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Fiche 4 – Cas de dispenses Campus France Algérie 2020-2021 Cas

Exemption d'entretien et du test de langue: ? Etudiants admis au concours SAI. ? Candidats au concours d'internat à titre étranger. Cas n°3.



Liste des praticiens retenus pour participer aux épreuves d

épreuves d'admission du concours d'internat de médecine à titre étranger session ... ALGERIE. Discipline : Biologie médicale. AIT KAID. HAKIM. ALGERIE.



Fiche 4 - Cas de dispenses Campus France 2017-2018

Fiche 2 – Cas de dispenses Campus France Algérie 2018-2019. Cas de dispenses Campus France Candidats au concours d'internat à titre étranger. Cas n°3.



MÉDECINE

Les étudiants reçus au concours préparent un DES. Le concours d'Internat à titre étranger est l'une de ses voies d'accès et il a été réformé en.



PIÈCES FOURNIES

DEMANDE DE CANDIDATURE AU CONCOURS D'INTERNAT EN MEDECINE A TITRE ETRANGER ANNEE : Médecin étranger ne ressortissant pas d'un État membre de l'Union 



Interne - FFI

Médecins étrangers à diplômes étrangers admis au concours d'internat. Accès au 3ème cycle d'étude par concours. Interne en. DES ou. FFI en DESC. En fonction.



I/ ORGANISATION DE LENSEIGNEMENT SUPERIEUR DANS LE

En septembre 2002 55 candidats ont passé les épreuves du concours d'internat de médecine à titre étranger organisées dans le centre d'examen ouvert à Alger.



Instruction du Gouvernement AFSH1427089J n° DGOS/RH1/RH2

17 nov. 2014 Le concours d'internat à titre étranger est ouvert aux professionnels médecins et pharmaciens étrangers titulaires d'un diplôme leur ...



JOURNAL

Etranger Scecepecosece. 13 dinars concours d'agrégation de médecine et de pharmacie ... Arrété du 1" juin 1968 autorisant la société algérienne de.



JOURNAL OFFICIEL

Alger. Etranger cccccee..j. 12 dinars. 20 dinars. 35 dinars. 20 dinars. 28 dinars ... Arrété du 4 octobre 1966 relatif au concours d'entrée & lécole.

I/ ORGANISATION DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DANS LE PAYS

1/fonctionnement général

Selon les termes de la loi d'orientation sur l'enseignement supérieur d'avril 1999, les établissements d'enseignement supérieur relevant du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique algérien (MESRS) sont des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel dotés de la personnalité morale et de l'autonomie financière. Ils sont administrés par un conseil d'administration composé de représentants de l'Etat, de représentants élus de la communauté universitaire et de représentants des principaux secteurs utilisateurs. Ces établissements peuvent dans le cadre de leurs missions assurer par voie de contrats et de conventions des prestations de services et des expertises à titre onéreux, exploiter des brevets et des licences et commercialiser les produits de leurs différentes activités. Dans le cadre de leur fonctionnement et de leur gestion, ils sont soumis à des règles adaptées à la spécificité de leurs missions, et ce notamment par l'application du contrôle a-posteriori ainsi que l'utilisation directe des ressources provenant de leurs activités de prestations de service et de commercialisation de leurs produits. Ils peuvent créer, dans des conditions définies réglementairement, une ou plusieurs filiales et prendre des participations. Les différents types d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel sont les suivants : - les universités, organisées principalement en facultés (définies comme des unités d'enseignement et de recherche) - les centres universitaires - les écoles et les instituts extérieurs à l'université Des écoles et instituts peuvent également être créés par d'autres départements ministériels. La mission de formation technique d'un niveau supérieur peut être prise en charge par des personnes morales de droit privé selon des conditions d'agrément définies par voie réglementaire. La Conférence nationale des universités (CNU) La Conférence nationale des universités (CNU) est un organisme placé auprès du ministre chargé de l'enseignement supérieur. C'est un cadre de concertation, de coordination et d'évaluation des activités du réseau de l'enseignement supérieur et de mise en oeuvre de la politiques arrêtée en la matière. Elle est présidée par le ministre chargé de l'enseignement supérieur ou par son représentant, assisté d'un bureau composé des présidents (élus) en exercice des 3 Conférences régionales (centre, est et ouest). Ces dernières sont composées de chefs d'établissements appartenant exclusivement à leur zone géographique de compétence. La CNU est chargée d'émettre des avis et des recommandations notamment sur : - les perspectives de développement du service public de l'enseignement supérieur; - les perspectives de développement de la carte nationale des formations supérieures; - les perspectives de développement du réseau national des établissements d'enseignement supérieur; - la régulation des effectifs de titulaires du diplôme de baccalauréat et la détermination des besoins en découlant. Le budget alloué au secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique représente environ 6% du budget de fonctionnement de l'Etat et

1,4% du PIB.

2/ le réseau d'enseignement supérieur algérien

Le réseau d'enseignement supérieur algérien est étendu sur 37 villes et comprend 57 établissements : 26 universités (dont l'université de la formation continue), 14 centres universitaires, 6 écoles nationales, 6 instituts nationaux, 4 écoles normales supérieures et une annexe d'université. a/ les 26 universités et les 14 centres universitaires L'université d'Alger est la première université du pays en terme d'effectifs d'étudiants inscrits en graduation (74000 étudiants). Elle précède les grandes universités implantées dans les capitales régionales : Constantine (43000 étudiants), Oran (37000 étudiants) et Annaba (34000 étudiants). Dans les années 80, l'accent a été mis plus particulièrement sur les filières scientifiques et technologiques, avec la création de l'université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB-Bab Ezzouar) à Alger et de l'université Mohamed Boudiaf des sciences et de la technologie (USTO) à Oran. Créée par décret en 1990, l'université de la formation continue (UFC)permet à environ 60000 étudiants d'accéder à une formation supérieure grâce aux 25 centres de formation continue répartis dans l'ensemble du pays. b/ les 6 écoles nationales Ces écoles accueillent plus de 6000 étudiants pour une formation spécialisée de 5 ans après le baccalauréat : Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme à El Harrach (EPAU), Ecole nationale polytechnique à El Harrach (ENP), Ecole nationale vétérinaire à El Harrach (ENV), Ecole nationale d'administration à Alger (ENA), Ecole nationale des travaux publics à Kouba (ENTP), Ecole nationale supérieure d'hydraulique à Blida (ENSH). c/ les 6 instituts nationaux Ils comptent environ 11000 étudiants auxquels ils dispensent des formations spécialisées : Institut national d'agronomie à El Harrach(INA), Institut national d'informatique à El Harrach (INI), Institut national des sciences de la mer et de l'aménagement du littoral à Alger (ISMAL), Institut national de la planification et des statistiques à Alger (INPS), Institut national d'enseignement supérieur de sciences commerciales et financières à Alger (ex-ESC), Institut national d'enseignement supérieur en commerce à Alger (ex-INC). d/ les 4 écoles normales supérieures Elles regroupent environ 5000 étudiants : Ecole normale supérieure à Kouba (ENS)- musique, sciences exactes et sciences naturelles -, Ecole normale supérieure d'enseignement technique à Oran (ENSET) - management industriel, génies civil, mécanique, électrique -, Ecoles normales des lettres et sciences humaines à Alger et Constantine - langue, littérature, histoire/géographie, philosophie.

3/ les personnels enseignants

L'encadrement est assuré par plus de 20000 enseignants, soit

1 enseignant pour 30 étudiants. Les personnels enseignants de l'enseignement

supérieur sont composés d'enseignants-chercheurs et d'enseignants-chercheurs hospitalo-universitaires, ces derniers assurant, outre les tâches d'enseignement et de recherche, des activités de santé et de soin dans des structures hospitalo-universitaires.

Ils se répartissent en 5 catégories :

- professeurs - maîtres de conférences et docents (17% des effectifs au total pour ces 3 premières catégories) - maîtres-assistants (34%) - assistants (9%) Il existe également des emplois de chargés de cours (40%), niveau intermédiaire entre maître-assistant et maître de conférences, recrutés parmi les maîtres-assistants. Il n'y a plus aucun recrutement d'assistants depuis 1990.

4/ les étudiants

L'accès à la formation supérieure de graduation est ouvert aux titulaires du baccalauréat qui sanctionne la fin des études secondaires ou d'un titre étranger reconnu équivalent. Il est organisé par voie de concours sur titres ou sur titres et épreuves dans des conditions déterminées par le Ministre chargé de l'enseignement supérieur. L'année universitaire 2002/2003 a vu l'inscription de près de

600000 étudiants (41% dans la région centre, 37% dans l'est et 22% dans

l'ouest du pays). Ces effectifs sont en augmentation constante. La post-graduation a enregistré un effectif de plus de 26000 étudiants (14000 en magister, équivalent du DEA français, 4000 en résidanat de sciences médicales et 8000 en doctorat d'Etat). La formation supérieure de graduation et la formation de post-graduation sont sanctionnées par des diplômes d'enseignement supérieur, diplômes nationaux, dont la collation relève exclusivement de l'Etat (environ 70000 diplômés en 2002). Les aides de l'Etat (directes et indirectes) sont gérées par l'Office national des oeuvres universitaires (ONOU) créé en 1995. Les oeuvres universitaires devraient faire l'objet de profonds réaménagements dans le cadre de la réforme de l'enseignement supérieur en cours. Plus de 460000 étudiants sont actuellement titulaires de bourses dont le montant varie de

600 à 900 dinars par mois et qui sont attribuées sur critères sociaux.

Environ 300000 étudiants bénéficient d'un hébergement en résidence universitaire, accordé uniquement à ceux qui résident loin de leur lieu d'études. La restauration universitaire est subventionnée. Les étudiants bénéficient du régime de sécurité sociale et des mesures de prévention et de protection sanitaires. Un Office des publications universitaires (OPU), établissement public à caractère industriel et commercial et relevant du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a pour mission l'impression et la diffusion de manuels et d'ouvrages au profit de la communauté universitaire dans les disciplines des sciences sociales, des sciences exactes, de la technologie, des sciences biologiques et médicales. Son réseau de distribution est composé d'une trentaine de librairies réparties à travers le territoire national. II/ ORGANISATION DES ETUDES ET DES ENSEIGNEMENTS DISPENSES Le systeme d'enseignement supérieur algérien comprend : - la formation supérieure de graduation + de longue durée (ou niveau 6) + de courte durée (ou niveau 5) - la formation supérieure de post-graduation - la formation continue L'accès à la formation supérieure de graduation est ouvert aux titulaires du baccalauréat qui sanctionne la fin des études secondaires, ou d'un titre étranger reconnu équivalent. Cependant l'obtention du baccalauréat n'est pas la seule condition requise pour l'inscription à l'université. Les bacheliers doivent aussi satisfaire à des exigences complémentaires définies chaque année par une circulaire du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique algérien qui fixe les conditions d'accès (moyennes exigées dans les filières fondamentales) pour postuler à une inscription dans la filière de son choix. Cette inscription s'effectue par traitement informatisé et tient compte : - des voeux du bachelier - de la série de son baccalauréat - de la moyenne des notes obtenues dans certaines matières - du quota de places disponibles dans la filière et dans la ville demandées L'Institut national d'informatique (INI) qui centralise le traitement des dossiers d'inscription a traité en juillet 2002 les fiches de voeux de

130.000 nouveaux bacheliers.

I/ les cycles de formation

1/ cycle de formation supérieure de longue durée (niveau 6)

Ce cycle couvre un éventail de 90 filières de formation d'une durée d'études de 4 à 7 ans selon les filières. La répartition de ces filières est la suivante : - technologie : 31 filières - sciences exactes et appliquées : 8 filières - sciences de la nature, de la vie et de la terre : 9 filières - sciences économiques, commerciales et de gestion : 10 filières - sciences juridiques et politiques : 8 filières - sciences sociales et humaines : 15 filières - lettres, littérature et langues : 9 filières Les filières "technologie" ont la particularité de proposer un enseignement regroupé au sein d'un tronc-commun de technologie (à l'exception de la filière informatique), ce qui permet d'homogénéiser le niveau de connaissances des nouveaux bacheliers qui entrent à l'université, en particulier en mathématiques, physique et chimie. Cela permet également au bachelier de disposer de davantage de temps pour choisir son orientation définitive en fonction de ses aspirations et de ses résultats. Ce cycle de formation permet d'obtenir les diplômes suivants : + licence d'enseignement délivrée par les écoles normales supérieures, en 4 ans; + diplôme d'études supérieures (DES) en 4 ans; + diplôme d'ingénieur, qui sanctionne essentiellement les études de technologie, de biologie, d'agronomie, de sciences de la terre et certaines filières de sciences exactes; la durée des études d'ingénieur dans les universités et les écoles spécialisées relevant du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) est de 5 ans après le baccalauréat. + le diplôme d'architecture, en 5 ans + le diplôme de doctorat en sciences vétérinaires, en 5 ans + le diplôme de pharmacie, en 5 ans + le diplôme de chirurgie dentaire, en 5 ans + le doctorat en médecine, en 7 ans

2/ cycle de formation supérieure de courte durée (ou niveau 5)

En général réservé aux élèves qui n'ont pas obtenu une mention au baccalauréat, ce cycle offre un éventail de 38 filières de formation réparties de la manière suivante : - technologie : 24 filières - biologie et sciences de la nature : 7 filières - sciences humaines : 7 filières

Il prépare aux diplômes suivants :

+ diplôme d'études universitaires appliquées (DUEA), en

3 ans;

+ diplôme de maître d'enseignement fondamental (MEF), en 3 ans; + diplôme de technicien supérieur, en 2 ans1/2.

3/ post-graduation

- 1ère post-graduation : la 1ère post-graduation consiste en une initiation à la recherche par un enseignement théorique et un travail d'expérimentation sur un sujet de recherche. L'accès à cette formation pour l'obtention d'un magister ou d'un diplôme d'études médicales spécialisées est organisé parquotesdbs_dbs50.pdfusesText_50
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