[PDF] Les Mystères de la Vie C'est en 1909 que





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Rose Meditation

Rose Meditation. Recognize Observe



Yoga Meditation

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Gabriela Badea Submitted in partial fulfillment of the requirements

of the Roman de la Rose came to be associated to a devotional representation of the self Ghostly Sights: Visual Meditation in late medieval literature.



Yoga Meditation

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1 Blossoming Rose - Who Am I? Meditation [Source materials

Rose - Who Am I? Meditation. [Source materials included below after meditation text] ... The Blossoming of the Rose Meditation (Roberto Assagioli).



Printemps des poètes

21 mars 2019 Salvador DALI La Rose méditative



Opération Mystique De la Rose + Croix DOrient

Méditation. Le Théurge offre son adoration en esprit et vérité à l'enfant divin nouveau-né. Puis: ? par notre Seigneur Jésus-Christ Emmanuel 



Les Mystères de la Vie

C'est en 1909 que l'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix a commencé son cycle actuel d'activité. la méditation (en tant que pratique spirituelle).



Les retombées du groupe « La méditation pleine conscience » de

Je fais la méditation et je dors tout de suite. (Rose-Aline). J'ai commencé à changer un peu plus mon alimentation en faisant ça on dirait.



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Dynamic Meditation and Mystic Rose Meditation. Secrets of Meditation. Davidji 2017-03-07 For thousands of years people have tried to tap into the stillness 

Les Mystères de la Vie

1 Tout être humain aspire au bonheur. Cette aspiration est innée cultés, des vicissitudes et des épreuves de l'existence. Vous noterez d'ailleurs que depuis son apparition sur terre, l'homme a toujours éprouvé le besoin d'améliorer ses conditions de vie et d'oeuvrer à son bien-être. Quoi qu'il en soit, nous ne sommes pas destinés à être malheureux et à sou൵ rir, mais au contraire à être heureux et à nous sentir bien sur tous les plans.

La quête du bonheur

Si les conceptions du bonheur sont nombreuses et varient d'une personne à l'autre, chacun s'accorde à dire qu'il existe néan- moins des conditions qui le favorisent : être en bonne santé, disposer dans les sociétés "modernes"), aimer et être aimé, exercer une pro- fession qui plaît, avoir une passion, se sentir utile aux autres, avoir des projets, etc., sont autant de conditions qui contribuent à rendre heureux. Il est à noter que leur ordre de priorité varie d'un individu à l'autre, car chacun di൵ ère par sa personnalité, son caractère, son tem- pérament et l'idée qu'il se fait de la vie en général. Par ailleurs, nous évoluons avec le temps, de sorte que ce qui semblait essentiel à notre bonheur à un moment donné peut devenir secondaire par la suite. Comme chacun sait, de nombreuses personnes réunissent les conditions précitées et pourtant ne sont pas vraiment heureuses ; il en est même qui éprouvent un mal-être si grand qu'elles en viennent à mettre fi n à leurs jours. Sans aller jusqu'à cet extrême, on constate que la " joie de vivre » fait défaut à beaucoup d'individus, et ce, dans tous les milieux sociaux. S'il en est ainsi, c'est parce que la société conditionne les gens à rechercher le bonheur presque exclusive- ment dans les possessions matérielles et la satisfaction des plaisirs " Une Sagesse ancienne pour un monde nouveau » 2 physiques, parfois jusqu'au paroxysme. Ce faisant, de plus en plus de personnes en viennent à négliger une quête tout aussi essentielle si ce n'est plus : la quête de sens, ce qui fi nit par créer en elles un grand vide existentiel.

La spiritualité

Quoi qu'on en pense, l'être humain ne se limite pas à un corps physique animé par une conscience purement cérébrale. Comme l'ont prouvé de nombreux cas d'Expériences de Mort imminente (EMI), il possède des modes de perception et d'intellection qui transcendent ses sens objectifs et ses facultés mentales. C'est également ce qu'ont confi rmé nombre de personnes qui sont "revenues" d'un profond coma et qui, après ce "retour", ont pu décrire ce qu'elles avaient vécu intérieurement. S'il en est ainsi, c'est parce que nous sommes des êtres spirituels incarnés dans le monde matériel le temps de nos vies terrestres. Autrement dit, nous possédons une âme, et c'est elle qui fait de nous des êtres vivants et conscients, capables de penser et de réfl échir à leur condition. Tout comme notre corps physique a besoin d'être nourri pour rester en vie sur le plan physiologique, nous devons procurer à notre âme la nourriture spirituelle à laquelle elle aspire. Bien que nous n'en ayons pas conscience objectivement, cette nourriture est indispensable à notre équilibre, et par conséquent à notre bien-être et au bonheur que nous recherchons. Si nous en sommes privés, il se produit en nous un déséquilibre qui se traduit tôt ou tard par un sentiment de malaise intérieur, de mal-être et d'insatisfaction. C'est pourquoi les personnes foncièrement matérialistes fi nissent toujours par être blasées de la vie et par nourrir un sentiment d'aigreur à son égard. Ajoutons que " De même que le Soleil brille sur nous du haut des cieux, de même les talents dont les germes existent dans le coeur humain doivent être développés aux rayons du soleil de la divine Sagesse. »

Théophraste Paracelse (1496-1541)

Médecin et alchimiste

3 le matérialisme exacerbe ce qu'il y a de moins noble dans la nature humaine, tels les désirs de possession, de domination et d'exclusion. Mais qu'est-ce que la spiritualité ? D'une manière générale, c'est la conviction que tout être humain possède une âme et que le but essentiel de la vie est de rendre cette âme meilleure, dans notre intérêt personnel et dans celui des autres. Comment atteindre un tel but ? En menant à la fois une quête de connaissance et de sagesse. Vu sous cet angle, un spiritualiste n'est pas nécessairement quel- qu'un qui suit l'une des religions existantes, d'autant que toutes " La plus grande erreur de toutes consiste à se méprendre sur le but véritable de la connaissance... Peu sont poussés vers elle pour se servir du don divin de la raison dans l'intérêt de l'humanité. »

Francis Bacon (1561-1626)

Philosophe et homme d'État

Reß et du macrocosme, lՐtre humain ne se rŽduit pas 4 sont plutôt des voies de croyances, fondées généralement sur un credo dogmatique. Contrairement à la religiosité, la spiritualité s'appuie sur le désir profond de mieux se connaître soi-même, de mieux com- prendre le sens de l'existence, et de mieux maîtriser sa vie, et ce, à travers une démarche empreinte de liberté et d'indépendance.

Le mysticisme

D'un point de vue ontologique, la plus haute forme de spi- ritualité réside dans le mysticisme, terme dérivé du mot latin " mysticus », qui signifi e " relatif aux mystères ». Il est un fait que l'univers, la nature et l'homme lui-même recèlent nombre de mys- tères plus insolites et captivants les uns que les autres : Quand " Il y a, caché en l'homme, un trésor si remarquable et si merveilleux que les sages ont estimé que la parfaite sagesse consiste pour lui à se connaître, c'est-à-dire à découvrir le mystère secret qui se cache au-dedans de lui. »

Robert Fludd (1574-1637)

Médecin et philosophe

lesquelles sont ˆ lÕorigine du mysticisme 5 et comment la Création est-elle venue à l'existence ? La vie sur Terre est-elle le fruit du hasard ou poursuit-elle un but déterminé ? Les êtres humains ont-ils le pouvoir d'agir sur leur destinée ? Que se passe-t-il vraiment au moment de la mort ? Que penser de la réincarnation, que les philosophes grecs assimilaient à une transmi- gration de l'âme ? Nul doute que vous vous êtes déjà interrogé sur ces questions. En fait, tout être humain est enclin à se les poser tôt ou tard, mais il dispose du libre arbitre, de sorte qu'il peut, soit cher- cher à y répondre, soit faire l'impasse dessus. Si le mysticisme est la forme la plus élevée de spiritualité, c'est parce qu'il est fondé sur une approche spiritualiste mais non religieuse des mystères de l'existence. Autrement dit, il vise à les étu- dier sous un angle à la fois théorique et pratique, et à acquérir à leur sujet, non pas des croyances, mais des connaissances. Par ailleurs, il a pour but de nous éveiller à l'âme qui nous anime et de nous rendre réceptifs à la conscience qui lui est propre. Cela suppose de nous adonner régulièrement à des périodes d'introspection et d'être à l'écoute de notre Moi intérieur, dans ce qu'il a de plus inspirant, pour ne pas dire de plus divin. Un mystique, au sens le plus noble du terme, est donc quelqu'un qui s'intéresse au " pourquoi » et au comment » des choses, et qui fait de cet intérêt le fondement de sa quête spirituelle.

Les écoles de mystères

Comme la plupart des égyptologues le savent, il existait en Ancienne Égypte des " écoles de mystères », c'est-à-dire des écoles dans lesquelles des mystiques se réunissaient pour étudier les mys- tères de l'existence. Cette étude, qui se déroulait généralement dans les temples érigés dans ce pays, donna naissance à une connais- sance empirique couvrant de nombreux domaines : architecture, l'univers se refl ète en elle ; il faut encore qu'elle en prenne conscience. Pour cela, il faut que notre intelligence, non seulement se pense elle- même, mais aussi qu'elle pense tout ce qui est en dehors d'elle. »

Jean-Baptiste Van Helmont (1577-1644)

Médecin et philosophe

6 arithmétique, géométrie, médecine, astronomie, astrosophie... De nos jours encore, on reste émerveillé par l'essor de la civilisation égyptienne et par l'héritage culturel et spirituel qu'elle a transmis à l'humanité. À titre d'exemple, on ignore toujours comment les Égyptiens ont construit les pyramides de Gizeh, lesquelles, contrai- rement à l'opinion courante, n'ont pas servi uniquement de tombeaux aux pharaons Khéops, Képhren et Mykérinos. Elles furent également des lieux d'instruction et d'initiations. Mais la connaissance acquise en Égypte n'est pas restée fi gée dans ce pays. Elle s'est transmise dans la Grèce antique à travers l'école pythagoricienne, puis dans la Rome antique via les mystères mithraïques, en Orient et dans l'Europe du Moyen Âge par le biais des alchimistes et des templiers, pour être recueillie en grande par- tie au début du XVII e siècle par les Rose-Croix. L'un d'entre eux, Michaël Maïer (1569-1622), a d'ailleurs écrit ceci dans son livre " Silentium Post Clamores » : " Nos origines sont égyptiennes, brahma- niques, issues de mystères d'Éleusis et de Samothrace, des mages de Perse, des pythagoriciens et des arabes. » Ainsi donc, parallèlement pétuée à travers les siècles, non sans s'enrichir de nouveaux apports culturels et spirituels.

L'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix

C'est en 1909 que l'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix a commencé son cycle actuel d'activité. Depuis, il se donne pour mission de transmettre la connaissance dont lui-même a hérité des

Rose-Croix du

XVII e siècle. Ouvert aux hommes comme aux fem- mes, sans distinction de nationalité, de classe sociale ou de religion pour ceux qui en suivent une, il a pour devise : " La plus large tolé- rance dans la plus stricte indépendance ». Présent dans le monde " Si nous considérons que la connaissance, la morale et la foi coïncident, alors nous comprenons qu'être attentifs au but de la Création, porter notre regard sur l'essence de notre âme, et nous intéresser au bien-être des autres, se rejoignent. »

Coménius (1592-1670)

Philosophe, père spirituel de l'U.N.E.S.C.O.

7 entier, il fonctionne à travers des juridictions de langue : française, mais également anglaise, italienne, allemande, espagnole, portugaise, russe, japonaise... En cela, il constitue une fraternité cosmopolite, représentative de toute l'humanité. Précisons que l'

A.M.O.R.C. est

reconnu d'utilité publique dans plusieurs pays, en raison notamment de sa contribution à la culture, à l'éducation et à la paix. . L'enseignement rosicrucien Il nous semble utile de préciser que la Rose-Croix, symbole A.M.O.R.C., n'a aucune connotation religieuse et aucun lien avec le christianisme. Dans ce symbole, la croix représente le corps physique de tout être humain, à l'image de la forme que nous prenons lorsque nous nous tenons debout, les jambes serrées l'une contre l'autre et les bras tendus à l'horizontale. Ses douze lobes cor- respondent aux douze degrés de l'enseignement rosicrucien. Quant à la rose, placée au centre, elle symbolise notre âme en voie d'évo- lution. Si elle est rouge, c'est parce que c'est à la fois la couleur de la vie et celle de l'amour. " Comment serait-il possible que je puisse savoir que je doute, c'est-à- dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas parfait, si je n'avais en moi aucune idée d'un Être plus parfait que le mien, par la comparaison duquel je peux connaître les défauts de ma nature. »

René Descartes (1596-1650)

Philosophe

La Rose-Croix reprŽsente la dualitŽ de tout tre humain, cÕest-ˆ-dire le fait quÕil est corps (la croix) et ‰me (la rose). Cela suppose naturellement dÕavoir une approche spiritualiste de la vie 8 L'enseignement de l'A.M.O.R.C. se présente sous la forme de fascicules ayant de six à douze pages. Ces fascicules, appelés " mono- graphies », sont adressés aux membres de l'Ordre à raison de quatre par mois ou lui sont rendus accessibles par internet. Comme indiqué précédemment, ils couvrent douze degrés, chacun d'eux étant consa- cré à l'étude de sujets mystiques, au sens traditionnel de ce terme. Il nous est impossible, dans le cadre de cette brochure d'information, d'en dresser une liste exhaustive. En voici néanmoins quelques-uns : - l'origine ontologique de l'univers - l'Âme universelle (l'Âtman) - l'espace-temps - la structure physique et métaphysique de la matière - les correspondances entre le microcosme et le macrocosme - les lois de la vie - la composition ternaire de l'homme - l'âme humaine et ses attributs - les phases de la conscience - la nature des rêves - le but de l'évolution sur Terre - le libre arbitre - le karma - les étapes de la mort - l'après-vie - les cycles de réincarnations - les symboles traditionnels et leur application - la science des nombres - les traditions ésotériques du passé : égyptienne, essénienne, éleu- sinienne, alchimiste, templière, kabbalistique... - etc. Les monographies comportent également de nombreuses expé- riences consacrées à l'apprentissage de techniques fondamentales en matière de mysticisme. Le but de ces expériences est de permettre " Tant que nous suivons nos seules fantaisies pour bâtir notre concep- tion du monde, nous cheminons à tâtons sur le sentier de la vie, comme des aveugles. Au contraire, si nous mettons nos pensées en ordre et les confi rmons par l'expérience, nous sommes sur la bonne voie. »

Thomas Vaughan (1622-1665)

Médecin et alchimiste

9

Ce symbole reprŽsente lՎlŽvation

de lՉme vers lՎtat de sagesse à chaque membre de prendre davantage conscience de sa dimension intérieure et de s'épanouir sur les di൵ érents plans de son être : phy- sique, psychique et spirituel. En termes courants, elle contribuent à son " développement personnel » et à l'éveil de ses facultés latentes. Précisons qu'elles sont fondées sur des lois et des principes naturels, et qu'elles n'ont aucun caractère occulte, magique ou théurgique. À titre d'exemples : - la relaxation - la visualisation - la création mentale - la méditation (en tant que pratique spirituelle) - la respiration profonde (en tant qu'art mystique) - la stimulation des énergies vitales - la vocothérapie (en complément de la médecine classique) - l'éveil des centres psychiques (dont certains coïncident avec des chakras) - la perception extra-sensorielle - le développement de l'aura - l'intonation de sons mystiques (dont certains s'apparentent à des mantras) - l'harmonisation astrale - la régénération intérieure - l'alchimie spirituelle - etc. Ce qui fait la valeur et l'originalité de l'enseignement rosicru- cien, c'est qu'il est structuré, graduel et initiatique. Par ailleurs, les sujets sont traités en profondeur et s'appuient sur des données sérieuses qui ont fait leur preuve. Il importe également de préciser que cet enseignement n'est pas l'oeuvre d'un seul individu, mais celle d'un collège de penseurs, de philosophes et d'initiés qui se sont succédés que rare. »

Baruch Spinoza (1632-1677)

Philosophe

10 au fi l du temps et qui l'ont enrichi de leurs propres connaissances. En outre, il est actualisé régulièrement, bénéfi ciant en cela des recher- ches entreprises sous l'égide de l'Université Rose-Croix Internationale, constituée de membres très compétents dans les di൵ érents domaines du savoir. Parallèlement à l'enseignement écrit auquel les Rosicruciens ont accès à titre individuel, ceux qui le souhaitent peuvent se rendre dans des Organismes locaux et bénéfi cier d'un enseignement oral, en compagnie d'autres membres et dans un cadre approprié. C'est pour eux l'occasion d'échanger leur compréhension de ce qu'ils ont étudié chez eux. De même, ils ont la possibilité de participer à des conventions, des congrès, des séminaires et des conférences. De telles rencontres leur permettent, non seulement d'assister à des activités culturelles et spirituelles inspirantes, mais également de vivre des moments fraternels. . La philosophie rosicrucienne L'A.M.O.R.C. ne se limite pas à transmettre un enseignement ; il prône également une philosophie, au sens étymologique du terme, à savoir : " amour de la sagesse ». C'est ainsi que les Rosicruciens s'évertuent à être aussi sages que possible dans leur jugement et dans leur comportement. À cet e൵ et, ils pratiquent l'alchimie spirituelle, laquelle consiste à transmuter graduellement nos défauts en leurs qualités opposées. Le but d'une telle alchimie est de devenir une meilleure personne au fi l du temps : un meilleur conjoint, un meil- leur parent, un meilleur voisin, un meilleur citoyen. Vous conviendrez certainement que si nous voulons que le monde s'améliore, il faut que les êtres humains, dans leur ensemble, s'emploient à le faire. C'est ce qui fi t dire à Socrate : " Chaque fois qu'un être humain s'élève, c'est l'humanité entière qui s'élève. » " Cet arrangement aussi extraordinaire du Soleil, des planètes et des comètes n'a pu avoir pour source que le dessein d'un Être intel- ligent et puissant, qui gouverne tout et que l'on pourrait appeler "Gouverneur universel". »

Isaac Newton (1642-1727)

Scientifi que et philosophe

11 D'un point de vue rosicrucien, ce que l'on appelle " vertus », telles la bienveillance, l'humilité, l'intégrité, la patience, la tolérance, la non-violence, etc., sont des facultés de l'âme. C'est donc en nous éveillant à ce qu'elle est en essence que nous pouvons croître en sagesse et atteindre ce qui est désigné dans la Tradition rosicrucienne sous le nom d'" état Rose-Croix ». Une telle démarche est fondamen- talement spiritualiste et fait appel à ce qu'il y a de plus divin dans la nature humaine. Elle est également profondément humaniste, puis-quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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