Fiche FOCUS Les téléprocédures
2 – ETAPES DE LA PROCEDURE. La consultation des avis de CFE et/ou d'IFER s'effectue en accédant à l'espace professionnel sur le site impots.gouv.fr.
brochure pratique - impôts locaux
1 oct. 2019 cotisation foncière des entreprises (CFE) assise sur les ... Un simulateur TH est disponible en ligne sur impots.gouv.fr.
Fiche FOCUS Les téléprocédures
30 nov. 2017 Désormais tous les usagers redevables de la CFE et/ou de l'IFER doivent se rendre dans leur espace professionnel sur le site « impots.gouv.fr » ...
La fiscalité de production
1 jui. 2018 a ensuite crû de 24 % entre 2016 et 2017. ... taxe d'habitation des particuliers
CAHIER STATISTIQUE 2016
Accès à l'espace particulier sur le site « impots.gouv.fr » 2016. Application mobile « Impots.gouv ». Paiements ... CFE + Taxes annexes + IFER (4).
Fiche FOCUS Les téléprocédures
Les téléprocédures. Payer un avis de CFE-IFER/TP. Dernière mise à jour : octobre 2017 2 L'accès au paiement de la CFE-IFER/TP sur le site impots.gouv.fr.
KEY PERFORMANCE INDICATORS
2016. 2017. The impots.gouv.fr website for individual users (4) CFE (business premises contribution) and IFER (flat-rate tax on network businesses).
Rapport La gestion de la fiscalité directe locale par la DGFiP
1 fév. 2017 du 3 février 2016. Il a été indiqué dans le même courrier que le rapport serait transmis en janvier. 2017. L'enquête a été réalisée par la ...
PROSOPOPEE FINANCIERE DES PARCS EOLIENS PRODUCTIFS
26 avr. 2020 en ligne sur le site www.impots.gouv.fr. Ainsi pour un parc éolien typique de 6 éoliennes de 2MW nous obtenons un IFER de 90 840 euros.
DGFiP- rapport dactivité 2012
427millions d'avis de CFE
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N° 2018-M-025-03 LA FISCALITÉ DE PRODUCTION
Rapport établi par un groupe de travail coprésidé parYVES DUBIEF
Inspecteur général des finances -
JUIN2018 Ȃ
Rapport
- 1 -SYNTHÈSE
production demeure dégradée et la balance commerciale déficitairea ensuite crû de 2,4 % entre 2016 et 2017. Néanmoins, la part des exportations françaises de
marchandises dans les exportations de marchandises de la zone euro, toutes destinations De plus, la France présente un positionnement hors prix moins favorable que certaines exportations françaises plus sensibles à leur compétitivité prix.renforcer la compétitivité externe de la France et réduire les prélèvements obligatoires.
2/ Les prélèvements obligatoires sur la production en France sont plus nombreux et
plus élevés que dans les pays comparablesY La catégorie de comptabilité nationale D29 rassemble les " autres impôts sur la
production, indépendamment de la quantité ou de la valeur des biens et des services produitsou vendus. Ces impôts, correspondant pour les entreprises à des coûts fixes, entrent dans le
les entreprises, a crû davantage que le PIB en valeur passant de 60 †•@‡trryyt †•@
en 2016, soit une hausse de 20 % - sur la même période, le PIB en valeur a augmenté de 14 %.
les impôts de production ont pesé à hauteur de 14,6 †•@• - "Žï'† - •-"'‡á•''-tuáy % du
montant payé par les entreprises non financières, alors que ce secteur a représenté 20,9 % de
la valeur ajoutée brute des entreprises non financières.prélèvements sur la production de la réforme de la taxe professionnelle en 2010. La
comparaison des recettes fiscales issues de ces prélèvements entre 2009 et 20121 met en avant et après la réforme de la taxe professionnelle.Rapport
- 2 -Malgré cette baisse, le dynamisme sur la même période du forfait social, du versement
transport, de la taxe sur le foncier bâti et de la contribution économique territoriale (CET) ont
production (D29) payés par les entreprises.énergétique supportée par les entreprises. Selon la direction générale du Trésor,
cependant, celles intensives en énergie seront préservées des effets de cette augmentation. Y Enfin, en termes de comparaisons internationales, la France se singularise en Europe par lepoids des impôts sur la production payés par les entreprises : près de 3 % du PIB français
en 2016, contre 1,6 % en moyenne dans la zone euro.3/ Parmi les options envisageables pour une baisse des prélèvements obligatoires sur
la production, le groupe de travail en a considéré trois en se concentrant sur les impôtsexemple en supprimant la dernière tranche de contribution sociale de solidarité des sociétés
(C3S). bâties et la cotisation foncière des entreprises (CFE), par analogie avec la suppression de la non. soit la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).4/ Le groupe de travail a envisagé plusieurs scénarios de baisse des prélèvements
obligatoires sur la production associés à des mesures complémentairesY Une première réforme proposée par le groupe de travail, au coût limité et à effet immédiat,
consisterait :anticipée du dégrèvement au titre du plafonnement de la contribution économique
territoriale (CET) par rapport à la valeur ajoutée ; immobilisations industrielles de 30 % à 50 % pour un coût total de 840 @†'-y{ %Y Une réforme plus ambitieuse, au coût structurel plus élevé, pourrait reposer sur une
diminution de la charge fiscale sur plusieurs assiettes. affectée par la baisse (+ 0,02 point de PIB).Rapport
- 3 - envisageables. La classification retenue des mesures a donc reposé sur : la spécialisation industrielle des mesures, mesurée par exemple par la part du gain espéré pour le secteur industriel ; les incidences microéconomiques projetées ; le coût potentiel pour les finances publiques. Trois mesures compatibles entre elles ont été classées par ordre de priorité:une suppression de la C3S pour un coût de 3,6 †•@ †'- ty % bénéficierait à
Cet ensemble de réforme devrait être conduit à un horizon compatible avec les capacités de
financement public.discipline sur la hausse de la fiscalité de production, afin de mieux maîtriser son évolution
future pour éviter une progression telle que celle constatée ces dernières années, constituent
de 2,5 SMIC ne favorise pas.salaires intermédiaires apparaissent dépendants de la situation sur le marché du travail. Si la
industriels. sur les salaires intermédiaires est vue favorablement par les organisations patronales ainsiRapport
- 4 -5/ Plusieurs pistes existent pour rendre toute décision de réduction des prélèvements
obligatoires sur la production compatible avec les engagements de la France relatifs àpar le gouvernement, de réduction du déficit public. Il a listé les options de financement de
réaliser des économies en dépenses publiques à hauteur de la baisse des prélèvements
programmées ; de production ;utiliser les recettes issues de hausses de la fiscalité énergétique et écologique ; cette
taxation présente déjà un dynamisme notable qui affecterait en partie les entreprises industrielles ;accroître la taxation de la consommation (TVA), un levier utilisé par le passé pour
appuyer la compétitivité externe chez certains de nos partenaires européens, encependant son acceptabilité ; une attention particulière pourrait être portée à certains
taux réduits de TVA qui ne sont pas toujours des instruments efficaces pour soutenir le dans le cadre des chantiers internationaux de convergence.SOMMAIRE
INTRODUCTION ........................................................................................................................................... 1
1. UNE COMPÉTITIVITÉ ÉCONOMIQUE QUI RESTE DÉGRADÉE, UNE BALANCE
COMMERCIALE DÉFICITAIRE ......................................................................................................... 2
2. LES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES DE PRODUCTION SONT MULTIPLES ET
PLUS ÉLEVÉS QUE DANS LES PAYS COMPARABLES ................................................................ 7
2.1. Les prélèvements obligatoires de production, approche, périmètre et montants......... 7
2.1.1. La fiscalité de production est concentrée sur quelques impôts et a
(D29) payés par les entreprises, a crû davantage que le PIB ..................................... 11
partie de ceux relevant de la catégorie D214 qui rassemble les " autresimpôts sur les produits ».............................................................................................................. 15
2.2. En termes microéconomiques, les impôts sur la production sont considérés par
les entreprises comme des coûts fixes entrant dans leur prix de revient ...................... 162.3. Le niveau de prélèvements obligatoires de production est une spécificité
française qui désavantage nos entreprises ................................................................................. 18
3. OPTIONS POUR UNE BAISSE DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES DE
PRODUCTION .................................................................................................................................... 21
4. LES GAINS MACROÉCONOM ï E LA FISCALITÉ DE
PRODUCTION SONT PEU DIFFÉRENCIÉS À LONG ï À ïá2INS DES INCIDENCES DIFFÉRENTES À COURT TERME ...... 255. UNE RÉFORME AU COÛT LIMITÉ ET À EFFET IMMÉDIAT ................................................. 28
du dégrèvement au titre du plafonnement de la CET par rapport à la valeurajoutée ........................................................................................................................................................ 28
immobilisations industrielles ........................................................................................................... 30
6. UNE RÉFORME PLUS AMBITIEUSE, AU COÛT STRUCTUREL PLUS ÉLEVÉ,
POURRAIT REPOSER SUR UNE DIMINUTION DE LA CHARGE FISCALE SURPLUSIEURS ASSIETTES DIFFÉRENTES ..................................................................................... 33
6.1. Une baisse de la CFE serait la mesure qui avantagerait le plus le secteur
industriel, notamment manufacturier ........................................................................................... 33
moins aux PME ........................................................................................................................................ 37
6.3. Une baisse de la CVAE offrirait un gain financier plus transversal ................................... 38
6.4. Comparaison des mesures étudiées ............................................................................................... 39
7. LA SUPPRESSION DES " PETITES TAXES » ET LA MAÎTRISE DE ï2
FUTURE DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES DE PRODUCTION CONSTITUENTDEUX MESURES COMPLÉMENï1
T DE LA CHARGE FISCALE ... 41
7.2. Instaurer une discipline sur la hausse de la fiscalité de production ................................. 41
8. LA RÉDUCTION DE LA PART PATRONALE DES COTISATIONS SOCIALES
PATRONALES SUR LES SALAIRES COMPRIS ENTRE 2,5 SMIC ET 3,5 SMIC CONSTITUE UNE OPTION ALTERNATIVE AUX BAISSES DES PRÉLÈVEMENTSOBLIGATOIRES SUR LA PRODUCTION ..................................................................................... 42
9. PISTES POUR RENDRE TOUTE DÉCISION DE RÉDUCTION DES PRÉLÈVEMENTS
OBLIGATOIRES DE PRODUCTION COMPATIBLE AVEC LES ENGAGEMENTS DE LA ïÉVOLUTION DU DÉFICIT PUBLIC .................................................. 449.1. Réaliser des économies de dépenses publiques à hauteur de la baisse des
prélèvements ........................................................................................................................................... 44
quotesdbs_dbs22.pdfusesText_28
[PDF] DEMANDE DE RÉSILIATION
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