Ce procédé est l'arme parfaite pour une guérilla de l'esprit. Mais tout dialoguiste y compris lui
Voltaire s'attaque à un certain nombre d'ennemis dans Candide. On remarque en particulier dans Candide
L'ironie est une figure de style du double langage c'est à dire que le véritable sens Dans cette phrase
Les genres littéraires où l'ironie est omniprésente sont : Le conte philosophique ( Voltaire
Le discours ironique est un procédé polémique. L'ironie voltairienne a toujours une visée satirique et elle est révélatrice d'une idée. Elle n'est donc pas
pas linguistiquement repérables en tant que procédés bien définis » et ensuite L'ironie chez Voltaire
Exemple : Voltaire Candide
-Étudier les procédés littéraires de l'ironie et de la satire (qui Trouve les autres contes philosophiques que Voltaire a écrits.
techniques de la rhétorique de persuasion les procédés de représentation du réel conversationnel et la nécessaire gravité d’un processus dialectique entre deux ou plusieurs locuteurs
Bien que ni Freud, ni Lacan n’évoquent Voltaire à aucun moment de leurs analyses, la coïncidence des phénomènes qu’ils décrivent et de la pratique voltairienne de l’ironie apparaît avec force, comme dans cet exemple de l’article Christianisme (p. 127), qui sera repris à l’article Martyre (p. 280).
Le discours, ou plus exactement l’ironie du discours voltairien s’établit sur cette surprise par rapport au défaut paternel, au manque du Père dans le texte. Au père du christianisme, Voltaire substitue alors un père de pacotille, de fiction, le père de son historien déficient :
L'ironie voltairienne, on le voit, va de pair avec une stratégie activiste. Réchauffant le zèle philosophique de son camarade d'Alembert, l'auteur lui transmet la consigne : « Prêchez et écrivez, combattez, convertissez, rendez les fanatiques si odieux et si méprisables que le gouvernement soit honteux de les soutenir ».
Parce que le dix-huitième siècle a pratiqué ironie et mot d’esprit avec la conscience d’une pratique unique et indissociable, il nous a paru légitime de recourir aux analyses freudienne et lacanienne du witz pour rendre compte de l’ironie voltairienne, même si ces analyses ne traitent jamais de l’ironie en tant que telle.