Un manifeste pour lindividualisme mondialisé, article sur
La mondialisation entre le droit et la force, entre les Etats et les multinationales”, Revue de la coopération transfrontalière n° 42, avril 2003, p 1 à 8 Dans le même sens Samy COHEN, La résistance des Etats, les démocraties face aux défis de la mondialisation, Seuil 2003 ; Rainer ROTH, Das Kartenhaus
Mondialisation, universalisme et droits culturels
Mondialisation, universalisme et droits culturels Jean-Pierre Dubois du terme), donc individualisme moral, et droits collectifs : du point de vue de l’autonomie
Jean-Paul Fitoussi To cite this version
Mondialisation et inégalités Jean-Paul Fitoussi 1 La mondialisation est un phénomène aux dimensions multiples, sym boliques, réelles et idéologiques Au plan symbolique, elle renvoie au déclin relatif des pays riches et, en ce sens, constitue une bonne nouvelle puisqu'elle signifie que les pays pauvres se développent
Mondialisation et résilience des territoires
sur des thèmes fondamentaux et complémentaires liés à la mondialisation et à ses effets territoriaux : le premier, centré sur le thème « Travail, capital et savoir dans la mondialisation », s’est tenu à Grenoble les 18 et 19 mars 2010 à la Wesford School of
et la mondialisation de limaginaire
• Espace national et espace mondial 153 fn • L'utopie de la communication 157 S Chapitre 6 : La mondialisation comme tendance la et comme ideologie 163 vf • La mondialisation comme narration neomoderne 163 et • Individualisme, multiculturalisme et « mrolaise de la modernite» 165 UI • Mondialisation
Thèmes des TPE de première S
Mondialisation et individualisme Symbiose, parasitisme, mutualisme Apprentissage individuel et collectif Individu et société Communication et réseaux Structures des sociétés animales Morale et éthique Égalité des chances, égalité des places Activités individuelles en institution
Lanthropologie du travail au 21ème siècle
Individu et non plus serveur d’une machine, impliqué et détaylorisé, polyva- lent et non plus réduit à une tâche, le G nouvel homme >> salarié (composé à 49 de femmes et à 60 d’activités de service), est censé correspondre, au-delà des exigences ordinaires de l’organisation du travail, au citoyen moyen d’une démo-
Feuille de style - Education
• Mondialisation et individualisme • Symbiose, parasitisme, mutualisme • Apprentissage individuel et collectif Individu et société • Communication et réseaux • Structures des sociétés animales • Morale et éthique • Égalité des chances, égalité des places • Activités individuelles en institution
Bilan Étude 1 : Le Québec et le monde 1975-2000 : mutations
et libertés au Québec au cours de la période 1975-2000 Notre étude déborde largement des frontières du Québec En effet, l’histoire récente du Québec se situe dans la mouvance des autres sociétés modernes, la société québécoise s’étant ouverte au monde et y ayant renforcé sa présence politique, économique et culturelle
DURKHEIM LIEN SOCIAL ET INTEGRATION
Sa démarche est objective et il explique un fait social par rapport à d’autres faits sociaux Son but est de dégager les réalités sociales à l’origine des comportements individuels Durkheim est partisan du holisme ou déterminisme social Il s’oppose à Weber, partisan de l’individualisme méthodologique
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DURKHEIM
LIEN SOCIAL ET INTEGRATION
PARTIE A
Introduction :
Durkheim est l'un des pères fondateurs de la sociologie française. A la ifin du 19ème siècle, il
est préoccupé par les problèmes sociaux liés à la révolution industrielle en France : la
cohésion sociale semble menacée. Une question se retrouve dans toute l'oeuvre de Durkheim : quel ciment peut bien lier tous les individus les uns aux autres et faire tenir lasociété ? Durkheim pose alors le problème du lien social. Il va créer une science nouvelle
destinée à permettre d'analyser objectivement la réalité sociale. Il va imposer la sociologie
comme discipline à part entière : l'objet de la sociologie est la société. Pour comprendre le
fonctionnement de la société, Durkheim va déifinir les règles de la méthode sociologique qui
met en oeuvre dans son ouvrage " Le suicide » (1897). Sa démarche est objective et ilexplique un fait social par rapport à d'autres faits sociaux. Son but est de dégager les réalités
sociales à l'origine des comportements individuels. Durkheim est partisan du holisme ou déterminisme social. Il s'oppose à Weber, partisan de l'individualisme méthodologique.Mots-clés : fait social, division sociale du travail, conscience colelctive, solidarité mecanique/
organiqueI. INTEGRATION ET SOLIDARITE POUR DURKHEIM
A) LA DIVISION DU TRAVAIL FONDE LE LIEN SOCIAL
- Durkheim s'oppose aux economistes liberaux : le marché ne peut durablement rassembler les hommes- C'est la division du travail qui aug la solidarité et l'interdependance entre les mb d'1 société
=> division travail source de solidarité. - Fonction division du travail n'est pas recherche progres eco ms creer entre les personnes un sentiment de solidarité, de contribuer à l'integration generale de la societé et d'être une facteur essentiel de la cohesion sociale. - Division du travail concerne pas seulement champ eco ms aussi politique, familial. - Selon Durkheim, causes du dev division du W ne st pas eco ms sociales : c'est l'accroissemt de la densité materielle (resulte accroissmt demographique) et morale (intensité descommunicat° et des exchanges entre les ind, resultat de la densité materielle) de la societé
qui induit l'approfondissemt du W. - Donc plus la population des nb sur un territoire donné, plus les echanges entre les individus st frequents et plus la division du W est dev.B) SOLIDARITE MECANIQUE ET SOLIDARITE ORGANIQUE
-Solidarité mecanique : concept deifini par D. pr typer la cohesion sociale qui relie les mb des socites traditionnelles. Il s'agit d'une solidarité par similitude. Les individus y sont peu diffferencies les uns des autres. Ils participent à une culture homogene, constitué de croyances consierees par tous comme sacrees. Sur le plan social, cette solidarité se faitsur le socle de la " tradition » (ens des immuables qui codiifient la totalité de l'existence au
sein de la communauté).Ds la société a solidarité mecanique, le droit repressif domine - Solidarité organique : Concept deifini par D. Pour caracteriser le type de cohesion qui relie les mb des societes industrielle(/modernes). Il s'agit d'une solidarité par diffferenciation. Individuellmt, chacun se sent partie prenante de la societé où il se trouve mais garde pleinement conscience de sa personnalité. Les ind st complementaires les uns des autres car ils pratiquent la division sociale du travail. Ils sont socialises par des institutions visant à les integrer, en les guidant ds leurs actes, en preconiasnt une orientation dite normale sinon morale. Ds la société a solidarité organique, le droit est restitutif ou encore cooperatif (son but est de remettre les choses en l'etat pour mieux organiser la cooperation des ind.- Les sociétés evoluent vers la modernité grace a l'approfondissmt de la division du W, lui-
même du à l'accroissmt de la densité materielle et morale. Cette evolution vers la modernité
s'accompagne d'une preponderance progressive de la solidarité organique vers la solidarité mecanique. C ) LES FORMES PATHOLOGIQUES DE LA DIVISION DU TRAVAIL Intensiification de la division du W aug solidarité et interdependance des ind. Cpt ce n'est pas tjr le cas car il peut y avoir des efffets contraires. Durkheim parle alors de forme anormale ou pathologique de la division du W :1.La division anomique du travail :
-anomie : afffaiblissement des normes et des valeurs sur les individus. -Par manque de regles, division du travail ne produit plus de solidarité : l'oppositioncapital/travail entraine des conlflits si mes regles sociales st tp lfloues ; si production pas assez
reglementé, entraine crises ind ; rupture de contact entre les individus du à une division du travail tp imp (cme av taylorisme), pt entrainer anomie et deviance.