu'il a vu, entendu, etc... Il sait que ce n'est pas réel. Il est important de déterminer si les hallucinations sont critiquées ou non. C'est-à-dire si le patient se doute que ce qu'il perçoit n'est pas réel. A partir du moment où il a un doute, il est possible de le traiter. IV. Altérations de l'attention • Distractibilité • Inattention sélective : souvent chez des patients persécutés, délirants qui font semblant de ne pas entendre car la réponse est source d'angoisse. • Hypervigilance : le pa tient est sans cesse sur ses ga rdes, souvent lors de délires persécutifs. Il lutte en permanence et est même capable de résister à des doses très importantes de neuroleptiques. • Transe psychotique : aucune attention, plus auc un échange possible, le patient est " ailleurs ». La transe dure plusieurs jours. V. Altérations de la suggestibilité • Folie à deux. Il y a un inducteur : le psychotique et l' " autre » : qui dans une relation d'asservissement vis à vis de l'inducteur. Par exemple, une mère délirante et sa fille. Sorti de l'influenc e de l 'inducteur, l'autre ne présente aucune pathologie psychiatrique. • Délire sous hypnose. VI. Altérations des émotions Concernent plutôt la pathologie bipolaire et la schizophrénie. Définition : L'affect est défini, par l e DSM-IV, comme un ensemble de comport eme nts observables qui expriment un état émotionnel subjectivement éprouvé (= émotion). • Abrasion des affects : le patient raconte des éléments traumatiques sans aucune affectivité (= sensibilité). Mais, cela ne veut pas dire qu'il n'a plus accès aux affects, simplement, il ne peut plus les montrer.

Ronéo 7 4/6!• Labilité de l'affect : fluctuation des réactions, adaptées ou pas (ex. passage du rire aux larmes en quelques secondes). • Troubles de l'humeur - Euphorie : chez le patient maniaque. - Anhédonie = inc apacité à prendre du plaisir. Se voit surtout chez les schizophrènes. - Alexythymie : très compliqué à différencier de l'abrasion des affects. Il y a une stabilité de l'humeur, mais on est pas dans le " vide psychotique » de l'abrasion. On est plus dans le trouble de l'humeur. Le prof ajoute qu'il faut le voir pour saisir la différence. - Elation : s'approc he de l'euphorie, l'humeur es t " expansive » mais on es t pas dans l'extrême comme pour l'euphorie. VII. Altérations de comportement moteur • Échopraxie : le patient répète les gestes d'un autre individu. • Catatonie : le patient ne bouge pas et est très raide (comme une statue), c'est une forme extrême de perte de toute activi té motrice. Se voit chez les m alades bipolaires et les schizophrène s, c'est une urgence vitale. La catatonie est une indication pour les électrochocs. • Négativisme : dans le même registre que la catatonie, le patient ignore certains gestes (comme une main tendue par exemple). • Stéréotypies : répétitions inadaptées, quasi automatiques, d'un geste ou d'une attitude. Se rencontrent surtout dans les états schizophréniques. • Maniérisme : le patient présente des comportements moteurs non adaptés à la situation ou au sexe. • Automatisme : le patie nt a la conviction délira nte qu'il n'est plus le maître du fonctionnement de son psychisme, qu'une force extérieure agit en lui et contrôle ses actes. (" je me suis levé mais c'est pas moi, quelqu'un m'a fait me lever »). • Agression : rupture du contrôle moteur. VIII. Altérations de la pensée • Pensée illogique : on ne comprend pas grand chose à ce que raconte le patient. • Incohérence : différent de la pensée illogique car on ne comprend vraiment rien. • Pensée magique : souvent chez les pati ents schizophrènes qui ont des racine s culturelles qui font appel à ce type de capacité. Le patient croit en la magie. • Néologismes : Peut amener à la schizophasie qui correspond à l'usage de mots qui n'existent pas, et qui contrairement aux néologismes sont incompréhensibles. • Discours circonstanciel : incapacité de se mettre à la place de l'autre, d'adapter sa pensée à la question. • Tangentialité : le patient répond à côté de la question (" - quand êtes-vous arrivé à l'hôpital ? - j'ai mangé du cassoulet à midi »). • Echolalie : le patient répète ce que dit le médecin. • Fuite des idées : le patient change sans arrêt de sujets, sans aucune suite logique.

Ronéo 7 5/6! IX. Altérations du langage • Pauvreté : appauvrissement des capacités syntaxiques sans défaut de l'acquisition. Contrairement au patient trisomique par exemple qui a un langage pauvre par défaut d'acquisition. • Absence de spontanéité • Dysprosodie (perte de la musicalité) : le discours est plat, sans variance phonique. X. Troubles dissociatifs • Dépersonnalisation : le patient affirme qu'il est sorti de son corps (" c'est moi mais c'est pas moi »). • Déréalisation : altération de la perception du monde extérieur qui apparaît irréel et/ou étrange. A différencier de la dépersonnalisation qui correspond à une altération de la perception par rapport à soi-même. • Dissociation : mécanisme inconscient de défense impliquant l a ségrégation d'un processus comportemental ou cognitif du reste de l'activité psychique du sujet (ex. personnalités multiples). !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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