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Mots clés : Vitamine D / métabolisme / VDR / Pdia3 / nutrition. Abstract – Vitamin D: sources Principales sources alimentaires de vitamine D3 (d'après.



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Sources de vitamine D2 et D3 D3 = cholécalciférol peau aliments d'origine animale médicaments D2 = ergocalciferol alimentaires: très faible médicaments 

  • Quelle sont les source de la vitamine D ?

    La vitamine D peut aussi être apportée par l'alimentation (source exogène). Les produits particulièrement riches en vitamines D sont les poissons gras et l'huile de foie de morue. Et à un moindre degré se sont le lait, le beurre, le jaune d'œuf, le foie de veau et certains champignons.
  • Quel est l'aliment le plus riche en vitamine D ?

    L'huile de foie de morue : parfois associée à de mauvais souvenirs d'enfance, c'est pourtant l'aliment le plus intéressant avec 250 µg de vitamine D pour 100 g. Si son goût vous incommode, vous pouvez opter pour des capsules d'huile de foie de morue.
  • Comment Peut-on fabriquer de la vitamine D naturellement ?

    La meilleure source de vitamine D : le Soleil

    1Il faut s'exposer au soleil pour une durée de 10 à 15 minutes minimum.2L'exposition doit avoir lieu au moins de 2 à 3 fois par semaine.3Le moment le plus propice de la journée pour l'absorption des rayons UV est entre 11h et 14h.
  • Synthétiser la vitamine D
    D'avril à octobre, le soleil est suffisamment haut dans le ciel pour permettre à notre peau de fabriquer elle-même la vitamine D sous l'action des rayons ultraviolets. Une exposition de 30 min au soleil chaque jour suffirait, pour la plupart des personnes, à en synthétiser suffisamment.

Rayonnementsultraviolets & santé

Rayonnements ultraviolets naturels

Rayonnements ultraviolets artificiels :

le cas particulier des installations de bronzage

État des connaissances

sur l'exposition et les risques sanitaires

DDééffiinniittiioonnss

Les ultraviolets (UV)

Le rayonnement issu du soleil se

compose d"une gamme de rayons visibles et invisibles constituant ce qu"on appelle un spectre solaire.

Chaque rayonnement est caracté-

risé par une valeur physique appelée longueur d"onde, exprimée en nanomètres (milliardième de mètre ou nm).

Les ultraviolets (UV) se situent entre

100 et 400 nm, dans le spectre

invisible de la lumière solaire. Ils se décomposent de la manière sui- vante : - les UVA de 320 à 400 nm - les UVB de 280 à 320 nm - les UVC de 100 à 280 nm

Le rayonnement UV naturel

Le soleil constitue la principale

source de rayonnement UV naturel.

La qualité de ce rayonnement

dépend essentiellement du moment de l"année, de la latitude, de la composition de l"atmosphère et de la puissance d"émission du soleil.

La composition atmosphérique

Avant d"atteindre la surface du

globe, le rayonnement solaire subit des phénomènes d"absorption et de diffusion dans les couches de l"atmosphère notamment grâce à la présence d"oxygène et d"ozone.

La couche d"ozone stratosphérique,

formée entre 10 et 40 km au-dessus de la surface terrestre, empêche pratiquement tout rayonnement UV de longueur d"onde inférieure à

290 nm (UVC) ainsi qu"une portion

substantielle (70-90 %) des radiations UVB d"atteindre la surface terrestre.

Ainsi, la composition du spectre du

rayonnement solaire au niveau dusol est comprise entre 290 et 400 nm. Par ailleurs, une couver- ture nuageuse complète divise par deux l"énergie des rayonne- ments UV.

La saison, le moment de l"année

et l"heure de la journée

L"énergie du rayonnement UV varie

selon l"inclinaison des rayons du soleil durant la journée, la saison et la latitude. Celle-ci est beaucoup plus importante à l"équateur qu"aux pôles.

En théorie, ce rayonnement énergé-

tique est à son maximum à midi (heure solaire locale) quand le soleil est au plus haut dans le ciel (zénith).

Il est alors dix fois supérieur à ce qui

est observé avant 9 h ou après 15 h (heure solaire locale).

En été, 70 % de l"exposition au

rayonnement UV est reçue entre

12 h et 16 h.

La pollution et les pics d"ozone,

une relation peu évidente

Si l"observation récurrente

de la diminution de l"épais- seur de la couche d"ozone en certains points du globe a laissé présager une augmentation du rayonnement UV terrestre, la pollution atmosphérique en aug- mentation et les pics d"ozone dans les couches basses de l"atmos- phère n"ont pas permis d"observer, sous nos latitudes, d"augmentation significative.

Le rayonnement UV artificiel

Pour simplifier, trois sources d"UV

artificielles sont retenues selon leurs applications : médicales, profes- sionnelles ou de confort de vie. Les sources UV sont généralement des lampes émettant des spectres parti- culiers d"UV.

De manière conventionnelle, ces

lampes sont de deux types : lampes

à radiations produites par incandes-

cence et lampes à radiations produi- tes par décharge électrique dans un gaz. Ces dernières sont subdivi- sées selon la pression du gaz (gaz en basse pression ou gaz en haute pression).

LL''AAffsssseett ééttuuddiiee

lleess iimmppaaccttss ssaanniittaaiirreess ddeess uullttrraavviioolleettss nnaattuurreellss eett aarrttiiffiicciieellss

Les Ministères en charge de

l'environnement et de la santé ont saisi l'Afsset le 6 septembre 2004 afin d'effectuer une mise à jour de l'évaluation des risques sanitaires liés à l'exposition aux rayonnements d'origine naturelle et à l'utilisation des installations de bronzage.

L'Afsset a constitué un

groupe de travail associant l'Institut de veille sanitaire (InVS) et l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) ainsi que de très nombreux experts extérieurs. L'étude a

été réalisée par consultation

de la bibliographie, des rapports internationaux sur le sujet et des bases de données bibliographiques habituellement utilisées par les scientifiques.

Ce document résume les

points principaux mis en

évidence ainsi que les

conclusions des experts.

Le rapport complet peut être

consulté sur le site www.afsset.fr.

Quand le soleil est au zénith,l"énergie du rayonnement estdix fois supérieure à ce qui estobservé avant 9 h ou après 15 h.

Les sources haute pression

émettent des radiations UVA, B et C

et ont été utilisées par le corps médi- cal jusqu"en 1960.

Depuis, elles ont également été utili-

sées à des fins de bronzage, avec une filtration supprimant les UVC et les UVB en proportion plus ou moins importante selon les caractéristiques du verre. Les UVA passent plus ou moins complètement.

Les tubes basse pressionsont des

tubes fluorescents qui n"émettent pra- tiquement pas d"UVC.

Selon les caractéristiques des gaz et

de la poudre fluorescente contenus dans le tube, on peut obtenir diffé- rents types de tubes adaptés aux besoins de l"usager : tube UVB à spectre étroit, tube UVB à spectre large, tube UVA associé à plus ou moins d"UVB, tube UVA pur.

Dans le milieu professionnel, les

sources artificielles d"UV sont utilisées notamment en imprimerie, chimie (peintures), électronique (semi-conducteurs et circuits imprimés), cosmétique (bronzage), hygiène alimentaire (piège à insectes et stérilisation).Il faut noter que certaines opérations industrielles comme la soudure à l"arc génèrent également des ultraviolets.

Le rayonnement UV

" naturel » artificiel

Les lampes halogènes

Des lampes de bureau ou à usage

domestique utilisant des lampes halo- gènes sans filtre UV sont suscepti- bles de générer des quantités non négligeables d"UV.

L"Afsseta donc inclus dans l"étude

les risques éventuels liés à l"utilisation domestique (domicile ou lieux publics) de lampes d"éclairage dites lampes plein spectre émettant des ultraviolets en sus du rayonnement visible, dont une part importante d"UVB selon les documentations disponibles.

Cette commercialisation de lampes

destinées au grand public est récente et se fait par la voie de circuits de dis- tribution dans des magasins spéciali- sés ou par Internet.

Les lampes à lumière naturelle

Répondant à la demande des particu-

liers pour réduire leur consommationénergétique, le marché se tourne vers les lampes à basse consommation et les tubes fluorescents pour remplacer les lampes et les tubes d"éclairage ordinaires.

Certaines de ces lampes et tubes

émettent, selon leurs distributeurs,

une lumière dite naturelle sensée représenter la lumière solaire, c"est-à- dire avec une forte composante d"UVA et d"UVB. La proportion d"UVB

étant, selon les publicités, plus impor-

tante que dans les cabines de bron- zage.

Ces lampes et tubes, n"étant pas

considérés actuellement comme des appareils de bronzage, sont vendus sans aucun contrôle en magasins spécialisés ou par correspondance.

Pourtant, ces lampes sont manifeste-

ment des émetteurs d"UV artificiels non conformes à la réglementation française relative aux appareils de bronzage UV, non conformes en par- ticulier aux règles techniques définies par le décret n°97-617 en ce qui concerne : le type d"appareils UV en vente libre au public, le rapport

UVB/UVAen éclairement énergétique,

3

Type de peau

Type I

Type II

Type III

Type IV

Type V

Type VICaratéristiques

principales peau blanc pâle, yeux bleus/noisette, cheveux blonds/roux peau claire, yeux bleus peau blanche plus foncée peau mate peau brune peau brun foncé ou noire

Capacité de bronzage

ne bronze jamais bronze peu bronze progressivement bronze toujours bien bronze intensément bronze intensément et profondément

Susceptibilité aux coups de soleil

brûle toujours brûle facilement brûle peu brûle peu brûle rarement ne brûle jamais

Risque de cancer de la peau

élevé

élevé

faiblequotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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