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Mesures de la croissance

Mesures de la croissance. Population moyenne progressions arithmétique et géométriques



Suites et croissance - Lycée dAdultes

Cette suite est donc une suite arithmétique de premier terme 5 et de raison r = 3. Paul Milan. 3 sur 9. Première L. Page 4. 2 SUITE 



cours croissances

G suit une croissance linéaire quand la variation absolue entre deux mesures Une suite arithmétique est une suite qui suit une croissance linéaire.



Séance 2 Aperçu sur les méthodes de projection

28 ????. 2016 ?. Lorsque la croissance de la population est relativement régulière ... Croissance arithmétique ou linéaire. Déclin arithmétique ou linéaire.



DIFFÉRENTS TYPES DE CROISSANCE

A) Croissance linéaire (suite arithmétique de raison 30 000). B) Croissance exponentielle de 8 % par an (suite géométrique de raison 108).



Larithmétique de la crise : bien comprendre les chiffres de

L'arithmétique de la crise : bien comprendre les chiffres de croissance en temps de Covid-19. Publié le 26 octobre 2021 sur le blog de l'Insee.



Croissance et suites

1- Croissance linéaire nombre on dit que G suit une croissance exponentielle. KB 1 sur 4 ... Une suite arithmétique a un mode de croissance linéaire.



Modèles démographiques

de doublement d'une population sous l'hypothèse de croissance exponentielle. constante) et la croissance linéaire d'une suite arithmétique (de variation ...



Les suites numériques Croissance et limite

La suite est donc arithmétique et a pour raison. = ?1. Il sera possible de déterminer n'importe quel terme d'une suite arithmétique à partir d'une.



Correction de la feuille dexercices (modèle linéaire)

On rappelle qu'une suite u est arithmétique s'il existe r tel que pour tout n



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5 1 Définition Une suite arithmétique est une suite qui suit une croissance linéaire La suite u est une suite arithmétique si et seulement si la variation 



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2 2 Comment reconnaître une suite arithmétique ? Propriété 1 : Une suite est arithmétique lorsque la différence entre deux termes consécutifs de la suite est 



[PDF] Suites arithmétiques et suites géométriques Bilan et croissances

Lorsque l'évolution d'une grandeur peut être modélisée par une suite arithmétique on parle de croissance ou de décroissance linéaire (suivant le signe de la 



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Mesures de la croissance Population moyenne progressions arithmétique et géométriques multiplicateur d'accroissement et le taux accroissement



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Si la distance parcourue à chaque seconde est en progression arithmétique a) calculer le nombre de mètres que le corps aura parcouru pen- dant la 15e seconde



[PDF] SUITES ARITHMÉTIQUES - maths et tiques

b) ( ) est une suite arithmétique de premier terme = 3000 et de raison = 150 On parle ici de croissance linéaire c) M = + 150



[PDF] SUITES ARITHMÉTIQUES ET SUITES GÉOMÉTRIQUES

Une telle suite est appelée une suite arithmétique de raison 5 et de premier terme 3 La suite est donc définie par : G La croissance est linéaire



Suite arithmétique - croissance linéaire - Maxicours

Objectif(s) Définition - Représentation graphique - Calcul du terme de rang n - Sens de variation - Suite arithmétique et variation absolue 1



[PDF] DIFFÉRENTS TYPES DE CROISSANCE - APMEP Lorraine

A) Croissance linéaire (suite arithmétique de raison 30 000) uqac ca/classiques/maltus_thomas_robert/essais_population/principe_de_population pdf



[PDF] III Progressions arithmétiques et géométriques 1 Introduction

1 03 n-1 Les suites de nombres obtenues (capitaux des années successives ) seront donc : a) 10600 10900 : une telle suite est une suite arithmétique b) 

:
L'arithmétique de la crise : bien comprendre les chiffres de croissance en temps de Covid-19 Publié le 26 octobre 2021 sur le blog de l'Insee

Temps de lecture : 6 minutes

Julien Pouget, Insee

Entre le printemps 2020 et l'été 2021, la crise du Covid-19 a entraîné de manière totalement

exogène des mouvements économiques très soudains et d'une ampleur inouïe. Pour rendre compte au mieux de cette situation inédite, l'Insee a dû rapidement adapter ses méthodes de suivi conjoncturel. En particulier, et notamment au cours des confinements, c'est l'estimation

du niveau " instantané » de l'activité qui a été privilégiée, davantage que ses évolutions au

trimestre le trimestre. Au moment où le PIB français revient peu ou prou à son niveau d'avant-crise, ce billet donne quelques clés pour bien interpréter les chiffres phares dont la publication ponctue l'analyse conjoncturelle. Au début de la crise : estimer le niveau " instantané » de l'activité économique

Quand, en temps normal, les taux de croissance trimestriels puis annuels suffisent à résumer les

évolutions conjoncturelles de l'activité, la soudaineté et l'ampleur de la crise ont conduit en 2020

l'Insee à resserrer la fréquence de ses analyses en les centrant sur l'estimation en temps quasi-réel

du niveau " instantané » du PIB. L'enjeu lors de l'instauration du premier confinement mi-mars

était en effet d'estimer quelle part de l'économie française fonctionnait encore et quelle part était à

l'arrêt. 1

Le 26 mars 2020, l'Insee estimait ainsi qu'un tiers environ de l'économie était à l'arrêt. Cet ordre de

grandeur a ensuite été globalement confirmé quand davantage d'informations ont été disponibles.

Cet arrêt a entraîné une baisse du PIB d'à peu près 6 % au premier trimestre 2020 ; mais ce recul

exprimé en variation trimestrielle, où l'activité du premier trimestre 2020 est comparée à celle du

dernier trimestre 2019, reflétait essentiellement la chute des 15 derniers jours de mars. Adapter la fréquence des analyses à la spécificité de la crise

Car le premier trimestre 2020 agrégeait deux états du monde différents, et en soi l'information de la

baisse trimestrielle de 6 % ne suffisait pas à décrire la chronique temporelle très singulière de

l'activité économique, laquelle avait basculé en quasiment une journée, celle du 17 mars. Par la

suite, en mobilisant des données à haute fréquence (en particulier les montants agrégés de

transactions par cartes bancaires CB), l'Insee a tenté de suivre l'activité économique et notamment

la consommation des ménages à la semaine la semaine voire au jour le jour lorsque c'était nécessaire. Puis progressivement, quand les mouvements économiques sont devenus un peu moins brusques, les Notes de conjoncture de l'Insee ont adopté un pas mensuel, estimant le niveau

d'activité économique de chaque mois, toujours en écart par rapport à celui d'avant-crise.

Choisir la " bonne » période de comparaison

Dans la plupart des analyses conjoncturelles de l'Insee, c'est le quatrième trimestre 2019 qui a

été choisi comme référence pour le niveau d'activité d'avant-crise. Il s'agit en effet du dernier

trimestre " entier » à ne pas avoir été affecté par la pandémie. Ce choix était donc le plus naturel,

mais il faut tout de même avoir à l'esprit que, comme chaque trimestre, celui-ci avait ses

particularités : il a, entre autres, été marqué par d'importantes grèves dans les transports, et in fine

par une légère baisse du PIB de l'ordre de -0,4 % par rapport au trimestre précédent. D'autres choix

de référence étaient possibles : considérer le niveau moyen d'activité de l'ensemble de l'année 2019

ou bien celui du dernier mois avant l'irruption de la pandémie en France, soit février 2020. C'est

d'ailleurs cette dernière référence qui a été utilisée pour certains indicateurs sectoriels mensuels

comme l'indice de la production industrielle ou encore l'indice de production dans les services (tous

deux publiés dans la collection Informations Rapides de l'Insee).

Par ailleurs, quelle que soit la convention choisie, le niveau d'avant-crise ne correspond pas à la

situation dite " contrefactuelle », c'est-à-dire à ce qui aurait été observé en 2020 et 2021 en

l'absence de pandémie : l'économie aurait en effet sans doute progressé pendant ces deux

années. Dans la Note de conjoncture de juillet 2021, le " terrain perdu » par rapport à la trajectoire

tendancielle est ainsi estimé à environ un point et demi de PIB, une estimation qui pourra être revue

en fonction des résultats des comptes nationaux pour les prochains trimestres. Retour au niveau d'avant-crise : " d'ici la fin de l'année 2021 » ne veut pas dire " en moyenne en 2021 »

Les dernières Notes de conjoncture de l'Insee prévoient un retour du PIB français à son niveau

d'avant-crise d'ici la fin de l'année. Il s'agit bien là du niveau " instantané » du PIB. En moyenne

annuelle, la croissance de 2021 serait forte : +6 ¼ % prévu pour l'instant par rapport à l'année 2020

2

dans son ensemble, après -8 % en 2020 par rapport à 2019 ; mais cette croissance resterait tout de

même affectée par les restrictions sanitaires en vigueur au premier semestre.

Le graphique ci-dessous illustre bien ces résultats. On y visualise le niveau de l'activité en écart

au niveau d'avant-crise selon trois périodicités : par mois, par trimestre et par an. Le point de

départ, point " zéro », est celui du quatrième trimestre 2019 choisi comme référence. La courbe

grise présente le niveau de l'activité au mois le mois en écart à ce point de référence. Les barres

bleues puis les traits orange s'en déduisent en calculant les moyennes trimestrielles et annuelles.

Pour chaque année, l'écart moyen au niveau d'avant-crise est ainsi la moyenne des douze points mensuels (ou des quatre points trimestriels).

Si, en prévision (après le trait pointillé), la courbe grise mensuelle rejoint bien d'ici la fin 2021 le

niveau " instantané » de PIB d'avant-crise, la moyenne annuelle 2021, certes bien supérieure à celle

de 2020 (et pour cause !) porte tout de même le poids des restrictions sanitaires graduellement

levées en mai-juin. C'est pourquoi, en moyenne, le PIB de 2021 reste environ 2 % en deçà de son

niveau d'avant-crise.

Estimations et prévisions des pertes d'activité économique (PIB) par rapport au 4e trimestre 2019 (écart en %)

Source : Insee, Note de conjoncture du 6 octobre 2021 La forte croissance prévue entre le 2e et le 3e trimestre 2021 reflète la chronique mensuelle d'activité d'avril à septembre L'Insee publiera ce vendredi 29 octobre les premiers résultats des comptes nationaux pour le

troisième trimestre 2021. Pour ce trimestre, la croissance prévue dans les Notes de conjoncture

publiées depuis début septembre est élevée (+2,7 %), davantage que celle mesurée au deuxième

trimestre (+1,1 %). Le troisième trimestre a en effet été le premier à profiter à plein de la

réouverture des secteurs administrativement fermés ou contraints. 3 Mais en regardant les choses avec une loupe mensuelle, c'est sans doute en mai-juin que

l'accélération de l'activité a été la plus forte (cf. graphique). Cette accélération est directement

liée aux réouvertures graduelles du printemps dernier, mais elle n'est pas " mécanique » pour

autant : elle doit sans doute beaucoup aux mesures d'urgence et de soutien qui ont globalement préservé le tissu productif et les revenus des ménages.

Du signal et du bruit

En l'absence de nouvelles restrictions sanitaires, le pas trimestriel (et non plus mensuel) devrait

sans doute redevenir le cadre privilégié pour l'analyse conjoncturelle, du moins celle des grands

agrégats macroéconomiques mesurés par la comptabilité nationale. Car plus la granularité

temporelle est fine, plus les données sont susceptibles d'être " bruitées » ! Ce bruit pouvant

provenir soit d'imprécisions de mesure, soit de la volatilité réelle des phénomènes. Quand le signal était de très grande ampleur, comme au moment des confinements et

déconfinements, le rapport signal/bruit était très favorable. Avec le retour à une situation plus

normale, ce rapport se dégrade naturellement et l'estimation au mois le mois des grands agrégats

devrait perdre un peu de sa pertinence. Cela dit, les données mensuelles, dont notamment les

résultats des enquêtes de conjoncture et les indices d'activité dans l'industrie et les services,

continueront de fournir, comme avant la crise, des informations avancées précieuses pour le

diagnostic conjoncturel. Et l'Insee continuera à mobiliser celles des données à haute fréquence qui

semblent les plus prometteuses (dont le rapport signal/bruit devrait rester favorable), comme les

montants agrégés de transactions par cartes bancaires CB : ceux-ci retracent en effet directement et

en temps quasi réel les achats de biens et services qui constituent une partie de la consommation des

ménages telle qu'elle sera ensuite mesurée par les comptes nationaux.

Pour en savoir plus :

•Insee (2020), Point de conjoncture du 26 mars 2020

•Insee (2021a), " L'économie passe la quatrième vague » , Point de conjoncture du 7

septembre 2021

•Insee (2021b), " Après l'épreuve, une reprise rapide mais déjà sous tensions » , Note de

conjoncture du 6 octobre 2021

•Loublier A. (2021), " Les effets sectoriels de la crise du Covid-19 à l'horizon de la fin 2022 :

un chiffrage du terrain perdu par rapport aux tendances d'avant-crise » , in Insee, Note de conjoncture du 1er juillet 2021 •Dans la collection Informations Rapides de l'Insee : •Indice mensuel de la production industrielle •Indice mensuel de la production dans les services

Source : blog Insee https://blog.insee.fr/larithmetique-de-la-crise--bien-comprendre-les-chiffres-de-

croissance-en-temps-de-covid-19/ 4quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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