Étude de texte: (10 pts) 1) Genre littéraire: Siècle: XX
4) Pourquoi les répliques d'Antigone, sont-elles plus longues que celles de Créon? - Les épliues d’Antigone sont plus longues ca elle s’est empotée conte les propositions que lui fait Créon -Antigone s’acharne à ridiculiser Créon et à réfuter ses arguments 5) Dans ce dialogue avec Antigone, Créon se montre de plus en plus
Texte 1 - AlloSchool
Examen régional 2009 Antigone entre dans la pièce, poussée par les gardes qui s’arc-boutent contre la porte, derrière laquelle on devine la foule hurlante Le garde Chef, ils envahissent le palis Antigone Créon, je ne veux plus voir leurs visages, je ne veux plus entendre leurs cris, je ne veux plus voir personne
Académie de Doukala-Abda Examen régional 2011
Académie de Doukala-Abda Examen régional 2011 Texte Il y a long silence ; ils ne bougent pas, sans se regarder, puis Antigone dit doucement Antigone Pourquoi m’avez-vous raconté cela ? Créon , se lève, remet sa veste Valait-il mieux te laisser mourir dans cette pauvre histoire ? Antigone Peut-être Moi, je croyais Il y a un silence
Examen régional du baccalauréat Session : juin 2014 Séries
Antigone, pardon Antigone, tu vois, je viens, j’ai du courage J’irai maintenant avec toi ANTIGONE Où iras-tu avec moi? ISMENE Si vous la faites mourir, il faudra me faire mourir avec elle ANTIGONE Ah non Pas maintenant Pas toi C’est moi, c’est moi seule Tu ne te figures pas que tu vas venir mourir avec moi maintenant Ce
TEXTE - Moutamadrisma
ANTIGONE: Lâchez-moi Vous me faites mal au bras avec votre main CRÉON, qui serre plus fort: Non Moi, je suis le plus fort comme cela, j'en profite aussi ANTIGONE, pousse un petit cri: Aïe CRÉON, dont les yeux rient: C'est peut-être ce que je devrais faire après tout, tout simplement, te
Académie du Marrakech Examen régional 2011
Académie du Marrakech Examen régional 2011 Matière : Français Durée : Bronche : Sciences Expérimental Coefficient : Texte Créon Et cette nuit, la première fois, c’était toi aussi ? Antigone Oui C’était moi Avec une petite pelle de fer qui nous servait à faire des châteaux de sable sur la plage, pendant les vacances
DIPLÔME NATIONAL DU BREVET SESSION 2019 FRANÇAIS Grammaire et
19GENFRQGCAG1 Diplôme National du Brevet Page 3/5 SESSION 2019 Epreuve de Français - Grammaire et compétences Jean-Baptiste Hugues (1849-1930), Œdipe à Colone, 1885
Le corrigé de français bac pro 2018 P0ND8CHERY
reconnaît pas Et enfin le corpus se clôt avec la photographie Self-Portrait with Leica d'Ilse Bing en 1931, un auto-portrait photographique pris à l'aide de deux miroirs dans lesquels la photographe peut jouer avec les points de vue de l'image qu'elle renvoie d'elle-même Question 2 :
Examen régional : Académie d’El Jadida (session : Juin 2010)
Examen régional : Académie d’El Jadida (session : Juin 2010) Texte : Me voila devenu un homme J’étais complètement éveillé J’avais hâte de pati à l’école Les vêtements, les chaussues, tout était neuf Plein de dignité et d’assuance, je pécédai mon pèe dans l’escalie
DIPLÔME NATIONAL DU BREVET SESSION 2018 FRANÇAIS
front J’ai couru avec mes hommes pour aider Il y avait des corps partout, sur la route et sur les bas-côtés Certains commençaient lentement à se relever D’autres ne bougeaient plus D’autres encore hurlaient à la mort Dans la confusion, j’ai cherché qui était mort et qui ne l’était pas Laurent Gaudé, Cris, 2001 Consignes:
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TEXTE :
CRÉON : Pourquoi fais-tu ce geste, alors ? Pour les autres, pour ceux qui y croient ? Pour les dresser
contre moi ?ANTIGONE : Non.
CRÉON : Ni pour les autres, ni pour ton frère ? Pour qui alors ?ANTIGONE : Pour personne. Pour moi.
CRÉON, la regarde en silence : Tu as donc bien envie de mourir ? Tu as l'air d'un petit gibier pris.
ANTIGONE : Ne vous attendrissez pas sur moi. Faites comme moi. Faites ce que vous avez à faire.Mais si vous êtes un être humain, faites-le vite. Voilà tout ce que je vous demande. Je n'aurai pas du
courage éternellement, c'est vrai. CRÉON, se rapproche : Je veux te sauver, Antigone. ANTIGONE : Vous êtes le roi, vous pouvez tout, mais cela, vous ne le pouvez pas.CRÉON : Tu crois ?
ANTIGONE : Ni me sauver, ni me contraindre.
CRÉON 2UJXHLOOHXVH3HWLWH¯GLSH
ANTIGONE : Vous pouvez seulement me faire mourir.
CRÉON : Et si je te fais torturer ?
ANTIGONE : Pourquoi ? Pour que je pleure, que je demande grâce, pour que je jure tout ce qu'on voudra, et que je recommence après, quand je n'aurai plus mal ?CRÉON, lui serre le bras : Ecoute-moi bien. J'ai le mauvais rôle, c'est entendu, et tu as le bon. Et tu
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ANTIGONE : Lâchez-moi. Vous me faites mal au bras avec votre main. CRÉON, qui serre plus fort : Non. Moi, je suis le plus fort comme cela, j'en profite aussi.ANTIGONE, pousse un petit cri : Aïe !
CRÉON, dont les yeux rient : C'est peut-être ce que je devrais faire après tout, tout simplement, te
tordre le poignet, te tirer les cheveux comme on fait aux filles dans les jeux. (Il la regarde encore. Il
redevient grave. Il lui dit tout près.) Je suis ton oncle, c'est entendu, mais nous ne sommes pas tendres
les uns pour les autres, dans la famille. >"@ANTIGONE, après un temps : Vous serrez trop, maintenant. Cela ne me fait même plus mal. Je n'ai
plus de bras.CRÉON, la regarde et la lâche avec un petit sourire. Il murmure : Dieu sait pourtant si j'ai autre
chose à faire aujourd'hui, mais je vais tout de même perdre le temps qu'il faudra et te sauver, petite
peste. (Il la fait asseoir sur une chaise au milieu de la pièce. Il enlève sa veste, il s'avance vers elle,
lourd, puissant, en bras de chemise.) >"@. Je ne veux pas te laisser mourir dans une histoire de politique. Tu vaux mieux que cela.Extrait de "Antigone" de Jean Anouilh
1 NB: Ce corrigé est donné à titre indicatifELEMENTS DE REPONSE (A TITRE INDICATIF) ET BAREME
I- ETUDE DE TEXTE (10pts)
1.5 pt
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Antigone
"$FFHSWHUWRXWHUpSRQVHYDODEOH 1 pt pouvez pas Vous pouvez seulement me faire mourir.je recommence après, quand je n'aurai plus mal Vous me faites mal au bras avec votre main Cela ne me fait même plus mal 1 pt lui serre le bras » ou " qui serre plus fort » 1 pt1 .5pt
1 pt 1 pt 1 PtII- PRODUCTION ECRITE (10 pts) :
9 Présentation de la copie : 2pts
9 Respect de la consigne : 3 pts.
9 Cohérence textuelle : 2 pts.
9 Correction de la langue : 3 pts
20 pts
TEXTE :
CRÉON : Pourquoi fais-tu ce geste, alors ? Pour les autres, pour ceux qui y croient ? Pour les dresser
contre moi ?ANTIGONE : Non.
CRÉON : Ni pour les autres, ni pour ton frère ? Pour qui alors ?ANTIGONE : Pour personne. Pour moi.
CRÉON, la regarde en silence : Tu as donc bien envie de mourir ? Tu as l'air d'un petit gibier pris.
ANTIGONE : Ne vous attendrissez pas sur moi. Faites comme moi. Faites ce que vous avez à faire.Mais si vous êtes un être humain, faites-le vite. Voilà tout ce que je vous demande. Je n'aurai pas du
courage éternellement, c'est vrai. CRÉON, se rapproche : Je veux te sauver, Antigone. ANTIGONE : Vous êtes le roi, vous pouvez tout, mais cela, vous ne le pouvez pas.CRÉON : Tu crois ?
ANTIGONE : Ni me sauver, ni me contraindre.
CRÉON 2UJXHLOOHXVH3HWLWH¯GLSH
ANTIGONE : Vous pouvez seulement me faire mourir.
CRÉON : Et si je te fais torturer ?
ANTIGONE : Pourquoi ? Pour que je pleure, que je demande grâce, pour que je jure tout ce qu'on voudra, et que je recommence après, quand je n'aurai plus mal ?CRÉON, lui serre le bras : Ecoute-moi bien. J'ai le mauvais rôle, c'est entendu, et tu as le bon. Et tu
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ANTIGONE : Lâchez-moi. Vous me faites mal au bras avec votre main. CRÉON, qui serre plus fort : Non. Moi, je suis le plus fort comme cela, j'en profite aussi.ANTIGONE, pousse un petit cri : Aïe !
CRÉON, dont les yeux rient : C'est peut-être ce que je devrais faire après tout, tout simplement, te
tordre le poignet, te tirer les cheveux comme on fait aux filles dans les jeux. (Il la regarde encore. Il
redevient grave. Il lui dit tout près.) Je suis ton oncle, c'est entendu, mais nous ne sommes pas tendres
les uns pour les autres, dans la famille. >"@ANTIGONE, après un temps : Vous serrez trop, maintenant. Cela ne me fait même plus mal. Je n'ai
plus de bras.CRÉON, la regarde et la lâche avec un petit sourire. Il murmure : Dieu sait pourtant si j'ai autre
chose à faire aujourd'hui, mais je vais tout de même perdre le temps qu'il faudra et te sauver, petite
peste. (Il la fait asseoir sur une chaise au milieu de la pièce. Il enlève sa veste, il s'avance vers elle,
lourd, puissant, en bras de chemise.) >"@. Je ne veux pas te laisser mourir dans une histoire de politique. Tu vaux mieux que cela.