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EU’s contribution of USD2 8 million provided relief to Iraqi children in emergency camps Baghdad, Iraq, 21 May 2020 – A recent contribution of USD2 8 million by the European Union has provided
FIRST JPVC - JFDA
Title: FIRST JPVC Author: zeina Created Date: 4/9/2014 12:36:11 PM
Rapport Annuel HEA 2017
Rapport Annuel HEA 2017 Humanitarian Emergency Affairs pour le renforcement de la résilience des Ménages Communautaires dans les zones de programmes de World Vision
wwwleparisienfr/78 Mantes-la-Jolie Poissy Yvelines Rambouillet
marché, Zeina demande l’aide à sa voisine « Je travaille en marketing, j’ai un très bon réseau sans lequel ça n’aurait pas marché » explique Alba-ne, âgée de 48 ans Mais les origines syriennes de Zeina freinent le projet « La banque nous refusait d’ouvrir un compte partagé sans nous donner de motif, détaille Albane
A Review of Context Analysis Tools for Urban Humanitarian
Sage (Oxu Solutions), and Zeina Shuhaibar (IRC) for their guidance and invaluable feedback on this report Special thanks also to Mira Soni (IRC) and Samer Saliba (IRC) for their help with background research and technical input This is an independent report and does not necessarily reflect the views of IIED, DFID or ECHO Any errors
FICHE D’ADMISSION
Bilan Sanguin Hématologie Sérologie Urines NFS ASLO HBS Ag Analyse des urines CRP IDR Anti-HCV Uroculture
proceedings-cla2011
Elias Egho, Nicolas Jay, Chedy Raissi and Amedeo Napoli Querying Relational Concept Lattices 377 Zeina Azmeh, Mohamed Hac´ene-Rouane, Marianne Huchard, Amedeo Napoli and Petko Valtchev Links between modular decomposition of concept lattice and bimodular
Urban context analysis toolkit - pubsiiedorg
Campbell, Tyler Radford, Yasin Abbas, and Zeina Shuhaibar In particular, the authors would like to David Sanderson, Pamela Sitko, Laura Phelps, Samer Saliba and Tobias Metzner for their support and critical guidance throughout the toolkit’s development Most importantly, the authors are indebted to
Contribution à la diététique diagnostique et thérapeutique de
A Zeina et Marielle, pour avoir été les meilleures collègues A mes amis que j’ai rencontrés à Nancy A Egho, Daher, Josette, Georges, Najla, Christelle, Jean, Rana, Stéphanie, Patricia et tous les autres Merci pour les rires et souvenirs Merci pour ces nouvelles amitiés A la communauté des libanais et syriens à Nancy :
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LUNDI 13 FÉVRIER 2017 LE PARISIEN
www.leparisien.fr/78Yvelines Leurs savons d"Alep offrent un travail à 18 familles syriennesZeina, arrivée en France en 2012, et Albane ont créé l"entreprise Al Bara. Le fruit d"une forte amitié.
VERSAILLES
PAR JULIE MÉNARDD
ans l"atelier d"Al Bara, àAlep en Syrie, 18 familles
travaillent au recondi- tionnement des produits de cette marque de sa- vons 100 % naturels, basée à Ver- sailles. Certaines y ont même trouvé refuge lorsque leur maison a été dé- truite par les bombes. Al Bara, entre- prise fondée il y a trois ans, est née d"une amitié forte entre deux fem- mes : l"une versaillaise, l"autre syrien- ne. Elle-même originaire d"Alep, Zei- na Egho est arrivée en France en 2012 avec ses deux fils pour fuir la guerre. " Je suis venue avec l"intention de ne rester que quelques mois » se sou- vient-elle. Les bombardements n"en finissant pas, son mari la rejoint l"an-née suivante et Versailles devient leur nouveau lieu de vie. " Mes parents, mes frères, mes cousins et mes amis sont toujours là-bas » précise la ma-man de 39 ans. À l"école, le fils de Zei-na rencontre le fils d"Albane Liger-Be-lair, qui s"avère être sa voisine. Très vite, les deux femmes deviennent amies, puis inséparables." NOTRE HISTOIRE A TOUCHÉ BEAUCOUP DE GENS »
Le grand-père de Zeina étant, de son
vivant, maître savonnier à Alep, l"idée lui vient de distribuer en France des savons fabriqués en Syrie. Parlant peu la langue et ne connaissant pas le marché, Zeina demande l"aide à sa voisine. " Je travaille en marketing, j"ai un très bon réseau sans lequel ça n"aurait pas marché » explique Alba- ne, âgée de 48 ans. Mais les origines syriennes de Zeina freinent le projet. " La banque nous refusait d"ouvrir uncompte partagé sans nous donner de motif, détaille Albane. Il nous a fallu plus d"un an et demi pour régler la pa-perasse et importer le premier conte-
neur. »En 2015, la machine est lancée.
Grâce à de nombreux amis d"amis, la
marque Al Bara a désormais un siteInternet, un joli emballage et trouve
son premier distributeur. " Notre his- toire a touché beaucoup de gens qui ont accepté de nous aider » sourit Al- bane. De son côté, Zeina contacte des membres de sa famille qui l"aident à distance pour trouver des maîtres sa- vonniers encore en activité à Alep, et monter un atelier où les produits sont reconditionnés sous la marque Al Ba- ra. Ces savons se faisant rares, les deux femmes intéressent vite les dis- tributeurs. Leurs produits sont désor- mais disponibles dans plus de40 boutiques et leur importation s"est
multipliée par cinq. " Nous étudions le marché international car il y a du po-tentiel, conclut Albane. Nous tra-vaillons aussi sur une gamme de pro-duits plus variée avec des coffrets pour hommes, des pierres ponces, des éponges, etc. » Actuellement as-sociées, les amies espèrent que Zeina, pourra devenir une salariée à plein-
temps d"Al Bara.@LeParisien_78Versailles, mercredi. L"entreprise de Zeina (à gauche) et Albane vend en France des savons d"Alep et des pierres d"alun fabriqués en Syrie.
SAINT-CYR-L"ECOLE
Charline Connandauphine de Miss Elégance
P. VSAINT-GERMAIN-EN-LAYE
Muté pour une mauvaise blague
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SECTEURPAR SECTEUR
l"actualité de votredépartementUn long chemin jusqu"aux boutiques
AL BARA est le nom de la ville morte
où est né le savon d"Alep, il y a plus de2 000 ans. C"est à cet endroit que l"on
trouvait le laurier indispensable à ce produit, fabriqué dans la ville voisine,Alep. Les maîtres savonniers n"ont
besoin que d"un grand chaudron et de place pour laisser le savon sécher pendant neuf mois. Pour acheminer leurs produits jusqu"en France, Albane et Zeina ont sollicité un transporteur syrien, déjà sur place. Le trajets"effectue en plus de deux mois au lieu d"un mois habituellement. Les marchandises sont souvent contrôlées et pillées par les rebelles, mais depuis le cessez-le-feu, l"activité reprend de plus belle en Syrie. Acheminés jusqu"au port La Taquié, l"un des seuls encore opérationnels, les conteneurs sont ensuite envoyés au Havre. Al Bara dispose d"un entrepôt près de Chartres (Eure-et-Loir) où les produits sont stockés. Zeina et son mari se chargent ensuite de les répartir dans les points de vente.LP/J.M.