[PDF] Rapport - n° 2011-108 Lécole maternelle





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Rapport - n° 2011-108 Lécole maternelle

Rapport - n° 2011-108 ? octobre 2011

Inspection générale

de l"éducation nationale Inspection générale de l"administration de l"éducation nationale et de la recherche

L"école maternelle

Rapport à monsieur le ministre

de l"éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative 2 5 MINISTÈRE DE L"ÉDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE MINISTÈRE DE L"ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE ______________ Inspection générale de l"éducation nationale Inspection générale de l"administration de l"éducation nationale et de la recherche

L"école maternelle

N° 2011-108

octobre 2011 Inspection générale de l"éducation nationale

Inspection générale de l"administration

de l"éducation nationale et de la recherche

Viviane Bouysse

Philippe Claus

Christine Szymankiewicz

GROUPE DE TRAVAIL :

Jean-Pierre Delaubier, Pascal Jardin, Christian Loarer, Gilles Pétreault Inspecteurs généraux de l"éducation nationale Martine Caraglio, Marie-Hélène Granier-Fauquert, Anne-Marie Grosmaire, Jean-René Genty,

François Louis

Inspecteurs généraux de l"administration de l"éducation nationale et de la recherche 6 7 PREMIÈRE PARTIE. LE CONTEXTE : ÉDUCATION ET ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE À L"ÉTRANGER ET EN FRANCE._________________________________14 Chapitre 1.___________________________________________________________________ 14 L"EDUCATION ET L"ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE : UNE APPROCHE PANORAMIQUE DE LA SITUATION AU NIVEAU INTERNATIONAL_____________ 14

1.1. UN MOUVEMENT GÉNÉRAL : LA PRISE EN CHARGE DE LA PETITE ENFANCE PAR DES

STRUCTURES EXTÉRIEURES AU FOYER_____________________________________________ 14

1.1.1. Des conventions internationales sources de convergences_____________________________ 14

1.1.2. Le moteur du changement : un contexte général de défi démographique combiné à un

accroissement de l"activité professionnelle des femmes____________________________________ 15

1.1.2.1. L"accroissement du niveau de natalité comme objectif primordial________________ 15

1.1.2.2. Une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie familiale rendue nécessaire

par l"augmentation du nombre de femmes sur le marché du travail ________________________ 15

1.1.3. Une volonté de briser le cycle de la pauvreté, un investissement pour l"avenir _____________ 16

1.1.3.1. Une action contre les désavantages éducatifs qui touchent les enfants des familles pauvres 16

1.1.3.2. " L"apprentissage engendre l"apprentissage », une formule qui fait consensus _________ 16

1.1.3.3. Une aide publique qui anticipe un taux de retour sur investissement dans le capital humain17

1.2. DES CONCEPTIONS ET DES MODÈLES DIFFERENTS SELON L"HISTOIRE, LES

CONTEXTES ET LES VALEURS CULTURELLES, SOCIALES OU RELIGIEUSES ____________ 17

1.2.1. Deux grands modèles de structuration de l"offre ____________________________________ 17

1.2.1.1. L"accueil de la petite enfance organisé de manière intégrée________________________ 17

1.2.1.2. L"accueil de la petite enfance organisé de manière juxtaposée : des services séparés selon

l"âge des enfants, une gouvernance partagée entre des acteurs variés _______________________ 18

1.2.2. Une grande diversité dans l"accès aux services de la petite enfance selon les pays __________ 19

1.2.2.1. Un accès généralisé pour les modèles intégrés, une pénurie de places avant trois ans dans les

autres modèles _________________________________________________________________ 19

1.2.2.2. Un âge du premier accueil qui varie fortement, des choix politiques qui ont des

conséquences sociales ___________________________________________________________ 19

1.2.2.3. Une volonté récente d"accroître l"offre, mais un contrôle de la capacité d"accueil des tout

petits qui reste l"exception ________________________________________________________ 20

1.2.2.4. Des critères communs d"attribution des places dans la plupart des pays ______________ 20

1.2.2.5. Un accroissement de la fréquentation lié à l"âge des enfants dans la plupart des pays

européens, mais néanmoins des disparités importantes __________________________________ 21

1.2.3. Des conceptions du préscolaire étroitement liées à des valeurs culturelles et sociales________ 22

1.2.3.1. Des visées différentes pour l"accueil des jeunes enfants selon leur âge _______________ 22

1.2.3.2. Deux conceptions très différentes de l"éducation pré-primaire______________________ 22

1.2.3.3. Un consensus sur le bénéfice d"une année de préscolarisation avant le début de

l"enseignement scolaire __________________________________________________________ 23

1.3. DES INVESTISSEMENTS PUBLICS DANS LA PLUPART DES PAYS DE L"OCDE, MAIS UNE

DIVERSITE D"ENCADREMENT ET DE FONCTIONNEMENT QUI RETENTIT SUR LA QUALITÉ __________________________________________________________________________________ 23

1.3.1. Une variété des niveaux de responsabilité et des stratégies de financement________________ 23

1.3.1.1. Une coordination difficile des politiques de la petite enfance_______________________ 23

1.3.1.2. Des responsabilités partagées entre les autorités nationales, les autorités locales et les parents

_____________________________________________________________________________ 24

1.3.1.3. Des investissements publics difficilement évaluables et des approches différentes dans les

stratégies de financement de l"éducation et l"accueil des tout jeunes enfants _________________ 26

1.3.2. Une évolution de l"encadrement et du fonctionnement qui bénéficie à la mission d"éducation 28

1.3.2.1. Un recours croissant à un cadre national en matière de programmes d"éducation dans le

secteur de la petite enfance _______________________________________________________ 28

1.3.2.2. Une continuité assurée dans les systèmes intégrés _______________________________ 29

1.3.2.3. Une action particulière pour les populations à risque, mais une action qui cible encore

rarement les parents _____________________________________________________________ 29

1.3.2.4. Des normes variables de taille des groupes et de taux d"encadrement ________________ 31

1.3.2.5. Une organisation du temps que l"on tente d"adapter aux besoins des familles __________ 31

1.3.3. Un recrutement de personnels diplômés mais une disparité de qualification _______________ 32

8

1.3.3.1. Des qualifications en général distinctes selon l"âge des enfants dans les systèmes non

intégrés_______________________________________________________________________ 32

1.3.3.2. Une formation commune des personnels et une qualification unique dans les systèmes

intégrés_______________________________________________________________________ 33

1.3.4. Une variété de critères et de procédures dans l"évaluation de l"efficacité et/ou de la qualité de

l"éducation et de l"accueil des tout jeunes enfants________________________________________ 33

1.3.4.1. Une comparaison internationale de la qualité des services d"éducation et d"accueil des tout

jeunes enfants mais une mesure délicate de l"efficacité en termes de résultats scolaires. ________ 33

1.3.4.2. Des procédures d"évaluation par des agences autonomes ou par des instances

administratives, locales ou nationales _______________________________________________ 34 Chapitre 2.___________________________________________________________________ 37 L"ÉCOLE MATERNELLE FRANÇAISE, ÉCOLE À PART ENTIÈRE ET COMPOSANTE DES STRUCTURES D"ÉDUCATION ET D"ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE ENTIÈREMENT À PART______________________________________________________ 37

2.1. DES STRUCTURES D"ACCUEIL ET D"EDUCATION DIFFERENCIEES DES LEUR ORIGINE, A

L"EVOLUTION PARALLELE ________________________________________________________ 37

2.1.1. De l"oeuvre charitable à l"action publique__________________________________________ 38

2.1.1.1. Salle d"asile et école maternelle : des milieux d"instruction gratuits pour les familles ___ 38

2.1.1.2. La crèche : un établissement sanitaire, jamais gratuit pour les parents _______________ 38

2.1.2. Un essor fortement lié au travail féminin, une extension de la fréquentation à toutes les classes

sociales _________________________________________________________________________ 38

2.1.2.1. La diversification progressive des services de la petite enfance_____________________ 39

2.1.2.2. L"école maternelle après la seconde guerre mondiale : l"accueil de tous les enfants, sur tout

le territoire ____________________________________________________________________ 39

2.1.3. L"accueil des enfants de deux à trois ans : des débats depuis près de trente ans, un enjeu politique

toujours d"actualité ________________________________________________________________ 40

2.1.3.1. Un essor de la scolarisation précoce dans des conditions vivement critiquées__________ 40

2.1.3.2. L"expérimentation de solutions alternatives ____________________________________ 42

2.1.3.3. Les enfants de moins de trois ans à l"école maternelle : une variable d"ajustement plus

qu"une politique________________________________________________________________ 44

2.2. L"ÉCOLE MATERNELLE, ÉCOLE NON OBLIGATOIRE MAIS SERVICE UNIVERSEL ET

GRATUIT POUR LES FAMILLES _____________________________________________________ 46

2.2.1. Des modalités et un cadre de fonctionnement identiques à ceux de l"école élémentaire ______ 46

2.2.2. Un fort engagement de l"État et des collectivités locales ______________________________ 47

2.2.2.1. Les obligations respectives de l"État et des collectivités territoriales sous l"angle de la

scolarisation : le cadre juridique tel que défini par les textes______________________________ 47

2.2.2.2. L"école maternelle : un temps et un lieu privilégiés pour la politique de santé publique et de

prévention ____________________________________________________________________ 49

2.2.3. Le coût de l"école maternelle ___________________________________________________ 51

2.2.3.1. Où le coût se cache-t-il ?___________________________________________________ 51

2.2.3.2. Les dépenses communales _________________________________________________ 52

2.3. L"ECOLE MATERNELLE : UNE INSTITUTION DE PLUS EN PLUS SCOLAIRE __________ 54

2.3.1. " L"école maternelle n"est pas une école au sens ordinaire du mot » (1908) _______________ 54

2.3.1.1. Soins et éducation associés _________________________________________________ 54

2.3.1.2. " Les procédés d"éducation d"une mère intelligente et dévouée » ___________________ 54

2.3.2. L"école maternelle repensée au milieu des années 1970 : " un triple rôle éducatif, propédeutique

et de gardiennage »_______________________________________________________________ 55

2.3.3. La primauté de la finalité scolaire, l"effacement de la mission d"accueil__________________ 56

2.3.3.1. Une scolarité particulière, mais une scolarité (1986) _____________________________ 56

2.3.3.2. L"unité de la scolarité primaire scellée par les cycles pédagogiques (1989)____________ 57

2.3.3.3. De 1995 à 2008, l"identité scolaire de l"école maternelle confirmée et renforcée _______ 58

2.3.4. Une évolution de la hiérarchie des contenus________________________________________ 59

2.3.4.1. Des domaines d"activités redéfinis et réordonnés________________________________ 59

2.3.4.2. Une conception renouvelée de la socialisation scolaire ___________________________ 60

2.3.4.3. La priorité accordée au langage oral et écrit, un programme ambitieux_______________ 61

2.3.4.4. La place discrète et ambiguë des mathématiques à l"école maternelle ________________ 63

DEUXIEME PARTIE. LES CONSTATS. BILAN D"ENQUETE. ___________________64 Chapitre 3.___________________________________________________________________ 64 9 L"ECOLE MATERNELLE EN 2010 - 2011 : QUE FAIT-ELLE ET COMMENT ? ORGANISATION, ENSEIGNEMENT ET APPRENTISSAGES. _____________________ 64

3.1. À L"ÉCHELLE DE L"ÉCOLE : DES COOPÉRATIONS À CONSTRUIRE ENTRE DES

PROFESSIONNELS VARIÉS, UN TRAVAIL COLLECTIF RÉORIENTÉ PAR LA RÉFORME DE

2008______________________________________________________________________________ 64

3.1.1. L"importance des relations humaines pour compenser des faiblesses structurelles_____________ 64

3.1.1.1. Aux côtés des enseignants, des personnels aux compétences spécifiques et diverses_____ 65

3.1.1.2. Des agents spécialisés des écoles maternelles entre plusieurs autorités _______________ 66

3.1.1.3. Des financements aux ramifications complexes, perçus comme satisfaisants en général__ 69

Le coût, pouls des financeurs_________________________________________________71 Le rôle du responsable de centre, du conseil des parents et le business plan _____________ 73

La participation plafonnée des familles à un pourcentage du coût d"exploitation des centres _________ 74

3.1.2. Des dynamiques pédagogiques d"école témoignant d"un travail collectif _________________ 75

3.1.2.1. Une prise en compte significative de la réforme de 2008__________________________ 75

Programmes et repères de progressivité______________________________________________ 76 Suivi et évaluation des élèves _____________________________________________________ 77

La personnalisation des apprentissages : le souci d"exploiter les ressources à l"échelle de l"école_ 78

3.1.2.2. La recherche d"une continuité éducative_______________________________________ 79

Dans le parcours de l"enfant : vers l"aval bien plus qu"à l"amont __________________________ 80 Entre l"école maternelle et la famille ________________________________________________ 83

3.1.2.3. Des partenariats actifs de l"école maternelle avec les professionnels chargés de la prévention

_____________________________________________________________________________ 86

3.2. LA CLASSE MATERNELLE : UNE ORGANISATION FIGÉE, UNE PÉDAGOGIE QUI SE

CHERCHE ________________________________________________________________________ 89

3.2.1. L"espace de la classe : un enrichissement et une différenciation indispensables ____________ 90

3.2.1.1. La classe, milieu de vie et d"apprentissage : une organisation qui s"est appauvrie_______ 90

3.2.1.2. Un décor envahi par l"écrit dès la section des petits ______________________________ 94

3.2.2. L"organisation et les usages du temps scolaire : des habitudes à réinterroger ______________ 96

3.2.2.1. L"emploi du temps : une présentation souvent confuse ___________________________ 96

3.2.2.2. Les temps dits " informels », " sociaux » ou " éducatifs » : durée et conception à revoir _ 97

3.2.2.3. Une organisation globale qui ne permet pas de tirer le meilleur parti du temps de l"école

maternelle_____________________________________________________________________ 99

3.2.3. Les formes de mise en oeuvre des activités________________________________________ 101

3.2.3.1. En collectif-classe, des activités assez constantes_______________________________ 101

3.2.3.2. Les inévitables " ateliers » : le succès d"une organisation à l"efficacité limitée _______ 103

3.2.4. Une grande uniformité des pratiques, une différenciation insuffisante pour assurer une bonne

prévention______________________________________________________________________ 107

3.2.4.1. Le manque de progressivité au long du cursus _________________________________ 107

3.2.4.2. Des pratiques d"évaluation de plus en plus abondantes dont on ne tire pas le meilleur profit

____________________________________________________________________________ 109

3.2.4.3. Le manque de différenciation à chaque niveau : des pratiques pédagogiques insuffisamment

ajustées aux besoins des enfants __________________________________________________ 113

3.2.5. La conception des activités, la préparation de la classe ______________________________ 115

3.2.5.1. Les outils des élèves : l"essor du travail sur fiches ______________________________ 115

3.2.5.2. Des situations et des formes d"activités peu diversifiées, sous-exploitées pour assurer des

apprentissages ________________________________________________________________ 118

3.2.5.3. La préparation de la classe : un déficit d"anticipation sur des éléments essentiels ______ 122

3.3. LANGUE ET LANGAGE : UN BILAN INÉGAL, UNE FAIBLESSE PERSISTANTE DE LA

PÉDAGOGIE DE L"ORAL __________________________________________________________ 124

3.3.1. La pédagogie de l"oral : toujours autant de faiblesses et les mêmes difficultés ____________ 125

3.3.1.1. Du langage, mais peu de réelles situations d"apprentissage _______________________ 125

3.3.1.2. Des objectifs variés insuffisamment clairs pour les enseignants____________________ 126

3.3.1.3. Des dispositifs pédagogiques peu diversifiés __________________________________ 130

3.3.2. L"entrée dans l"écrit : des déséquilibres et des évitements dommageables________________ 130

3.3.2.1. Des lectures offertes mais peu de travail sur la compréhension ____________________ 131

3.3.2.2. La production d"écrits : une incompréhension persistante de ce qui est attendu, une

incapacité quasi généralisée à la mettre en oeuvre _____________________________________ 132

3.3.3. La préparation à la lecture et à l"écriture : une amélioration certaine mais des inquiétudes___134

3.3.3.1. Beaucoup d"activités, et de manière précoce, parfois trop ________________________ 134

10

3.3.4. L"enseignant de maternelle, " maître de langage » d"abord ___________________________ 135

3.3.4.1. Le langage du maître_____________________________________________________ 135

3.3.4.2. La conduite des séances : ce qui se " didactise » bien s"enseigne plus aisément _______ 137

3.3.4.3. L"évaluation insuffisante du langage et des besoins langagiers des enfants ___________ 138

3.3.4.4. Des représentations à revoir, des connaissances à compléter : un très important besoin de

formation relatif à la pédagogie de l"oral____________________________________________ 141

3.3.4.5. Le manque d"habitudes du " travail » avec les parents___________________________ 142

Chapitre 4.__________________________________________________________________ 145 LA GOUVERNANCE DE L"ECOLE MATERNELLE _____________________________ 145

4.1. LE PILOTAGE PEDAGOGIQUE : UN GRAND ECART ENTRE LES NOMBREUSES

DECLARATIONS D"INTENTION ET LA MISE EN OEUVRE ______________________________ 145

4.1.1. Un pilotage national insuffisamment opérationnel__________________________________ 145

4.1.1.1. Les textes officiels et les ressources d"origine nationale : une faible visibilité de l"école

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