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Forme trigonométrique dun nombre complexe – Applications

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NOMBRES COMPLEXES (Partie 2)

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Chapitre 1 - Trigonométrie et nombres complexes

2 sept. 2015 2 [?]. II/ Formules de base. La formule fondamentale à retenir est la suivante : cos(?) ...



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Vocabulaire : - L'écriture a + ib d'un nombre complexe z est appelée la forme algébrique de z. Page 2. Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques 



NOMBRES COMPLEXES

Nombres complexes - 6e (6h). 2. Dans certains cas la méthode de CARDANO se révèle infructueuse. Ainsi



NOMBRES COMPLEXES (Partie 3)

Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques.fr. 2. Méthode : Calculer des valeurs de cos et sin à l'aide des formules d'addition.



Formulaire sur les complexes

22 janv. 2014 Le conjugué d'un nombre complexe z est noté z = a ? ib. Pour tout z complexe



Chapitre 2 - Fonctions dune variable complexe

On peut définir un point z du plan complexe C par la donnée de deux On suppose connue la formule du rotationnel (formule de Green-Riemann) pour.



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Dans ce cas la série complexe correspond `a la série réelle ?n?0(an cos(nx) + bn sin(nx))



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= e i n ?. n ? ZZ est appelée formule de MOIVRE. Exercice 12. On considère les nombres complexes : z1 = e i ?.



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CI est muni d'une addition et d'une multiplication qui suivent les mêmes règles de calcul que celles connues dans Un nombre complexe sera souvent représenté 



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CARDANO publie la formule dans l'Ars Magna en 1545 provoquant la rancune de TARTAGLIA pour de longues années Voici la formule connue depuis lors sous le nom 



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Exemples : 3+ 4i ; ?2 ? i ; i 3 sont des nombres complexes Vocabulaire : - L'écriture a + ib d'un nombre complexe z est appelée la forme algébrique de z



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Ces formules s'obtiennent facilement en utilisant la définition de la notation exponentielle Nous les appliquons dans la suite à deux problèmes : le 



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2ème BAC Sciences maths I) L'ENSEMBLE DES NOMBRES COMPLEXES s'appelles des nombres complexes qui vérifie : formule de binôme



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Au début du XVIème siècle le mathématicien Scipione dal Ferro propose une formule donnant une solution de l'équation du 3ème degré x3 + px = q :



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Pour tout ? ?/ réels on peut alors vérifier la formule magique : ei(?+? ) = ei?ei? Définition 1 2 2 Soit z un complexe non nul le complexe z z est de 



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Exercice 4 1 Déterminer la forme trigonométrique de (1 + ) pour tout ? ? (Utiliser la formule de Moivre) 

  • Comment calculer complexe ?

    Rappelons qu'un nombre complexe �� = �� + �� �� est constitué de deux parties, une partie réelle ( ( �� ) = �� ) R e et une partie imaginaire ( ( �� ) = �� ) I m .
  • Comment résoudre l'équation d'un nombre complexe ?

    Solutions complexes d'une équation de degré 2 - cours

    1az²+ bz + c = 0 avec a?0.2On calcule le DISCRIMINANT b²-4ac, noté souvent ?, puis il suffit de regarder le signe de ? et de connaître le tableau suivant pour pouvoir conclure.3Note: ? est un réel car a, b et c sont réels.
  • Quelle est la formule mathématique la plus complexe ?

    Appellé «le dernier théorème de Fermat», cette équation avait été posé en 1637 par le mathématicien fran?is Pierre Fermat. Il l'avait formulée ainsi : «il n'existe pas de nombres entiers non nuls x, y et z tels que : xn + yn = zn, dès que n est un entier strictement supérieur à 2».
  • La définition du conjugué de �� = �� + �� �� est �� = �� ? �� �� . Si �� est un nombre réel pur, on sait que �� = 0 . Ainsi, on conclut que si �� est un nombre réel, �� = �� .
Math 256-Séries de Fourier

Math 256-S´eries de Fourier

David Harari

2016-2017

Nous commen¸cons dans ce chapitre `a nous int´eresser `a un type parti- culier de s´eries de fonctions, appel´ees s´eries trigonom´etriques ou s´eries de Fourier. Ces s´eries sont particuli`erement adapt´ees pour l"´etude des fonctions p´eriodiques, dont nous allons commencer par ´etablir quelques propri´et´es.

1. Fonctions p´eriodiques

D´efinition 1.1SoitTun r´eel non nul. Une fonctionfdeRdansRou dans Cest ditep´eriodique de p´eriodeT(ouT-p´eriodique) si on af(x+T) =f(x) pour toutxdeR. Remarque 1.2a) SifestT-p´eriodique, elle est aussikT-p´eriodique pour toutk?Z. b) S"il y a un plus petitT >0 tel quefsoitT-p´eriodique, on dit parfois queTestlap´eriode def. C"est toujours le cas sifest continue, mais sinon il n"y pas toujours de plus petite p´eriode strictement positive (parexemple la fonction deRdansRqui vaut 0 sur les rationnels et 1 ailleurs estT- p´eriodique pour toutT?Q). Exemple 1.3a) Les fonctions sinxet cosxsont 2π-p´eriodiques. b) La fonction deRdansCqui envoiexsureixest 2π-p´eriodique. c) Pour toutxdeR, notonsE(x) la partie enti`ere dex: c"est par d´efinition le plus grand entiern?Ztel quen≤x(par exempleE(2.5) = 2 etE(-2,5) =-3). Alors la fonctionf(x) =x-E(x) ("partie fractionnaire dex") est 1-p´eriodique. d) Sifest une fonction d´efinie sur [0,T[, alors elle se prolonge de mani`ere unique en une fonctionT-p´eriodiquegsurR. Sifest continue sur [0,T[, la fonction correspondantegest continue surR`a condition que limx→T-f(x) = f(0). De mˆeme, une fonction continuefsur [0,T]telle quef(0) =f(T) se prolonge de mani`ere unique en une fonction continueT-p´eriodiquegsurR. 1 Proposition 1.4Soitfune fonction continue par morceaux etT-p´eriodique surR. Alors, pour tousa,b?R, on a b a f(t)dt=? b+T a+Tf(t)dt. b+T b f(t)dt=? T 0 f(t)dt. La deuxi`eme ´egalit´e signifie ici que sifest une fonctionT-p´eriodique, l"int´egrale defsur un intervalle de longueurTest la mˆeme quel que soit l"intervalle de longueurTchoisi. D´emonstration :La premi`ere ´egalit´e s"obtient en faisant le changement de variableu=t+T, et en observant quef(t-T) =f(t) pour toutt. La deuxi`eme ´egalit´e r´esulte de la premi`ere (appliqu´ee `aa= 0) et de la relation de Chasles : b+T b f(t)dt=? 0 b f(t)dt+? T 0 f(t)dt+? b+T T f(t)dt= T 0 f(t)dt+ (? b+T T f(t)dt-? b 0 f(t)dt).

2. S´eries trigonom´etriques r´eelles

Parmi les fonctions 2π-p´eriodiques, les plus courantes sont celles form´ees `a partir des fonctions cos et sin, ou encore comme sommes de telles fonctions.

Cela motive la d´efinition suivante :

D´efinition 2.1Unes´erie trigonom´etriquer´eelle est une s´erie de fonctions de la forme? n≥0fn(x), o`u chaque fonctionfn(x) est de la formefn(x) = a ncos(nx) +bnsin(nx), avecan,bn?R. Pour une telle s´erie, on a notammentf0(x) =a0, et on peut convenir que b

0= 0 puisque de toute fa¸con le termeb0sin(0.x) est nul. Bien noter que les

coefficientsan,bnne doivent pas d´ependre dex. Les propri´et´es g´en´erales des s´eries de fonctions s"appliquent `a de telles s´eries. Notons en particulier : 2 a) Si la s´erie? n≥0(ancos(nx) +bnsin(nx)) converge simplement surR, la fonctionf(x) =?+n=0∞(ancos(nx) +bnsin(nx)) est 2π-p´eriodique. En effet chaque fonctionfn(x) =ancos(nx) +bnsin(nx) est 2π-p´eriodique. b) Si cette s´erie converge uniform´ement surR, alors la fonctionf(x) ci-dessus est continue. En effet chaque fonctionfn(x) est continue. C"est notamment le cas en cas de convergence normale, donc par exemplesi la s´erie? n≥0(|an|+|bn|) converge (ou encore si les deux s´eries?anet?bn convergent absolument), puisqu"on a la majoration |ancos(nx) +bnsin(nx)| ≤ |an|+|bn|. c) Comme d"habitude, mˆeme si la s´erie converge, pour savoir que lafonc- tion f(x) =+∞? n=0(ancos(nx) +bnsin(nx)) est d´erivable (ou encoreC1), on a besoin de plus. Cela marche par exemple si la s´erie d´eriv´ee est normalement convergente, ce qui se produit en particulier si la s´erie? n≥0n(|an|+|bn|) converge. En effet la s´erie d´eriv´ee est n≥0f?n(x), avec f ?n(x) =-nansin(nx) +nbbcos(nx)

Exemple 2.2a) La s´erie?

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