Saadi et son oeuvre dans la littérature française du XVIIe siècle à
Aug 25 2016 Comme on peut constater ici
Les Fables de La Fontaine
Le Songe d'un Habitant du Mogol. La Souris métamorphosée en Fille. La Tête et la Queue du Serpent. Un Animal dans la lune. Les vingt-neuf aquarelles.
In Memoriam Jacques Dumarçay (1926-2020)
Jun 30 2021 le soubassement rendant le programme architectural intérieur tout à fait ... 1991
DEUROPE
puis Gaulois puis habitant de l'Empire romain. Il est peu pro¬ servir d'axe et
The Shaping of a Political Poet: Five Newfound Verses by Jonathan
branches of the same plan of power"12 An Anglican minister and a minister of Parliament were La Fontaine's fable "Le Songe d'un habitant du Mogol.
Séquence 8
comme en témoigne « le Songe d'un habitant du Mogol » (Livre XI fable 4). L'erreur qu'il a commise le met exactement au même plan de.
Abolition : la traite des Nègres fut interdite au Congrès de Vienne
Annexe 2 : Le Songe d'un habitant du Mogol. 14. Annexe 3 : Lettre au capitaine Butler. 15. Travaux proposés. Travaux écrits. 17. Groupement de textes.
Corrigé du bac Français (1ère) 2021 - Antilles-Guyane 2
l'un des objets d'étude du programme ; Un plan en trois parties n'est ... s'interroge sur son rapport au monde (« Le Songe d'un habitant du Mogol »).
CYRANO DE BERGERAC DEDMOND ROSTAND: LE THÉÂTRE
cette « Solitude ou je trouve une douceur secrete » dans Le Songe d'un habitant du Mogol (Fables XI
Études de communication 16
Jun 21 2011 Elle se pose au plan juridique : en terme de ... d'auteur
Exposition
27 octobre 2021
28 février 2022 Les Fables
Gustave Moreau
de La FontaineMusée national
Gustave Moreau
Dossier de presse
2Les Fables
Gustave Moreau
de La Fontaine3 Avant-propos
4 L'histoire
4 Le commanditaire : Antony Roux (1833-1913)
4 1879 : une rencontre décisive
5 Genèse d"une uvre
6 Antony Roux choisit Moreau comme seul illustrateur
6 Fortune et infortune d"une collection
7 L'exposition
9 Sélection d"uvres exposées
19 Publications
20 Visuels presse et conditions d"utilisation et de tournages
23 Le musée Gustave Moreau, quelques mots
25 Gustave Moreau, repères biographiques
27 Partenaires
28 Informations pratiques
Sommaire
Commissariat
Marie-Cécile Forest,
directrice des musées Gustave Moreau et Jean-Jacques HennerDominique Lobstein,
historien de l"artSamuel Mandin,
documentaliste au musée Gustave MoreauScénographie
Hubert Le Gall assisté de Laurie Cousseau
Graphisme
Ursula Held
Sources
Le dossier de presse a été réalisé à partir d"extraits des essais de Marie-Cécile Forest, de Dominique Lobstein et de Samuel Mandin, publiésdans le catalogue ofciel de l"exposition. Les informations données surles uvres sélectionnées danscedossier sont extraites des notices écrites par Marie-Cécile Forest, DominiqueLobstein et Samuel Mandin, et publiées dans cemême catalogue. 3Les Fables
Gustave Moreau
de La Fontaine Cette exposition est l"aboutissement d"un rêve longtemps caressé et qui semblait jusqu"ici inaccessible. Son objet est l"étude des soixante-quatre aquarelles illustrant lesFables
de La Fontaine par Gustave Moreau (1826-1898) à la demande d"Antony Roux (1833-1913), l"un de ses principaux
collectionneurs. Réservés, à l"origine, à la seule jouissance du commandi- taire désireux d"en faire un unique livre, ces chefs-d"uvre virent le jour à Paris, au 14,rue de La Rochefoucauld, entre 1879 et 1884. Exposées, pour vingt-cinq d"entre elles, en 1881 dans le salon particulier que la Société d"Aquarellistes français occupait chez Durand-Ruel, au 16,rue Laftte, puis, dans leur ensemble, à la galerie Boussod et Valadon (ancienne maison Goupil), au 9,rue Chaptal et à Londres en 1886, ces aquarelles furent réu- nies dans leur quasi-totalité une ultime fois en 1906 sous l"égide de Robert de Montesquiou et de la comtesse Greffulhe. À la mort d"Antony Roux, le 14octobre 1913, soixante-trois aquarelles sur les soixante-quatre de la série sont acquises par Miriam-Alexandrine de Goldschmidt-Rothschild, qui offrira, en 1936,LePaon se plaignant àJunon
au musée Gustave Moreau. Trente-quatre d"entre elles reviennent aujourd"hui, àl"occasion de l"expo- sition qui leur est dédiée, au musée national Gustave Moreau, autrefois atelier qui les vit naître. Seuls quelques spécialistes savaient, avant cette exposition, que lesFables
de La Fontaine - ce sommet de la langue française - avaient trouvé un écho chez Gustave Moreau. On connaissait, du e siècle, les illustra tions de Jean-Jacques Grandville, de Gustave Doré, mais de Gustave Moreau très peu. Autant dire que cette exposition est un événement. Elle participe d"un rare bonheur : celui de découvrir des chefs-d"uvre de l"aquarelle jamais exposés depuis 1906 et de se remémorer des chefs-d"uvre de la littérature appris par cur durant l"enfance. C"est à de véritables transports - mélange de joie et d"émotion - dus à une conjonction heureuse entre le style limpide de La Fontaine et la vision poétique du peintre que chacun d"entre nous est convié. Peut-être même la contemplation de ces uvres exercera-t-elle une action thérapeutique sur le spectateur, comme, en son temps, sur leur commanditaire, Antony Roux. À la différence des expositions précédentes - sans véritable catalogue, excepté une liste sommaire établie pour celle de 1906-, nous nous sommes attachés à étudier, dans leurs moindres détails, chacune des soixante-quatre aquarelles et à montrer en quoi elles innovent par rapport aux illustra- tions antérieures ou de leur temps. Notre but a été, avant tout, un exercice d"objectivité.Marie-Cécile Forest
Avant-propos
Gustave Moreau,
Le Coche et la Mouche
, n. d., sanguine, graphite, aquarelle, gouache, collection particulière "Quelle in nie variété dansficet ensemble quificonserve defil'unité.Je ne croisfipas que
l'on puisse trouver unfiprécédent àfiune pareille fécondité.Antony Roux à Moreau
Je me sers d'Animaux
pourfiinstruire lesfihommes.Jean de La Fontaine
4Les Fables
Gustave Moreau
de La FontaineLe commanditaire
: Antony Roux (1833-1913) Né le 17 avril 1833 à Marseille, Antony Roux, ls d"un riche négociant, hé- rite très tôt d"une importante fortune familiale qui lui permet de mener une vie de rentier et de mécène, de voyager en France, en Allemagne et en Suisse. Attiré par la peinture, il se constitue rapidement une collection rassemblant dans un premier temps des uvres d"artistes marseillais dont Félix Ziem ou Gustave Ricard. Plus tard, celles de Corot, Delacroix, Fromentin, Rousseau viennent la compléter... À la n des années 1870, Antony Roux souhaite réunir, à côté de ses tableaux, un ensemble d"uvres graphiques et pense publier une nouvelle édition illustrée des Fables de la Fontaine. Pour mener à bien ce projet d"envergure, il suit les conseils du peintre Jules-Élie Delaunay, qui le met en relation avec un certain nombre d"artistes, dont Gustave Doré, Henri Gervex, Jules Jacquemart, lepaysagisteHenri Harpignies.
1879: une rencontre décisive La relation entre le collectionneur et le peintre débute dès les premiers mois de l"année 1879 lorsqu"Antony Roux venu à Paris pour rencontrer différents peintres, fait la connaissance de Gustave Moreau grâce à l"en tremise d"Élie Delaunay. Les bases du projet jetées, l"accord entre les deux hommes est immédiat, le collectionneur ne tarit pas d"éloges, et Moreau se met immédiatement au travail en vue de livrer rapidement l"illustration d"une première fable,
Phébus et Borée
, le 7 juillet 1879. Sans que rien ne permette de savoir s"il s"agit d"une initiative personnelle ou d"une sollici tation de son mécène, le peintre ajoute à ce premier envoi uneAllégorie de
la Fable , frontispice à l"ouvrage, comme il n"en a jamais existé auparavant. Les deux hommes vont alors échanger une abondante correspondance dont le musée Gustave Moreau conserve seulement une partie, un peu plus de deux cents courriers qui couvrent la période allant du début de l"année 1879 au 15 décembre 1897.Grâce à cette correspondance et aux carnets
de comptes de Pauline Moreau, la mère de l"artiste, il est facile, jusqu"au décès de celle-ci, le 31 juillet 1884, de suivre la chronologie de la réalisation et de la livraison desFables
et, accessoirement, d"autres éléments de la collection de Roux. Très tôt, le commanditaire non seulement choisit les fables à illustrer mais se mêle de leur iconographie ou de leur technique, ses courriers étant émaillés de propositions dont il se repent parfois tout comme de ses interventions sur les uvres elles-mêmes.L"histoire
J'ai cherché comme je
vous le disais àles varier toutes par le style, le ton etl'exécution de façon à ce que présentées ensemble on puisse y trouver une certaine variété d'aspect.Gustave Moreau à Antony Roux
Gustave Ricard,
Portrait de M. Antonin Roux
1861, huilesur toile, Marseille, musée des
beaux-arts 5Les Fables
Gustave Moreau
de La FontaineGenèse d"une uvre
D"une grande érudition et toujours curieux, Gustave Moreau étudie régu lièrement dans les différents lieux de savoir de la capitale ; il se rend entre autres à la Bibliothèque Nationale et fréquente régulièrement, depuis 1853, le Muséum national d"histoire naturelle qui est pour lui l"endroit privilé- gié pour mener ses études sur le monde vivant et enrichir ses créations. Exploitant toutes les opportunités que lui offre ce haut lieu des sciences, on le voit assister à des séminaires de chimie-organique, suivre des cours de paléontologie et de minéralogie, se documenter à la bibliothèque duJardin des Plantes...
Pour exécuter la série des Fables, Gustave Moreau procède en deux phases la première est dédiée à l"investigation avec des recherches de type natura- liste, la seconde s"effectue dans son atelier de la rue de la Rochefoucauld. L"étude sur le vif est un élément essentiel pour le peintre. Alors, du 24août au 12 septembre 1881, il reprend ses visites au Muséum et étudie les ani maux de la Ménagerie qu"il dessine et observe attentivement. Moreau règle son programme quotidien de façon méthodique et organise ses visites selon les espèces qu"il souhaite étudier. Il débute son investigation dès le24 août - avec sa carte d"accès obtenue le jour même - par le dessin d"un
cerf d"Europe pour l"illustration duCheval s'étant voulu venger du Cerf
. Le25août, il se rend à la volière pour observer les oiseaux de proie, et étudie
vautours et canards pour composerLes Vautours et les Pigeons
etLa Tortue
et les Deux Canards . Le même jour, il réalise un dessin de paon, où il s"at tarde sur la queue colorée de l"animal pourLe Paon se plaignant à Junon
. Le jour suivant, il décide de se consacrer au rhinocéros et à l"éléphant qui se trouvent être les deux protagonistes deL'Éléphant et le Singe de Jupiter
. Puis du 28 août au 1 er septembre, Gustave Moreau se rend à la Rotonde, située au cur de la Ménagerie, où résident les grands pachydermes. Dès le 1 er septembre 1881, c"est le Palais des bêtes féroces qui l"attire pour son étude des lions ; leur rugissement et leurs différentes postures sont décryptés.Ces dessins lui serviront pour
Le Lion devenu vieux
etLe Lion et le Rat
Enn, du 7 au 12 septembre, Gustave Moreau s"arrête dans la Galerie d"Anatomie comparée et effectue plusieurs dessins de squelettes, d"études de crâne... Il réalise ainsi en l"espace de vingt jours et de façon précise, une salutaire et considérable palette de croquis des postures et attitudes d"animaux. Mais cette phase de recherches serait incomplète si l"on omettait de rappeler les multiples visites du peintre dans les expositions, au musée du Louvre, à la Bibliothèque Nationale où il consulte, copie ou calque. À cette manne,quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] le songe d'un habitant du mogol texte
[PDF] le songe d'une nuit d'été ballet
[PDF] le songe de vaux resumé
[PDF] le soulier de satin texte intégral
[PDF] le souris
[PDF] Le soutien de la population allemande
[PDF] le souvenir d'enfance
[PDF] le souvenir dans lart
[PDF] Le spectateur doit participer
[PDF] le spectateur et l'oeuvre d'art
[PDF] Le spectre de l'atome d'hydrogène
[PDF] le spectre de rigel
[PDF] le spectre lumineux
[PDF] le spermophile et son hibernation