La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut. Pour s'acquitter envers le Prince. De certains compliments de consolation.
“ Les Obsèques de la Lionne ». (Livre VIII fable 14). Commentaire littéraire. TEXTE. Les Obsèques de la Lionne1. La femme du Lion mourut :.
Bref résumé de la fable : Cette fable raconte les funérailles de la Lionne la femme du roi Lion. Tous les courtisans du roi sont tristes sauf le Cerf car celle
v. 17-23 : ces sept vers se présentent comme une sorte de parenthèse qui annonce la moralité finale. Le fabuliste y prend la parole directement en usant du
Texte 1 : « Les obsèques de la lionne ». INTRO: La Fontaine l'un des auteurs français les plus renommés grâce aux fables qu'il a écrites au.
Texte 1 : « Les obsèques de la lionne ». INTRO: La Fontaine l'un des auteurs français les plus renommés grâce aux fables qu'il a écrites au.
pas avoir pleuré aux obsèques de la Lionne est jugé coupable par le roi (La Fontaine
La mort de la Lionne les préparatifs des obsèques. - Le cerf ne pleure pas
Obsèques de la Lionne » d'implicite pour critique le lion et la lionne. ... (II) Récit des obsèques ; portée de ce récit : critique le.
Dans ses fables La Fontaine dénonce l'hypocrisie des courtisans du roi : les courtisans mentent au roi pour lui plaire (« Les Obsèques de la lionne »
LES OBSÈQUES DE LA LIONNE La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut Pour s'acquitter envers le Prince De certains compliments de consolation Qui sont surcroît d'affliction Il fit avertir sa Province Que les obsèques se feraient Un tel jour en tel lieu ; ses Prévôts y seraient Pour régler la cérémonie Et pour placer la
« Les Obsèques de la Lionne » de Jean de La Fontaine est un apologue issu des Fables. Comme tous les apologues de La Fontaine, ce poème répond à une double visée : plaire et instruire. Aussi, à travers un récit de fiction riche et original, La Fontaine développe une féroce satire de la cour de Louis XIV. Qui sont surcroît d’affliction.
Dès les premiers vers des « obsèques de la Lionne », La Fontaine tourne en dérision le comportement des courtisans lors des obsèques. En utilisant le verbe « s’acquitter » (v.3), il adjoint à un comportement moral (les condoléances) une valeur marchande qui évoque l’obligation.
Comme souvent dans ses Fables, La Fontaine met ici en scène des animaux anthropomorphes (au comportement humain). Ce mélange est d’emblée annoncé dans le titre, « Les obsèques de la Lionne », liant un animal et une cérémonie humaine par excellence, celle de l’hommage aux morts.