emploi et developpement economique dans la politique de la ville
Note ORIV – « Emploi et développement économique » dans la politique de la concentrées sur la question de l'insertion professionnelle et la « levée ...
« Quels outils et moyens pour le volet économique de la Politique
éducative » et « Insertion emploi et développement économique » des Contrats Urbains de. Cohésion Sociale (CUCS) en Lorraine. Ce travail a été réalisé par
AGIR ENSEMBLE POUR LEMPLOI ET LE DÉVELOPPEMENT
15 fév. 2022 Les politiques de l'emploi et de l'insertion de demain doivent être au cœur de la ... l'économie l'industrie et au développement numérique.
Fiche de poste : Chargé(e) de Mission Insertion/Emploi et
Mission globale : Vous assurez principalement l'animation et la coordination des actions inscrites dans le Pilier « Développement économique et Emploi » du
Comment mobiliser les entreprises Construire des passerelles
passerelles développement économique insertion-emploi et encourager l'innovation sociale et solidaire? ... DéVELOPPEMENT éCONOMIQUE EMPLOI ET INSERTION.
LE VOLET ÉCONOMIQUE DES CONTRATS DE VILLE <<
entrepreneurs »… Pour autant les termes traditionnels du volet « emploi
FICHE DE POSTE
25 oct. 2019 RESPONSABLE DE SERVICE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE EMPLOI INSERTION. Page 1 sur 3. IDENTITE ET CADRE STATUTAIRE DE L'AGENT. NOM Prénom.
Développement économique emploi
https://www.adcf.org/files/GTRH_groupe-LEED-OCDE-AdCF-AMGVF-CNER-2011-2012.pdf
Linsertion des jeunes marocains dans lemploi: la coopération
3 août 2021 Anthropologie et développement. Paris : Karthala. Page 5. 174. 2e PARTIE. ÉCONOMIE INSERTION ET ...
Grand Lyon la Métropole - mai 2015
Dossiers documentaires INSERTION
DPDP - Pôle Transformation et Régulation
Coordination générale : Pascale Fougère et Jean Loup MolinRédaction : Boris Chabanel
Maquette et mise en page : Céline Ollivier-PeyrinImpression : atelier Grand Lyon
page 3 page 41. CONSTRUIRE DES PASSERELLES ENTRE
DéVELOPPEMENT éCONOMIQUE, EMPLOI ET INSERTIONMARChé DU TRAVAIL, DES RAISONS D'ESPéRER :
LESACTIfS QUALIfIéS SONT AU " PLEIN-EMPLOI »,
DES gISEMENTS IMPORTANTS D'EMPLOIS PEU QUALIfIéSSERAIENT ENCORE INExPLOITéS
document 1En ligne
Page 14Ce document est extrait d'une étude consacrée au phénomène de " polarisation » que connai
t le marché du travail depuis plusieurs décennies. Il montre que la perception que l' on peut avoir duphénomène du chômage peut être biaisée dès lors que l'on s'en tient aux résultats agrégés (taux
de chômage, nombre de demandeurs d'emplois, etc.). En effet, c'est un fait qui peut surprendre car il est en décalage avec la perception commune, mais le phénomène du chômage de masseconcerne en France essentiellement les travailleurs peu quali?és. La composante la moins éduquée
de la population active française subit aujourd'hui un taux de chômage voisin de 15 %, là où les actifs
qui ont fait des études au-dessus du niveau du bac, font face à un taux de chômage nettement plus
bas, voisin de 5 % et qui, de plus, a été peu affecté par la crise. Or, la France se distingue par une part
élevée de personnes peu quali?ées dans sa population active. document 2En ligne
Page 21Ce second extrait de l'étude de l'Institut Montaigne entend montrer que le chômage français n'est
pas une fatalité. En effet, la comparaison des taux d'emplois par secteurs d'activités de la France
et des tats-Unis suggère que l'économie française présente un ré servoir d'emplois non-quali?és considérable, en particulier dans le commerce et l'hôtellerie-r estauration. page 5Document 3
En ligne
Page 25Selon le dernier exercice de prospective sur les métiers et les quali?cations (PMQ) réalisé par F
ranceStratégie et la DARES, entre 735 000 et 830 000 postes par an (selon le scénario macroéconomique
envisagé) seraient à pourvoir entre 2012 et 2022. Environ 80 % de ces " postes à pourvoir »
correspondent à des départs en ?n de carrière ; les autres sont des créations nettes d'emploi. Les
secteurs les plus créateurs d'emplois seraient, comme par le passé , les services liés à la santé,l'action sociale, l'éducation et les services aux personnes, ainsi que les activités récréatives,
culturelles et sportives. Les secteurs de la distribution, de l'hôtellerie-restauration, et les services
d'appui scienti?ques et techniques (béné?ciaires de l'externalisation des entreprises) connaîtraient
également une forte dynamique d'emploi sur la période. La construction et les services associés
seraient en revanche peu contributeurs à la croissance de l'emploi. En?n, la dé sindustrialisation seraitralentie, mais de façon très contrastée selon les secteurs. L'agriculture et les services centraux de
l'administration continueraient à perdre des emplois. Ce rapport décrit pour chacun des 19 domaines
professionnels les évolutions de l'emploi dans les métiers qui le composent, les dép arts en ?n decarrière et les postes à pourvoir à l'horizon 2022 ainsi que les caractéristiques des personnes en
emploi.LES ENTREPRISES PEUVENT êTRE fREINéES
PAR DESDIffICULTéS DE RECRUTEMENT
Document 4
En ligne
Page 33Dans ce rapport, le COE souligne que la coexistence en France d'un taux de chômage élevé et
d'un nombre d'emplois à pouvoir important révèle l'existence de dif?cultés structurelles dans le
fonctionnement du marché du travail. Sur le champ des recrutements en contrat de plus de six mois,
entre un quart et un tiers des recrutements sont perçus comme dif?ciles par les employeurs. Ce qui peut avoir pour conséquence l'existence d'emplois durablement vacants et des abandons derecrutement. Sur l'année 2012, environ 215 000 offres satisfaites ne l'ont été que dans un délai
supérieur à 3 mois, dans le seul champ des offres déposées à Pôle emploi. En extrapolant ce chiffre,
on aboutirait à une estimation de 570 000 offres pourvues dans un délai supérieur à 3 mois sur
l'ensemble du marché du travail. Par ailleurs, parmi les offres qui sont sorties des ?chiers de Pôle
emploi en 2012, 16 % n'avaient pas été satisfaites : 4 % auraient été pourvues en interne par
l'entreprise, 8 % auraient été retirées faute de besoin et 4 % retirées faute de candidat. Ce sont
ainsi 116 300 offres qui auraient été retirées faute de candidat en 2012, sur le seul champ des offres
déposées à Pôle emploi. Ces dif?cultés de recrutement touchent inégalement les métiers. Le COE
propose un tableau de synthèse des causes possibles de dif?cultés de recrutement. Trois grandes
catégories de causes sont abordées : pénurie de candidats, inadéquation entre les compétences
attendues et celles des candidats, manque de ?uidité du marché du travail (segmentation, mobilité,
information...). page 6Document 5
DIR e CC te Rhône-Alpes - Les dif?cultés de recrutement en Rhône-Alpes - Service e S e page 2, avril 2015En ligne
Page 41Ce document constitue une synthèse d'une étude de suivi des dif?cultés de recrutement en Rhône-
Alpes. Il fait apparaitre les résultats par famille de métiers et Zone Territoriale Emploi Formation (ZTEF).
On constate que les ZTEF couvrant le territoire de la Métropole de Lyon sont davantage en tension.
Cette situation concerne les secteurs suivants : industrie (électricité-électronique, mécanique-travail
des, industries de process, maintenance), informatique et télécommunication, commerce, hôtellerie-
restauration, artisanat alimentaire, services aux particuliers et aux collectivités, Santé, action sociale
culturelle et sportive.UN ENjEU CRUCIAL DE L'INSERTION :
ENRAyER LA SPIRALE DE L'éLOIgNEMENT DURAbLE DE L'EMPLOIDocument 6
François SOULAGe - " Surmonter le chômage de longue durée » - Études, 2015/3 mars, pages 31 à 42 Page 42Cet article rappelle avec force l'acuité de la lutte contre l'éloignement durable du marché du travail.
Celui-ci constitue un cercle vicieux : l'absence durable d'un emploi crée ou ag grave un certain nombrede dif?cultés (professionnelles, matérielles, sociales, psychologiques, sanitaires, etc.) qui amoin
drissent encore les probabilités de retour à l'emploi et peuvent impacter durablement les trajectoires
professionnelles. Face à cet enjeu majeur, l'auteur appelle à expérimenter de nouvelles approches
a?n de donner les moyens et l'envie aux entreprises d'embaucher des personnes en dif?culté : développement des entreprises d'insertion, passerelle entre insertion pa r l'activité économique et entreprises conventionnelles, accompagnement post-embauche,... Pour ?nancer ces processus, il propose que les économies réalisées sur l'indemnisation du c hômage et le versement du RSA soient reversées à l'insertion par l'activité économique.Document 7
DIReCCte Rhône-Alpes - Métropole de Lyon et nouveau Rhône - Service eSe, février 2015, page 14En ligne
Rhone-2.pdf
Page 54Ce document dresse un portrait socio-économique de la Métropole de
Lyon et du Nouveau Rhône.
L'extrait décrit le pro?l des demandeurs d'emplois grands lyonnais inscrit à Pôle Emploi selon leur
ancienneté d'inscription à Pôle Emploi. On constater que près de 40% d'entre eux sont inscrit depuis
plus d'un an. r a p port r a p port r a p port page 7 2.PROPOSER AUx ENTREPRISES UNE OffRE DE SERVICE
A f IN DE fAVORISER L'EMPLOI ET L'INSERTION PROfESSIONNELLE UN PRéALAbLE POUR ACCOMPAgNER LES ENTREPRISES :MIEUx COMPRENDRE LA fONCTION D'EMPLOyEUR
Document 8
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http://www.metiseurope.eu/ Page 56Cet article part du constat que les politiques de l'emploi se focalisent généralement sur l'offre de
travail (l'employabilité et l'incitation à travailler des demandeurs d'emploi) et réduisent souvent la
stimulation de la demande à une question d'abaissement du coût du travail. Or, comme l'af?rmel'auteur, l'entreprise n'a pas pour fonction de créer de l'emploi. Cette capacité (" employeurabilité »)
ne se révèle qu'en marchant. Elle est donc le produit d'un fonctionnement spéci?que qu'il est néces-
saire de comprendre si l'on veut savoir comment se crée, se perpétue ou se défait une capacité à
être employeur.
Document 9
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Page 58Rendant compte d'une étude pionnière du Centre d'études de l'emploi sur les pratiques de recrutement des employeurs, cet article montre que celles-ci sont largement déterminées par le
ou les " systèmes d'emploi » dans lequel s'inscrit l'entreprise en question. En effet, le marché du
travail du travail ne constitue pas un ensemble homogène mais renvoie à une diversité de systèmes
d'emploi : des espaces de mobilité et de mobilisation de la main-d 'oeuvre formés par l'existencede modes de gestion de l'emploi et de régulations professionnelles spéci?ques et stabilisées.
Une typologie classique distingue " marché interne » (ports d'entrée et progression par promotion
page 8interne), " marché professionnel » (forte logique métier qui transcende les frontières de l'entrepri
se)," marché externe » (espace peu structurés et peu quali?és, et relations d'emploi généraleme
nt de courte durée). L'étude montre ainsi que les secteurs de la banque, de l'hôtellerie re stauration, de la grande distribution, et des services de conseil en informatique ne fonctionnent pas selon dessystèmes d'emploi identiques. Or, parce qu'elles déterminent les enjeux liés au recrutement, les
caractéristiques de différents systèmes d'emploi structurent fortement les pratiques des entreprises
(temps consacré au recrutement, gouvernance de la fonction recrutement...).MIEUx ACCOMPAgNER LES PROCESSUS DE RECRUTEMENT
Document 10
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Page 68Depuis la ?n juin 2013 Pôle emploi a mis en place une nouvelle offre de services aux entre prises visant d'une part à mieux personnaliser et graduer le service rendu en fonction des
besoins des employeurs, et d'autre part à établir un lien plus étroit avec l'objectif du place
ment des demandeurs d'emploi. Cette offre différencie " services d'appui au recrutement »,lorsque le marché du travail laisse présager une rencontre rapide de l'offre et de la demande, et
" services d'accompagnement du recrutement », destinés aux entreprises éprouvant des dif?cultés
de recrutement (en raison notamment du manque de ressources et compétences internes). Cette note en propose un premier bilan.Document 11
En ligne
Page 76Dans cet extrait, sont présentées un certain nombre d'initiatives de Pôle Emploi pour répondre aux
besoins de recrutement des TPE-PE. Il s'agit d'actions qui, soit simpli?ent la démarche de recrutement,
soit aident et confortent l'employeur dans son choix, ou encore améliorent le rapprochement entre demandeurs d'emploi et employeurs sur des offres d'apprentissage. LA gESTION TERRITORIALE DES EMPLOIS ET DES COMPéTENCES,UNE INjONCTION ANCIENNE QUI RESTE D'ACTUALITé
Document 12
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Page 80Cette note réalisée par l'APEC constitue une synthèse très complète des enjeux, du cadre juridique,
des acteurs et des étapes des démarches de Gestion Territoriale des Emplois et des compétences.
Elle permet en particulier de cerner les opportunités, inconvénients de ce type de démarche du point
de vue des entreprises : la GTEC comme levier de la stratégie de compétitivité de l'entreprise ;
réticences à partager des informations sur les orientations en matière de GRH et faible visibilité de
la conjoncture économique. page 9 RéDUIRE LA SéLECTIVITé DU MARChé DU TRAVAIL POUR fAVORISER L'INSERTION DES PERSONNES LES PLUS EN DIffICULTéS : LESSTRATégIES DE " MéDIATION ACTIVE »
Document 13
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Page 95Ce rapport du Crédoc porte sur les limites rencontrées par les act eurs de l'insertion professionnelle. La création et le développement des contrats aidés, du secteur de l'Insertion par l'
Activité
conomique et des Plans Locaux d'Insertion par l' conomique (PLIE) ont contribué à créer un marché de l'emploi relativement protégé pour les personnes qui en sont le plus éloigné es. Toutefois, ces dispositifspeinent à gravir la dernière marche : permettre aux personnes en insertion l'accès à l'emploi durable
en contrat ordinaire. D'où la prise de conscience que les parcours d'insertion professionnelle ne peuvent aboutir que si des partenariats avec le secteur économique ordinaire sont mis en place.Document 14
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500-parutions-2012-documents-de-travail
Page 99Alors que les acteurs du Service Public de l'emploi sont de plus en plus incités à développer les
relations aux entreprises (celles-ci devant permettre un meilleur taux d'accès à l'emploi despersonnes accompagnées), cette étude propose un essai de typologie des formes d'intermédiation
mises en place par différentes structures d'accompagnement (Missions locales, contrat de transition
professionnelle -CTP-, Cap emploi, opérateurs privés de placement). Il en ressort trois conclusions
principales : i) il n'y a pas une, mais des formes d'intermédiation et notamment l'intermédiation ne
s'arrête pas à la collecte d'" offres d'emploi » ; ii) l'" ef?cacité » d'un opérateur dans sa relation aux
entreprises dépend de sa capacité à s'adapter au tissu productif local dans lequel il opère et donc de
sa capacité à moduler les formes d'intermédiation pour toucher le plus grand nombre d'entreprises,
les grandes comme les petites ; iii) l'intermédiaire a un rôle qui n'est pas neutre dans le processus derecrutement : par sa capacité à négocier, ou non, l'" offre d'emploi », il ne place pas les mêmes pro?ls
et peut, ou non, faire bouger la ?gure de l'" inemployable ». Moduler les formes d'intermédiation
permet alors de valoriser autrement le public cible des politiques d'emploi considéré " en dif?culté
d'insertion ».Document 15
Page 104Cet article présente l'expérience du réseau Transfer en matière d'intervention sur les offres et les
demandes de travail. Regroupant des structures de l'économie sociale et solidaire et des structures
publiques, l'action du réseau part de l'idée que situer l'insertion sociale en amont de l'insertion
professionnelle conduit à différer l'accès au travail, au risque de laisser perdurer une situation de
pauvreté génératrice de stigmates face à l'emploi. Aussi l'intervention sur les offres et les demandes
cherche-t-elle à s'affranchir des préalables et des pré-requis concernant la levée des " freins sociaux »
pour privilégier la mise en relation directe et répétée des personnes (avant tout victimes d'un dé?cit de réseau professionnel) et des entreprises. page 103. IDENTIfIER, VALORISER ET DIffUSER LES bONNES PRATIQUES
EN MESURE D'ENCOURA
gER, AU SEIN DES ENTREPRISES,
UNE D yNAMIQUE
fAVORAbLE à L'EMPLOI ET L'INSERTIONDES ENTREPRISES QUI S'IMPLIQUENT DANS
LA gESTION DES EMPLOIS ET DES COMPéTENCESDocument 16
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Page 107Tissant la métaphore de l'entreprise jardinière de leur territoire d'implantation, Olivier Mériaux explique
qu'un certain nombre d'entreprises prennent conscience que la résolution de leurs problèmes d'accès aux ressources humaines implique pour elles de se position ner non plus comme simple consommateur mais comme coproducteur de compétences à l'échelle du bassin d'emplois. Cet engagement peut répondre à des situations d'urgence (par exemple, recrutements massifs dans lecadre d'un grand projet de développement) ou s'inscrire à l'inverse dans la durée. L'exemple de GPEC
territoriale initiée par Dunkerque LNG (?liale d'EDF) autour de la construction d'un terminal méthanier
montre qu'une entreprise donneur d'ordre peut se mobiliser pour négocier un pacte territorial avec
les pouvoirs publics a?n de : permettre à ses contractants et sous-traitants de dispose de la main
d'oeuvre quali?ée nécessaire pour assurer le chantier ; d'anticiper la ?n de ce dernier et permettre au
territoire de béné?cier de la main d'oeuvre quali?ée qui y aura travaillé. DES ENTREPRISES QUI S'ENgAgENT EN fAVEUR DE L'INSERTIONDocument 17
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Page 121Le GEIQ industrie Gard, Vallée et Delta du Rhône est soutenu par la branche de la métallurgie, laquelle
mène une politique active d'incitation à la création et au développement de GEIQ industriels via la
mobilisation du réseau des UIMM territoriales et le soutien ?nancier de son fonds Agir pour l'insertion
page 11 dans l'industrie (A2i)16. Piloté par des entreprises locales, et reposant sur un réseau d ynamiqued'acteurs territoriaux, le GEIQ industrie Gard, Vallée et Delta du Rhône permet d'assurer l'embauche
de personnes initialement considérées comme éloignées de l'emploi en apportant aux entreprises
adhérentes un service allant bien au-delà de leurs compétences internes de recrutement, y compris
pour les plus grandes d'entre-elles. Les candidats recrutés par le GEIQ ne seraient pas retenus en
passant par leurs méthodes de recrutement habituelles, en raison de leur absence de quali?cation,de leur manque d'expérience professionnelle ou de savoir-être. D'abord recrutés par le GEIQ lui-
même, ils se voient proposer un accompagnement social et professionnel et, surtout, un parcours de
quali?cation en alternance au sein des entreprises adhérentes.Document 18
Émilie BOURDU, Cathy DUBOIS, Olivier MÉRIAUx - L'Industrie jardinière du territoire ou Comment les entreprises s'engagent dans le développement des compétences - La Fabrique de l'industrie, 2014, pages 108 à 110En ligne
Page 128Schneider Electric lance l'initiative " 100 Chances 100 Emplois » en 2004. La démarche répond à
la demande de Jean-Louis Borloo, alors ministre du Travail, de voir les entreprises s'impliquer dansl'insertion des jeunes issus des zones urbaines sensibles (ZUS). L'initiative est d'abord expérimentée
à Chalon-sur-Saône, puis progressivement déployée dans une vingtaine de bassins d'emploi, dont
Angoulême, Aubervilliers, Saint Denis, Chambéry, Dieppe, Grenoble..., ceci grâce à la mobilisation
de nombreuses entreprises qui ont rejoint Schneider (notamment Adecco, Caterpillar, Dalkia, Elior,Saint-Gobain, ST Microelectronics, l'UIMM...). Sur le terrain, la démarche " 100 Chances 100 Emplois
» s'inscrit dans un partenariat durable entre les entreprises mobilisé es (dont des PME et TPE), les associations de quartier, les services de l' tat (préfecture, Direccte, rectorat, service public del'emploi) et les collectivités du bassin d'emploi. L'objectif est d'intégrer 60 % des jeunes entrés
dans le dispositif - une fois sélectionnés à l'issue d'un sas de quatre jours - en CDD ou contrat
de travail temporaire de plus de six mois, en CDI ou en alternance, après un parcours d'insertion professionnelle au sein des entreprises du réseau. LA SOLIDARITé COMME DéMARChE ENTREPRENEURIALEDocument 19
Armand Rosenberg - Les entreprises sociales, acteurs du développement local - Interview, Grand Lyon, octobre 2013, 5 pagesEn ligne
Page 132Directeur de Val'Horizon, groupe comprenant 11 entreprises sociales situées dans le secteur de Trévoux, Armand Rosenberg nous éclaire sur la capacité de l'entrepreneuriat soci al à concilier viabilité
économique et impact social. Il explique que les sociétés capitalistes du CAC 40 sont loin d'épuiser
le sens de la démarche entrepreneuriale. Les qualités d'ef?cacité et d'innovation que l'on prête à
l'entreprise peuvent être mises au service d'autres ?nalités que celle du pro?t maximal. C'est la promesse d'une entreprise se donnant la solidarité comme objet soc ial, c'est-à-dire la production debiens et de services répondant à des besoins mal satisfaits par le marché et/ou la puissance publique,
et contribuant fortement au bien-être des personnes et des communautés (en particulier en matière
d'action sociale, de santé, d'éducation, etc.). L'exigence de solidarité peut également imprimer sa
marque dans la manière de créer la richesse. Par exemple, ce sont des organisations de l'ESS qui ont
développé l'insertion par l'économique a?n de réduire l'exclusion sociale provoquée par le chômage
de masse. L'activité est alors le levier par lequel des emplois peuvent être proposés à des personnes
qui en étaient éloignées. En ce sens, selon Armand Rosenberg, l'exigence d'ef?cacité est encore plus
grande pour les entreprises sociales en raison des exigences de solidarité qu'elles se donnent dans
la manière de conduire leur activité, mais aussi parce que les sec teurs d'activités sur lesquels elles se positionnement présentent généralement une faible rentabilité. e x p rience r a p port page 12 4.OUVERTURE
Document 20
Bruno PALIeR - " L'investissement social pour construire un avenir de qualité pour tous » L'Économie politique, 2014/3 n° 63, p. 53-65 Page 137L'auteur défend une approche des politiques sociales concevant celles-ci non plus comme un coût
pour l'économie, qu'il s'agit de réduire, mais comme une série d'investissements, nécessaires à
la fois pour garantir une croissance plus qualitative et pour mieux répondre aux nouveaux besoinssociaux. L'approche en termes d'investissement social insiste sur la nécessité de situer l'intervention
sociale le plus en amont possible a?n, d'une part, d'éviter l'émergence de certains problèmes pour
réduire les dépenses qui leur sont liées, et d'autre part, d e permettre à tous de travailler, donc d'augmenter les taux d'emploi et donc le niveau des ressources disponibles. a r t i c l e d e p ressequotesdbs_dbs20.pdfusesText_26[PDF] UN PLAN DE FINANCEMENT DES UNIVERSITÉS ÉQUITABLE ET ÉQUILIBRÉ POUR DONNER AU QUÉBEC LES MOYENS DE SES AMBITIONS
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[PDF] Le rapport du Collège d expertise sur le suivi des risques psychosociaux au travail