Le réchauffement climatique (le changement climatique) : réponse à
mal à partir vers l'espace (c'est l'élévation du niveau du barrage dans l'analogie avec notre lac ou l'augmentation de l'épaisseur.
Kosovo : le dernier bluff de Milosevic
Feb 28 2016 LE MONDE / DIMANCHE 21 - LUNDI 22 FÉVRIER 1999 ... d'urgence au Kosovo en 1989
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Sep 16 2001 Selon le Los Angeles Times
Fiches dactivités et exemples pratiques
Jan 12 2016 Matériel nécessaire. • Un journal de référence
La France le Rwanda et le génocide des Tutsi (1990-1994)
Mar 26 2021 partir du 7 avril 2021
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Feb 25 2001 cours de la semaine
[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 12/02/02
Feb 12 2002 comparaît à partir du 12 février devant le Tribunal pénal international
DE VIE PORTE DE MONTREUIL
Feb 11 2016 N° 8 n Du 18 février au 9 mars 2016 n Le Montreuillois ... et implantée en Europe à partir ... même
La rue Auguste Brunet : Nouveau passage sous la voie ferrée La
auxquelles il m'a été donné de participer au début La Roche-sur-Yon a lieu le lundi 6 février à 18 h 30
guide pratique de létudiant accueilli en mobilité
Sep 23 2019 1er février
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ANNÉE ê Nº 17446 ê7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINE FONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ê DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIDIMANCHE 25 - LUNDI 26 FÉVRIER 2001
La fièvre aphteuse britannique fait l"affaire des cochonniers bretonsLAMBALLE
de notre envoyé spécialDes militaires à chaque carrefour, l"interdic-
tion de se déplacer, les roues de chaque véhicule entrant ou sortant des fermes copieusement désinfectées -" Le Grésil, ça y allait fort ! »-, des fidèles empêchés de messe. Et puis l"éradica- tion, sans pitié." Tous les animaux étaient abat- tus, les porcs comme les chiens, les vaches comme les chats ! »Pour sûr qu"on s"en souvient, à Lam- balle, de l"épidémie de fièvre aphteuse qui avait frappé la région en 1974 ! Même Bernard Chré- tien, sept ans à l"époque, peut évoquer certains de ses camarades consignés pendant deux semaines dans leur école. La sale maladie qui se propage avec une rapidité foudroyante et n"épargne aucune bête !Des souvenirs si vivaces que l"on peut s"éton-
ner du calme avec lequel les éleveurs prennent aujourd"hui les nouvelles venues d"Angleterre. Personne ici n"imagine que l"épidémie pourrait franchir la Manche et, de nouveau, frapper les Côtes-d"Armor." Nous sommes sereins, mais vigi- lants,explique Marcel Corman, président d"uneunion régionale de producteurs de porcs,cartoutes les mesures ont été immédiatement prises
en Angleterre pour isoler la région contaminée. L"espace breton est maintenant quadrillé, les vété- rinaires sont en état d"alerte, une cellule de veille est mise en place. A la moindre alerte, nous pou- vons réagir. »Et, surtout, pas de comparaison avec la vache folle !" Rien à voir ! La fièvre aph- teuse est une maladie connue, qui fait partie des aléas de notre métier. »Cette vache folle qui, soit dit en passant, a bien profité aux éleveurs de porcs. Les cours, qui s"étaient effondrés en1999, se sont envolés pour atteindre plus de
11 francs le kilo. Et voilà que les nouvelles
venues de l"Essex ont encore dopé les cours. " La fièvre anglaise profite au porc breton », pou- vait-on lire vendredi matin dansOuest-France. Sur le marché de Plérin, référence nationale, les prix ont augmenté de plus de 40 centimes en une seule journée, flirtant maintenant avec les13 francs au kilo.
" Les cochonniers, ils vont encore s"en mettre plein les poches, ironise Pierre, éleveur de bovins.Pour nous, si la fièvre aphteuse débarque, c"est fini. Déjà que nous sommes touchés de pleinfouet par l"effet vache folle, nous n"aurons plusqu"à plier bagage.»" Nous vivons une vraie révo-
lution», explique Bernard Chrétien, quarante- quatre ans, qui possède, à Pluduno, un " ate- lier » de 180 truies où tout est calme, silence et propreté." Nous avons oublié pendant trente ans que nous vendions un produit, dit ce fils d"ouvrier qui a choisi l"élevage pour être son propre patron.Nous avions oublié l"existence des consom- mateurs. Aujourd"hui, ceux-ci attendent que nous leur ouvrions nos portes ! »Pour répondre à cet- te attente, de nombreux producteurs de la région ont créé un sigle : " Cochons de Breta- gne », qui oblige ses adhérents à respecter des règles très strictes de traçabilité. Si le défi n"est pas relevé, Bernard, " le cochonnier », comme Pierre, " le bovin », savent que leur avenir est bien compromis :" Comment vous expliquer ? Après tout ce qui s"est passé, nous-mêmes nous n"avons plus une bonne image de notre métier. Et, si cela continue, nous dirons à nos enfants d"aller voir ailleurs, de choisir une autre voie. »José-Alain FralonLire nos autres informations page 5
International................ 2
France............................ 6
Société........................... 10
Carnet............................ 12
Abonnements .............. 12
Régions......................... 13
Horizons ....................... 14Entreprises................... 17Placements .................. 18
Aujourd"hui.................. 21
Météorologie-Jeux...... 24
Culture .......................... 26
Guide culturel.............. 28
Radio-Télévision......... 29
GUIDE ROUGE 2001
Chapeau,Veyrat
AUTOMOBILE
Peugeot 406,coupé diesel
CRÉATION COLLECTIVE À BOBIGNY
McBurney ou
le théâtre libre aPREMIERdirigeant euro-
péen à venir aux Etats-Unis depuis le changement de président,Tony Blair a été reçu à Camp
David, vendredi 23 février, par
George W. Bush. Les deux diri-
geants ont uni leurs voix pour par- ler un langage de fermeté à l"égard de l"Irak. Les Etats-Unis et la Gran- de-Bretagne" travailleront ensem- ble »pour rendre les sanctions inter- nationales contre Saddam Hussein " plus efficaces(...),tout en s"effor-çant de protéger le peuple irakien ».
M. Blair a, d"autre part, donné son
accord pour envisager le dévelop- pement de systèmes antimissiles, sans pour autant soutenir explicite- ment le projet américain.Lire page 3
et notre éditorial page 15Longtemps, il a semblé que les noces
ne seraient jamais célébrées entre des carrosseries élégantes et des moteurs dignes de poids lourds." Mariage contre nature », avaient jugé les puris- tes. Fromage et dessert ? Peugeot tente et réussit lâessai avec son coupé406, doté dâun diesel. Une performan-
ce rendue possible par lâarrivée sur le marché de lâinjection directe Ä haute pression. p. 22Pour la justice, l"Angolagate est bien une affaire de trafic d"armesLe long cyclede Longo
Lâancien guide Michelin, rebaptisé Gui-
de rouge depuis sa précédente livrai- son, consacre doublement, cette année, Marc Veyrat(photo). Le cui- sinier savoyard obtient trois étoiles pour chacun de ses deux restaurants,La Ferme de mon père, son nouveau
restaurant de Megève, et lâAuberge de lâEridan, sur les bords du lac dâAnnecy.En revanche, Alain Ducasse passe de
trois Ä deux étoiles au Louis XV, ÄMonte-Carlo.
p. 30L"INDUSTRIEde la téléphonie
mobile est entrée dans une phase de très fortes turbulences.D"abord, les ventes pour 2001
s"annoncent plus faibles que pré- vu. Selon le fabricant américainMotorola, le marché mondial pourrait porter sur moins de500 millions d"appareils, alors
qu"il en prévoyait jusqu"à 575 mil- lions il y a encore quelques se- maines. Dans la foulée, le groupea indiqué, vendredi 23 février, que ses résultats en seraient affectés. De son côté, le françaisAlcatel a fait sensation, la veille,
en prédisant que la troisième génération de téléphonie mobile(UMTS) pourrait prendre deux années supplémentaires de retard, n"étant accessible au con- sommateur que vers 2003 ou2004. En revanche, Orange, filiale
mobile de France Télécom, pré- voit toujours de déployer son réseau UMTS dès l"année 2002.Alors que ce secteur ne cesse
d"accumuler des contre-perfor- mances, sur fond de krach des valeurs technologiques, ces annonces contradictoires ont aggravé le marasme boursier. Au cours de la semaine, Alcatel a chuté de 17,56 % à la Bourse deParis et France Télécom a encore
accentué son recul, qui est de26 % depuis le début de l"année.
Pour tenter d"enrayer cette chu-
te, opérateurs et industriels cherchent à séduire les consom- mateurs avec des technologies plus " rustiques » mais plus prati- ques comme les mini-messages, qui permettent d"enrichir immé- diatement l"offre de services.Lire page 17 et,
en " Placements », pages 18 à 20D.R.SEBASTIAN HOPPELe metteur en scène britannique Simon
McBurney(photo)reprendMnemonic
Ä la Maison de la culture de Bobigny
avec sa troupe, le ThéÅtre de Complici- té. Cette pièce est le résultat du travail dâimprovisation collective que McBur- ney mène depuis dix-huit ans. Une recherche pluridisciplinaire qui reven- dique le " chaos » comme point de départ. p. 26Irak : Bush et Blair
face aux sanctions3:HJKLOG=UU\ZUW:?a@c@m@f@k;
M 0146 - 225 - 7,50 F
AFPLA CULTUREest la grande absen-
te du débat des municipales. Au cours de la campagne qui s"achève, lesdossiers culturelssont, leplus sou- vent,sagementrestés au placard.Pas devagues, pas de polémiques, pas de propositions non plus. Un sondage (Le Mondedu 30 janvier) confirme cette désertion : la sécurité, le niveau desimpôts locaux, les écoles, lacircu- lation et le stationnement sont les principales préoccupations locales des Français, devant l"" animation de la ville », notion imprécise et pas- se-partout où se trouve sans doute nichée la culture.Il faut gagner les modestes com-
munes, comme Sérignan (Hérault) ou Chanteix (Corrèze), pour obser- ver un débat culturel vivace au sein de municipalités passionnées par les actions culturelles qu"elles ont mises en place, parfois très ambitieuses par rapport à leurs ressources. Cette effervescence contraste avec l"atonie des villes grandes ou moyennes d"où ne surgissent ni discussions capitales ni prises de positions originales. Aus- si René Rizzardo, responsable deL"Observatoire des politiques cultu-
relles(L"Observatoireno20),s"interro-
ge-t-il :" La culture est-elle encore un enjeu politique ? »A Paris, les programmes culturels
de Bertrand Delanoë (PS) et de Phi-lippe Séguin (RPR) tiennent en quel- ques lignes. C"est peu, même si l"on peut comprendre que leurs soucis sont ailleurs. A Avignon, qui tire de son riche patrimoine historique et de son célèbre festival de théâtre une bonne partie de ses ressources éco- nomiques, le duel entre Marie-JoséeRoig (RPR) et Elisabeth Guigou (PS)
tourne autour de nombreux sujets - et d"abord de la sécurité -, mais évite pratiquement toutes les questions culturelles. Même indiffé- rence à Strasbourg, fief de CatherineTrautmann, ancienne ministre de la
culture, ou encore à Lille, Bordeaux ou Lyon.Cedésintérêt contrasteavecla pas-
sion qui avait animé les trois précé- dents scrutins municipaux, occasions d"intenses batailles culturelles. En1983, la gauche est au pouvoir
depuis deux ans et le débat idéologi- quebat son plein. La cultureestdeve- nue un enjeu de poids, en raison notamment de l"action de Jack Lang, nouveau locataire de la Rue deValois.
Michel Guerrin
et Emmanuel de RouxLire la suite page 15 et,
sur les municipales, pages 6, 8 et 13ELLEatoutgagné.LeTour deFran- ce, les championnats du monde, lesJeux olympiques. Elle a tout conquis
(37 records du monde, 42 titres dequotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] le pere de voltaire
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