[PDF] Le classicisme à travers le prisme de la tragédie classique: un

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*?`HQii2 bT2 hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQM, 2

Remerciements

es spécificités de la recherche en dimensions recouvertes par le terme " particulièrement ma tutrice 3

Sommaire

Introduction

e e 4

Introduction

classe ce q1 du

2 3 4

56
rappeler. classicus scriptor exemplaire, et à une réalit

7.sur les plans

8. de Stendhal et des romantiques, et prend une connotation temporelle péjorative 9 10 XIXe

1 (QVHLJQHPHQPV OLPPpUMLUHV HP ±XYUHV GH UpIpUHQŃH Le français

, HVVLNOH HQ OLJQH SMU O·XUO VXLYMQPH

29RLU VRQ MUPLŃOH © 4X·HVP-ŃH TX·XQ ŃOMVVLTXH ª Le Constitutio, 21 octobre 1850.

3Nouvelle Revue Pédagogique, novembre 2007, n°27, pp. 14

44X·HVP-, Paris, Folio, coll. "

5Le GHJUp ]pUR GH O·pŃULPXUH, Paris, Seuil, coll. "

64X·HVP-ŃH TX·XQ ŃOMVVLTXH Littératures classiques, 1993, n°19.

74X·HVP-ŃH TX·XQ ŃOMVVLTXH " 4X·HVP-ŃH TX·XQH ±XYUH SMPULPRQLMOH

8Ibid.

9Ibid., p. 25.

10op.., p. 16.

5 11 12. 13. classicisme pendant ma formation universitaireje Pour français dans le secondaire essentiellement par le biais du théâtre classique. Pendant deux ans, je obligatoires1415 ai avant tout extraits de

11 Les émerveillements de la raison, Classicismes littéraires du XVIIe , Paris, Klincksieck,

ŃROOB © 7OpRULH HP FULPLTXH j O·kJH ŃOMVVLTXH ª, p. 139.

12op. cit., p. 1

130LQLVPqUH GH O·(GXŃMPLRQ QMPLRQMOH Programme de l'enseignement commun de français en classe de seconde générale et

MŃŃHVVLNOH HQ OLJQH SMU O·XUO VXLYMQPH

14 ·(GXŃMPLRQ 1MPLRQMOH Les manuels scolaires : s, rapport n°2012

PMUV 2012 MŃŃHVVLNOH HQ OLJQH SMU O·XUO VXLYMQPH SB 23 SRXU XQ UMSLGH OLVPRULTXH VXU O·LQGpSHQGMQŃH TXMQP MX ŃORL[ GX manuel scolaire dans le secondaire.

15·(GXŃMPLRQ 1MPLRQMOH Ibid., p.7.

6 r tragédie classique dans les manue 16 17 XVIIe apporteront, sinon un contre qui on 18 e 19)

à la fin

disparu des Instructions officielles 20 21
"e , ouvrant la voie à cette vision vait paru amené

16 Littérature XVIIe , Paris, Nathan, coll. "

17Français livre unique 2nde, Nathan, coll. "

18Livre unique 2de, Paris, édition Le Robert

19Littérature 2de, Des textes aux séquences,

20La culture littéraire au lycée depuis 1880, Rennes, Presses universitaires de Rennes

21Ibid., p. 175.

7 s licite de la 22
choix qui se met en place et peut amener à une peut favoriser

étudier plus en détail la

mettre en place pour transmettre une vision plus nuancée du classicisme à mes élèves et

22 0LQLVPqUH GH O·(GXŃMPLRQ QMPLRQMOH Programme de l'enseignement commun de français en classe de seconde générale et

op. cit. 8 I. 1 a) Aux sources du classicisme a posteriori e August le premier quart du XIXe 23ne mouvement romantique est alors de leurs prédécesseurs du XVIIeau nom de cette modernité. Cet enjeu identitaire explique

Racine et Shakespeare

Le romanticisme

de leurs habitudes et de leurs classicisme, au contraire, leur présente la littérature qui donnait le plus grand 24
de manquer de courage en se raccrochant à des modèles anciens plutôt que des formes nouvelles. Il reconnait en Racine un auteur qui a été romantique en son temps, 25
, que la cohérence26 23
Histoire de la France littéraire, tome 2, Classicismes XVIIe, Paris, PUF, p.

24Racine et Shakespeare

B IM SROLŃH HVP ŃHOOH GH O·RXYUMJH G·RULgine.

25Ibid.,

26op. cit., p. 131.

9 curité de la Pléiade28 e 29
30

Formation de la doctrine classique

31

Poétique

32
ristote dans la Lettre sur les vingt

Observations sur le Cid 33

trouve dé de distinguer les genres littéraires, mais surtout la finalité morale et uti35. effacer cependant un autre impératif 36 oit se faire de plus en plus

27 La formation de la doctrine classique en , Paris, Nizet

28Ibid., p. 20.

29Ibid., pp. 23

30Ibid., pp. 37

31Ibid., p. 49.

32Ibid., pp. 53

33Ibid., p.53.

34Ibid., p.59.

35Ibid., p.61.

36Ibid., pp. 70

10 e 37 vertu par des personnages ou des situation38 39.
40

41donc

-42. e 44.
caractéristiques de la pensée du XVIIe précédents ont vu comm définir clairement45 sur le trava "47.

48. À

37 Ibid., p.77.

38Ibid., p.79.

39Ibid., p. 140.

40op. cit., p. 141.

41La formation de la doctrine classique en France, op. cit., p. 155

42Ibid., p. 158.

43Ibid., p. 171.

44Ibid., pp. 176

45Ibid., p. 85.

46Ibid., p. 87.

47Ibid., p. 93.

48Ibid., p. 99.

11 49
littéraires. débarrasser des règles 5051
5253
les accepter54 poème. b) Les règles de la " Ces répondant à la raison. a réalisée à partir de nombreuses préfaces e s e nature56 espérer le toucher et le rendre plus réceptif au littéraire57

49 Ibid., p. 103 et 106.

50Ibid., p. 109.

51Ibid., p. 110.

52Ibid., p. 114.

53Ibid., p. 122.

54Ibid., p. 126 et 136.

55Ibid., p. 126.

56Ibid., p. 192.

57Ibid., p. 207.

12 58
e

59. Corneille est une

par les tragédies raciniennesment à la 61
événement qui ne peut être expliqué par les codes sociaux en vigu roman de Mme La Princesse de Clèves62.

France dans les an63Poétique

bienséances internes, au nom desquelles un personnage se doit de rester fidèle à son

données, et le pense y retrouver une politesse et une délicatesse qui ne correspondent en réali projections des valeurs mondaines du XVIIe 66.

58 op. cit., p. 142.

59La formation de la doctrine classique en France, op. cit., p. 201.

60Ibid., p. 204.

61Ibid., p. 212.

62Figures II, Paris, Seuil, p. 74.

63La format, op. cit., p. 218.

64Ibid., pp. 220

65Ibid., p. 216.

66op. cit., p. 132.

13 67

Poétique 68

69
ncipale qui se

70. Dans le

du soleil, tout en laissant la possibilité au dramaturge de déborder légèrement cette durée72

italie le plus possible avec le temps de la représentation73le spectateur pour 75
énoncés comme Mairet, puis par des théoriciens comme Ch76 77
t ainsi être étendue à tout lieu dans lequel retenir, plutôt que la durée ou la supe

67 La formation de la doctrine classi, op. cit., p. 240.

68Ibid., p. 241.

69Ibid., p. 245.

70Ibid., p 246.

71Ibid., p. 247.

72Ibid., p. 254.

73Ibid., pp. 254

74Ibid., pp. 257 et 275.

75Ibid., p. 262.

76Ibid., p. 265.

77Ibid., p. 271.

78Ibid., p. 277.

14 c) davantage sur la complexité et les contradictions du classicisme, au point 80
81
e 83

harmonie avec son entourage, un sens de la mesure qui règle ses actions et modère ses plaisirs,

84.
correspond à ce que le XVIIe qui constitue alors un idéal social auquel on essaie de se conformer. decorum 85
uniformité86

79 Ibid., p. 288.

80op. cit., p. 132.

81Ibid.

82La formation de la doctrine classique en France, op. cit., p. 113.

83A la recherche du goût classique, Pa

84Ibid., p. 34.

85op. cit., p. 136.

86A la recherche du goût classique, op. cit., p. 35.

15 8788
89
que René Bray associait à la domination de la raison. 91.
en du XVIIe 92
93.
94.
96
naturel possible, soit un tout autre cl97 esthétique 98.
nique et monolithique. Il résulte en Poétiques, les préfaces et autres textes théoriques du XVIIe

87 Ibid., p. 37

88Ibid., p. 71.

89Ibid., p. 41.

90Ibid., p. 43.

91Ibid., p. 93.

92Les émerveillements de la raison, Classicismes littéraires du XVIIe , op. cit.

93Ibid., pp. 139

94Ibid.

95Ibid., p. 145.

96A la reche, op. cit., p. 162.

97Ibid.

98Ibid., p. 163.

99op. cit., p. 132.

16 100
2 e e XVIIe question de la tragédie dans les manuels classicisme sur le théâtre du XVIIe e

102. Ce103

104.
autant le théâtre que les comédiens105 106
108
109
110

100 Les Lettres de Paul Pellisson à Donneville·XQH SRpPLTXH HQPUH 3MULV HP 7RXORXVH,

101Lire le théâtre classique, Paris, Dunod, coll. "

102La dramaturgie classique en France, Saint

103Ibid.

104Lire le théâtre classique, op. cit., p. 71

105Ibid., pp. 54

106Ibid., p. 70.

107Ibid., p. 54.

108Ibid., pp. 67 et 69.

109Ibid., p. 68.

110Ibid.

17 111
112
la fin du XVIIe

Dom Juan Tartuffe

qui est visé et pas seulement la comédie113 114
115
années 1660 étant considérées comme une apogée117 théâtraux, y compris ceux qui ne respectent pas ce que nous avons établi comme le canon

118s séduisent toujoursAmours tragiques de Pyrame et

119

Elle laisse

120

121, Georges Scudéry, auteur de plusieurs pièces régulières122

Sophonisbe

111 Ibid., p. 69.

112Ibid., p. 89.

113Ibid., p.

114Ibid., p.

115Ibid.

116Ibid., pp. 6

117Ibid., p. 66.

118Ibid., p. 9.

119Ibid., p. 10.

120Ibid., pp. 232

121Ibid., p. 233.

122Ibid., p. 234.

18 123e
124
la richesse du théâtre du XVIIe pose le existants en ligne125 b) La tragédie, un genre à part 126
128
129
130.-
parler131 132
nou133 des éléments spécifiques à la tragédie.

123 Ibid., p. 232.

124La dramaturgie classique en France, op. cit., pp. 443

125

126La formation de la doctrine classique en France, op. cit., p. 103.

127La dramaturgie classique en France, op. cit., p. 11.

128Ibid., p. 53.

129Ibid., p. 56.

130Ibid., p. 51.

131Ibid., p. 62

132Ibid., p. 86.

133Ibid., pp.126

19 134
un miroir de la condition135 136
137.
139
circonscription du conflit 141
e 142
des années 1640, Cinna 143.
dénouement funestePratique du théâtre144 moitié du XVIIe 145 Bérénice dans une tragédie plaisir de la tragédie146

134 Lire le théâtre classique, op. cit., p. 103.

135Ibid.

136La dramaturgie classique en France, op. cit., p. 21.

137Ibid., p. 22.

138Lire le théâtre classique, op. cit., p. 105.

139Ibid., p. 106.

140Ibid., p. 108.

141Ibid., p. 105.

142La dramaturgie classique en France, op. cit., p. 135.

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