L'espace-poème est parcouru par des mots qui renvoient à l'ivresse comme mon « verre » (V.1) rempli du « vin » (V. 1) lui-même « ivre » (V. 9) de voir des «
Ce recueil se compose des dix poèmes suivants : - “L'âme du vin” de Charles Baudelaire poème initiateur car on débute avec le vin ainsi personnifié et glorifié
Le dernier vers du poème reprend une dernière fois la thématique de l'ivresse : « Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire ». Ce poème de 13 vers qui ne
Lecture linéaire du poème « Le vin des chiffonniers » Les Fleurs du Mal incontrôlable
d'ivresse est un incipit en puissance qui
Peite veille d'ivresse sainte ! quand ce ne serait que Sans doute ce poème n'est pas la relaion rétrospecive d'une séance de haschish
L'un s'appelait Verlaine. L'autre
Et dès lors je me suis baigné dans le Poème. De la Mer
Dorénavant tr'ivresse: 'oDe vln
Références littérales à l'alcool et à l'ivresse ("Zone" "Vendémiaire") 1) Apollinaire fait le choix de commencer et de finir par deux poèmes très forts ...
L’ivresse qui parcourt le poème convoque lors de son passage une panoplie d’univers légendaire et mythologiques animés par la présence de « sept femmes » (V 3) aux « cheveux verts » (V 4) du « batelier » (V 2 6) des « fées » (V 12) etc
L’une des caracte?ristiques de l’ivresse est la vision trouble. Le poe?te semble souffrir de cet effet secondaire de l’alcool, comme le montrent les images pre?sentes dans le poe?me. Ainsi, la re?pe?tition au de?but du vers 9 « le Rhin le Rhin » pourrait indiquer, outre une e?locution difficile, que le poe?te voit double.
1 L a longue histoire des rapports complices entre les poètes et l’ivresse suit deux traditions : celle des poètes bachiques, qui célèbrent Bacchus en chansons ; et celle des chantres de la « fureur » dionysiaque, pour qui l’ivresse est une convention propre à soutenir leur inspiration dithyrambique.
Il a laissé dans son œuvre poétique des évocations lyriques de l’ivresse, qui sont autant d’invitations à nous plonger avec lui dans le grand frisson qui passe sous les étoiles. Alors, « Ecoutez là-bas, sous les rayons de la lune … » et dites ce que vous avez vu.
Un poème où Apollinaire inaugure une modernité de poésie, un poème dans lequel le poète affranchit les règles classiques de la versification française. Quand l’auteur parle de son verre brisé, automatiquement il revendique le vers poétique du sonnet qui a été brisé par cette révolution poétique.