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Chapitre 22 : 1 /2 314
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CEPED UIESP
= IFORDDE L'HOMME AU CHIFFRE
RÉFLEXIONS SUR L'OBSERVATION DÉMOGRAPHIQUE EN AFRIQUEEdité par
Louis LOHLE-TART
etRémy CLAIRIN
avec la collaboration deMichel
FRANçOIS et Francis GENDREAU
PARIS 1988DIRECTEUR DE LA PUBLICATION :
Francis GENDREAU
RÉALISATION :
Louis LOHLE-TART, Patricia CORBEAU,
Pierre ELIE, Michel FRANCOIS
COUVERTURE
Ecorce battue, art Mangbetu (Zaïre oriental) reproduit avec l'aimable autorisation du MudeRo ya1
de l'Afrique Centrale, Tervuren, Belgique Maquette : Marie-Agnks BRAY, ORSTOMI. S. B. N. 2-87762-006-9 O Copyright CEPED 1988
A Rémy CLAIRIN
qui, plus encore qu'un maître, fut un ami, et d tous ceux qui, apr& lui, ont fait de la démographie africaine une réalité.Table des matikres i
TABLE DES MATIERES
AVANT . PROPOS ................................................................. 1Louis LOHLE-TART
INTRODUCTION
Chapitre
1 : LE PROBLEME DE L'OBSERVATION DEMOGRAPHIQUE ................... .3
Rémy CLAIRIN
QUESTIONS GENERALES
Chapitre
2 : CONCEPTS : ADAFTATION AUX CONDITIONS LOCALES .................. .13
Louis LOHLE-TART et Mpembele SALA-DIAKANDA
Chapitre 3 : CONNAISSANCE DU MILIEU FT DU TERRAIN) ; INVENTAIRE DES SOURCES D'INFORMATION ................. .25Michel FRANCOIS
avec la collaboration de René BASCOU-BRESCANE Chapitre 4 : PROBLEMES LINGUISTIQUES. .......................................... .41Rémy CLAIRIN
Chapitre 5 : LA CONSTITUTION DES ARCHIVES DES OPERATIONS DE COLLECTE. ..... .47Francis GENDREAU
Chapitre 6 : LA QUALITE DE L'OBSERVATION :
ERREURS, CONTROLES, EVALUATION ........................ .5 1Francis GENDREAU
OPERATIONS DE COLLECTE
Chapitre
7 : TYPES D'OPERATIONS DE COLLECTE ................................... .59
Rémy CLAIRIN
Chapitre 8 : LE FICHIER DE VILLAGES. ............................................. .77Michel FRANCOIS
11 Table des matières
Chapitre 9:L'ETATCIVIL ......................................................... 91Michel FRANCOIS
CHAPITRE 10 : APPLICATION PRATIQUE DE LA THEORIE DES SONDAGES. .......... .113Rémy CLAIRIN
LE TERRAIN
Chapitre 11 : ORGANISATION DU TRAVAIL SUR LE TERRAIN. ....................... .125Louis LOHLE-TART
Chapitre 12 : CARTOGRAPHIE DU RECENSEMENT ;
PLANLFICATION . ORGANISATION . METHODOLOGE. ......... .14 1Gilles ROGER
Chapitre 13 : LE RECENSEMENT DES NOMADES .................................... .169Rémy CLAIRIN
Chapitre 14 : EXPLOITATION DES DONNEES ........................................ 175Louis LOHLE-TART
Chapitre 15 : TECHNIQUES D'EVALUATION INDIRECTE ET METHODESD'AJUSTEMENT DES DONNEES IMPARFAITES. . .189
Rémy CLAIRIN et Louis LOHLE-TART
LES THEMES
Chapitre 16 : LA MESURE DES EFFECTIFS.. ........................................ .194Francis GENDREAU
Chapitre 17 : LES STRUCTURES PAR AGE .......................................... .203Dominique WALTISPERGER
Chapitre 18 : LA COLLECTE DES DONNEES DE MOUVEMENT : PROBLEMES GENERAUX. ................................... .217Rémy CLAIRIN et Louis LOHLE-TART
Chapitre 19 : LA COLLECTE DES DONNEES SUR LA FECONDITE ..................... .225Rémy CLAIRIN et Louis LOHLE-TART
Chapitre 20 : LA COLLECTE DES DONNEES SUR LA MORTALITE ..................... .239Rémy CLAIRIN et Louis LOHE-TART
Chapitre 21 : LA COLLECTE DES DONNEES
SUR LA MORTALITE INFANTILE ET JUVENILE. ............... .247Rémy CLAIRIN et Louis LOHLE-TART
Chapitre 22 : ENREGISTREMENT DES CAUSES DE DECES ............................ .253Louis LOHLE-TART et Rémy CLAIRIN
Chapitre 23 : LA COLLECTE DES DONNES SUR LES MIGRATIONS. .................... .267Rémy CLAIRIN
Table des matières 1ll
Chapitre 24 : LA COLLECTE DES DONNEES SUR L'EMPLOI ET L'ACTIVITE ........... ..281Rkmy CLAIRIN et Jacques CHARMES
CONCLUSIONS
Chapitre 25 : ET DEMAIN ?. ....................................................... .301Louis LOHLE-TART
ANNEXES
Annexe A : LISTE DES AUTEURS .................................................. .309 Annexe B : LE STAGE DE BORDEAUX. ............................................. .3 11 Annexe C : BIBLIOGRAPHIE ...................................................... .3 17 1AVANT-PROPOS
Louis LOHLE-TART
Pour la bonne information du lecteur, il semble utile d'évoquer brièvement le contexte dans lequel a été
conçu et réalisé cet ouvrage.Au départ, un constat évident
: les données démographiques recueillies dans la plupart des pays endéveloppement, et notamment en Afrique, sont encore d'une qualité parfois discutable, quand elles existent.
Certes, des progrès importants et significatifs ont été réalisés au cours des dernières décennies en matièred'l'ajustement de données imparfaites". On est cependant en droit de penser que traiter les causes du mal serait
préférableà en traiter seulement les symptômes.
Si l'on essaye de cerner les raisons pour lesquelles les données sont déficientes, on observe plusieurs
facteurs convergents- certaines inadéquations entre les exigences minimales en matière de qualité des données et le contexte socio-
culturel de nombreuses populations (pour ne citer que cet exemple classique : la mesure des áges, telle que requise par le démographe, n'a parfois que des rapports lointains avec la notion même d'áge, telle que vécue et ressentie par les sociétés africaines)- la pénurie de moyens appropriés, tant humains que matériels, pour mener des opérations de collecte
fournissant des données de qualité- le manque de considération intellectuelle à l'égard des opérations "de terrain", par ailleurs objectivement
rebutantes pour beaucoup, ce qui contribue à entretenir la pénurie en personnel formé ;- un aspect encore "artisanal", très peu standardisé, de la collecte de données, en raison de l'extrême diversité
des situations concrètes que l'on peut rencontrer. Si les questions de financement ou de formation et de recrutement du personnel ont une importance évidente, elles ne sont pas proprement spécifiques aux techniciens de la démographie. Par ailleurs, leur solution ne supprimerait pas les difficultés inhérentes au contexte socio-culturel et au "terrain".Il nous a donc paru
2 AVANT-PROPOS
essentiel de donner la priorité à ce dernier thème. La mise en commun des expériences, la confrontation de
situations diverses, une réflexion sur les 6checs rencontrés et les solutions apporti%, constituent une façon
d'enrichir mutuellement les aptitudes des praticiens. Une telle action, limitée mais peut-être cruciale, est un des objectifs poursuivis par un groupe de démographes africains et africanistes depuis une dizaine d'années.Concrètement, elle a d'abord pris
la forme d'un séminaire de perfectionnement tenu à Bordeaux en 1982(et présenté en annexe à cet ouvrage). La satisfaction générale des participants à ce séminaire a encouragé ses
promoteurs à en élargir la portée, en vue d'en faire bénéficier un maximum de praticiens de la démographie et
non plus seulement les quelques personnes qui avaient pu assister aux débats. Pour y parvenir, il était indispensable de passer de l'échange interpersonnel, qui ne dure qu'un temps,à la constitution d'un document
&rit largement diffusé. Les objectifs du présent ouvrage sont ainsi clairement posés. Ce n'est pas le compte-rendu "amélioré" d'un séminaire. Ce n'est pas un manuel de référence "normatif", un ensemble de recettes et de recommandationssur ce qu'il "faut faire" ou "ne pas faire", ni un traitk de thhrie de la collecte. Ce n'est pas une anthologie de
monographies concemant des opérations rhlisées durant les trente dernières années. On considèrera plutôt cet ouvrage comme un recueil de réflexions de praticiens des opérations de terrain, prenant un certain recul par rapportà leur expérience.
Si chacun des chapitres de cet ouvrage a été rédigé par un ou deux auteurs, la totalité des textes a été
revue et discutée par divers relecteurs et par un noyau permanent constituant le comité de rédaction (la liste
complète des collaborateurs est donnée ci-dessous). L'esprit général de l'ouvrage a fait l'objet d'un
très largeconsensus entre les auteurs, ce qui le rend homogène sur le fond; cependant, du fait qu'ii s'agit largement de
réflexions personnelles reposant sur des expériences concrètes, la plus grande liberté a été
laissée aux auteurs quant au style età la présentation de leurs chapitres. Des aménagements de détail (portant en particulier sur la
longueur des textes et sur la répartition de certains fragments de textes entre les divers chapitres) ont été réalisés
en fin, sous la responsabilité du comité de rédaction.Les collaborateurs de l'ouvrage
La coordination de l'ouvrage est sous la responsabilité des directeurs du stage de Bordeaux, Rémy
Clairin et Louis Lohlé-Tart assistés en permanence par Michel François et Francis Gendreau.Outre les quatre membres du comité de rédaction, plusieurs collègues ont contribué directement
à la
rédaction des chapitres de cet ouvrage : René Bascou-Brescane, Jacques Charmes, Gilles Roger, MpembeleSala-Diakanda et Dominique Waltisperger.
La relecture critique de l'ensemble de l'ouvrage, qui a contribué de manière très importante
à sa
rédaction finale, a été assurée par les divers auteurs, assistés de Gérard Théodore. En
outre, l'équipe de rédaction a bénéficié de l'apport critique de : Pierre Cantrelle, Benoît Ferry, Alain Lery, Thérèse Locoh, Michel Picouet,André Serré et Henri Viennet.
Enfin, même
si leur nom n'apparaît pas ici, la contribution de l'ensemble des intervenants et desparticipants du séminaire de Bordeaux ne peut être passée sous silence : les auteurs ont largement profité des
échanges d'idées et d'informations avec eux, et y ont puisé les encouragements nécessaires à la réalisation de cet ouvrage.CHAPITRE 1 3
INTRODUCTION
CHAPITRE 1
LE PROBLEME DE
L'OBSERVATION DEMOGRAPHIQUE
Rémy CLAIRIN
"La démographie est peut-être la plus importante des sciences sociales." (H. PIRENNE) 'Zes grands événements historiques sont souvent dus d de lents changements dans l'accroissement de la population." (J.M. KEYNES) "Ce sont les hommes qui créent les richesses et non pas les richesses qui font les hommes." (P. CHAUNU dans sa préface à "Histoire de laMmographie" de
J. et M. DUPAQUIER)
1. LA DEMOGRAPHIE, POUR QUOI FAIRE ?
On doit se poser cette question préalable, avant d'entrer dans le vif du sujet, l'observation endémographie, afin d'apaiser des inquiétudes et de lever quelques doutes. Les trois citations en exergue, qui
Cmanent d'illustres non-démographes (deux historiens et un konomiste), résument de manière lapidaire
l'essentiel de l'argumentation.4 Observation
1.1. Le rôle du démographe
En se limitant volontairement au cas du démographe "administratif' (c'est-à-dire, en pratique, dufonctionnaire statisticien en charge des questions de population, et du chercheur), on pourrait lui assigner les
fonctions essentielles suivantes- foumir à la population, comme à ses représentants et aux responsables dans tous les domaines, une image aussi
fidèle que possible d'elle-même, I'éclairer sur son évolution et lui donner des Cléments quant aux perspectives
futures améliorer sasituation (décideurs, planificateurs, etc.) des informations et des analyses déduites d'observations fiables de
façonà éclairer leurs choix.
- plus spécifiquement, mettre à la disposition de tous ceux qui cherchent à aider cette population
1.2. "Déshumanisation" des plans, programmes et projets
Un simple coup d'oeil
sur la plupart des plans, programmes et projets dans les pays en développement permet de diagnostiquer chez nombre de leurs auteurs une cécité à peu près totale à l'égard des facteurs humains, ce qui confère à leurs édifices un caractère quelque peu surréaliste.C'est un phénomène qui,
s'il tend à gagner en intensité, est loin d'être nouveau. Mais une des lqons lesplus amères de l'histoire est que l'on ne s'efforce que rarement de tirer le véritable enseignement des
expériences passées et des déboires qui leur ont été associés : d'innombrables projets aussi ambitieux que coûteux, voire ruineux, ont échoué essentiellement du fait de la mhnnaissance de l'élément humain, les individus et les sociétés ayant le tort de ne pas se conformer au modèle théorique de l'homo oeconomicus.Il serait facile de citer maints exemples percutants dans toutes les parties du monde et, en particulier en
Afrique
: il est vraisemblable que, si l'on passait au crible un à un tous les "projets de développement" qui y ont
été mis en oeuvre depuis 1960, il n'y en aurait guère où l'on ne d&lerait une prise en compte déficiente ou
erronée des facteurs humains ou sociaux. Ense limitant modester~ient à l'échelon local, les exemples d'actions parfaitement inadéquates
abondent. Les causes de l'échec sont évidentes pour tous ceux qui ont eu l'occasion de se rendre sur le terrain,mais risquent de n'être pas perçues par ceux qui ne s'kartent pas du confort des capitales : ici, c'est l'édification
d'une belle école dans un endroit fort plaisant, mais où il n'y a malheureusement pas d'élèves potentiels ;ailleurs, un programme ambitieux de construction de barrages qui n'a aucune répercussion sur la production
agricole, faute de paysans pour cultiver les terres ainsi aménagks.I1 semble heureusement qu'il y ait une prise de conscience croissante de ce type de carences, du moins
parmi certains responsables au contact direct des réalités. Par exemple, un fonctionnaire d'un pays africain (que l'on ne citera pas car la remarque vaut pour bien d'autres pays) concluait une thèse de doctorat en déplorant notamment"- les problèmes liés à la pénurie d'informations issues de collecte ou d'observation continue;
- le manque d'études démographiques ... et de moyens financiers pour les recherches dont on semble ignorer
l'importance en AfriqueC'est pourquoi (mon pays), qui en est à son quatrième plan quinquennal, et les autres pays africains,
doivent donner une priorité à la recherche démographique et statistique afin de disposer des donnéesstatistiques indispensables à une nouvelle politique de planification et de développement économique dans
laquelle l'homme sera au premier plan."CHAPITRE 1 5
1.3. A quoi est due cette méconnaissance du rôle de la démographie ?
On sait quel point des considérations de prestige interviennent dans les opérations de développement.
D'oÙ une nette incitation à privilégier le spectaculaire. Or, une connaissance adhuate de la population, de ses
caractéristiques et de ses tendances ne se prête guère à de brillantes cérémonies ni B des inaugurations
triomphales.De surcroît, un des handicaps dont pâtit l'étude démographique est que le caractère fantaisiste de
chiffres avancésou publiés n'apparaît pas immédiatement, alors que des données grossièrement inexactes quant
à la balance commerciale ou aux recettes fiscales seront rapidement démasquées. De même, une chute de la
production cérhlière, même si elle est dissimul& par le Service de l'Agriculture, risque de se traduire par unequotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] Expliquer l annualisation du temps de travail aux agents - safpt
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