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Text Of Moderato Cantabile English

Merely said, the text of moderato cantabile english is universally compatible subsequent to any devices to read Page 3/10 Text Of Moderato Cantabile English "Moderato Cantabile", follows the form of the first movement of a sonata, presenting and developing in two contrasting themes in different keys



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Romy Berthou Comte 1°es >COMMENTAIRE SUR MODERATO CANTABILE: Marguerite Duras est née en 1914, c'est un auteur du XX° siècle qui a une multiplicité de cordes à son arc, elle s'intéressa au cinéma en parallèle à la



Duras Moderato Cantabile - anovecentonet

décrite par une attentive analyse de la vie quotidienne, sans se concentrer sur la trame et sur les personnages Moderato cantabile a toutes ces caractéristiques mais Marguerite Duras fait attention aux relations entre les personnages Dès le premier chapitre le lecteur est frappé par le statisme de la scène:



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Moderato cantabile, écrit en 1958 et que nous avons retenu ici pour analyser l’intime du personnage féminin, Anne Desbaresdes Dans Moderato cantabile aussi bien que dans les textes des années soixante, Dix heures et demie du soir en été, Hiroshima mon amour, et Le ravissement de Lol V Stein, on est devant



Texte 4 : Marguerite Duras, Moderato Cantabile, 1958

Texte 4 : Marguerite Duras, Moderato Cantabile, 1958 Anne Desbaresdes boit de nouveau un verre de vin tout entier les yeux mi-clos Elle en est déjà à ne plus pouvoir faire autrement Elle découvre, à boire, une confirmation de ce qui fut jusque-là son désir obscur et une indigne consolation à cette découverte



à dans le cadre du programme de maîtrise en études

MC Noderato cantabile, F Figures III, NDR Nouveau discours du récit, PMS Parole mot silence Pour une poétigue de l'énonciation Ainsi, (MC, 42) signifie: Moderato cantabile, p 42 • Le caractere italique est indiqué par le soulignement et les obliques remplacent les crochets



SéQUENCEPOUR(UNECLASSEDEPREMIERE(

Texte4:((ModeratoCantabile,MargueriteDuras(1958) AnneDesbaresdesboitdenouveauunverredevintoutentierlesyeuxmi9clos Elleenestdéjàànepluspouvoir



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- Duras, Moderato Cantabile Quelles représentations de l’amour sont ici données à voir ? En classe : analyse des trois textes dans la pers-pective de l’exercice Pour la séance n°7 : rédaction de la réponse à la question de syn-thèse Séance n°6: 2h (à faire éventuelle-ment en demi-groupes) Lecture



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SéQUENCEPOUR(UNECLASSEDEPREMIERE( Texte

:Gargantua,RabelaisDe"Voicienquelleoccasionetenquellemanière(...)enbonpèresupérieur.»Texte :L'Assommoir,ZolaDe"Parexemple,ilyeutlàunfameuxcoupdefourchette(...)lorsqu'ilapluetquelaterreasoif.»Texte :SodomeetGomorrhe,ProustDe"Envoilàundontonpeutdirequeçaneluiapasréussi(...)allumersacigaretteaumilieududîner.»Texte4:ModeratoCantabile,Duras

Annexes:LECTURESANALYTIQUESTexte1:Gargantua,Chapitre4,Rabelais(1534)VoicienquelleoccasionetdequellemanièreGargamelleaccoucha,et,sivousn'ycroyezpas,quelefondementvouséchappe!Lefondementluiéchappait,parunaprès-midi,letroisièmejourdefévrier,parcequ'elleavaitmangétropdegaubedillaux.Lesgaudebillauxsontdegrassestripesdecoiraux.Lescoiraux,desboeufsengraissésàlacrècheetdanslesprésguimaux.Lesprésguimaux,cesontceuxquidonnentdel'herbedeuxfoisparan.Cesboeufsgras,ilsenavaientfaittuertroiscentsoixante-septmillequatorzepourqu'onlessaleàMardigras,afind'avoirauprintempsduboeufdesaisonenabondance,defaçonàpouvoirfaireaudébutdesrepasunbénédicitédesalaisonsetmieuxsemettreàboire.Lestripesfurentcopieuses,commevousvousendoutez,etsisavoureusesquechacuns'enléchaitlesdoigts.Maislehic,c'estqu'iln'étaitpaspossibledelesmettrelongtempsdecôtécarellesseseraientavariées,cequiparaissaitinadmissible.Ilfutdoncdécidéqu'onlesengloutiraitsansrienenlaisserperdre.C'estàcettefinquefurentconviéstouslesvillageoisdeCinais,deSeuilly,delaRoche-Clermault,deVaugaudry,sansoublierceuxduCoudray-Montpensier,duGuédeVèdeetlesautres,tousbonsbuveurs,bonscompagnonsetfameuxjoueursdequilles.LebonhommeGrangousieryprenaitungrandplaisiretcommandaitqu'onyailleàpleinesécuelles.Toutefois,ildisaitàsafemmed'enmangermoins,vuqu'elleapprochaitdutermeetquecettetripaillen'étaitpasunenourrituretrèsrecommandable:"Ila,disait-il,unegrandeenviedemangerdelamerde,celuiquienmangelesac.»Endépitdecesremontrances,elleenmangeaseizemuids,deuxbaquetsetsixpots.Oh!Quellebellematièrefécaledevaitfermenterenelle!Aprèslerepas,tousallèrentpêle-mêleàlaSaulaie,etlà,surl'herbedrue,ilsdansèrentausondesjoyeuxflageoletsetdesdoucescornemuses,desiboncoeurquec'étaitunpasse-tempscélestequedelesvoirainsisedivertir.Puis,illeurvintàl'idéedefairequatreheuresencebonendroit,etflaconsdecirculer,jambonsdetrotter,gobeletsdevoler,brocsdetinter!"-Tire!-Donne!-Tourne!-Baptise-le!-Versem'ensanseau!Commeça,monami!-Siffle-moi,ceverreproprement!-Produis-moiduclairet,queleverreenpleure.-Trêvedesoif!-Ah!mauvaisefièvre,nepasseras-tupas?-Mafoi,macommère,jen'arrivepasàmemettreentrain.-Vousnevoussentezpasbien,mamie?-Sûr!-ParleventredesaintQuenet,parlonsboisson.-Jeneboisqu'àmesheures,commelamuledupape.-Jeneboisqu'àmonlivred'heures,enbonpèresupérieur.»Texte2L'Assommoir,EmileZola(1877)Parexemple,ilyeutlàun fameuxco updef ourchette:c'e st-à-direquepersonnede las ociéténesesouvenaitdes'êtrejamaiscolléunepareilleindigestionsurlaconscience.Gervaise,énorme,tasséesurlescoudes,mangeaitdegrosmorceauxdeblanc,neparlantpas,depeurdeperdreunebouchée;etelleétaitseulementunpeuhonteusedevantGoujet,ennuyéedesemontrerainsi,gloutonnecommeunechatte.Goujet,d'ailleurs,s'emplissaittroplui-même,àlavoirtouterosedenourriture.Puis,danssagourmandise,ellerestaitsigentilleetsibonne!Elleneparlaitpas,maisellesedérangeaitàchaqueinstant,poursoignerlepèreBruetluipasserquelquechosededélicatsursonassiette.C'étaitmêmetouchantderegardercettegourmandes'enleverunboutd'ailedelabouche,pourledonnerauvieux,quinesemblaitpasconnaisseuretquiavalaittout,latêtebasse,abêtidetantbâfrer,luidontlegésieravaitperdulegoûtdupain.LesLorilleuxpassaientleurragesurlerôti;ilsenprenaientpourtroisjours,ils

auraientengloutileplat,latableetlaboutique,afinderuinerlaBanbanducoup.Touteslesdamesavaientvouludelacarcasse;lacarcasse,c'estlemorceaudesdames.MadameLerat,madameBoche,madamePutoisgrattaientdesos,tandisquemamanCoupeau,quiadoraitlecou,enarrachaitlaviandeavecsesdeuxdernièresdents.Virginie,elle,aimaitlapeau,quandelleétaitrissolée,etchaqueconviveluipassaitsapeau,pargalanterie;sibienquePoissonjetaitàsafemmedesregardssévères,enluiordonnantdes'arrêter,parcequ'elleenavaitassezcommeça:unefoisdéjà,pouravoirtropmangéd'oierôtie,elleétaitrestéequinzejoursaulit,leventreenflé.MaisCoupeausefâchaetservitunhautdecuisseàVirginie,criantque,tonnerredeDieu!Sielleneledécrottaitpas,ellen'étaitpasunefemme.Est-cequel'oieavaitjamaisfaitdumalàquelqu'un?Aucontraire,l'oieguérissaitlesmaladiesderate.Oncroquaitçasanspain,commeundessert.Lui,enauraitbouffétoutelanuit,sansêtreincommodé;et,pourcrâner,ils'enfonçaitunpilonentierdan slabouche .Cependant,Clém enceachevaitsoncroupio n,lesuçait avecungloussementdeslèvres,ensetordantderiresursachaise,àcausedeBochequiluidisaittoutbasdesindécences.Ah!Nomdedieu!Oui,ons'enflanquaunebosse!Quandonyest,onyest,n'est-cepas?etsil'onnesepaiequ'ungueuletonpar-cipar-là,onseraitjolimentgodichedenepass'enfourrerjusqu'auxoreilles.Vrai,onvoyaitlesbedonssegonfleràmesure.Lesdamesétaientgrosses.Ilspétaientdansleurpeau,lessacrésgoinfres!Laboucheouverte,lementonbarbouillédegraisse,ilsavaientdesfacespareillesàdesderrières,etsirouges,qu'onauraitditdesderrièresdegensriches,crevantdeprospérité.Etlevindonc,mesenfants,çacoulaitautourdelatablecommel'eaucouleàlaSeine.Unvrairuisseau,lorsqu'ilapluetquelaterreasoif.Texte3SodomeetGomorrhe,MarcelProust(1922)Envoilàundontonpeutdirequeçaneluiapasréussidequitternotrepetitnoyau.Jevousmontreraitoutàl'heuredesfleursqu'ilapeintespourmoi;vousverrezquelledifférenceaveccequ'ilfaitaujourd'huietquejen'aimepasdutout,maispasdutout!Maiscomment!jeluiavaisfaitfaireunportraitdeCottard,sanscomptertoutcequ'ilafaitd'aprèsmoi.-Etilavaitfaitauprofesseurdescheveuxmauves,ditMmeCottard,oubliantqu'alorssonmarin'étaitpasagrégé.Jenesais,Monsieur,sivoustrouvezquemonmariadescheveuxmauves.-Çanefaitrien,ditMmeVerdurinenlevantlementond'unairdedédainpourMmeCottardetd'admirationpourceluidontelle parlait,c'étai td'unfiercolo riste,d'unbeaupeintre.T andisque,ajouta-t-elleens 'adressan tdenouveauàmoi,jenesaispassivousappelezceladelapeinture,toutescesgrandesdiablessesdecompositions,cesgrandesmachinesqu'ilexposedepuisqu'ilnevientpluschezmoi.Moi,j'appelleceladubarbouillé,c'estd'unponcif,etpuisçamanquederelief,depersonnalité.Ilyadetoutlemondelàdedans.-IlrestituelagrâceduXVIIIe,maismoderne,ditprécipitammentSaniette,tonifiéetremisenselleparmonamabilité.Maisj'aimemieuxHelleu.-Iln'yaaucunrapportavecHelleu,ditMmeVerdurin.-Si,c'estduXVIIIesièclefébrile.C'estunWatteauàvapeur,etilsemitàrire.-Oh!connu,archiconnu,ilyadesannéesqu'onmeleressert»,ditM.Verdurinàqui,eneffet,Skil'avaitracontéautrefois,maiscommefait parlui-même."Cen'es tpasdecha nceque,pourune foisquevo usprono ncezintelligiblementquelquechosed'assezdrôle,cenesoitpasdevous.-Çamefaitdelapeine,repritMmeVerdurin,parcequec'étaitquelqu'undedoué,ilagâchéunjolitempéramentdepeintre.Ah!s'ilétaitrestéici!Maisilseraitdevenulepremierpaysagistedenotretemps.Etc'estunefemmequil'aconduitsibas!Çanem'étonnepasd'ailleurs,carl'hommeétaitagréable,maisvulgaire.Aufondc'étaitunmédiocre.Jevousdiraiquejel'aisentitoutdesuite.Danslefond,ilnem'ajamaisintéressée.Jel'aimaisbien,c'étaittout.D'abord,ilétaitd'unsale.Vousaimezbeaucoupça,vous,lesgensquineselaventjamais?-Qu'est-cequec'estquecettechosesijoliedetonquenousmangeons?demandaSki.-Celas'appelledelamousseàlafraise,ditMmeVerdurin.-Maisc'estra-vis-sant.IlfaudraitfairedéboucherdesbouteillesdeChâteau-Margaux,deChâteau-Lafite,dePorto.-Jenep euxpas vousdirecommeil m'amuse,i lneboitquedel'eau,d itMmeVerd urinp ourdissimuler sousl'agrémentqu'elletrouvaitàcettefantaisiel'effroiqueluicausaitcetteprodigalité.-Maiscen'estpaspourboire,repritSki,vousenremplireztousnosverres,onapporterademerveilleusespêches,d'énormesbrugnons,là,enfacedusoleilcouché;çaseraluxuriantcommeunbeauVéronèse.-Çacoûterapresqueaussicher,murmuraM.Verdurin.-Maisenlevezcesfromagessivilainsdeton,dit-ilenessayantderetirerl'assietteduPatron,quidéfenditsongruyèredetoutessesforces.-VouscomprenezquejeneregrettepasElstir,meditMmeVerdurin,celui-ciestautrementdoué.Elstir,c'estletravail,l'hommequinesaitpaslâchersapeinturequandilenaenvie.C'estlebonélève,labêteàconcours.Ski,lui,neconnaîtquesafantaisie.Vousleverrezallumersacigaretteaumilieududîner.

Texte4:ModeratoCantabile,MargueriteDuras(1958)AnneDesbaresdesboitdenouveauunverredevintoutentierlesyeuxmi-clos.Elleenestdéjàànepluspouvoirfaireautrement.Elledécouvre,àboi re,unecon firmationdecequifutju squ e-làson désirobscur etuneindigneconsolationàcettedécouverte.D'autresfemmesboiventà leurtour,elleslè ventdemêmeleursbr asnus,délect ables,irrépr ochables,maisd'épouses.Surlagrève,l'hommesiffleunechansonentenduedansl'après-mididansuncaféduport.Laluneestlevéeetavecellevoicilecommencementdelanuittardiveetfroide.Iln'estpasimpossiblequecethommeaitfroid.Leserviceducanardàl'orangecommence.Lesfemmesseservent.Onleschoisitbellesetfortes,ellesferontfrontàtantdechère.Dedouxmurmuresmontentdeleursgorgesàlavueducanardd'or.L'uned'ellesdéfailleàsavue.Saboucheestdesséchéepard'autrefaimqueriennonplusnepeutapaiserqu'àpeine,levin.Unechansonluirevient,entenduedansl'après-mididansuncaféduport,qu'ellenepeutpaschanter.Lecorpsdel'hommesurlaplageesttoujourssolitaire.Saboucheestrestéeentrouvertesurlenomprononcé.-Nonmerci.Surlespaupièresferméesdel'homme,rienneseposequeleventet,parvaguesimpalpablesetpuissantes,l'odeurdumagnolia,suivantlesfluctuationsdecevent.AnneDesbaresdesvientderefuserdeseservir.Leplatrestecependantencoredevantelle,untempstrèscourt,maisceluiduscandale.Ellelèvelamain,commeilluifutappris,pourréitérersonrefus.Onn'insisteplus.Autourd'elle,àtable,lesilences'estfait.-Voyez,jenepourraispas,jem'enexcuseEllesoulèveunenouvellefoissamainàhauteurdelafleurquisefaneentresesseinsetdontl'odeurfranchitleparcetvajusqu'àlamer.-C'estpeut-êtrecettefleur,ose-t-onavancer,dontl'odeurestsiforte?-J'ail'habitudedecesfleurs,non,cen'estrien.Lecanardsuitsoncours.Quelqu'unenfaced'elleregardeencoreimpassiblement.Etelles'essayeencoreàsourire,maisneréussitencorequelagrimacedésespéréeetlicencieusedel'aveu.AnneDesbaresdesestivre.Onredemandesiellen'estpasmalade.Ellen'estpasmalade.-C'estpeut-êtrecettefleur,insiste-t-on,quiécoeuresubrepticement?-Non.J'ail'habitudedecesfleurs.C'estqu'ilm'arrivedenepasavoirfaim.Onlalaisseenpaix,ladévorationducanardcommence.Sagraissevasefonderdansd'autrescorps.Lespaupièresferméesd'unhommedelaruetremblentdetantdepatienceconsentie.Soncorpséreintéafroid,querienneréchauffe.Saboucheaencoreprononcéunnom.Alacuisine,onannoncequ'ellearefusélecanardàl'orange,qu'elleestmalade,qu'iln'yapasd'autreexplication.LECTURESCURSIVESMadameBovary,GustaveFlaubert(1857)Aseptheures,onservitledîner.Leshommes,plusnombreux,s'assirentàlapremièretable,danslevestibule,etlesdamesàlaseconde,danslasalleàmanger,avecleMarquisetlaMarquise.Emmasesentit,enentrant,enveloppéeparunairchaud,mélangeduparfumdesfleursetdubeaulinge,dufumetdesviandesetdel'odeurdestruffes.Lesbougiesdescandélabresallongeaientdesflammessurlesclochesd'argent;lescristauxàfacettes,couvertsd'unebuéemate,serenvoyaientdesrayonspâles;desbouquetsétaientenlignesurtoutelalongueurdelatable,et,danslesassiettesàlargebordure,lesserviettes,arrangéesenmanièredebonnetd'évêque,tenaiententrelebâillementdeleursdeuxplischacuneunpetitpaindeformeovale.Lespattesrougesdeshomardsdépassaientlesplats;degrosfruitsdansdescorbeillesàjours'étageaientsurlamousse;lescaillesavaientleursplumes,desfuméesmontaient;et,enbasdesoie,enculottecourte,encravateblanche,enjabot,gravecommeunjuge,lemaîtred'hôtel,passantentrelesépaulesdesconviveslesplatstoutdécoupés,faisaitd'uncoupdesacuillersauterpourvouslemorceauqu'onchoisissait.Surlegrandpoêledeporcelaineàbaguettedecuivre,unestatuedefemmedrapéejusqu'aumentonregardaitimmobilelasallepleinedemonde.MadameBovaryremarquaqueplusieursdamesn'avaientpasmisleursgantsdansleurverre.Cependant,auhautboutdelatable,seulparmitoutescesfemmes,courbésursonassietteremplie,etlaserviettenouéedansledos

commeunenfant,unvieillardmangeait,laissanttomberdesabouchedesgouttesdesauce.Ilavaitlesyeuxéraillésetportaitunepetitequeueenrouléed'unrubannoir.C'étaitlebeau-pèredumarquis,levieuxducdeLaverdière,l'ancienfavoriducomted'Artois,dansletempsdespartiesdechasseauVaudreuil,chezlemarquisdeConflans,etquiavaitété,disait-on,l'amantdelareineMarie-AntoinetteentreMM.DeCoignyetdeLauzun.Ilavaitmenéuneviebruyantededébauches,pleinededuels,deparis,defemmesenlevées,avaitdévorésafortuneeteffrayétoutesafamille.Undomestique,derrièresachaise,luinommaittouthaut,dansl'oreille,lesplatsqu'ildésignaitdudoigtetbégayant;etsanscesselesyeuxd'Emmarevenaientd'eux-mêmessurcevieilhommeàlèvrespendantes,commesurquelquechosesd'extraordinaireetd'auguste.IlavaitvécuàlaCouretcouchédanslelitdesreines!OnversaduvindeChampagneàlaglace.Emmafrissonnadetoutesapeauensentantcefroiddanssabouche.Ellen'avaitjamaisvudegrenadesnimangéd'ananas.Lesucreenpoudremêmeluiparutplusblancetplusfinqu'ailleurs.Lesdames,ensuite,montèrentdansleurschambress'apprêterpourlebal.Salammbô,GustaveFlaubert(1862)C'étaitàMégara,faubourgdeCarthage,danslesjardinsd'Hamilcar.Lessoldatsqu'ilavaitcommandésenSicilesedonnaientungrandfestinpourcélébrerlejouranniversairedelabatailled'Eryx,etcommelemaîtreétaitabsentetqu'ilssetrouvaientnombreux,ilsmangeaientetilsbuvaientenpleineliberté.Lescapitaines,portantdescothurnesdebronze,s'étaientplacésdanslechemindumilieu,sousunvoiledepourpreàfrangesd'or,quis'étendaitdepuislemurdesécuriesjusqu'àlapremièreterrassedupalais;lecommundessoldatsétaitrépandusouslesarbres,oùl'ondistinguaitquantitédebâtimentsàtoitplat,pressoirs,celliers,magasins,boulangeriesetarsenaux,avecunecourpourleséléphants,desfossespourlesbêtesféroces,uneprisonpourlesesclaves.Desfiguiersentouraientlescuisines;unboisdesycomoresseprolongeaitjusqu'àdesmassesdeverdure,oùdesgrenadesresplendissaientparmilestouffesblanchesdescotonniers;desvignes,chargéesdegrappes,montaientdanslebranchagedespins:unchampderosess'épanouissaitsousdesplatanes;deplaceenplacesurdesgazons,sebalançaientdeslis;unsablenoir,mêléàdelapoudredecorail,parsemaitlessentiers,et,aumilieu,l'avenuedescyprèsfaisaitd'unboutàl'autrecommeunedoublecolonnaded'obélisquesverts.Lepalais,bâtienmarbrenumidiquetachetédejaune,superposaittoutaufond,surdelargesassises,sesquatreétagesenterrasses.Avecsongrandescalierdroitenboisd'ébène,portantauxanglesdechaquemarchelaproued'unegal èrevainc ue,avecsesportesrougesécarteléesd' unecroixnoire,sesgrillage sd'airainquiledéfendaientenbasdesscorpions,etsestreillisdebaguettesdoréesquibouchaientenhautsesouvertures,ilsemblaitauxsoldats,danssonopulencefarouche,aussisolenneletimpénétrablequelevisaged'Hamilcar.LeConseilleuravaitdésignésamaisonpourytenircefestin;lesconvalescentsquicouchaientdansletempled'Eschmoûn,semettantenmarchedèsl'aurore,s'yétaienttraînéssurleursbéquilles.Achaqueminute,d'autresarrivaient.Partouslessentiers,ilendébouchaitincessamment,commedestorrentsquiseprécipitentdansunlac.Onvoyaitentrelesarbrescourirlesesclavesdescuisines,effarésetàdeminus;lesgazellessurlespelousess'enfuyaientenbêlant;lesoleilsecouchait,etleparfumdescitronniersrendaitencorepluslourdel'exhalaisondecettefouleensueur.Ilyavaitlàdeshommesdetouteslesnations,desLigures,desLusitaniens,desBaléares,desNègresetdesfugitifsdeRome.Onentendait,àcôtédulourdpatoisdorien,retentirlessyllabesceltiquesbruissantescommedescharsdebataille,etlesterminaisonsioniennesseheurtaientauxconsonnesdudésert,âprescommedescrisdechacal.LeGrecsereconnaissaitàsataillemince,l'Egyptienàsesépaulesremontées,leCantabreàseslargesmollets.DesCariensbalançaientorgueilleusementlesplumesdeleurcasque,desarchersdeCappadoces'étaientpeintavecdesjusd'herbesdelargesfleurssurlecorps,etquelquesLydiensportantdesrobesdefemmesdînaientenpantouflesetavecdesbouclesd'oreilles.D'autres,quis'étaientparpompebarbouillésdevermillon,ressemblaientàdesstatuesdecorail.Ilss'allongeaientsurlescoussins,ilsmangeaientaccroupisautourdegrandsplateaux,oubien,couchéssurleventre,ilstiraientàeuxlesmorceauxdeviande,etserassasiaientappuyéssurlescoudes,danslaposepacifiquedeslionslorsqu'ils dépècentleurproie.Lesd erniersvenus,deboutcontr elesarbres ,regardaientles tablesbassesdisparaissantàmoitiésousdestapisd'écarlate,etattendaientleurtour.Lescuisinesd'Hamilcarn'étantpassuffisantes,leConseilleuravaitenvoyédesesclaves,delavaisselle,deslits;etl'onvoyaitaumilieudujardin,commesurunchampdebataillequandonbrûlelesmorts,degrandsfeuxclairsoùrôtissaientdesboeufs.Lespainssaupoudrésd'anisalternaientaveclesgrosfromagespluslourdsquedesdisques,etlescratèrespleinsdevin,etlescantharespleinsd'eauauprèsdescorbeillesenfiligraned'orquicontenaientdesfleurs.Lajoiedepouvoirenfinsegorgeràl'aisedilataittouslesyeuxçàetlà,leschansonscommençaient.D'abordonleurservitdesoiseauxàlasauceverte,dansdesassiettesd'argilerougerehausséededessinsnoirs,puistouteslesespècesdecoquillagesquel'onramassesurlescôtespuniques,desbouilliesdefroment,defèveetd'orge,etdesescargotsaucumin,surdesplatsd'ambrejaune.Ensuitelestablesfur entcouverte sdeviandesantilo pes:avec leurs cornes,paonsavec leursplumes,

moutonsentierscuitsauvindoux,gigotsdechamellesetdebuffles,hérissonsaugarum,cigalesfritesetloirsconfits.Dansdesgame llesenbois deTamrapanniflottaient, aumilie udusafran,d egrands morceauxdegraisse.Tou tdébordaitdesaumure,detruffesetd'assafoetida.Lespyramidesdefruitss'éboulaientsurlesgâteauxdemiel,etl'onn'avaitpasoubliéquelques-unsdecespetitschiensàgrosventreetàsoiesrosesquel'onengraissaitavecdumarcd'olives,metscarthaginois enabominationauxaut respeuples.Lasurprisedesnourritures nouvell esexcitaitlacupiditédesestomacs.LesGauloisauxlongscheveuxretrousséssurlesommetdelatête,s'arrachaientlespastèquesetleslimonsqu'ilscroquaientavecl'écorce.DesNègresn'ayantjamaisvudelangoustessedéchiraientlevisageàleurspiquantsrouges.MaislesGrecsrasés,plusblancsquedesmarbres,jetaientderrièreeuxlesépluchuresdeleurassiette,tandisquedespâtresduBrutium,vêtusdepeauxdeloups,dévoraientsilencieusement,levisagedansleurportion.Lanuittombait.Onretiralevelariumétalésurl'avenuedecyprèsetl'onapportadesflambeaux.Leslueursvacillantesdupétrolequibrûlaitdansdesvasesdeporphyreeffrayèrent,auhautdescèdres,lessingesconsacrésàlalune.Ilspoussèrentdescris,cequimitlessoldatsengaieté.Desflammesoblonguestremblaientsurlescuirassesd'airain.Toutessortesdescintillementsjaillissaientdesplatsincrustésdepierresprécieuses.Lescratères,àborduredemiroirsconvexes,multipliaientl'imageélargiedeschoses;lessoldatssepressantautours'yregardaientavecébahissementetgrimaçaientpoursefairerire.Ilsselançaient,par-dessuslestables,lesescabeauxd'ivoireetlesspatulesd'or.Ilsavalaientàpleinegorgetouslesvinsgrecsquisontdansdesoutres,lesvinsdeCampanieenfermésdansdesamphores,lesvinsdesCantabresquel'onapportedansdestonneaux,etlesvinsdejujubier,decinnamomeetdelotus.Ilyenavaitdesflaquesparterreoùl'onglissait.Lafuméedesviandesmontaitdanslesfeuillagesaveclavapeurdeshaleines.Onentendaitàlafoisleclaquementdesmâchoires,lebruitdesparoles,deschansons,descoupes,lefracasdesvasescampaniensquis'écroulaientenmillemorceaux,oulesonlimpided'ungrandplatd'argent.BouledeSuif,Maupassant(1880)Enfin,àtroisheures,commeonsetrouvaitaumilieud'uneplaineinterminable,sansunseulvillageenvue,Bouledesuif,sebaissantvivement,retiradesouslabanquetteunlargepaniercouvertd'uneservietteblanche.Elleensortitd'abordunepetiteassiettedefaïence,unefinetimbaleenargent,puisunevasteterrinedanslaquelledeuxpouletsentiers,toutdécoupés,avaientconfitsousleurgelée;etl'onapercevaitencoredanslepanierd'autresbonneschosesenveloppées,despâtés,desfruits,desfriandises,lesprovisionspréparéespourunvoyagedetroisjours,afindenepointtoucheràlacuisinedesauberges.Quatregoulotsdebouteillespassaiententrelespaquetsdenourriture.Elleprituneailedepouletet,délicatement,semitàlamangeravecundecespetitspainsqu'onappelle"Régence"enNormandie.Touslesregardsétaienttendusverselle.Puisl'odeurserépandit,élargissantlesnarines,faisantvenirauxbouchesunesaliveabondanteavecunecontractiondouloureusedelamâchoiresouslesoreilles.Leméprisdesdamespourcettefilledevenaitféroce,commeuneenviedelatueroudelajeterenbasdelavoiture,danslaneige,elle,satimbale,sonpanieretsesprovisions.MaisLoiseaudévoraitdesyeuxlaterrinedepoulet.Ildit:"Alabonneheure,Madameaeuplusdeprécautionquenous.Ilyadespersonnesquisaventtoujourspenseràtout."Ellelevalatêteverslui:"Sivousendésirez,Monsieur?C'estdurdejeûnerdepuislematin."Ilsalua:"Mafoi,franchement,jenerefusepas,jen'enpeuxplus.Alaguerrecommeàlaguerre,n'est-cepas,Madame?"Et,jetantunregardcirculaire,ilajouta:"Dansdesmomentscommecelui-là,onestbienaisedetrouverdesgensquivousobligent."Ilavaitunjournal,qu'ilétenditpournepointtachersonpantalon,etsurlapointed'uncouteautoujourslogédanssapoche,ilenlevaunecuissetouteverniedegelée,ladépeçadesdents,puislamâchaavecunesatisfactionsiévidentequ'ilyeutdanslavoitureungrandsoupirdedétresse.MaisBoulede suif,d'unevoix humblee tdouce,proposaa uxbonnessoeurs departagersaco llation .Ellesacceptèrenttouteslesdeuxinstantanément,et,sansleverlesyeux,semirentàmangertrèsviteaprèsavoirbalbutiédesremerciements.Cornudetnerefusapasnonpluslesoffresdesavoisine,etl'onformaaveclesreligieusesunesortedetableendéveloppantdesjournauxsurlesgenoux.Lesbouchess'ouvraientetsefermaientsanscesse,avalaient,mastiquaient,engloutissaientférocement.Loiseau,danssoncoin,travaillaitdur,et,àvoixbasse,ilengageaitsafemmeàl'imiter.Ellerésistalongtemps,puis,aprèsunecrispationquiluiparcourut lesentraille s,ellecéda. Alorssonmari,arrondissant saphrase, demandaàleur"charmantecompagne"siellelui permettaitd'offrirun petit morceauàMme Loiseau.Elle dit:"Maisoui,certainement,Monsieur",avecunsourireaimable,ettenditlaterrine.Unembarrasseproduisitlorsqu'oneutdébouchélapremièrebouteilledebordeaux:iln'yavaitqu'unetimbale.Onselapassaaprèsl'avoiressuyée.Cornudetseul,pargalanteriesansdoute,posaseslèvresàlaplacehumideencoredeslèvresdesavoisine.Alors,entourésdegensquimangeaient,suffoquésparlesémanationsdesnourritures,lecomteetlacomtessede

Bréville,ainsiqueM.etMmeCarré-LamadonsouffrirentcesuppliceodieuxquiagardélenomdeTantale.Toutd'uncouplajeunefemmedumanufacturierpoussaunsoupirquifitretournerlestêtes;elleétaitaussiblanchequelaneigedudehors;sesyeuxsefermèrent,sonfronttomba:elleavaitperduconnaissance.Sonmari,affolé,imploraitlesecoursdetoutlemonde.Chacunperdaitl'esprit,quandlaplusâgéedesbonnessoeurs,soutenantlatêtedelamalade,glissaentreseslèvreslatimbaledeBouledesuifetluifitavalerquelquesgouttesdevin.Lajoliedameremua,ouvritlesyeux,souritetdéclarad'unevoixmourantequ'ellesesentaitfortbienmaintenant.Mais,afinquecelaneserenouvelâtplus,lareligieuselacontraignitàboireunpleinverredebordeaux,etelleajouta:"C'estlafaim,pasautrechose."AlorsBouledesuif,rougissanteetembarrassée,balbutiaenregardantlesquatrevoyageursrestésàjeun:"MonDieu,sij'osaisoffriràcesmessieursetàcesdames..."Ellesetut,craignantunoutrage.Loiseaupritlaparole:"Eh,parbleu,dansdescaspareilstoutlemondeestfrèreetdoits'aider.Allons,Mesdames,pasdecérémonie,acceptez,quediable!Savons-noussinoustrouveronsseulementunemaisonoùpasserlanuit?Dutraindontnousallons,nousneseronspasàTôtesavantdemainmidi."Onhésitait,personnen'osantassumerlaresponsabilitédu"oui".Maislecomte trancha laquestion.Ils etournaverslagrosse fillein timidée,et,prenantsongran dairde gentilhomme,illuidit:"Nousacceptonsavecreconnaissance,Madame."Lepremierpasseulcoûtait.UnefoisleRubiconpassé,ons'endonnacarrément.Lepanierfutvidé.Ilcontenaitencoreunpâtédefoiegras,unpâtédemauviettes,unmorceaudelanguefumée,despoiresdeCrassane,unpavédePont-l'Evêque,despetitsfoursetunetassepleinedecornichonsetd'oignonsauvinaigre,Bouledesuif,commetouteslesfemmes,adorantlescrudités.Onnepouvaitmangerlesprovisionsdecettefillesansluiparler.Donconcausa,avecréserved'abord,puis,commeellesetenaitfortbien,ons'abandonnadavantage.Arebours,J.K.Huysmans(1884)Ils'acquitlaréputationd'unexcentriquequ'ilparachevaensevêtantdecostumesdeveloursblanc,degiletsd'orfroi,enplantant,enguisedecravate,unbouquetdeParmedansl'échancruredécolletéed'unechemise,endonnantauxhommesdelettresdesdînersretentissants,unentreautres,renouveléduxviiiesiècle,où,pourcélébrerlaplusfutiledesmésaventures,ilavaitorganiséunrepasdedeuil.Danslasalleàmangertenduedenoir,ouvertesurlejardindesamaisonsubitementtransformé,montrantsesalléespoudréesdecharbon,sonpetitbassinmaintenantbordéd'unemargelledebasalteetremplid'encreetsesmassifstoutdisposésdecyprèsetdepins,ledîneravaitétéapportésurunenappenoire,garniedecorbeillesdeviolettesetdescabieuses,éclairéepardescandélabresoùbrûlaientdesflammesverteset,pardeschandeliersoùflambaientdescierges.Tandisqu'unorch estredissimul éjouaitdesmarchesfunèbres,les convivesavaientétés ervispard esnégressesnues,avecdesmulesetdesbasentoiled'argent,seméedelarmes.Onavaitmangédansdesassiettesbordéesdenoir,dessoupesàlatortue,despainsdeseiglerusse,desolivesmûresdeTurquie,ducaviar,despoutarguesdemulets,desboudinsfumésdeFrancfort,desgibiersauxsaucescouleurdejusderéglisseetdecirage,descoulisdetruffes,descrèmesambréesauchocolat,despoudings,desbrugnons,desra isinés,desmûresetdesgui gnes;bu ,dansde sverressombre s,lesvinsde laLimagneetduRoussillon,desTenedos,desValdePeñasetdesPorto;savouré,aprèslecaféetlebroudenoix,deskwas,desporteretdesstout.Ledî nerdefaire-partd'unevirilité momentanémentmorte,était -iléc ritsurleslettre sd'invitation ssemblablesàcellesdesenterrements.Maiscesextravagancesdontilseglorifiaitjadiss'étaient,d'elles-mêmes,consumées;aujourd'hui,leméprisluiétaitvenudecesostentationspuérilesetsurannées,decesvêtementsanormaux,decesembelliesdelogementsbizarres.Ilsongeaitsimplementàsecomposer,poursonplaisirpersonneletnonpluspourl'étonnementdesautres,unint érieurconfortableetparénéa nmoinsd'unefaçonrare,àsef açonnerunein stal lation curieuseetcalme,appropriéeauxbesoinsdesafuturesolitude.

Le Repas de noce, Pieter Brueghel l'Ancien, 1567 ou 1568. Huile sur toile, 114 x 164 cm, Kunsthistorisches Museum, Vienne

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