Senegal - Loi n°1981-13 du 4 mars 1981 portant Code de lEau
Loi n° 81-13 du 4 mars 1981 portant Code de l'Eau. EXPOSE DES MOTIFS. A l 'évidence le problème de l'eau constitue l'une des préoccupations premières du.
PROFIL PAYS PPP – SENEGAL
22 sept. 2021 Loi n°2021?23 du 02 mars 2021 relative aux contrats de. Partenariat Public?Privé ... Loi n°1981-13 du 4 mars 1981 portant Code de l'Eau.
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détecter les demandes frauduleuses portant sur le commerce de caviar. aux Parties no 2007/007) qui a pris effet le 4 mars 2007.
Directives de qualité pour leau de boisson
4. 1.3 Critères de sélection des polluants de l'eau de boisson vaccine in infants. journal of clinicat microbiology 1981
TABLE NOMINATIVE
3 décembre 1981. — (13° circonscription) : Mme QUESTIAUX sitions de la loi n° 72-619 du 5 juillet 1972 portant création et organisation des régions (n° ...
JOURNAL OFFICIEL
26 nov. 1984 dispositif défini par le décret n' 84-919 du 16 octobre 1984 portant application du livre IX du code du travail aux travaux d'utilité.
world health organization - organisation mondiale de la santé
10 févr. 1986 4. Mise au point des médicaments. 4. Fabrication des médicaments. 5. Formes pharmaceutiques conditionnement et étiquetage.
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Pluies et crues au Sahel : hydrologie de la mare dOursi (Burkina
(( La loi du 11 mars 1957 n'autorisant aux termes des alinéas 2 et 3
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2 avr. 1985 4. L'accord semble avoir ete general sur l'importance pour les gouvernements ... une activite legitime pour l'OMS mais en allant plus loin
Senegal - Loi n°1981-13 du 4 mars 1981 portant Code de l'Eau
Loi n° 81-13 du 4 mars 1981 portant Code de l’Eau EXPOSE DES MOTIFS A l ‘évidence le problème de l’eau constitue l’une des préoccupations premières du Gouvernement qui lui a donné au cours une ses plans successifs de développement économique et social une place prioritaire
PLUIES ET CRUES
AU SAHEL
Hydrologie de la mare d'Oursi (Burkina - Faso)
(1976-1981)P. CHEVALLIER
J. CLAUDE
B. POUYAUD
A. BERNARD
Éditions de I'ORSTOM
INSTITUT FRANCAIS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE POUR LE DÉVELOPPEMENT EN COOPËRATIONCollection TRAVAUX et DOCUMENTS no 190
PARIS 1985
(( La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3,de l'article 41, d'une part,
(( que les (( copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une
(( utilisation collective )) et, d'autre part, que les analystes et les courtes citations dans un but d'exemple et
(( d'illustration, (( toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de
(( l'auteur ou de ses ayants droit ou ayant cause, est illicite )) (alinéa ler de l'article 40).(( Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefa-
con sanctionnée par les articles425 et suivants du Code Pénal )).
ISBN : 2709907623 O. R. S .T.O. M. 1985
RESUME
L'étude hydrologique de la Mare d'Oursi dans le nord du Burkina (ex Haute-Volta) entre dans le cadre d'un vaste travail financé à partir de 1976 par la DGRST pour organiser la lutte contre l'aridité enmilieu tropical. Sept bass,ins versants (de 0,8 à 105 km') alimentant le bassin probablement endorëique de
la Mare d'Oursi (263 km-) ont été étudiés pendant six annéesà l'aide d'un dispositif de mesure hydroplu-
viométrique très complet par une équipe d'hydrologues du Centre ORSTOM de Ouagadougou.Après une description du milieu naturel
où on retrouve sur une surface assez réduite un grand nombrede situations géomorphologiques caractéristiques du Sahel africain, une présentation des observations cli-
matologiques permet de préciser les conditions physiques de l'étude qui se place au milieu de la longue
période sèche toujours d'actualité en 1984. Les données de base recueillies sur chacun des bassins étudiés
et sur le remplissage de la Mare d'Oursi sont ensuite détaillées.L'analyse des facteurs du ruissellement sur les six bassins versants représentatifs de superficie infé-
rieureà 30 km2 est abordée de façon assez originale. Le phénomène étudié est caractérisé par l'individu
(( crue )) décrit pour un certain nombre de variables : lame ruisselée, pluie moyenne, pluie tombée avec
une intensité supérieure à 20 mm/h, intensité maximale en 5 minutes, indices de précipitations antérieures(état d'humectation et état de la végétation). La lame ruisselée est prise comme variable
à expliquer; les
autres comme variables explicatives sans priorité particulière. Des méthodes d'analyse statistique descrip-
tive (analyse en composantes principales, agrégation sur des centres variables, corrélation multilinéaire et
analyse des coefficients de piste) permettent de dégager les facteurs conditionnels principaux du ruisselle-
ment pour chacun des bassins. Une analyse plus classique des formes de crues et des comportements moyens
conduit à l'estimation des crues de récurrence décennale. Enfin une modélisation du ruissellement est entreprise. Elle concerne d'une part les cruesà un pas
de temps très court de l'un des bassins et d'autre part le remplissage de la Mare d'Oursi. Cette modélisation
utilise le modèle à discrétisation spatiale mis au point par 1'ORSTOM et 1'Ecole des Mines (GIRARD, LEDOUX, VILLENEUVE). Elle est complétée par l'introduction de deux nouvelles techniques- La simulation de pluies : de nouvelles fonctions de production sont construites à partir des courbes
caractéristiques de l'hydrodynamique d'un sol établies sur parcellesà l'aide d'un simulateur de pluie déve-
loppé par I'ORSTOM depuis 1978.- La télédétection satellitaire : les caractères physiographiques de chacune des mailles du modèle sont automatiquement définis
à partir du traitement numérique d'une image radiométrique de la zone d'étude prise par le satellite LANDSAT.Des essais de simulation de crues et du remplissage de la Mare d'Oursi dans des conditions démonstra-
tives illustrent ce propos.PREFACE
L'hydrologie sahélienne au sud du Sahara est quelque peu déconcertante. D'une part elle offre des
facilités parfois exceptionnelles à l'hydrologue : saison des pluies très courte permettant à assez peu de fraisle maintien de spécialistes sur le terrain, formes d'averses simples et peu variées, processus de l'écoulement
simples avec généralement le ruissellement superficiel prédominant ou parfois seulement l'infiltration, cou-verture végétale intervenant assez peu, surfaces cultivées peu importantes, types de couches superficielles
du sol réduitsà un assez petit nombre et faciles à identifier, ciel sans nuage facilitant la télédétection etc.. .
mais elle présente d'autre part quelques obstacles redoutables et de dangereux pièges : conditions d'accès
malaisées, différence marquée entre pluie au sol et dans les pluviomètres classiques, crues très violentes,
distributions très asymétriques exigeant de longues séries qui n'existent pas, longueur de sécheresse qui défie
la statistique et en plus la dégradation hydrographique qui, dès qu'elle est accentuée, perturbe l'écoulement
et par suite toutes les conclusions que l'on pourrait déduire de l'examen du bassin versant, au point que
dans des cas extrêmes elle arrive à donner à une distribution d'écoulement annuel, normale à l'origine, un coefficient d'asymétrie négatif.Et pourtant, c'est dans les régions sahéliennes que l'eau est la plus précieuse et c'est surtout
18 que
l'on chercheà en tirer le meilleur parti. Mais on devine aisément d'après ce qui précède que, depuis long-
temps, les échecs ont été très nombreux : barrages emportés ou au contraire réservoirs qui ne se remplis- sent que rarement, ponts détruits et malheureusement cela continue.Une bonne connaissance du régime hydrologique sahélien s'impose absolument. Très tôt 1'ORSTOM
s'est intéressé tout particulièrement à ce régime et, en coopération avec l'ex service fédéral de l'hydraulique de 1'A.O.F dont une partie des activités a été reprise puis développée par le CIEH, il a aménagé un ensem- ble de bassins représentatifs et a apporté une contribution très importanteà l'aménagement et I'exploita-
tion des quelques réseaux de stations de jaugeage du Sahel.Ceci a permis la mise au point d'une description du régime sahélien assortie de quelques chiffres
en1964, d'un recueil des données obtenues sur les bassins versants représentatifs du Sahel conjointement à
ceux d'autres régimes tropicaux en 1972, d'un ensemble de documents sur les précipitations et leurs intensi-
tés en 1965, d'une note technique sur le calcul des crues décennales des bassins de moins de 200 km2 en
1965 et d'une autre sur l'écoulement annuel au Sahel et sa distribution statistique en 1975.
Cet ensemble n'est pas négligeable, utilisé avec discernement et compétence il permet de résoudre les
problèmes pratiques que pose l'aménagement des eaux et leCIEH en a déduit des notes de vulgarisation
d'emploi plus rapide, mais jusqu'ici on ne peut éviter dans les cas délicats des erreurs très importantes qui ont préoccupé I'ORSTOM et le CIEH.C'est dans ce contexte qu'il convient de placer ce que l'on appelle l'étude de la Mare d'Oursi. Le but de cette opération pluridisciplinaire était le développement sylvo-pastoral de cette région, mais les conclu-
sions de cette étude peuvent s'appliquer dans d'autres zones analogues. Volontairement les études hydrolo-
giques ont été beaucoup plus poussées qu'il n'aurait été nécessaire pour l'objectif principal de l'étude et
en définitive c'est I'étude hydrologique la plus importante qui ait été conduite au Sahel.
Elle ne l'est pas tant par le nombre de bassins représentatifs : l'étude de l'oued Ghorfa et celle duBam Bam en comportaient autant
ou plus, ni par la qualité des stations de jaugeage qui du fait de la vio- lence des crues n'est ni meilleure ni pire en moyenne que celle des stations des autres bassins représentatifs
sahéliens, elle l'est par un certain nombre d'Cléments de nature à garantir la valeur des résultats et la possi- bilité de leur transpositionà d'autres bassins.
C'est d'abord la durée des observations : 6 ans, permettant à I'échelle de l'événement averse-crue de
faire des études statistiques directes et pour l'interprétation elle fournit des échantillons beaucoup plus volu-
mineux que d'ordinaire. C'est l'étude assez développée de la pluie au sol avec le dispositif réglementaire
OMM permettant sur le plan pluviométrique de ne plus procéderà l'aveuglette. C'est l'utilisation du mini-
simulateur de pluie dont la technologie est maintenant bien au point et qui està la base de la transposition.
La sonde
à neutrons a été employée assez largement dans cette étude mais le processus de l'écoulement
est tel que si elle apporte des renseignements précieux pour les études agronomiques, elle ne peut pas, dans
ce cas particulier, faciliter l'interprétation du ruissellement. Par la grande variété des sept bassins étudiés,
l'étude de la Mare d'Oursi apporte une contribution très importanteà nos connaissances sur l'écoulement
en zone sahélienne.Enfin c'est surtout le travail en commun sur cet ensemble de géomorphologues, de pédologues, d'hydro-
logues, d'agronomes etc ... qui a permis une vue beaucoup plus complète des bassins, une meilleure com- préhension des phénomènes et la mise à disposition d'éléments meilleurs pour la transposition. L'interprétation des données qu'on trouvera dans ce mémoire, oeuvre de : P. CHEVALLIER, J.CLAUDE, B. POUYAUD, et A. BERNARD, est la plus exhaustive et la plus originale qui ait été faite
depuis le premier rapport DUBREUIL (1956).Pour la première fois une étude des facteurs conditionnels par analyse multivariable précède la partie
finale de l'interprétation et les auteurs n'ont pas hésité, outre l'analyse en composantes principales,
à employer
trois autres méthodologies, chacune apportant une information complémentaire. L'interprétation de cette
analyse factorielle, bassin par bassin, permet une bonne compréhension des processus de l'écoulement.
L'interprétation, outre les opérations classiques que l'on retrouve dans tous les rapportsORSTOM
de bassins représentatifs et sur lesquelles nous n'insisterons pas, comporte certaines parties à caractère un
peu plus statistique, que permet la période d'observation de six ans : une étude statistique directe du ruis-
sellement, une étude des formes de l'hydrogramme à partir des cinq crues les plus fortes observées plussûre et plus simple que l'analyse classique par hydrogramme unitaire mais qui se prête beaucoup plus mal
à la transposition et une étude de régression du débit de pointe par rapport aux lames ruisselées qui pré-
sente les mêmes avantages et le même inconvénient.Mais ce qui est le plus important c'est, dans le chapitre modélisation, un certain nombre d'éléments
originaux particulièrement importants. Les auteurs partent du modèleà discrétisation spatiale de Girard,
déjà utilisé sur certains ensembles sahéliens de bassins représentatifs, mais ici avec la ferme intention de
traiter les bassins homogènes en tant que tels, comme celui de Polaka, et en utilisant les données du minisi-
mulateur de pluie pour déterminer les Cléments de la fonction de production. La délimitation des régions
homogènes du point de vue du ruissellement se fait par télédétectionà partir du procédé Loterie. Cette
étude est poussée
à fond sur le bassin de Polaka et celui de la Mare d'Oursi dans son ensemble, la partie aval dégradée du tributaire principal, Taïma, étant traitée par le sous modèle Modlac qui se comporte très bien sur cet exemple à dégradation hydrographique peu avancée. On voit donc poindre pour l'avenir lapossibilité d'utiliser sur un bassin non observé un modèle dont la fonction de production n'utiliserait que
les données du minisimulateur pour chaque type de couches superficielles du sol, lesquelles seraient délimi-
tées uniquement par photos satellitaires.Le répertoire de ces couches superficielles avec leurs caractéristiques de ruissellement que l'on entre-
prend de constituer pourrait même éviter dans un avenir proche l'emploi du minisimulateur, on apporterait ainsià l'estimation du volume d'écoulement et au calcul des crues une solution scientifique meilleure que
les solutions actuelles, elle pourrait ensuite être vulgarisée par des notes techniques plus simples.
Certes. le modèle actuel n'est pas parfait
: s'il reproduit très bien les volumes de crues des bassins de la Mare d'Oursi et du petit bassin de Polaka (S = 9'14 km-) il est souvent défaillant pour reproduire le débit de pointe mais ceci tient à un détail du modèle, les pluies enregistrées par les deux pluviographesrépercutent trop brutalement les décalages temporels entre les tranches d'averses sur ces deux appareils,
conditions idéales pour créer une pointe double ou une pointe tronquée alors que pour des raisons qu'ilserait trop long d'exposer ici la pointe de crue est en général anormalement aigiie sur ce bassin. Cela pour-
rait être réglé facilement par un sous programme qui n'a pas été introduit, tout simplement parce que l'objectif de l'étude de la Mare d'Oursi était le ruissellement et non pas les pointes de crues. Cette méthodologieprometteuse mériterait d'être affinée dans l'avenir sur quelques points de détail. Pour ne pas trop alourdir
cette étude la partie du rapport G modélisation N a été traitée de façon très concise. On recommande aulecteur, particulièrement intéressé par certaines questions qui y sont traitées, de consulter les références
à la fin de l'ouvrage.
En conclusion l'apport des études de la Mare d'Oursi est très important :1 O - L'étude de bassins rocheux très imperméables comme celui de Gountouré, de massifs à roches décom- posées en boules comme celui de Kolel, de bassins argileux imperméables
à pente assez faible comme celui
de Jalafanlta, de bassins en début de dégradation hydrographique comme Taïma, comble des lacunes impor-
tantes dans la masse d'informations dont on disposait au Sahel.2" - La méthodologie utilisée dans la modélisation ouvre la voie à des procédés qui feront de la transposi-
tion des résultats de bassins sahéliens une opération beaucoup moins hasardeuse pour le casOÙ la dégrada-
tion hydrographique n'est pas trop avancée.Pour ces raisons
il serait bon que ce mémoire ne connaisse pas la diffusion quasiment confidentiellede trop d'ouvrages scientifiques et qu'il puisse toucher tous ceux que l'aménagement des eaux au Sahel
intéresse et même ceux d'autres régions, car des déments de ce rapport sont valables dans d'autres zones;
c'est, en félicitant leurs auteurs, le sort que nous lui souhaitons.Brétignolles, le
25 Mai 1985
J. RODIER
AVANT - PROPOS
Bernard POUYAUD a assuré en 1976 et 1977 la coordination de l'ensemble du projet (( Mare Une importante équipe d'hydrologues a participé à l'installation et au suivi des sept bassins versants d'Oursi1) ; Jacques CLAUDE a poursuivi de 1978 à 1983.
représentatifs pendant six années. I1 s'agit deJean ALBERGEL (198 1)
Eric BARDIN (1979)
Alain BERNARD (1976-1981) Jean-Pierre CHABRAT (1976) Pierre CHEVALLIER (1978-1981) René GUALDE (1980)Pierre LE DUC (1976-1977)
Marc LOINTIER (1980-1981) Neijib SAADOUN (1977-1978)Jean-Pierre THIEBAUX (1977)
Alain BERNARD a assuré la continuité des. observations de 1976à 1983.
Huit adjoints hydrologues burkinabés du centre ORSTOM de Ouagadougou ont participéà toutes
les opérations de terrain.Tapo ADAMA
Julien BASSOLE
Gérard BILGHO
Jean KABRE Roger MALO
Ousman SANGARE
Barthélémy SEGUEDA
Boukary SANA
Pierre CHEVALLIER
a été chargé à partir de 1981 de coordonner la synthèse des résultats, leur inter-prétation et la mise en forme définitive en relation étroite avec Jacques CLAUDE et Bernard POUYAUD.
Le traitement informatique des données de base a été réalisé pour la plus grande part au Laboratoire d'Hydrologie de I'ORSTOM
à Bondy, mais aussi au Centre ORSTOM d'Adiopodoumé (Côte d'Ivoire) grâce à : Gérard COCHONNEAU, Georges GIRARD, Jacques GUISCAFRE, Yann L'HOTE et GabrielVUILLAUME (Bondy); et
à Michel NOIROT (Adiopodoumé).
Marc LOINTIER et Bernard LORTIC ont effectué les analyses numériques d'images satellitaires l'Atelier de Télédétection de I'ORSTOM à Bondy.Georges GIRARD a assuré une assistance précieuse et un conseil indispensable pour tout le travail de modélisation.
Alain BERNARD, Pierre CHEVALLIER, Jacques CLAUDE et Bernard POUYAUD ont participéà la rédaction de ce texte et leurs contributions respectives sont précisées dans le sommaire par mention
des initiales entre crochets.La réalisation technique de ce
a Travaux et documents )) a été rendue possible par Jean-Pierre DEBUICHE pour les dessins, par Anne-Marie GAUTIER et Michel GAUTIER pour le traitement de texte,
par Bernard LORTIC pour la cartographie automatique et par Gabriel VIGNARD enfin pour la maquette et la composition.Montpellier, décembre 1984
SOMMAIRE
RESUME - ABSTRACT
PREFACE (J.A. RODIER)
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
: PRESENTATION DES BASSINS (JC, PC)1.1. Le cadre géographique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , . . p.
1.1.1. Le système dunaire..
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.
1.1.2. Les talwegs et dépressions.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p.1.1.3. Les buttes et reliefs.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.
1.1.4. Les grandes zones de glacis.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.1.1.4.1. Formations liées aux cuirasses ferrugineuses.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 2 4 5 6 6 6 78 1.1.4.2. Formations liées aux affleurements rocheux.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . '. . . . . .p.1.2. Les bassins versants.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.
DEUXIEME PARTIE : CLIMATOLOGIE
2.1. Données climatologiques de la station de Jalafanka (BP). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 12
122.1.1.1. Température sous abri.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 13 2.1.1.2. Tension de vapeur d'eau de l'air sous abri.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 17 192.1.3. Le vent.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 20
2.1.3.2. Direction du vent.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 212.1.4. Durée d'insolation et rayonnement global.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 22 2.1.1. Mesures sous abri météorologique.
. . . . . . . . . . . . . . '. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.2.1.2. Géothermométrie
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , .p.
2.1.3.1. Vitesse du vent.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P* 20
2.2. Evaporations et évapotranspiration (BP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 24
2.2.1. Evaporations sur piche et sur bacs.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 242.2.2. Evapotranspiration PENMAN.
. . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 262.2.2.1. Evaluation du rayonnement net Rn.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 272.2.2.2. Evaluation de l'évaporation Ea.
. . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 272.2.2.3. Calcul de L'ETP PENMAN.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 272.2.3. Evaporations des Mares d'Oursi et de Ganadaori
- Bac d'évaporation flottant. .p. 28 302.3.1. Caractéristiques de la pluie régionale.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 30 2.3.1.1. Pluies annuelles et pluies mensuelles.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 302.3.1.2. Pluies journalières et pluies maximales en 24 h, 48 h et 72 h. . . . . . . . . . p. 33 2.3.1.3. Les différents types d'épisodes pluvieux.
. . . . . . . . . , .. , . , . . . . . . . . . . . . . . p. 352.3.2. Pluviométrie
51 Jalafanka. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 35
2.3.2.1. Totaux annuels et mensuels.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 362.3.2.2. Pluviométrie journalière.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 362.3.2.3. Relations hauteur
- durée - fréquence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p. 372.3.2.4. Formes d'averses.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 38
2.3.3. Représentativité des données
- pluie au sol. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 38 2.3. Données pluviométriques (PC)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p.
TROISIEME PARTIE : DONNEES DE BASE
3.1. Equipement pluviométrique (JC. AB) ............................................ p . 42
3.2. Equipement hydrométrique (Je. AB) ............................................ p . 433.3. Collecte des données (JC. AB) .................................................. p.
3.3.1. Contrôle de la pluviométrie ............................................... p .
3.3.2. Contrôle des écoulements ................................................. p .
3.3.3. Etalonnage des stations ................................................... p .
3.3.3.1. Station des Outardes ............................................. p .
3.3.3.4. Station de Taïma ................................................ p .
3.3.3.5. station de Jalafanka .............................................. p .
3.3.3.7. Station de Gountouré ............................................. p .
4444
45
45
45
3.3.3.2.
Station de Polaka ................................................ p. 463.3.3.3. Station de Tchalol ............................................... p . 46 47
473.3.3.6.
Station de Kolel ................................................. p . 48 48 . 3.4. Pluviométrie moyenne (BP) ..................................................... p3.4.1. Isohyètes et coefficients de THIESSEN ...................................... p .
4949
3.4.2.Moyennes mensuelles et annuelles de la pluviométrie sur les différents bassins de la Mare d'Oursi
........................................................ p. 503.4.3. Moyennes qgngdles de 15 pluviométrie sur le bassin versant de la Mare d'0ursi.p. 51
. 3.5. Ecoulement (BP) .............................................................. p3.5.1. Lames écoulées ët còeflicients d'écoulement mensuels et annuels .............. p .
3.5.2. Relations pluies/lames ruisselées et pluies/coefficients d'écoulement ............ p .
5353
57
3.6 Bilan hydrologique de la Mare d'Oursi (BP) ....................................... p. 61 61
62
63 3.6.1.
Méthodologie du bilan hydrique en zone sahélienne .......................... p .3.6.2. Hypsométrie de la Mare d'Oursi ........................................... p .
3.6.3. Bilan hydrologique de la Mare d'Oursi ..................................... p .
QUATRIEME PARTIE : ANALYSE DU RUISSELLEMENT
4.1. Tableau des caractéristiques de crues (PC) ........................................ p. 664.1.1.
Numéro ................................................................ p. 664.1.2.
Date et heure ........................................................... p . 664.1.3.
Pluie moyenne : Pm ...................................................... p . 674.1.4.
Intensité maximale : Imx ................................................. p . 674.1.5.
Temps de montée, temps de base et débit maximal : tm, tb, Qmx ............. p . 674.1.6.
Volume ruisselé, lame ruisselée et coefficient de ruissellement : Vr, Lr, Kr ...... p . 674.1.7.
Hauteur de pluie tombée avec une intensité supérieure à 20 mm/h : P20 ....... p. 674.1.8.
Indices des précipitations antérieures : IK, IV ............................... p . 68 4.2. Analyse des facteurs du ruissellement (PC. BP pour 4.2.1 . ). ........................ p . 684.2.1.
Approche évènementielle . p. 68 74 74
7879
79
80
4.2.2. Précipitations limites et intensités limites de ruissellement ..................... p .
4.2.2.1. Pluies d'imbibition ............................................... p .
4.2.2.2. Intensités limites de ruissellement .................................. p .
4.2.3. Analyse statistique multidimensionnelle ..................................... p .
4.2.3.1. Constitution d'un échantillon de données ........................... p .
4.2.3.2. Analyses en composantes principales ............................... p .
4.2.3.3. Agrégation sur des centres variables ................................ p .
4.2.3.4. Régressions multiples ............................................. p .
4.2.3.5. Analyse des coefficients de piste ................................... p .
4.2.3.6. Facteurs conditionnels du ruissellement . p. 88 4.2.4.
Ajustement à une fonction puissance ....................................... p .4.2.4.1. Bassin des Outardes .............................................. p .
4.2.4.2. Bassin de Polaka ................................................. p
4.2.4.3. Bassin de Tchalol ................................................ p
4.2.4.4. Bassin de Taïma ................................................. p
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