[PDF] La scintigraphie osseuse en pathologie orthop éééédique



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SCINTIGRAPHIE OSSEUSE ET RHUMATOLOGIE

portion intra-osseuse sous-chondrale de l’enthése, se traduisant par une hyperfixation osseuse précoce à la scintigraphie Secondairement, il existe une ossification de l’insertion alors visible sur les radiographies



La scintigraphie osseuse en pathologie orthop éééédique

1 Ischémie osseuse 2 Dissection sous-chondrale 3 Effondrement du séquestre (perte de sphéricité) 4 Coxarthrose • Sémiologie scintigraphique : hypofixation puis hyperfixation • TTT chirurgical selon les stades (forage, prothèse ) • Importance d’un diagnostic précoce +++ OSTEONECROSE ASEPTIQUE



Guide pour la rédaction de protocole pour la scintigraphie

osseuse de voisinage se traduit sur l'image du squelette, par un foyer d’hyperfixation du traceur radioactif L’intérêt principal de l’examen réside dans la précocité et l’intensité des modifications métaboliques décelables par la scintigraphie osseuse souvent plusieurs



LA SCINTIGRAPHIE OSSEUSE GARDE T ELLE DES INDICATIONS EN

La scintigraphie osseuse est l'examen de médecine nucléaire le plus demandé en pédiatrie, elle représente à elle seule la moitié des examens réalisées dans le service, soit environ 1000 scintigraphies osseuses par an Les indications classiques restent valides L’évolution récente la plus marquante est que le pourcentage des enfants



LA SCINTIGRAPHIE OSSEUSE - CH Mont de Marsan

La scintigraphie osseuse permet d’étudier le métabolisme osseux de l’ensemble du squelette en un seul examen , en reflétant l’activité ostéoblastique stimulée par la plupart des pathologies ostéo- articulaires, que ce soit dans les domaines



Scintigraphie planaire et imagerie hybride osseuses (SPECT/CT

Scintigraphie osseuse: Multiples foyers d’hyperfixation hétérogène du squelette axial et périphérique correspondant à des métastases osseuses exposant au risque de fracture pathologique et/ou de compression radiculo-médullaire



Douleur du pied et hypofixation scintigraphique : une forme

malité radiologique des articulations,une scintigraphie osseuse aux bisphosphonates marqués au technétium 99M a été pratiquée (figure 1) DIAGNOSTIC L’aspect scintigraphique est trompeur et pourrait laisser croire qu’il existe une hyperfixation du pied droit En réalité,aux dif-



Infections Ostéo Articulaires : Imagerie Nucléaire

Scintigraphie osseuse • Examen de première intention car négative,élimine une ostéite • Très sensible (73-100 ), mais peu spécifique (40-60 ) • 3 temps • Hyperhémie suivie d’une hyperfixation – Diffuse au t précoce, modérée au t tardif : Cellulite – Fixation articulaire 3 t: Arthrite septique

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Docteur Antoine MONET

Jeudi 8 octobre 2009

Proportion de scintigraphies osseuses dans un service de médecine nucléaire PRINCIPALES INDICATIONS DE LA SCINTIGRAPHIE EN ORTHOPÉDIE

ARTHROSE

• Destruction progressive et mécanique du cartilage • Traitement d"abord médical et fonctionnel puis chirurgical • La scintigraphie osseuse permet : - d"objectiver et de quantifier la souffrance osseuse sous-chondrale - de rechercher des lésions associées - de faire un diagnostic différentiel - d"explorer les autres articulations

Patient de 64 ansDouleurs du genou gauche chez un patient porteur d"une coxarthrose gauche évoluée

Recherche d"une hyperfixation au niveau du genou gauche avant chirurgie de la hanche • Coxarthrose gauche évolutive confirmée • Absence de gonarthrose

• Atteinte uni-compartimentale externe• Pas de descellement de PTG gauchePatiente 78 ans, bilan avant PTG droitGonarthrose douloureuse connue du compartiment externe droit

PTG gauche en place : liseré péri-prothétique sur les radios Patiente de 74 ans Douleur du genou droit sur PTG posée 5 ans auparavant

Radio genou D : RAS.

• Pas de descellement de la PTG • Coxarthrose droite +++ • Intérêt du corps entier • Mort des cellules de l"os par insuffisance circulatoire • Facteurs favorisants : corticothérapie, éthylisme chronique, drépanocytose, traumatisme ? • Tête fémorale (vascularisation terminale) +++, condyles fémoraux, astragale • Diagnostic souvent tardif (phase infra-clinique puis infra-radiologique) • Plusieurs stades :

1. Ischémie osseuse

2. Dissection sous-chondrale

3. Effondrement du séquestre (perte de sphéricité)

4. Coxarthrose

• Sémiologie scintigraphique : hypofixation puis hyperfixation • TTT chirurgical selon les stades (forage, prothèse...) • Importance d"un diagnostic précoce +++

OSTEONECROSE ASEPTIQUE

Patiente de 63 ans, douleur de hanche droitePTH gaucheRadio : RAS

Temps tissulaire Temps osseux

• Hyperfixation du quart supéro-externe de la tête fémorale • ONA de la tête fémorale droite Homme, 45 ansDouleur du genou gauche sans traumatismeRadio : RAS • ONA du condyle fémoral externe gauche

• ONA Bilatérale (formes bilatérales > 50 %)• Pas de localisation osseuse secondaireTemps tissulairePatiente, 53 ans, corticothérapie au long cours, douleur de hanche gauche

Antécédent s : - osteonécrose de la tête fémorale droite - néoplasie pulmonaire et colique Radiographies : doute sur une lésion sous trochantérienne gauche suspecte

Temps osseux

Temps osseux

• Pas d"osteonecrose• Osteoarthropathie fémoropatellaire +++Patiente 73 ans, douleur du genou gaucheAntécédent d"ONA de la tête fémorale droite (PTH)Suspicion ONA condyle fémoral externe G

• Cicatrisation incomplète• Réaction algoneurodystrophique associée • Douleur persistante à 6 mois d"une fracture tibiale traitée par ostéosynthèse • Radios non contributives

• Foyer d"ostéotomie non cicatrisé• Pas d"ANDDouleur persistante du genou gauche 4 mois après une ostéotomie

Patiente de 59 ans, douleur des deux avant pieds Chirurgie d"hallux valgus bilatérale 1 an auparavant

Retard de cicatrisation au niveau du premier méta gauche et des 4 premiers métas droits

DESCELLEMENT DE PROTHESE• Le descellement d"une prothèse est, au sens strict du terme, la perte de la

fixation cimentée (à l"aide de ciment) d"une prothèse. Depuis le développement des prothèses non cimentées (sans ciment), ce terme s"est étendu à la perte de fixation en général des composants prothétiques (implants) • Peut concerner un seul ou les deux composants prothétiques • Causes: usure de la prothèse, traumatisme, problème technique, infection •Traitement : • retirer l"implant descellé pour le remplacer par un autre bien fixé. • de la cause

Scintigraphie

• Pas de descellement• Tendinopathie d"insertion du moyen fessierPatiente de 78 ansDouleur de hanche droite sur prothèse totale posée en 2006

Suspicion clinique de descellement

Radio : pas de descellement

Instabilité de l"implant fémoral

Patient de 66 ansDouleur de la cuisse droite PTH droite posée en 2000. PTH gauche posée en 1998

• Descellement cotyloïdien unipolaire

Homme, 74 ans

Recherche d"arguments en faveur d"un descellement de PTH gauche posée il y a 13 ans Patient de 77 ansSuspicion de descellement de la tige fémoral d"une prothèse totale de hanche gauche posée 7 ans auparavant

Radio : pas de signe de descellement

• Descellement fémoral unipolaire

• Descellement bipolaire de PTH droitePatiente de 72 ansDouleur de hanche droite. PTH mise en place en 1986

Ascension du cotyle sur la radio

ALGONEURODYSTROPHIE

• Complication imprévisible pouvant survenir après une intervention chirurgicale ou un traumatisme (fracture, entorse) • Physiopathologie exacte non connue • Fait intervenir le système nerveux ortho- et para- sympathique • Symptomatologie associant des manifestations douloureuses, vasomotrices et trophiques au niveau des membres • Tableau clinique se présentant habituellement en deux phases, l"une dite " chaude » au début, suivie d"une phase " froide » • Evolution sur 6 à 24 mois

ALGONEURODYSTROPHIE• Biologie normale• Radiologie : initialement normale puis ostéoporose mouchetée

• Scintigraphie avec temps vasculaire +++ • Traitement : - Le plus précoce possible - Suppression d'un éventuel facteur déclenchant - Traitements physique - Traitement médical • Contre-indique une chirurgie +++

Rôle de la scintigraphie

Patiente de 55 ansDouleur persistante de la main droite à 2 mois d"une chirurgie pour fracture du poignet droit

Consolidation ? Algoneurodystrophie ?

Temps vasculaire Temps tissulaire

•AND en phase chaude • Pas de défaut de consolidation

Même patiente après traitement

•Evolution favorable • AND résiduelle persistante Patiente de 72 ansDouleur persistante du genou 6 mois après PTGRadios : RAS • AND chaude +++• Pas de descellement

Temps vasculairePatiente de 63 ansDouleur persistante à 6 mois d"une fracture de la cheville gauche osteosynthésée

Temps tissulaire

• Réaction algoneurodystrophique en phase chaude du membre inférieur • Lésion osseuse metaphyso-épiphysaire tibiale inférieure gauche non cicatrisée Patient de 65 ansDouleur +++ à 3 mois d"une reprise de PTH pour descellement • Descellement de l"implant fémoral • Forte composante inflammatoire

Descellement septique

Scintigraphie aux polynucléaires marqués

1 heure

5 heures

Patient de 55 ans Douleur d"épaule gauche sur PTE reprises deux foisSyndrome inflammatoire biologique

Patient de 55 ans Douleur d"épaule gauche sur PTE reprises deux foisSyndrome inflammatoire biologique

CONCLUSIONCONCLUSIONCONCLUSIONCONCLUSION

• Sensibilité +++ • Spécificité augmentée par une connaissance précise du contexte clinique • Absence d"artefact lié au matériel prothétique •Dissociation radio-clinique (douleur) • La scintigraphie permet : - d"affirmer l"organicité de certaines lésions - de détecter les douleurs projetées (corps entier systématique +++) - d"apprécier l"évolutivité de lésions connues - d"aider au diagnostic différentiel en cas de pathologies intriquées

Tendinopathie

d"insertionONA

Retard de

consolidationCoxarthrosequotesdbs_dbs45.pdfusesText_45