Insuffisance veineuse chronique. Varices
▷ Vayssairat M Ziani E
Prise en charge de linsuffisance veineuse chronique des membres
21 oct. 2020 Sur le plan étiologique on distingue trois catégories de varices des membres ... Item 136 Insuffisance veineuse chronique. Varice.pdf [Internet] ...
THEME 136 - INSUFFISANCE VEINEUSE CHRONIQUE. VARICES
La thrombose veineuse peut générer une maladie post-thrombotique surtout si elle est mal ou insuffisamment traitée (contention
Collège des Enseignants de Médecine vasculaire et de Chirurgie
Item 136 – Insuffisance veineuse chronique varices. Item 137 – Ulcère de un traitement urgent au cours des premières heures (3 6 h
DIPLÔME INTER UNIVERSITAIRE DE MESOTHERAPIE MEMOIRE
14 Boccalon H Fauvel JM. Insuffisance veineuse chronique et varices. Site éditeur. Université Paris V René Descartes. 2001; 136: 4-6. 15 Bonnet Ch
EFFICACITé DUN TRAITEMENT PAR MéSOTHéRAPIE SUR LES
Insuffisance veineuse chronique. Varices. 136; 3-6. 25 Couteaux A. Echelles d'évaluation de la douleur. DIU Sal- pétrière. Paris XIII. 2009-2010. 26 Danielson
La maladie veineuse: traitement par compression médicale et
28 janv. 2015 L'obstruction veineuse chronique superficielle isolée n'a pas de conséquence majeure au plan ... (62) Thème 136 : Insuffisance veineuse chronique ...
La délivrance active dans le cadre dinsuffisance veineuse
16 mai 2023 surtout observée en cas de varices chroniques. (6). Dermite ocre : Il y a une extravasation d'hématies sous l'effet de l'hyperpression ...
La place de lactivité physique dans la prévention et le traitement de
28 avr. 2022 Item 136 : Insuffisance veineuse chronique. . :10. 32. Becker F. Varices. Insuffisance veineuse chronique. Ulcères des membres inférieurs ...
Activité physique et insuffisance veineuse: de la physiopathologie
2 déc. 2020 Au plan fonctionnel les valves ferment la ... partie de la pathologie veineuse chronique : varices
THEME 136 - INSUFFISANCE VEINEUSE CHRONIQUE. VARICES
VARICES. N° 136A : DIAGNOSTIQUER UNE INSUFFISANCE VEINEUSE. CHRONIQUE ET /OU brûlures et rougeur du pied après quelques heures de sommeil réveillant.
Collège des Enseignants de Médecine vasculaire et de Chirurgie
Item 136 – Insuffisance veineuse chronique varices. Item 137 – Ulcère de jambe. Item 201 – Traumatismes Vasculaires. Item 323 – Œdèmes des membres
Embolie Pulmonaire : Stratégie de prise en charge
croisière moyenne de 650 km/h 80 passagers sur 136 millions de passagers ... Varices des membres inférieurs et/ou insuffisance veineuse chronique.
CNGOF 2016 - MISES À JOUR EN GYNÉCOLOGIE -
16 juin 2015 P. Descamps H. Fernandez
Urgences
Sur le plan étiologique les mécanismes pouvant être à l'origine d'un ACC sont Varices des membres inférieurs et/ou insuffisance veineuse chronique.
DIPLÔME INTER UNIVERSITAIRE DE MESOTHERAPIE MEMOIRE
fonctionnels de l'insuffisance veineuse chronique des membres Varices: dilatation des veines superficielles signe d'incontinence valvulaire.
La place de lactivité physique dans la prévention et le traitement de
28 avr. 2022 L'insuffisance veineuse est une maladie chronique et évolutive. ... L'opération dure entre 30 min et 2 h pour les varices les plus étendues.
DISPOSITIFS DE COMPRESSION MEDICALE À USAGE INDIVIDUEL
affections veineuses chroniques (varices et œdème) sont peu nombreuses et des différences de définition des varices ou de l'insuffisance veineuse (bien.
Campus numérique de Réanimation médicale (Evaluations)
Insuffisance respiratoire chronique et oxygénothérapie à domicile. Insuffisance cardiaque antérieure. Tare (éthylisme diabète
Présentation PowerPoint
Thrombose veineuse superficielle. Diagnostic / traitement. Cancer / grossesse / Insuffisance rénale. Thrombose veineuse profonde MI. Probabilité clinique.
INT_Urgences_14.09.15.indd 1
: 9782846781541© 2015
ÉDITIONS MEDLINE
Mise en page : Anouk Sauné, Chloé Fouquet, Élise Ducamp Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, fait e sans le consentement des auteurs, ou de leurs ayants droit ou ayants cause, est illicite (loi du 11 mars 1957, alinéa 1 er de l"article 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code Pénal.INT_Urgences_14.09.15.indd 213/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 313/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 413/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 513/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 613/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 713/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 813/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 913/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 1013/10/2016 16:53
Indépendamment de la cause, l"arrêt cardio-circulatoire (ACC) est habituellement déni par l'interruption,
en général brutale, de toute activité mécanique e?cace du coeur. Pendant cette interruption d"activité méca-
nique, l"activité cardiaque électrocardiographique est très variable (brillation ou tachycardie ventriculaire, autre
ryt hme sans pouls, asystolie). Cette aection est fréquente et son pronostic est très sombre.En l"absence de rétablissement rapide d"une activité cardio-circulatoire ecace, des lésions irréversibles s"ob-
servent en quelques minutes dans les organes les plus sensibles à l"anoxo-ischémie (cerveau en particulier). À ces
lésions initiales s"ajoutent, surtout en cas d"ischémie prolongée, des lésions spéciques de reperfusion qui
aggravent encore les dommages initiaux. Ces phénomènes peuvent aggraver les lésions viscérales (notamment
cérébrales) au cours des premières heures et des premiers jours. L"incidence demeure dicile à préciser mais varie probablement entre 60 et 100 cas pour 100 000 habitants.
Concernant l"Europe et les États-Unis, on estime ainsi qu"il survient entre 250000 et 35
0 000 c as d"ACC par andans chacune de ces zones géographiques. En France, les données disponibles sont rares mais l"incidence serait
d"environ 40 000 m orts subites par an. L"âge moyen des victimes (masculines 2 fois sur 3) est d"environ 65 ans, et la majorité des arrêts cardiaques sur-
viennent au domicile. La réanimation initiale permet une survie immédiate dans environ 15 à 20
% des cas, mais la survie à un mois reste actuellement très faible, de l"ordre de 8INT_Urgences_14.09.15.indd 1113/10/2016 16:53
La survie obtenue grâce à la réanimation initiale se fait au prix d"éventuelles séquelles dont la forme la plus sévère
est représentée par les états végétatifs chroniques post-anoxiques, conséquence de l"anoxo-ischémie cérébrale
initiale.Sur le plan étiologique, les mécanismes pouvant être à l"origine d"un ACC sont multiples mais sont essentielle-
ment d"origine primitivement cardiaque ou respiratoire (Tableau I).Parmi ces étiologies, il faut isoler le concept de mort subite de l"adulte, d"origine essentiellement cardiaque et
qui résulte principalement d"une brillation ventriculaire de survenue brutale. La majorité de ces morts subites
survient chez des patients atteints d"une maladie cardiovasculaire préexistante, qu"elle soit connue ou inconnue,
parfois totalement silencieuse. Elle peut survenir très brutalement, "à l"e
mporte-pièce», ma
is elle est parfois précédée de prodromes (douleur, lipothymies, syncopes, palpitations). chaîne de survie » constitue un concept essentiellement pédagogique et organisationnel re connaissance de l"ACC et alerte rapide des secours MCE précoce par les premiers témoins
dé brillation cardiaque immédiate ré animation médicalisée précoce et réanimation post-ACC. Au cours de la dernière décennie, l"impact de la chaîne de survie sur l"amélioration du pronostic a été établi au travers de larges études en population, le bénéce semblant principalement reposer sur
INT_Urgences_14.09.15.indd 1213/10/2016 16:53
La reconnaissance par le témoin doit reposer sur des éléments simples mais ?ables, permettant à toute per-
sonne de porter le diagnostic d'ACC en quelques secondes. Les modalités suivantes sont recommandées :
pour le public et pour les témoins non entraînés à la recherche du pouls, l"ACC doit être reconnue devant
une personne inconsciente et qui ne respire pas ou qui respire de manière anormale (" ga sps pour les personnels de secours et les professionnels de santé (entraînés à la recherche du pouls), la
reconnaissance de l"ACC repose sur la constatation d"une personne inconsciente sans pouls central (carotidien).
Dans tous les cas, cette reconnaissance de l"ACC doit être la plus rapide possible (moins de 10 sec ondes pour laprise du pouls), imposant alors le déclenchement des secours par une alerte au 15 (SAMU), ou au 112 (numéro
d"urgence européen), ainsi que le début immédiat de la réanimation cardio-pulmonaire (RCP) de base par les
personnes présentes (Figure 1)Les médecins régulateurs du SAMU doivent fournir à l"appelant les consignes nécessaires pour faire débuter des
manuvres de RCP de base (massage cardiaque externe) dès lors qu"il suspecte un ACC.INT_Urgences_14.09.15.indd 1313/10/2016 16:53
Les manuvres de la RCP de base devraient être connues du plus grand nombre et la généralisation de son
apprentissage est l"aaire de tousLa RCP comporte une série de mesures
low ow»). S
on objectif essentiel est de maintenir une perfusion et une oxygénation tissulaires susantespour protéger les principaux organes (et notamment le cerveau) d"altérations irréversibles, en attendant la reprise
d"une activité circulatoire spontanée (RACS) ecace. Ces manuvres de RCP doivent engendrer un débit san-
guin systémique minimal, notamment cérébral et coronaire.Le rétablissement d"un débit circulatoire constituant un élément incontournable de la RCP, les compressions tho-
raciques sont prioritairesLes sauveteurs formés peuvent en eet réaliser la ventilation articielle avec une alternance de 30 compressions pour 2 insuations. Pour les sauveteurs non formés, le MCE seul (sans ventilation) est possible, par exemple dans le cadre d"une RCP assistée par téléphone.
À chaque compression, le sauveteur doit obtenir une dépression thoracique d"environ 5 cm à une fréquence d"au
moins 100 compressions par minuteminimi- sant au maximum les interruptions La compression-décompression active (CDA) constitue une alternative au MCE traditionnelMassage cardiaque automatisé :
donneur décédé après arrêt cardiaque non contrôlé » ou DDAC). Ces systèmes n"ont pas démontré d"amélioration de la survie dans le cadre d"une utilisation systématique.
La ventilation n"est pas prioritaire par rapport au MCESi elle est employée, la ventilation débute par l"ouverture des voies aériennes supérieures qui doit se faire par l"hyperextension de la tête et par surélévation du menton. À ce stade, seule la visualisation d"un corps étranger solide dans l"oropharynx impose la désobstruction des voies aériennes par la méthode des "
do igts en crochetINT_Urgences_14.09.15.indd 1413/10/2016 16:53
Après vérication de la liberté des voies aériennes, la ventilation articielle peut ensuite être réalisée par le
bouche-à-bouche, le bouche-à-nez, ou encore le bouche-à-trachéotomie le cas échéant. Pour les professionnels
qui en sont équipés, elle est d"emblée réalisée à l"aide d"un insuateur manuel et un masque au mieux reliés à une
source d"oxygène. La dé?brillation par choc électrique externe (CEE) choquables » (FV et TV sans pouls) en un rythme organisé et mécaniquement ecace. C"est un maillon crucial car c"est celui
qui possède la plus grande chance de restaurer l"activité cardio-circulatoire de ces victimes et d"améliorer très
signicativement leur survie. En eet, chez ces patients, les chances de récupération diminuent très rapidement
au l des minutes écoulées en l"attente de la débrillation, et la survie est inversement proportionnelle à la durée
de l"arythmie cardiaque. Le CEE doit donc être réalisé le plus rapidement possible (Figure 2). B ien entendu, laRCP doit être systématiquement débutée et poursuivie jusqu"à l"arrivée du débrillateur.
INT_Urgences_14.09.15.indd 1513/10/2016 16:53
La réanimation médicalisée constitue le dernier maillon de la " chaîne de survie ». Réalisée par une équipe médi-
cale préhospitalière formée et régulièrement entraînée, elle comporte plusieurs volets qui doivent être réalisés par
des équipes formées et régulièrement entraînées. L"agencement de ces diérents volets entre eux et leur séquence
d"utilisation sont résumés dans un algorithme global (Figure 3)INT_Urgences_14.09.15.indd 1613/10/2016 16:53
Réalisée par un personnel entraîné avec une interruption minimale du MCE, l"intubation trachéale reste la tech-
nique recommandée pour améliorer les échanges gazeux et assurer une protection des voies aériennes. Une fois
l"intubation réalisée et vériée, elle permet une ventilation sans interruption du MCE à l"aide d"un respirateur
automatique.La mise en place d"un abord vasculaire est indispensable pour la poursuite de la réanimation, notamment pour l"administration des médicaments injectables (catécholamines et anti-arythmiques, en particulier). La voie privi-
légiée reste la voie veineuse périphérique (VVP)Les traitements médicamenteux utiles au cours de la réanimation sont essentiellement les vasopresseurs et les anti-arythmiques
-Vas opresseurs mg to us les 2 cycles de RCP, soit environ toutes les 3 à 5 minutes. Danscertains pays, la vasopressine est parfois utilisée, seule ou en association avec l"adrénaline, notamment en cas
d"asystolie.INT_Urgences_14.09.15.indd 1713/10/2016 16:53
Anti-arythmiques :
heu res. La lidocaïne n"est plus l"anti-arythmique de référence dans l"AC et ne doit être utilisée que si l"amiodarone n"est pas disponible.Arrêter la réanimation constitue une décision dicile, qui doit prendre en considération les circonstances de sur-
venue, l"organisation des premiers gestes de secours et le contexte lié au patient et à son environnement. Lorsque
cela est possible, il convient d"y intégrer une éventuelle volonté exprimée par le patient. Il est usuel de stopper la
réanimation en cas d"asystolie persistante malgré 30 minutesExceptionnellement, certains patients en ACC réfractaire sont transportés rapidement pour la mise en place d"une assistance mécanique circulatoire (circulation extra-corporelle veino-artérielle). Cette stratégie, qui néces-
site l"emploi d"un dispositif de massage cardiaque automatisé (voir paragraphe6.1), est réservée à certains centres
ultra-spécialisés et dans des contextes très particuliers. Il faut en eet que le pronostic neurologique soit encore
préservé.Les heures qui suivent la reprise d"une activité circulatoire spontanée après un ACC sont fréquemment marquées par la survenue d"un syndrome post-arrêt cardiaque qui peut, à lui seul, entraîner le décès. Ce syndrome est caractérisé par un ensemble de manifestations viscérales, notamment neurologiques, cardio-circulatoires, respi-
ratoires et rénales, qui peuvent conduire à des défaillances d"organes multiples.La mise en uvre rapide d"une hypothermie modérée par refroidissement externe pendant 24 heures est recom-
mandée chez les victimes de FV ou TV extra-hospitalière, toujours comateuses lors de leur admission à l"hôpital.
Pour toutes les autres situations (pour lesquelles le niveau de preuve est plus bas), l"hypothermie thérapeutique
peut également être proposée mais elle doit être discutée au cas par cas, en tenant compte du rapport risque-béné-
ce individuel. Le niveau de température qui doit être ciblé est actuellement très débattu, une large étude récente
aya nt montré qu"on pouvait indiéremment cibler 33°C ou 36
C.Le syndrome coronaire aigu étant la cause la plus fréquente d"ACC extra-hospitalier, l"indication de coronaro-
graphie doit être évoquée en fonction du contexte clinique, dès la prise en charge pré-hospitalière, de manière à
orienter le patient vers un centre susceptible de pouvoir réaliser ce geste lorsque celui-ci s"avère nécessaire.
Le pronostic de l"ACC dépend de la rapidité avec laquelle la circulation spontanée est rétablie. L"enseignement de la RCP de base au grand public est indispensable pour améliorer le pronostic des ACC. C"est un élément crucial de la "
ch aîne de survie» au m
ême titre que la débrillation précoce.
INT_Urgences_14.09.15.indd 1813/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 1913/10/2016 16:53
INT_Urgences_14.09.15.indd 2013/10/2016 16:53
• L"état de choc se définit par une entraînant une altération de l'oxygénation et du
métabolisme des di?érents tissus et organes. De cette insu?sance circulatoire découle une inadéquation entre la
délivrance et la consommation en oxygène de l'organisme responsable d'une pouvant allerjusqu'au tableau de défaillance multi-viscérale. La diminution de perfusion tissulaire entraîne une
et donc une déviation anaérobie du métabolisme cellulaire responsable d'une augmentation de production
de l actate. On peut schématiquement distinguer deux situations responsables d'un état de choc Une atteinte de la pompe cardiaque ? choc cardiogénique Une diminution du volume sanguin circulant ? choc hypovolémique Il s'y associe parfois une atteinte de la respiration tissulaire E?ondrement du tonus vasculaire ? choc anaphylactique Vasoplégie et trouble de l'extraction tissulaire de l'oxygèneĺchoc septique.INT_Urgences_14.09.15.indd 2113/10/2016 16:53
Il est important de ne pas confondre l"état de choc et le collapsus (= chute importante et brutale de la pression artérielle). L"hypotension isolée ne veut pas dire état de choc et l"état de choc ne veut pas seulement dire hypo-
tension.L"état de choc est une urgencecli-
niqueCardio-vasculaire
• Neurologique • Rénale: • Respiratoire :• Cutanées: extrémités froides et cyanosées, marbrures prédominantes à la face antérieure des genoux. Sueurs
vo lontiers froides en cas de vasoconstriction.Cardiogénique :
• Septique : toux, dyspnée, expectorations purulentes, signes fonctionnels urinaires, douleur abdominale avec défense ou
contracture, lésions cutanées purpuriques, signes locaux associés à d"éventuels corps étrangers (prothèses articu-
laires, cathéters implantés), syndrome méningé.INT_Urgences_14.09.15.indd 2213/10/2016 16:53
Hémorragique/Hypovolémique : Perte sanguine extériorisée, pâleur, pathologie digestive : diarrhées, vomisse-
ment, abdomen aigu (troisième secteur), signes de déshydratation (pli cutané, langue rôtie, soif).
Anaphylaxie : Terrain atopique, prise médicamenteuse ou alimentaire précèdent l"épisode, éruption cutanée
urticarienne, bronchospasme, dyspnée laryngée, douleur abdominale. Aucun examen paraclinique n"est nécessaire au diagnostic de l"état de choc et le traitement doit être débuté sans
attendre l"obtention des résultats. Ces derniers aident le clinicien à préciser le mécanisme d"un état de choc ou
encore à en apprécier le retentissement et la gravité. Une n umération de formule sanguine, numération plaquettaire Un bi lan d"hémostasequotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] Classification, évolution et reproduction des végétaux - Tanguy Jean
[PDF] S211 La classification des véhicules
[PDF] la classification des virus - anne decoster
[PDF] Classification des différents types de volcans
[PDF] Module d 'enseignement La classification du vivant
[PDF] Séquence sur la classification du vivant
[PDF] Classification et conséquences économiques de la dépense publique
[PDF] Exercice pour vérifier que j 'ai compris le principe de classification
[PDF] Classer sous forme de groupes emboîtés - SVT6
[PDF] Module de Floristique SYSTEMATIQUE DES PLANTES - FSA - UIZ
[PDF] La classification des sols - Horizon documentation-IRD
[PDF] Classification et évaluation : introduction ? la méthode - Hay Group
[PDF] Hématome rétroplacentaire Abruptio placentae - Spiral Connect
[PDF] Intubation trachéale (2004)