MDA’s Four Aces Of Mission Assurance”
2 Accountability • Program offices and contractor community are held accountable for practices that impact mission success Bad behavior is not rewarded-Knowledge points -Accountability to the individual level (missile
MA Program Handbook 2018-2019 REVISED (918)
6 1 THE PROGRAM 1 1 Program Mission EMU’s Philosophy Program nurtures habits of thinking, writing, and communicating that prepare students to respond well to the complex realities of professional, social, and
BATAAN PENINSULA STATE UNIVERSITY
Jayson Anthony B Banzon, MAPhilo -Campus Director, Bpsu Main Ramon M Bantugan, Ph D - Campus In-Charge, Bpsu Bagac Extension Billy B Alipio, BSEd - Campus Director, Bpsu Dinalupihan
MA in Philosophy
MA in Philosophy MODULES 2020-2021 Last updated: 01 September 2020 UCD School of Philosophy MA modules 2020-21 Autumn Trimester (21 September –December 2020) Spring Trimester (20 January – 6 March & 23 March – 24 April 2020)
Genehmigung der Individuellen Spezialisierung Master
Genehmigung der Individuellen Spezialisierung (Modul M4) Master Philosophie UA 066 941 / Approval Request Individual Specialisation (Module M4) Master’s programme in Philosophy UA 066 941
INTRODUCTION TO IN FLACCOM
INTRODUCTION TO IN FLACCOM THE story told in this treatise a is as follows Flaccus, whose misgovernment and cruelty to the Jews and ultimate fate are here described, was ap
EXEMPLES DE PHILOSOPHIES D’ENSEIGNEMENT MARIE
EXEMPLES DE PHILOSOPHIES D’ENSEIGNEMENT MARIE – Ma philosophie de l’enseignement est encore à l’état embryonnaire, étant donné que j’en suis au tout début de mon parcours d’enseignante
Mme LucaS Philosophie
Mme LucaS Philosophie Obéir, est-ce renoncer à être libre ? [définition de l'obéissance] L'obéissance consiste à faire ce qu'une autre personne nous dit de faire, parce qu'elle a autorité sur nous, [type 1 d'obéissance] soit parce qu'elle peut user de
TEXTE DE DESCARTES, LE COGITO - philomax
Philosophie Prof : Wahib Page 1 Texte expliqué : le texte de Descartes (le cogito) étudié dans la classe J’avais dès longtemps remarqué que, pour les mœurs , il est besoin quelquefois de suivre des opinions
Sujet 1 : La culture peut-elle dénaturer lhomme
Sujet 1 : La culture peut-elle dénaturer l'homme ? Le sujet renvoie directement aux notions de nature et de culture qui traditionnellement s'opposent
[PDF] lettre ? ménécée explication lineaire
[PDF] lettre ? ménécée explication par paragraphe
[PDF] lettre a menecee fiche de lecture
[PDF] ecrire une chanson en ligne
[PDF] centre cinématographique marocain
[PDF] cnc
[PDF] créer une maison d'édition auto entrepreneur
[PDF] créer une maison d'édition indépendante
[PDF] créer une maison d'édition numérique
[PDF] créer sa maison d'édition en ligne
[PDF] panorama des mesures pour l'emploi 2017
[PDF] panorama des mesures pour l'emploi dom 2017
[PDF] panorama des mesures pour l'emploi 2016
[PDF] nouvelles mesures pole emploi 2017
Mme LucaS Philosophie.
Obéir, est-ce renoncer à être libre ?
[définition de l'obéissance] L'obéissance consiste à faire ce qu'une autre personne nous dit
de faire, parce qu'elle a autorité sur nous, [type 1 d'obéissance] soit parce qu'elle peut user de
sanctions si nous le lui obéissons pas, [type 2 d'obéissance] soit du fait des qualités que nous
reconnaissons à cette personne, qui l'autorisent à nous dicter notre conduite. [Lien avec le sujet]
J'obéis alors tantôt par peur de celui à qui j'obéis, tantôt parce que je lui fais confiance, mais dans
les deux cas, lorsque j'obéis je renonce à ma liberté. [Définition de la liberté] En effet être libre c'est
pouvoir être au principe de ses actes [= pouvoir soi-même se décider], que la liberté soit définie
[sens 1] comme libre-pouvoir, c'est-à-dire possibilité de faire ce que j'ai décidé, ou libre-vouloir
[sens 2], qui désigne la possibilité de choisir ce que je veux faire sans que rien ne m'y détermine.
Puisque lorsque j'obéis je me soumets à la volonté d'un autre, l'action faite n'est pas issue de ma
volonté, mais de celle de cet autre à qui je me soumets. L'obéissance serait ainsi nécessairement le
renoncement à ma liberté. [Définition de renoncement] La notion de renoncement implique uneforme d'acceptation dans l'abandon de ma liberté : renoncer, c'est au fond choisir d'obéir plutôt que
de choisir de poser une action qui vienne de moi, une action libre. En ceci je suis libre d'obéir, dans
la mesure du moins où je peux toujours choisir de ne pas obéir. Je peux même être libre d'obéir dans
la mesure où l'obéissance est parfois la condition de ma liberté, du petit enfant qui obéit à ses parent
au citoyen qui choisit d'obéir aux lois de son pays. Non seulement l'obéissance en tant qu'elle est
choisie est libre, mais elle peut dns certains cas être la condition même de la liberté. La liberté en
effet se distingue de la licence, qui vise à ne se soumettre à aucune contrainte. La liberté implique
une forme d'obéissance, pour apprendre à agir conformément à ce que me dicte ma raison, à
commencer par une obéissance à soi.[Problème] D'un côté l'obéissance est le renoncement ma volonté propre et traduit donc une
absence de liberté : de l'autre si je n'obéis jamais à rien, je ne peux véritablement être libre car je ne
peux apprendre à suivre ma raison.[Problématique] L'obéissance scelle-t-elle la mort de la liberté, ou au contraire peut-elle en
être la condition ?
[Annonce de plan] Nous verrons dans un premier temps que l'obéissance traduit l'absence de liberté,
pour voir ensuite que la liberté peut subsister si ce à quoi j'obéis est conforme à ma propre volonté.
Nous pourrons voir enfin que l'obéissance de m'enlève pas ma liberté, mais qu'elle en ren seulement
l'exercice plus périlleux. I. L'obéissance est renoncement à notre libertéA. Obéir est absence de liberté, car en obéissant je fais la volonté d'un autre. Or l'action libre est
celle dont la cause est en moi, non à l'extérieure de moi.B. L'action faite par obéissance est faite par peur la sanction, donc mon action n'est pas libre dans la
mesure où ma volonté ne peut pas choisir entre une chose et son contraire sans que rien ne ladétermine. Ce qui la détermine ici au contraire est la peur de la sanction qui peut être exercée en
conséquence de la non-obéissance. C. L'action faite par obéissance d'obligation devient ainsi contrainte. L'obligation suppose unassentiment de ma liberté. Mais dans la mesure où l'obéissance s'impose à moi à cause de la
possible sanction, l'ordre devient contrainte (physique ou morale, la contrainte me force à choisir
une chose plutôt qu'une autre).II. Une action faite dans l'obéissance peut être toutefois une libre si elle est conforme à ma
volontéA. L'obéissance peut être compatible avec ma liberté si ce à quoi j'obéis est conforme à ce que me
dicte ma propre volonté. Alors en obéissant à l'autre j'obéis librement, car j'obéis encore à ma
volonté.B. Si l'ordre auquel j'obéis est en accord avec la raison, alors en obéissant j'apprends la liberté.
(L'enfant n'est pas capable d'agir toujours en suivant la raison ; il a donc besoin de d'abord suivre la
raison de ceux qui l'éduquent pour apprendre ensuite à agir en suivant non ses désirs, mais la raison.
L'obéissance est alors la condition de l'avènement de sa liberté, à condition que ce à quoi il obéisse
soit conforme à la raison ; il sera ainsi ensuite capable de suivre sa raison).C. L'obéissance peut donc encourager ma liberté est même celle-ci suppose toujours une forme
d'obéissance.La liberté ne consiste pas à agir sans aucune contrainte, ou alors il s'agit seulement du plus bas
degré de la liberté. La liberté suppose bien au contraire de suivre la contrainte que la raison nous
impose. Etre libre au fond c'est devenir capable d'obéir à sa raison. L'obéissance n'est pas
qu'obéissance à une autre personne, elle est d'abord essentiellement obéissance à soi. // " L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté », Rousseau. III. L'obéissance ne doit donc jamais masquer notre liberté, car nous pouvons toujours choisir de désobéir. A. L'obéissance est toujours libre dans la mesure où je peux encore choisir de ne pas obéir(réfutation du I.B et C). La " mauvaise foi » (Sartre) dont l'homme est capable assimile la possible
punition à l'absence de choix. Mais si la désobéissance entraine une sanction, cela ne veut pas
encore dire que je ne peux pas (au sens de possibilité pratique) désobéir. B. L'ordre auquel on me demande d'obéir provoque en réalité ma libertéLa liberté suppose la possibilité de dire non, et donc de désobéir. La liberté suppose donc quelque
chose à quoi résister.C. L'obéissance n'est pas le renoncement à notre liberté, mais plutôt le masque du refus d'assumer le
fardeau de notre liberté. La liberté est un lourd fardeau car elle implique la responsabilité (si l'action
est librement exécutée, j'en suis responsable). Refusant cette responsabilité, l'homme peut prendre
l'obéissance pour se masquer à lui-même sa propre liberté, en faisant semblant de croire qu'il n'a pas
le choix, puisqu'on lui en a donné l'ordre. Mais nous avons vu que l'ordre n'exclut pas la liberté :
quelles qu'en soient les conséquences, j'ai encore la possibilité pratique de ne pas faire ce qu'on me
demande. Je suis donc libre en obéissant - dans la mesure où j'ai la possibilité de ne pas le faire. La
possible sanction n'est donc pas ce qui me fait renoncer à ma liberté, mais ce que j'invoque comme
excuse pour ne pas porter ce poids de la liberté en osant me lever contre l'ordre que l'on m'a donné.
Pour conclure, l'obéissance n'est pas le renoncement à ma liberté. Si l'ordre est conforme à ce que
me dicte ma raison, en obéissant je reste libre. Si l'ordre auquel j'obéis est contraire à ma raison, je
suis encore libre en l'exécutant, car je peux choisir de ne le pas faire. Il ne faut donc pas choisir
entre liberté et obéissance : il n'y a pas de liberté sans une forme d'obéissance, d'obéissance à soi, et
il n'y a pas d'obéissance qui, contre les apparences, ne fasse pas appel à ma liberté. Encore faut-il à
l'homme le courage d'exercer cette liberté qui sans cesse s'offre à lui.quotesdbs_dbs15.pdfusesText_21