[PDF] Relation Une relation binaire ? sur un





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Chapitre3 : Relations dordre

Dans tout ce qui suit E désigne un ensemble quelconque. I Généralités. A) Relations binaires. Définition : Une relation binaire définie sur E est une 



Relations dordre

relation d'ordre strict) quand elle est irréflexive et transitive. quel choix de m et n dans N? ? la réponse et oui et on peut le montrer grâce.



RELATION BINAIRE

Montrer que est une relation d'ordre partiel sur . On considère dans la suite de l'exercice que l'ensemble est ordonné par la relation .



Relations dordre Exercice 1. Exercice 3. Ordre sur NN Exercice 4

Feb 19 2018 Montrer que A admet une borne supérieure. Exercice 6. On définit une relation R sur l'ensemble des fonctions RR



CHAPITRE I Relations dordre I.1 Ordre et ordre strict

Définition (ordre) Une relation binaire est un ordre (ou une relation d'ordre) montrer que la propriété est toujours vraie il suffit de montrer que.



Relation

Une relation binaire ? sur un ensemble E est une relation d'ordre si elle sur X. Pour montrer que pour tout x ? X la propriété P(x) est vraie il.



Relations dordre

Feb 22 2013 Donnez des exemples de relations d'ordre que vous connaissez (cherchez bien



Pour remettre un peu dordre dans R 1 Relation dordre sur R

Démontrer que inf A ? m. Exercice 2 Soit A une partie non vide de R. On pose ?A = {?x x ? A}. Démontrer que.



Relation déquivalence relation dordre

Déterminer la classe d'équivalence de chaque z ? C. Indication ?. Correction ?. Vidéo ?. [000209]. Exercice 2. Montrer 



Relations dordre. Dénombrement. Plus grand élément. Borne

Pour montrer que a est égal `a la borne supérieure de A il faut montrer que a est le plus petit élément de l'ensemble des majorants de A. Or a est majorant de 

Relation

Université de Toulouse

Année 2020/2021

1 / 35

Relations

Relations2 / 35

Définition

Relation binaire

Unerelation binaireRd"un ensemble de départEvers un ensemble d"arrivéeFest définie par une partieGREF. Si(x;y)2GR, on dit quexesten relation avecyet l"on notexRy.

SiE=Fon dit queRest unerelation internesurE.Exemples :SoientA=fa;b;c;d;egl"ensemble des élèves etB=fMath;Info;Ang;Physg

l"ensemble des cours. On peut définir les relations suivantes :Rqui décrit si un étudiant suit un cours régulièrement :

G

R=f(a;Math);(a;Phys);(b;Info);(c;Ang);(d;Ang);(e;Math);(e;Ang)gla relationSdécrit si un étudiant a acheté un cadeau à un autre étudiant définit par

G

S=f(b;a);(a;a);(c;a);(a;d);(d;c)gRelations3 / 35

Mode de représentation

Diagramme cartésien et matrice de relationRMathPhysAngInfo aVV bV cV dV eVVSabcde aV bVV cVV dV e

Diagramme sagittal

a b c d eMathPhysAngInfoa bcde

Relations4 / 35

Relation fonctionnelle

Une fonctionf:E!Fassocie a chaque élément deEau plus un élément deF. On peut alors définir la relationRfdéfinie par le graphe G

Rf=f(x;f(x)) :x2Eg EF:

Réciproquement, pour une relationRtelle que pour toutx2Eil y a au plus uny2FvérifiantxRyalors on peut lui associer une fonctionftelle quef(x) =ysi et seulement sixRy. On dit queRest unerelation fonctionnelle.Relations5 / 35

Relation réflexive

Réflexivité

Une relationRestréflexivesi pour toutx2Eon axRx:Diagramme cartésien : la diagonale doit être notée.

Diagramme sagittal : chaque sommet admet une boucle. 123
123
1VVV 2VV 3V Exemples :Quel que soit l"ensemble, la relation d"égalité=est réflexive. Sur?, la relation est réflexive, maisRelation symétrique

Symétrie

Une relationRestsymétriquesi pour toutx;y2Eon axRysi et seulement siyRx:Diagramme cartésien : symétrie par rapport à la diagonale. Diagramme sagittal : quand une flèche va deaversb, il y a aussi une flèche debversa.123 123
1VV 2V 3V Exemples :Quel que soit l"ensemble, la relation d"égalité=est symétrique. Sur?, la relation est n"est pas symétrique.

La relation

lsurAest symétrique.Relations7 / 35

Relation transitive

Transitivité

Une relationResttransitivesi pour toutx;y;z2Etel quexRyetyRz alors nécessairement on axRz.Diagramme sagittal : tout chemin qui part d"un sommetset va à un sommets0en suivant la direction des flèches admet un raccourci, c"est

à dire un chemin de longueur un.1

2341234

1V 2VVVV 3 4V Exemples :Quel que soit l"ensemble, la relation d"égalité=est transitive. Sur?, la relation est transitive. La relation "est le père de" n"est pas transitive.

Relations8 / 35

Relation antisymétrique

Antisymétie

Une relationRestantisymétriquesi pour toutx;y2EvérifiantxRyet yRxalors on ax=y:1

2341234

1V 2VV 3VV 4VV

Exemples :Sur?, la relationest antisymétrique.

La relation

lsurAn"est pas antisymétrique.Relations9 / 35

Relations d"équivalence

RelationsRelations d"équivalence10 / 35

Définition et exemples

Définition

Une relation binaire définie sur un unique ensembleEest unerelation

d"équivalencesi elle est réflexive, symétrique et transitive.Exemples :Par définition, pourx;y2?, on notexy[modn], lirexest congru àymodulo

n, si et seulement s"il existek2?tel quexy=kn. On a défini une relation d"équivalence sur

?car on peut vérifier :Réflexivité :xx[modn]carxx=0:net 02?.Symétrie :sixy[modn]alors il existek2?tel quexy=k:n, on a donc

yx=k:netk2?d"oùyx[modn].Transitivité :sixy[modn]etyz[modn]alors il existek;k02?tels que xy=k:netyz=k0:n. Ainsixz=xy+yz= (k+k0):n. On en déduit que xz[modn]RelationsRelations d"équivalence11 / 35

Définition et exemples

Définition

Une relation binaire définie sur un unique ensembleEest unerelation d"équivalencesi elle est réflexive, symétrique et transitive.Exemples :

Sur n"importe quel ensemble la relation=est une relation d"équivalence..Sur l"ensemble des motA, la relationlest une relation d"équivalence.Sur l"ensemble des personnes, la relation "a le même âge que" est une relation

d"équivalence. Des personnes liées appartiennent à la même tranche d"âge.Sur l"ensemble des triangles, la relation "a les mêmes angles que" est une relation

d"équivalence. Des triangles liés par cette relation sont dits semblables.La relationRdéfinie sur?rf0gparxRysi et seulement sixy>0 est une relation

d"équivalence. Deux réels liés par cette relation ont le même signe.

RelationsRelations d"équivalence12 / 35

Classes d"équivalence et partition

Classes d"équivalence

SoitRune relation d"équivalence sur un ensembleE. Laclasse d"équivalenced"un élémentx, notéCl(x), est l"ensemble des éléments de

Equi sont en relation avecx. Autrement dit

Cl(x) =fy2E:xRyg:Proposition

Une classe d"équivalence n"est jamais vide.

L"intersection de deux classes d"équivalence distinctes est vide.

RelationsRelations d"équivalence13 / 35

Classes d"équivalence et partition

Partition

SoitEun ensemble, la famille d"ensembles(Ai)i2Iindexée parIest une

partitionsi :l"union des(Ai)i2Iest égale àE, c"est à direE=[i2IAi,deux éléments de(Ai)i2Idistincts sont disjoints, c"est à dire que si

i6=jalorsAi\Aj=;.Théorème Etant donné une relation d"équivalence sur un ensemble, les classes d"équivalences forment une partition.

RelationsRelations d"équivalence14 / 35

Ensemble quotient

Ensemble quotient

SoitEun ensemble munit d"une relation d"équivalenceR. L"ensemble quotient est l"ensemble des classes d"équivalence de tous les éléments deE.

On le noteE=R.Théorème

Etant donné une relation d"équivalenceRsurE, la fonction suivante est surjective : f:E!E=R x7!Cl(x)RelationsRelations d"équivalence15 / 35

Relations d"ordre

RelationsRelations d"ordre16 / 35

Définition

Définition

Une relation binairesur un ensembleEest unerelation d"ordresi elle est réflexive, transitive et antisymétrique. Autrement dit : réflexive :on a xxpour toutx2E. transitive :si xyetyzalorsxz. antisymétrique :si xyetyxalorsx=y.Un ordre esttotalsi pour tous élémentsx;y2Eon axyouyx. Un

ordre est ditpartielpour souligner qu"on n"a pas forcément cette propriété.RelationsRelations d"ordre17 / 35

Exemples d"ordres sur les nombres

etsont des relations d"ordre total sur?qui s"étendent à?,?

ou?.ne sont pas des relations d"ordre sur?.Sur?la relationadiviseb, notéeajb, est une relation d"ordre mais

n"est pas total. On rappelle queadivisebs"il existek2?tel que b=ak. réflexive :on a xxpour toutx2?. transitive :si xdivisey(c"est à dire il existektel quey=k x) et ydivisez(c"est à dire il existektel quez=k0y) alors z=k0y= (k"˛)xdoncxdivisez. antisymétrique :si xyetyxalorsx=y.RelationsRelations d"ordre18 / 35 Exemples d"ordre ordres sur les parties d"un ensemble SoitEun ensemble l"inclusion, notée, est une relation d"ordre sur l"ensemble des partiesP(E)qui n"est pas totale. réflexive :on a AApour toutA2 P(E). transitive :si ABetBCalorsAC. antisymétrique :si ABetBAalorsA=B.RelationsRelations d"ordre19 / 35

Ordres sur les mots

Il existe différentes notions pour ordonner l"ensemble des motsA:La relationuest préfixe dev, notéeuvperdvet définit par9w2 A

tel quev=u:w, est une relation d"ordre qui n"est pas totalSoitun ordre total surAon définit l"ordre lexicographiquesur

A ulexv()8 >:upréfixe dev ou bien

9m2?tel queu1:::um=v1:::vmetum+1vm+1

C"est une relation d"ordre total surA. Par exemple : alexfa,poulelexpoulet,avionlextrain, livraisonlexlivre,footlexfort.RelationsRelations d"ordre20 / 35

Mode de représentation

123123

1VVV 2VV 3V Pour simplifier la lecture du diagramme, on supprime les boucles dues à la réflexivité et les flèches déductibles par transitivité :123 L"idée est de représenter les sommets du diagramme et tracer seulement les flèches correspondant aux successeurs immédiats. On dit queyest un successeur immédiat dexsixy,x6=yet il n"existe pas deztel que xzy.RelationsRelations d"ordre21 / 35

Fonctions croissantes et décroissantes

Definition

SoientAetBdeux ensembles munis respectivement des relations d"ordre

AetBetf:A!Bune application. On dit quefestcroissantesixAyalorsf(x)Bf(y).festdécroissantesixAyalorsf(y)Bf(x).feststrictement croissantesixAyetx6=yalorsf(x)Bf(y)

etf(x)6=f(y).feststrictement décroissantesixAyetx6=yalors f(y)Bf(x)etf(x)6=f(y).Proposition Une application strictement croissante ou strictement décroissante dont l"espace de départ est muni d"un ordre total est injective.

RelationsRelations d"ordre22 / 35

Elément minimal, borne inférieure

Soit(E;)un ensemble ordonné etAE.x2AestminimaldeAs"il n"admet pas d"élément plus petit dansA.x2EminorantdeAsi8y2Aon axyAadmet au plus un seul minorant dansA(par antisymétrique), c"est

le plus petit élémentdeA, s"il existe on le notemin(A).Le plus grand des minorants est laborne inférieure, on la note

inf(A). Autrement dit :

8y2Aon ainf(A)yet8zminorant deAon azinf(A)RelationsRelations d"ordre23 / 35

Elément maximal, borne supérieure

Soit(E;)un ensemble ordonné etAE.x2AestmaximaldeAs"il n"admet pas d"élément plus grand dansA.x2EmajorantdeAsi8y2Aon ayxAadmet au plus un seul majorant dansA(par antisymétrique), c"est

le plus grand élémentdeA, s"il existe on le notemax(A).Le plus petit des majorants est laborne supérieure, on la note

sup(A). Autrement dit :

8y2Aon aysup(A)et8zmajorant deAon asup(A)zRelationsRelations d"ordre24 / 35

Induction

RelationsInduction25 / 35

Ordre bien fondé

Définition

Un ensemble ordonné(E;)estbien fondés"il n"existe pas de suite infinie strictement décroissante d"éléments deE.De manière équivalente, on a :

Théorème

Un ensemble ordonné(E;)est bien fondé si et seulement si toute partie non vide admet au moins un élément minimal.Examples L"ordre usuelsur?est bien fondé mais il ne l"est pas sur?,?,

[0;1].L"ordrejsur?n f0;1gdéfini par "ajb()adiviseb" est bien fondé.SoitAun alphabet contenant au moins deux lettres,vperdest bien

fondé mais paslex.RelationsInduction26 / 35

Application à la terminaison d"algorithme

Variant de boucles

Etant donné(E;)un ordre bien fondé, unvariantde boucle est une fonction de l"ensemble des états du programme dansEstrictement décroissant à chaque passage dans la boucle.Proposition Si une boucle admet un variant alors elle termine.

Algorithme d"Euclide :

Donnée :(x;y)2?2

Résultat : le pgcd dexety

a x b y whileb6=0dotmp a a b b tmp[modb]RelationsInduction27 / 35 Application à la terminaison des algorithmes récursifs

Proposition

Soitfune fonction récursive définit sur un ensemble ordonné(E;)bien fondé. Sifest défini sur les éléments minimaux et si pour toutx2Enon minimal, le définition def(x)ne fait appel à des valeursf(y)pouryx avecx6=yalorsfest bien définit.Examples : On considère la fonctionfactdéfinie par :fact(0) =1;fact(n+1) = (n+1)fact(n). Elle est bien définie car(?;)est bien fondé.

On considère la fonctionfdéfinie sur?n f0;1gpar :f(p) =1 sippremier;f(n) =f(a) +f(b)sin=abeta6=1 etb6=1.

Elle est bien définie car(?n f0;1g;j)est bien fondé.RelationsInduction28 / 35 ?et le principe de récurrencePrincipe de récurrence SoitPune propriété dépendant d"un élémentnde?. Si les deux hypothèses suivantes sont vérifiées

Initialisation :P(0)est vraie,

Héridité :8n2?on a "P(n)est vraie=)P(n+1)est vraie"

Alors pour toutn2?, la propriétéP(n)est vraie.Preuve :On raisonne par l"absurde : supposons que les hypothèses du théorème sont vraies

mais que la conclusion est fausse. SoitX=fn2?;P(n)est fausseg. L"ensembleXest une partie non vide de?, comme(?;) est bien fondé,Xadmet un plus petit élément notén0. CommeP(0)est vraie, on an0>0 doncn01 est un entier positif ou nul, autrement dit n

012?.P(n01)est vraie carn01=2X. Par hypothèseP(n01) =)P(n0)donc

P(n0)est vraie ce qui est contradictoire avec le fait quen02X.RelationsInduction29 / 35 ?et le principe de récurrence généraliséPrincipe de récurrence généralisé SoitPune propriété dépendant d"un élémentnde?. Si les deux hypothèses suivantes sont vérifiées

Initialisation :P(0)est vraie,

Héridité :8n2?on a

"P(k)est vraie pourkOn applique le principe de récurrence du théorème précédent à la propriétéQtel que pour

n2?,Q(n)est vraie siP(k)est vraie pour toutkn.RelationsInduction30 / 35

Principe d"induction

Principe d"induction

SoitPune propriété dépendante d"un élémentxdeEmuni d"un ordre bien fondé. Si les deux hypothèses suivantes sont vérifiées : Initialisation :P(x)est vraie pour tout éléments minimaux deE,

Héridité :

Si p ourtout x2Equi n"est pas minimal on a :

P(y)est vraie8yxavecy6=x=)P(x)est vraie

Alors pour toutx2E, la propriétéP(x)est vraie.Preuve :On raisonne par l"absurde. SoitX=fx2E;P(x)est fausseg. L"ensembleXest une partie non vide deE, comme(E;) est bien fondé,Xadmet un plus petit élément notéx0. CommePest vraie pour tout élément minimal deE, l"élémentx0n"est pas minimal. Pour tout y2Etel queyx0ety6=x0, la propriétéP(y)est vraie carx0minimal dansXet doncy=2X

. Par hypothèse d"héréditéP(x0)est vraie ce qui est contradictoire avec le fait quex02X.RelationsInduction31 / 35

Définition inductive

Définition inductive d"un ensemble

SoitEun ensemble. Une définition inductive d"un sous-ensembleXdeE

consiste à la donnée :d"un sous-ensembleBdeEappelébase,d"un ensembleKd"opérations':Er'!Eoùr'est l"arité de'.

L"ensembleXest alors défini comme le plus petit (pour l"inclusion) ensemble vérifiant les assertions suivantes :

Base :BX,

Induction :

p ourtout '2Ket pour tousx1;x2;:::;xr'2Xon a '(x1;x2;:::;xr')2X. On dit queXest lafermeture inductive deBparK.RelationsInduction32 / 35

Quelques ensembles définis inductivement :

L"ensemble des entiers naturels est défini par :

Base :B=f0g,

Induction :

succ:?!? n7!n+1.L"ensemble des entiers pairs est défini par :

Base :B=f0g,

Induction :

n7!n+2.L"ensemble des entiers impairs est défini par :

Base :B=f1g,

Induction :

n7!n+2.L"ensemble des mots binaires est défini par :

Base :B=f"g,

Induction :

'0:A! A u7!0uet'1:A! A u7!1u.RelationsInduction33 / 35 Preuve pour des ensembles définis par induction

Preuve par induction

SoitXEla fermeture inductive deBparK. SoitPune propriété définie surX. Pour montrer que pour toutx2Xla propriétéP(x)est vraie, il suffit de montrer que :

Base :

P ourtout x2B, on aP(x)vraie.

Induction

P ourtout '2Kd"aritér'et tousx1;x2;:::;xr'alors on a P(x1);P(x2);:::;P(xr')vraies=)P('(x1;x2;:::;xr'))vraieRelationsInduction34 / 35

Exemple de preuve par induction

On considère l"ensemble des mots de Dyck f0;1gdéfini par :Base :B=f"g,Induction : :A A! A (u;v)7!0u1v. On veut montrer par induction que tout motw2vérifie la propriétéP(w): "wa autant de 0

que de 1 et tout préfixe dewa plus de 0 que de 1".Base :"vérifie la propriété demandée,Induction :Soient u;v2tels queP(u)etP(v)soient vérifiées. On note

w= (u;v) =0u1v. Commeuetvont autant de 0 et de 1, il en est de même pourw.

Soittun préfixe dew. Il y a deux cas :

I Sijtj 1+jujalorstest un préfixe de 0u. Il s"écritt=0t0oùt0est un préfixe de u. Comme les préfixes deuont plus de 0 que de 1, on en déduit queta plus de 0 que de 1. I Sijtj>1+jujalorsts"écritt=0u1t0oùt0est un préfixe dev. Comme les

préfixes devont plus de 0 que de 1, on en déduit queta plus de 0 que de 1.RelationsInduction35 / 35

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