Vitamine D : sources métabolisme et mécanismes daction
Mots clés : Vitamine D / métabolisme / VDR / Pdia3 / nutrition. Abstract – Vitamin D: sources Principales sources alimentaires de vitamine D3 (d'après.
Actualisation des repères du PNNS : élaboration des références
12 déc. 2016 aliments d'origine animale liée à des protéines. Les sources végétales alimentaires sont naturellement
LAgence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) a été
10 juil. 2008 La demande concerne l'enrichissement en vitamine D et magnésium d'une boisson au soja source de calcium. Le produit contient pour 100 mL : 3
Rapport Nutrition et cancer
sont sources d'acides aminés qui sont indispensables au développement et au fonctionnement de l'organisme. Micronutriments. Les vitamines les minéraux et
Étude individuelle nationale des consommations alimentaires 3
22 juin 2017 iode vitamine D et vitamine B12
Étude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaires 2
Annexe 7 : Contributions moyennes des groupes d´aliments aux apports en nutriments chez les adultes . les médicaments source de vitamines et minéraux.
Supplémentation en vitamine D : Pourquoi ? Pour qui ? Comment ?
deux formes : la VitD2 d'origine végétale et la VitD3 contenue dans des produits d'origine animale. (Tableau 1). Les sources naturelles en Vitamine D (VitD).
Utilité clinique du dosage de la vitamine D - Note de cadrage - HAS
Carence insuffisance et toxicité de la vitamine D .. La synthèse cutanée représente la principale source d'apport en vitamine D (1
Avis révisé de lAnses relatif à lactualisation des repères
23 déc. 2019 enfants et des adultes indique quelques nutriments (vitamine D E
Ultraviolets : état des connaisances sur lexposition et les risques
source de rayonnement UV naturel. La qualité de ce rayonnement Pour simplifier trois sources d'UV ... naturelle de vitamine D par.
Vitamine D : sources métabolisme et mécanismes daction
De part se double origine alimentaire et endogène la vitamine D constitue une vitamine à part dont les apports et les besoins restent délicats à définir et
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L'exposition solaire représente la principale source de vitamine D Ainsi la prévalence des déficits en vitamine D est influencée par la durée moyenne d'
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Sources de vitamine D Les vitamines sont des substances qui doivent entièrement ou en partie être apportées par l'alimentation car notre corps ne les
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Les sources de vitamine D2 sont d'origine végétale : les champignons les levures les céréales les légumes verts crus les huiles végétales Page 7
[PDF] LHYPOVITAMINOSE D - HUG
Seuls 10 à 20 de la vitamine D proviennent d'une source exogène via l'absorption d'aliments riches en vitamine D La 1-25(OH)-vitamine D est davantage
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RÉSUMÉ : La vitamine D n'est pas une vitamine au sens strict car l'insolation peut être source de synthèse Cependant son caractère aléatoire sous nos
Vitamine D : actualité et recommandations - Revue Médicale Suisse
30 nov 2011 · Le nombre d'études en lien avec la vitamine D a augmenté de façon exponentielle ces Résumé des principales sources de vitamine D
[PDF] L i i D bi l La vitamine D bien plus quune simple - ColBVH
Le statut en vitamine D est représenté par le dosage sérique de Quelle que soit la dose de vitamine D on observe : d Sources de vitamine D2 et D3
[PDF] LE POINT SUR LA VITAMINE D - ColBVH
Sources de vitamine D2 et D3 D3 = cholécalciférol peau aliments d'origine animale médicaments D2 = ergocalciferol alimentaires: très faible médicaments
Quelle sont les source de la vitamine D ?
La vitamine D peut aussi être apportée par l'alimentation (source exogène). Les produits particulièrement riches en vitamines D sont les poissons gras et l'huile de foie de morue. Et à un moindre degré se sont le lait, le beurre, le jaune d'œuf, le foie de veau et certains champignons.Quel est l'aliment le plus riche en vitamine D ?
L'huile de foie de morue : parfois associée à de mauvais souvenirs d'enfance, c'est pourtant l'aliment le plus intéressant avec 250 µg de vitamine D pour 100 g. Si son goût vous incommode, vous pouvez opter pour des capsules d'huile de foie de morue.Comment Peut-on fabriquer de la vitamine D naturellement ?
La meilleure source de vitamine D : le Soleil
1Il faut s'exposer au soleil pour une durée de 10 à 15 minutes minimum.2L'exposition doit avoir lieu au moins de 2 à 3 fois par semaine.3Le moment le plus propice de la journée pour l'absorption des rayons UV est entre 11h et 14h.- Synthétiser la vitamine D
D'avril à octobre, le soleil est suffisamment haut dans le ciel pour permettre à notre peau de fabriquer elle-même la vitamine D sous l'action des rayons ultraviolets. Une exposition de 30 min au soleil chaque jour suffirait, pour la plupart des personnes, à en synthétiser suffisamment.
-31 av. du Général Leclerc, 94701 Maisons-Alfort Cedex
Téléphone
: + 33 (0)1 49 77 13 50 - Télécopie : + 33 (0)1 46 77 26 26 - www.anses.frNutrition et cancer
Légitimité de recommandations nutritionnelles dans le cadre de la prévention des cancersRAPPORT
d'expertise collective du groupe de travail " Nutrition et cancer »Mai 2011
Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 2 / 75 Version finale
Composition du groupe de travail
Experts
Monsieur le Docteur Pierre
-Henri DUEEMadame le Docteur Mariette G
ERBERMadame le Docteur Paule L
ATINO-MARTEL, Présidente du groupe de travail
Monsieur le Professeur Norbert L
ATRUFFE
1Madame le Docteur Nathalie PECOLLO
Scientifiques de l'Unité d'Evaluation des Risques liés à la Nutrition (UERN) Direction de l'Evaluation des Risques (DER) - AnsesRelecture et validation
Le rapport a
bénéficié de la relecture approfondie du Professeur Jean-Marie BARD, du Professeur
Ambroise
MARTIN et du Professeur Marie-Paule VASSON.
Il a également été soumis à la relecture des membres du réseau NACRe et a bénéficié des
remarques du Docteur Patrick B ACHMANN, du Docteur Dominique BERNARD-GALLON, du ProfesseurDenis C
ORPET, du Professeur Serge HERCBERG, du Docteur Sylvie RABOT, du Docteur Edmond ROCK et du Docteur Stéphane SCHNEIDER.
Le rapport finalisé par le groupe de travail a été validé par le Comité d'experts spécialisé " Nutrition
humaine» le 21 juin 2010.
Appui documentaire
Le groupe de travail remercie
Mademoiselle Emilie
BARRANDON - INRA, réseau NACRe
Mademoiselle Aurélie D
UMOND - INRA, réseau NACRe
Madame Christine D
RUESNE - Anses
1Cet expert ne s'est pas prononcé sur le § 4.1 et points reliés (figure 2 et § 5.1.2), en raison d'un conflit d'intérêt.
Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 3 / 75 Version finale
Sommaire
Liste des figures, tableaux et annexes ................................................................... 5
Liste des sigles et abréviations
....... 6Synthèse et recommandations
........ 8Introduction
..................................... 12 1. Eléments entrant en jeu dans la relation nutrition et cancer ..................... 141.1. CANCERS ET CANCEROGENESE ........................................................................
.......................... 141.1.1.
Les cancers sont des maladies multifactorielles ............................................................. 14
1.1.2.
Concept de cancérogenèse multi-étapes et mécanismes associés ................................ 14
1.2. FACTEURS NUTRITIONNELS ........................................................................ ................................ 181.2.1.
Composants alimentaires ........................................................................ ........................ 181.2.2.
Biodisponibilité, métabolisme des micronutriments et microconstituants ........................ 19
1.2.3.
Composants issus de la transformation culinaire des aliments ....................................... 20
1.2.4.
Interaction du microbiote colique avec les aliments ........................................................ 20
1.2.5.
Evolution de l'offre et du comportement alimentaire ....................................................... 21
2. Etudes et méthodes pour qualifier la relation nutrition et cancer ............. 22
2.1. RELATION NUTRITION ET CANCER CHEZ L'HOMME ........................................................................
222.1.1.
Mesure de l'exposition : estimation des consommations alimentaires ............................ 222.1.2.
Epidémiologie d'observation ........................................................................
.................... 222.1.3.
Etudes d'intervention ........................................................................ ............................... 232.1.4.
Méta-analyses ........................................................................ .......................................... 23 2.2. MECANISMES ........................................................................ .................................................... 242.2.1.
Modèles cellulaires ........................................................................ .................................. 242.2.2.
Modèles animaux ........................................................................ ..................................... 24 2.3.QUALIFICATION DU RISQUE : NOTIONS DE CAUSALITE ET DE NIVEAU DE PREUVE ............................ 25
3. Complexité de l'intervention des facteurs nutritionnels sur des fonctions
biologiques impliquées dans la cancérogenèse ................................................. 273.1. ILLUSTRATION D'EFFETS SUR PLUSIEURS FONCTIONS BIOLOGIQUES .............................................. 27
3.1.1.
Facteurs nutritionnels et lésions génétiques ou modifications épigénétiques ................. 29
3.1.2.
Facteurs nutritionnels et multiplication ou mort cellulaire ................................................ 32
3. 1.3.Facteurs nutritionnels et devenir tumoral ........................................................................
353.2. ILLUSTRATION DE LA COMPLEXITE DE L'INTERACTION ENTRE FACTEURS NUTRITIONNELS
ET CANCER
.................................................................. 363.2.1.
Cas de la restriction calorique ........................................................................
................. 373.2.2.
Cas des folates et de l'acide folique ........................................................................
........ 373.2.3.
Cas des antioxydants ........................................................................ .............................. 383.2.4.
Cas de la vitamine D ........................................................................ ................................ 394. Facteurs avérés, recommandations actuelles, pertinence ........................ 41
4.1. Boissons alcoolisées et cancers ........................................................................
.............. 43 4.2.Surpoids, obésité et cancers ........................................................................
................... 43 4.3.Viandes rouges, charcuteries et cancers ........................................................................
444.4.
Sel, aliments salés et cancers ........................................................................
................. 45 4.5.Compléments alimentaires à base de -carotène et cancers ......................................... 45
4.6.Activité physique et cancers ........................................................................
.................... 46 4.7.Fruits et légumes et cancers ........................................................................
.................... 46 4.8. Allaitement et cancers ........................................................................ ............................. 475. Légitimité de la prévention nutritionnelle des cancers dans une politique
globale de santé publique .............. 495.1. ARGUMENTS POUR LA PREVENTION NUTRITIONNELLE DES CANCERS ............................................. 49
Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 4 / 75 Version finale
5.1.1. Niveaux de preuve des relations entre facteurs nutritionnels et risque de cancer .......... 49
5.1.2.
Etablissement de recommandations prioritaires pour la population française ................ 495.1.3.
Estimation de l'impact des facteurs nutritionnels ............................................................. 50
5.1.4.
Efficacité des programmes de prévention nutritionnelle .................................................. 50
5.2. ARGUMENTS POUR UNE APPROCHE GLOBALE DE SANTE PUBLIQUE BASEE SUR L'ALIMENTATION DE LAPOPULATION GENERALE
................................................ 51 5.3. INTEGRATION DE LA PREVENTION NUTRITIONNELLE DES CANCERS DANS UNE POLITIQUE GLOBALE DESANTE PUBLIQUE
.......................................................... 51 5.4. CONDITIONS D'EFFICACITE ........................................................................ ................................. 526. Conclusions et recommandations ............................................................... 54
6.1. COMPLEXITE DES INTERACTIONS ENTRE FACTEURS NUTRITIONNELS ET CANCER ........................... 54
6.2.LEGITIMITE DE LA PREVENTION NUTRITIONNELLE DES CANCERS ................................................... 54
6.3.RECOMMANDATIONS PRIORITAIRES ........................................................................
.................... 55 6.4. AUTRES RECOMMANDATIONS ........................................................................ ............................. 566.4.1.
Pour la prévention ........................................................................ .................................... 566.4.2.
Pour la recherche ........................................................................ .................................... 56 Références ........................................................................ ...................................... 57Annexes
........................................... 66Glossaire
......................................... 72 Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 5 / 75 Version finale
Liste des figures, tableaux et annexes
.... 15Figure 2
: Principales voies impliquées dans le métabolisme hépatique de l'éthanol .......................... 29Figure 3
: Mode d'action des antioxydants .................... 30 ............................................ 19Tableau 2 : Exemples d'effets potentiels de facteurs nutritionnels sur différentes cibles impliquées
dans la cancérogenèse, observés sur des modèles cellulaires ou animaux. ....................................... 28Tableau 3
: Relations probables et convaincantes entre facteurs nutritionnels et risque de cancer, extraites du rapport du WCRF/AICR (2007) .................. 42 ......................................... 66Annexe 2 : Cancérogénicité pour l'Homme de facteurs consommés régulièrement ou de facteurs
pouvant contaminer les aliments, évalués par le Centre International de Recherche sur le Cancer
dans le cadre d'une exposition alimentaire ................... 67Annexe 3
: Schémas du cycle cellulaire et de la mort cellulaire par apoptose ..................................... 68 Annexe 4 : Effets des facteurs nutritionnels sur l'expression de gènes ................................................ 70Annexe 5 : Cibles moléculaires des facteurs alimentaires d'origine végétale ayant des effets
protecteurs (d'après Aggarwal et Shishodia, 2006) ...... 71 Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 6 / 75 Version finale
Liste des sigles et abréviations
AACR American Association for Cancer Research
AAH Amines aromatiques hétérocycliques
ADH Alcool déshydrogénase
ADN Acide désoxyribonucléique
Afssa Agence française de sécurité sanitaire des aliments Afssaps Agence française de sécurité sanitaire des produits de santéAGPI Acide gras poly-insaturé
AICR American Institute for Cancer Research
ALDH Aldéhyde déshydrogénase
ATBC Alpha-Tocopherol, Beta-Carotene Cancer Prevention (essai d'intervention) CARET Carotene And Retinol Efficacy Trial (essai d'intervention)CE Communauté Européenne
CEE Communauté Economique Européenne
CIRC Centre International de Recherche sur le CancerCpG Cytosine-phospho-guanine
E3N Enquête épidémiologique auprès des femmes de la Mutuelle Générale de l'Éducation
Nationale (étude de cohorte)
COMA Committee On Medical Aspects of food and nutrition policyCOX-2 Cyclo-oxygénase-2
DGS Direction Générale de la Santé
EGCG Epigallocatéchine gallate
EGF Epidermal growth factor
EPA Acide eicosapentaénoïque
ERO Espèces réactives de l'oxygène
FGFFibroblast growth factor
HAP Hydrocarbure aromatique polycyclique
HUVEC Human umbilical vein endothelial cells
IARC International Agency for Research on CancerIGF Insulin-like growth factor
IB Inhibitor of NF-B
IK IB kinase
IL-8 Interleukine-8
IMC Indice de masse corporelle
INCA Enquête individuelle et nationale sur les consommations alimentairesINCa Institut National du Cancer
iNOS Inductible nitric oxide synthase INPES Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé INRA Institut National de la Recherche Agronomique Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 7 / 75 Version finale
INSEE Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques INSERM Institut National de la Santé et de la Recherche MédicaleInVS Institut de Veille Sanitaire
IQ Amino-méthylimidazo-quinoline
MMP Matrix metalloproteinase
MTHFR Méthylènetétrahydrofolate réductase NACRe National Alimentation Cancer Recherche (réseau)NAT N-acétyl transférase
NF-B Nuclear factor-kappa B
PNNS Programme National Nutrition Santé
Į Récepteur estrogénique alpha
ȕ Récepteur estrogénique bêta
SHBG Sex hormone-binding globulin
SU.VI.MAX Supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants (essai d'intervention)TGFĮ Transforming growth factor alpha
THF Tétrahydrofolate
TNF Tumor necrosis factor
USEN Unité de surveillance et d'épidémiologie nutritionnelleVADS Voies aérodigestives supérieures
VEGF Vascular endothelial growth factor
WCRF World Cancer Research Fund
WHO/OMS World Health Organization/Organisation Mondiale de la Santé Anses rapport d'expertise collective Saisine 2007-SA-0095Mai 2011 page 8 / 75 Version finale
Synthèse et recommandations
1. Rappel de la saisine
L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) s'est autosaisie le 27 mars 2007 afin
d'examiner la complexité des relations " nutrition et cancer » puis d'analyser la légitimité de recommandations nutritionnelles dans le cadre de la prévention des cancers.2. Contexte
Le cancer est un problème majeur de santé publique avec une augmentation régulière du nombre de
nouveaux cas chaque année. Il est estimé qu'en France, pour l'année 2010, le nombre de nouveaux
cas de cancers s'élèvera à 358000 (Hospices civils de Lyon/InVS/INCa/Francim/Inserm, 2010). Les
conséquences humaines et économiques de cette maladie sont importantes et justifient le développement de stratégies de prévention.A ce jour, l'Afssa et d'autres agences sanitaires ont publié plusieurs produits d'expertise abordant
l'effet de facteurs nutritionnels sur le cancer 2 Cependant, depuis une dizaine d'années, des messagesprovenant de sources diverses, évoquant des risques ou des bénéfices, se multiplient et souvent se
contredisent. Ainsi, dès 2007,il est apparu nécessaire d'examiner, dans leur globalité, les relations
entre facteurs nutritionnels et cancer, d'analyser la légitimité de recommandations nutritionnelles dans
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