Déclaration de liens d’intérêts de 2010 à 2013
• Intérêts indirects invitations à des congrès nationaux ou internationaux : laboratoires BMS, Gilead, Boehringer Ingelheim, VIV, MSD, Roche, Sanofi Aventis, Pfizer, Abott, Astellas, Astra-zeneca Pas de conflits d’intérêts pour cette présentation Déclaration de liens d’intérêts de 2010 à 2013
Pathologie vasculaire cérébrale et troubles cognitifs
Déclaration de liens d’intérêts janv 2012, oct 2013 EUGMS Formation « jeunes pousses » Janssen pb de marche avec des sensations vertigineuses et manque
Propionibacterium acnes et hernies discales
Journées Nationales d’ Infectiologie, Tours du 13 au 15 juin 2012 Déclaration de liens d ’ intérêt avec les industries de santé en rapport avec le thème de la présentation (loi du 04/03/2002) • Intérêts financiers néant • Liens durables ou permanents secrétaire général CMIT • Interventions ponctuelles
Retour sur l’utilisation pratique de l’outil ConsoRes un
15es JNI, Bordeaux du 11 au 13 juin 2014 Déclaration d’intérêts de 2009 à 2014 • Intérêts financiers : Aucun • Liens durables ou permanents : Oui Abbvie / BMS / Gilead / Janssen
Ministère des Solidarités et de la Santé
Il peut s'agir notamment d'une activité de conseil ou de représentation, de la participation à un groupe de travail, d'une activité d'audit, de la rédaction d'articles ou de rappotts d'expettjse Je n'ai pas de lien d'intérêt à déclarer dans cette rubrique Actuellement et au cours des 5 années précédentes Début (mois/année) Fin
santepubliquefrancefr
Je m'engage, en cas de modification des liens ci-dessus ou du fait de l'acquisition d'intérêts supplémentaires devant être portés à la connaissance de I'lnVS, à en informer celui-ci et à procéder immédiatement à une actualisation de ma déclaration d'intérêts
Aspects thérapeutiques lors de
Conférences : invitations en qualité d'auditeur (frais de déplacement et d'hébergement pris en charge par une entreprise) Otsuka, Lundbeck Versements substantiels au budget d'une institution dont vous êtes responsable NA Proches parents salariés dans les entreprises visées ci-dessous NA Autres (à préciser) NA Déclaration de liens d
Le conseil local de santé mentale : une instance privilégiée
d'un tel espace de concertation - En octobre 2011, le HCSP, dans son évaluation du plan Psychiatrie et Santé Mentale a préconisé de mieux intégrer la psychiatrie et la santé mentale dans la Cité, et indiqué que « les Clsm ont fait leur preuve pour la mobilisation de l'ensemble des acteurs locaux et que leur développement
rTMS : quel intérêt dans la dépression du sujet âgé ? Bruno
• EDM : 8 - 16 des + de 65 ans • Dépression du sujet âgé : –Augmentation du risque de rechute, de la résistance (TRD), – Diminution de la probabilité de guérison fonctionnelle –Moindre effet des antidépresseurs / sujets < 65 ans: NNT (Nombre néessaire de sujets déprimés pour énéfiier d’ un antidepresseur versus placebo)
[PDF] Gestionnaire de l administration du personnel et de la paie
[PDF] MANDAT DU COMITÉ DE GESTION DES RISQUES
[PDF] SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SPANC)
[PDF] MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE ET DE LA SOLIDARITÉ CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
[PDF] Le programme de distribution
[PDF] LE MINISTRE D ETAT, MINISTRE DE L INTERIEUR ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE LE MINISTRE DE L EMPLOI, DE LA COHESION SOCIALE ET DU LOGEMENT
[PDF] Faculté de Droit et de Science Politique. Taux de réussite Cursus Master Formation initiale + formation continue
[PDF] LES PHOBIES SCOLAIRES
[PDF] MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES ET TECHNIQUES PARTICULIERES VOYAGE EN ITALIE 2015
[PDF] CHAMPIONNAT DE FRANCE UNIVERSITAIRE DE SAVATE
[PDF] preuve de participation, les cartes d embarquements ou billets de train ainsi que toutes les factures originales.
[PDF] Qu est ce que le handicap psychique?
[PDF] Matière Code Information sur les cours Unités Périodes
[PDF] MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Accord professionnel
![Déclaration de liens d’intérêts de 2010 à 2013 Déclaration de liens d’intérêts de 2010 à 2013](https://pdfprof.com/Listes/21/5832-212013_DUPON.pdf.pdf.jpg)
Pr M. DUPON
Service de Maladies Infectieuses et Maladies TropicalesHôpital Pellegrin - Tripode
33076 Bordeaux Cedex
Intérêts financiers
néantLiens durables ou permanents
secrétaire général CMIT, Membre du CA de la SPILFInterventions ponctuelles
- Essais cliniques, travaux scientifiques (coinvestigateur) : PHRC national spondylodiscite 2DTS, essais et cohortes ANRS (VIH) -Travaux scientifiques (investigateur principal) : Etude Tissos (Sidaction et laboratoires Gilead), étude Tahiva (Sidaction), conseil scientifique CohorteAquitaine
- Activité de conseil : laboratoire Tibotec-Janssen (VIH), - Action de formation, intervention orale, modération lors de congrès, réunions : laboratoires MSD, SPILF, CMIT, laboratoires Gilead, Tibotec-Janssen-Cilag, Roche, Astra-Zeneca
Intérêts indirects
invitations à des congrès nationaux ou internationaux : laboratoires BMS, Gilead, Boehringer Ingelheim, VIV, MSD, Roche, Sanofi Aventis, Pfizer, Abott,Astellas, Astra-zeneca
2Données sur le traitement des
endocarditesInformations multiples, mal ordonnées, non
gradées, redondantes, émanant le plus souventRecommandations pour la pratique
cliniqueUne solution
Les RPC sont des recommandations médicales et professionnelles qui peuvent être utilisées pour établir des références médicales, c'est-à-dire des
approprié et/ou inapproprié de faire, lors de la mise en oeuvre de stratégies préventives, diagnostiques et/ou thérapeutiques dans des situations cliniques données ». HAS 32011-16
Action 1 - Rationaliser les protocoles et les référentiels de prescription des antibiotiquesAction 2
référentiels de prescription des antibiotiquesICATB2 : cahier des charges et
répartition des points 4 Pas encore parfait mais est-ce possible ?? (trop lourd, trop cher, trop long?)Gradation
5Conséquence du non-respect des
guidelines Neutropénie fébrile (IDSA 2011) : utilisation des vancomycine et facteurs de croissance neutrophiles (Wright J. Jama Intern Med 2013;173:559-69) le transfert vers des structures de suite et la mortalité de façon significative pour les patients à faible risqueNon respect des recommandations
Betsch L. Treatment of Joint Prosthesis Infection in Accordance with Current Recommendations Improves Outcome. Clin Infec Dis2008; 46:12216
6 Irit Nachtigall. Impact of adherence to standard operating procedures for pneumonia on outcome of intensive care unit patients. Crit Care Med 2009; 37:159 166) Le respect de la procédure est associé à une durée plus courte de traitement, une durée plus courte de la ventilation mécanique, et un séjour plus court en réanimationÉtude prospective monocentrique 5 USI,3 mois
Procédures diagnostiques et thérapeutiques
prédéterminées. 524 patients, 131 pneumonies charge de pneumonies en réanimationQuelles recommandations?
reviderad version 2012 7Pourquoi les recommandations sont
optimalesLes recommandations sont multidisciplinaires
Les recommandations sont gradées
Les recommandations récentes ne sont pas
obsolètes; elles sont prudentes en cas deLes recommandations sont complètes
Les recommandations constituent un socle de
référence qui peut être discuté et adapté à une situation individuelle; elles ne sont pas unCaractère multidiciplinaire et international
Multidisciplinarité imparfaite
8Les recommandations sont gradées
9Pas de niveau de preuve élevé ??
double insu pour toutes les questions Nécessité de séries très importantes pour démontrer une différenceEssais de non-infériorité
Expérimentation animale ou in vitro non
Des recommandations consensuelles multi-
experts, multidisciplinaires sont utiles et peuvent être réévaluées en fonction des connaissances.Les recommandations sont complètes
10Les recommandations sont complètes
Les recommandations sont complètes
11Les recommandations sont trop complètes ?
Tableaux didactiques
Textes courts
Textes complet pour senior avec références
Tableaux synthétiques pour faciliter
12 un socle de recommandations qui peut être discuté et Propositions thérapeutiques gradées et cohérentes entre les différentes recommandations 13Différences rares et minimes (posologie)
Découlent
De la date de mise à jour
Nécessité actualisation et veille
Pourquoi des différences?
Dose de rifampicine
Recommandations Posologie journalière
900 mg en 3 fois
1200 mg en 2 fois
600 à 1200 mg en 2 fois
600 mg si Cl créat <30ml/mn
600 à 900 mg en 2 fois
14Dose de gentamicine
Recommandations Posologie journalière
3 mg/kg en 3 fois
3 mg/kg en 2 ou 3 fois
2 mg/kg en 2 fois
3 mg/kg en 1 à 2 fois
Y- a-t-il mieux ou différent?
Réponse non
Données in vitro (CMI CMEB)
Expérimentations animales : de la souris et au lapin Séries historiques ou cohorte de patients avec un antibiotique : biais multiples, non randomiséesCompte-rendu congrès : pression médiatique,
15Conclusion
guidelines !
Les recommandations :
ne sont pas un recueil de recettes de cuisine applicables sans discernement sont un socle de base solide à impact médico-légal sont à adapter au contexte individuel avec les comorbidités, sont à actualiser avec des études récentes validées cliniquementMiro JM. A New Era for Treating Enterococcus faecalis Endocarditis: Ampicillin Plus Short-Course Gentamicin or Ampicillin Plus Ceftriaxone: That Is the Question!Circulation. 2013 Apr 30;127(17):1763-6.
Fernández-hidalgo N clin infect dis. Ampicillin plus ceftriaxone is as effective as ampicillin plus gentamicin for treating enterococcus faecalis infective endocarditis. 2013 May;56(9):1261-8.
Dahl A, Enterococcus faecalis Infective Endocarditis: A Pilot Study of the Relationship Between Duration of Gentamicin Treatment and Outcome.Circulation. 2013 Apr 30;127(17):1810-7
Holmes NE. Vancomycin minimum inhibitory concentration, host comorbidities and mortality in Staphylococcus aureus bacteraemia. Clin Microbiol Infect. 2013 Feb 26. Justifier les modifications par rapport aux recommandations
Intérêt des réunions de concertation multidisciplinaire