Joseph Vernet (1714–1789) Vue du port de Bordeaux
Mais on a aussi construit des navires pour le commerce triangulaire. Préparation d'un navire négrier. Grâce aux archives du port de Rochefort nous avons une
Le navire la Licorne de Bordeaux du port de six cent vingt-cinq tonneaux
Lacour commence cette grande vue du port de Bordeaux en 1804 et l'achève deux ans plus siècle avec le développement du commerce triangulaire.
Bourgeoisies commerce
marchandises jusqu'au port. 1 . Le commerce de Bordeaux au XVIIIème siècle cadre du commerce triangulaire et de l'économie de plantation. Ce commerce.
Pourquoi se lancer dans le commerce triangulaire alors que le commerce de droiture fonctionne bien et est de bon rapport ? • Un fort marché s'ouvre pour
Situation n° 2 : Comment le commerce triangulaire a-t-il enrichi le port de Bordeaux ? l'Atlantique pour participer au commerce avec l'Amérique.
Vue du port de Bordeaux Joseph Vernet
du port de Bordeaux au cours du XVIIIe siècle et la réalité du commerce triangulaire. Objectifs. • Découvrir un site public patrimonial de dimension
• Des archives du fonds de l’amirauté série C (des tableaux statistiques « états » extraits de registre) • Des cartes des routes du commerce triangulaire des sites de traite fréquentés par les négriers bordelais • Des gravures du fonds Chatillon illustrant les étapes de la captivité jusqu’ au travail des esclaves
commerce triangulaire dans lequel les produits de l'Aquitaine (blés vins objets manufacturés ) sont directement échangés contre des denrées coloniales sans qu'il soit nécessaire de faire le détour par l'Afrique De plus c'est par le port de Bordeaux que les produits importés
Pour une introduction à l’étude de cette traite, démarrer au XVe siècle, avant la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, est nécessaire afin de replacer la traite occidentale dans un processus global, qui ne cessera qu’avec les abolitions au XIXe siècle, et aura bien des conséquences jusqu’à nos jours. Il n’est pas toujours aisé de trouver...
L’origine de la traite atlantique est généralement vue dans le commerce d’esclaves pratiqué par les Portugais au cours du XVe siècle. Principalement à la suite de la prise de Ceuta en 1415, vue comme un prolongement de la Reconquista, une politique volontariste des souverains portugais, mais également des Ordres de chevalerie, encourage des aventur...
Logiquement, ce sont les puissances de la péninsule Ibérique qui ouvrent la traite négrière transatlantique. Par différents traités, comme celui d’Alcaçovas (1479) et surtout celui de Tordesillas (1494), le Portugal et l’Espagne se partagent les territoires à exploiter. Les Espagnols donnent des asientos à des compagnies privées chargées d’importer...
En France, la traite des Noirsa été prospère de la fin du XVIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle. Le commerce triangulaire était organisé entre la France, l'Afrique et les Antilles. Les bateaux partaient de quatre ports : La Rochelle, Bordeaux, Le Havre et surtout Nantes (1 427 expéditions négrières de 1715 à 1789) qui fut le premier port négrier m...
Le commerce triangulaireest véritablement en place, et s’intensifie, favorisant l’émergence de véritables "multinationales", auxquelles les souverains européens délèguent le commerce des esclaves, octroyant souvent des monopoles à certaines compagnies. L’apogée de la traite atlantique intervient donc au XVIIIe siècle, et la compétition est telle en...
Le XVIIIe siècle représente la période de grand essor du commerce triangulaire. Liverpool en Angleterre, Nantes ou Bordeaux en France sont alors de grands ports négriers européens, que surclasse encore Rio de Janeiro, premier port mondial.
Le commerce triangulaire désigne le processus de la traite des Noirs de la fin du XVIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle entre l'Europe, l'Afrique et l'Amérique (principalement les Antilles).
A partir de la moitié du XVIIIe siècle, les commerçants bordelais se sont lancés directement dans la traite négrière. Au total, on compte plus de 500 expéditions négrières qui s’arrêtaient en Afrique pour acheter des esclaves et repartaient aux colonies, la majorité étant destiné à Saint Domingue.
A Bordeaux aussi on pouvait facilement ignorer les liens historiques de la région avec l’Afrique. La ville a été longtemps accusée d’occulter l’histoire de son port, mais récemment elle essaie de se rencontrer avec son passé a travers un ensemble d’initiatives mises en place surtout à partir des années 2000.