CONVENTION-TYPE - modèle avril 09 avec aval DJ
Article 9 : Durée de la convention La présente convention est établie pour une durée d’un an renouvelable par tacite reconduction, et prend effet à la date de sa signature officielle Elle fera l’objet, chaque fois que nécessaire et en fonction des bilans annuels présentés par le Comité
Par Guillaume Delaloy - collectivites-localesgouvfr
Les clauses de tacite reconduction et le juge du référé-provision Par Guillaume Delaloy La conclusion d’un contrat public en application d’une clause de tacite reconduction constitue une irrégularité qui, eu égard à sa gravité, ne permet pas au juge du référé-provision de regarder l’obligation qui découlerait de ce contrat
CONVENTION DABONNEMENT AVEC RENOUVELLEMENT PAR TACITE
La présente convention sera reconduite par tacite reconduction chaque année sauf en cas de dénonciation écrite formulée par l’une des partie s Si l'usager ne souhaite pas renouveler le service, il avertit (par lettre recommandée avec accusé de réception)
Liste des conventions - BMCI
tacite reconduction conclusion de contrats avec cette clientèle 23/01/2013 par tacite reconduction Convention de définition des 01 an renouvelable
Contrat de Prestation
1-b) Renouvellement : Tacite reconduction Le présent contrat sera automatiquement renouvelé, par application du principe de reconduction tacite, à la date anniversaire du contrat sauf dénonciation expresse conformément aux dispositions prévues ci-dessous 1-c) Modalités de dénonciation / résiliation
Fiche n°6 FIN DE LA CONVENTION APL - Logement
La convention APL ne prend pas fin automatiquement à la date d’expiration qu’elle fixe D’une part, le CCH (art D 353-4 du CCH pour les OHLM ; D 353-61 pour les SEM ; D 353-92 pour les autres bailleurs) prévoit en effet qu’arrivées à leur terme, les conventions se renouvellent par tacite reconduction par périodes triennales
CONVENTION (modèle élaboré) - FDC06
La présente convention est consentie pour une durée de trois (3) ans à compter de la date de signature du présent document Elle sera renouvelée à chaque période de trois ans par tacite reconduction sauf dénonciation par l’une des parties six mois au moins avant son expiration, par lettre recommandée avec accusé réception
Publication concernant le renouvellement de la convention de
Nature et objet de la convention Cette convention a été conclue pour une durée de 24 mois à compter du 1er janvier 2017, renouvelable par tacite reconduction de 12 mois Aux termes de cette convention, la société ATF sest engagée à assurer au profit de AKWEL des
PROCEDURE D’EVALUATION DES CONVENTIONS COURANTES
- avec une société ou une entreprise ayant un dirigeant ou un associé commun (5) Elle concerne la conclusion initiale mais aussi, la modification (avenant), la reconduction (même en cas de tacite reconduction) ou la résiliation d’un commun accord de la convention
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DHUP/LO209/2019
Fiche n°6
FIN DE LA CONVENTION APL
I. Cas de résiliation
A. Résiliation à l'échéance de la convention La convention APL ne prend pas fin automatiquement à la date d'expiration qu'elle fixe. D'une part, le CCH (art. D. 353-4 du CCH pour les OHLM ; D. 353-61 pour les SEM ; D. 353-92 pour lesautres bailleurs) prévoit en effet qu'arrivées à leur terme, les conventions se renouvellent par tacite
reconduction par périodes triennales. Ces dispositions sont reprises dans les conventions-types actuelles1.
D'autre part, la convention ne prend fin, à l'issue de la période initiale de la convention ou de chaque période
de reconduction triennale, qu'à l'initiative d'une des parties. Chaque partie a, donc, la possibilité de résilier la
convention par notification à l'autre partie. La notification doit être faite au moins 6 mois avant l'échéance,
par acte authentique (acte notarié ou acte d'huissier de justice) lorsqu'elle émane du bailleur ; par acte
administratif (arrêté) lorsqu'elle émane de l'État (art. D. 353-4 du CCH pour les OHLM ; D. 353-61 pour les
SEM ; D. 353-92 pour les autres bailleurs).
Cas particulier des conventions ANAH :
La réforme de l'ANAH entrée en vigueur le 1er octobre 2006 a supprimé la reconduction triennale
automatique. Les conventions signées avec l'ANAH depuis cette date ne sont reconduites qu'à la seule volonté du bailleur qui doit en faire expressément la demande à l'ANAH.Pour les conventions antérieures à 2006, à titre exceptionnel, il est possible de prononcer une
résiliation unilatérale pendant une période de reconduction triennale, à condition toutefois que le
bailleur puisse justifier du respect des engagements conventionnels initiaux pendant les neuf premières années.B. Résiliation unilatérale avant terme
Le remboursement anticipé des prêts n'a aucun effet sur la durée de la convention. Il n'est donc pas
possible de mettre fin à la convention avant la date de fin de la période initiale pour ce motif.
Article D. 353-6 du CCH : " Le remboursement, anticipé ou non, d'un des prêts utilisés pour financer
l'opération ainsi que le reversement d'un complément d'impôt en application de l'article 284 du code général
des impôts ou le reversement d'une subvention sont sans effet sur la durée des conventions. »
Le remboursement anticipé a été institué pour le cas où un bailleur, qui aurait bénéficié d'aides pour la
construction ou l'acquisition d'un ou plusieurs logement(s) à usage locatif, le(s) vendrait à un autre bailleur
avant d'avoir remboursé le prêt (article L. 341-1 du CCH).Seul l'Étatpeut résilier la convention avant terme (art. L. 353-12 du CCH) soit dans l'intérêt général, soit pour
sanctionner une faute du bailleur. La résiliation unilatérale est réservée exclusivement à l'Etat. La
résiliation unilatérale prend la forme d'un arrêté préfectoral. Elle n'a pas d'effet rétroactif.
1. La résiliation pour motif d'intérêt général
La convention APL étant un contrat de droit public (art. L. 353-12 du CCH), l'État dispose de tout droit de
résilier unilatéralement la convention pour un motif d'intérêt général, même en l'absence de stipulations en
ce sens dans la convention.Il n'existe pas de liste prédéterminée de motifs de résiliation. Le motif est apprécié au cas par cas par les
services déconcentrés de l'État.1Dans les anciennes conventions, notamment celles qui étaient régies par le décret n° 80-415 du 10 juin 1980, la
clause de reconduction tacite figurait dans une annexe à la convention, intitulée " Engagements de portée générale ».
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2. Résiliation aux torts du bailleur
C'est l'unique sanction directement mobilisable par les services déconcentrés de l'État en cas de non-
respect par le bailleur des engagements contenus dans la convention.Elle ne peut être mise en oeuvre qu'au terme d'une procédure engagée par lettre recommandée avec
demande d'avis de réception.Comme l'indiquent les conventions-types (art. 24 convention OHLM ; art. 23 convention SEM ; art. 21 autres
bailleurs I ; art. 25 autres bailleurs II), l'organisme doit, dans le délai de deux mois, satisfaire à ses
obligations ou formuler des observations. Lorsque le préfet écarte ces observations, sa décision doit être motivée.Dans ce cas, il est fait application des dispositions de l'article L. 353-6 du CCH. Les locataires bénéficient de
plein droit jusqu'à la date initialement prévue pour le terme de la convention, soit d'une prorogation de leur
bail, soit du maintien dans les lieux aux clauses et conditions de leur contrat primitif.A compter de la date à laquelle la résiliation est devenue définitive, l'APL n'est plus versée au bailleur et le
loyer exigible est diminué du montant de l'aide qui aurait été due au titre de l'occupation de ces logements.
3. Démolition totale des logements conventionnés
Il est préconisé de résilier la convention APL dès lors que celle-ci devient sans objet. Il s'agit de clarifier la
situation administrative notamment au regard des hypothèques (par arrêté préfectoral).C. Dans certains cas : la vente
1. Le principe : en cas de vente, la convention continue de
s'appliquer (art. L. 353-4 du CCH)La vente de logements conventionnés n'est pas un motif de résiliation de la convention : l'article L. 353-5 du
CCH indique que les logements faisant l'objet d'une convention APL doivent, jusqu'à la date prévue pour son
expiration, être loués dans des conditions conformes à celles fixées par cette convention. Ainsi, en cas de
mutation, la convention s'impose de plein droit au nouveau propriétaire (art. L. 353-4 du CCH).2. Les exceptions (art. L. 443-11 II et suivants du CCH, issus de la loi
ELAN du 23 novembre 2018)
- Vente d'un logement social à une personne physique par un OHLM, une SEM, une collectivité territoriale
ou un organisme agréé MOI2- Vente, par les mêmes bailleurs, de logements PLS de plus de 15 ans à une personne morale de droit
privé. - Opérations ANRU (L. 443-11 V du CCH)Dans ces cas, l'art. L. 443-10 du CCH prévoit que la vente " entraîne la résiliation de droit de la convention
visée à l'article L. 353-2 lorsque elle ne porte que sur le ou les logements vendus. Si le ou les logements
vendus figurent dans une convention mentionnée à l'article L. 353-2 qui porte sur un ensemble de
logements plus important, elle est révisée afin d'exclure les logements vendus. »Dans le cas d'une vente de logements PLS de plus de 15 ans à une personne morale de droit privé, lorsque
les logements vendus sont occupés, le 3e alinéa du II de l'art. L. 443-11du CCH précise que " les baux et la
convention mentionnée à l'article L. 353-2 demeurent jusqu'au départ des locataires en place. ».
2Les art. L. 443-15-2, L. 443-15-2-1 et L. 443-15-2-2 du CCH étendent respectivement, aux logements
conventionnés des SEM, à ceux des collectivités et à ceux des organismes MOI, l'application des art. L. 443-
7 et suivants relatifs à la vente du patrimoine des OHLM.
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II. Conséquences d'une résiliation
A. Cas des logements des OHLM et des SEM
1. En principe
En application des art. L. 411-6 (OHLM) et L. 411-4 (SEM) du CCH (principe de pérennisation), sauf dans
les cas de vente mentionnés au I. C. 2. ci-dessus, les logements des OHLM et des SEM dont la convention
a été résiliée doivent continuer à être loués sous plafonds de ressources et de loyers (art. R. 491-1 à
R. 491-4 du CCH).
Ces plafonds sont ceux applicables aux logements à la date de l'expiration de la convention. Les loyers
plafonds sont actualisés selon les modalités prévues à l'art. L. 353-9-2 du CCH (art. R. 491-5 du CCH).
Pour l'évolution des loyers pratiqués, ce sont les dispositions de l'article L. 353-9-3 du CCH qui continuent de
s'appliquer.2. Suites d'une résiliation dans les cas particuliers de vente
Dans les cas de vente mentionnés au I. C. 2. ci-dessus, le droit commun des baux (loi n° 89-462 du 6 juillet
1989 tendant à améliorer les rapports locatifs) s'applique intégralement aux logements après résiliation de la
convention.Toutefois, pour les locataires en place dans le cas de la vente de logements PLS de plus de 15 ans à une
personne morale de droit privé, le 3e alinéa du II de l'art. L. 443-11 précise que " les baux et la convention
mentionnée à l'article L. 353-2 demeurent jusqu'au départ des locataires en place. »B. Cas des autres bailleurs
L'article L. 411-5-1 du CCH dispose que ces bailleurs (à l'exception des personnes physiques), s'ils
possèdent plus de 10 logements, doivent, s'ils souhaitent résilier la convention (cf I A.), informer les
locataires deux ans avant son échéance.Cet article impose également au bailleur d'avertir dans le même délai le maire de la commune concernée et
le représentant de l'Etat.L'article D. 411-2 du CCH précise les modalités d'information des locataires concernés et notamment que
celle-ci s'effectue par lettre recommandée avec accusé de réception.Pour les locataires en place dans les logements, le bail de 3 ans se poursuit jusqu'à échéance.
L'article D. 353-95 du CCH, qui est applicable à tous les bailleurs autres que les OHLM et les SEM, prévoit à
son alinéa 3 que "Six mois avant la date d'expiration de la convention, le bailleur peut proposer au locataire
un contrat de location, prenant effet à la date d'expiration de la convention ou à la date d'expiration du bail si
cette dernière intervient ultérieurement."Le nouveau bail ainsi conclu est régi par la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports
locatifs.Le bailleur peut également donner congé au locataire, dans les conditions de l'article 15 de la loi du 6 juillet