[PDF] Fiche-bilan Modèle de DEBYE-HÜCKEL : des origines aux





Previous PDF Next PDF



Forces intermoléculaires

Forces d'autant plus fortes que les moments dipolaires sont élevés. Interactions entre un dipôle permanent et un dipôle induit – forces de Debye.



Fiche-bilan Modèle de DEBYE-HÜCKEL : des origines aux

Le modèle de DEBYE-HÜCKEL ne permet que de décrire l'écart à l'idéalité dans le cas de où I désigne la force ionique dans l'échelle des concentrations ...



1.1. Lactivité des solutions électrochimiques. La loi de Debye

2) Calculer la force ionique de l'eau de mer et comparez-là à celle de l'eau de On voit bien que l'équation de Donnan s'applique à cet exemple réel.



ch. ci.4 : liaisons de van der waals et liaison hydrogene - solvants

2) Force de dispersion ou interaction de Debye. Interaction dipôle permanent- dipôle induit : Molécules polaires (par exemple chlorométhane) : elles.



I-Définitions: Exemple : NaCl ? Na+ + Cl- NH3 + H2O ? NH4 + + OH

Calculer la force ionique d'une solution aqueuse de chlorure de sodium à solution il va nous falloir faire appel au modèle de Debye-Hückel qui suppose ...



Chapitre 7 Cohésion de la matière. Liaisons de faible énergie

Exemple d'occurence : l'interaction de London est responsable de la liquéfaction FiGURe 7.7 – Evolution de la force de Debye parmi les acides halogénés.



LES FORCES INTERMOLECULAIRES

Par exemple le butane (CH3 - CH2 - CH2 - CH3) et l'acétone. (CH3-CO-CH3) ont des 2) Interactions dipôle permanent - dipôle induit : Forces de Debye.



Activité et concentration dans les calculs de pH. (Théorie de DEBYE

(Théorie de DEBYE et HÜCKEL) par James (par exemple pH = 1l au lieu de 1



Les transformations de la matière

2°) INTERACTION DIPOLE PERMANENT – DIPOLE INDUIT : INTERACTION DE DEBYE (1920) les molécules (par exemple I2) ou entre les atomes de gaz rares.



Electrostatique

Exemple de plans de symétrie et d'antisymétrie pour une distribution de charges les forces de Debye entre dipôle permanent et dipôle induit ;.



[PDF] Forces intermoléculaires

Interactions entre un dipôle permanent et un dipôle induit – forces de Debye Une molécule polaire crée autour d'elle un champ électrique et si une molécule 



Les forces de Van der Waals et le Gecko - CultureSciences-Chimie

15 fév 2014 · La seconde contribution aux forces de Van der Waals est la force de Debye qui provient de l'interaction entre un dipôle permanent et un dipôle 



[PDF] Les transformations de la matière - Chimie en PCSI

2°) INTERACTION DIPOLE PERMANENT – DIPOLE INDUIT : INTERACTION DE DEBYE (1920) 5°) CONSEQUENCES DES FORCES (OU INTERACTIONS) DE VAN DER WAALS



[PDF] LES FORCES INTERMOLECULAIRES

Par exemple le butane (CH3 - CH2 - CH2 - CH3) et l'acétone (CH3-CO-CH3) ont des 2) Interactions dipôle permanent - dipôle induit : Forces de Debye



[PDF] Les interactions intermoléculaires

Exemples de molécules dipolaires H––F +? –? Moment dipolaire µ = (?e) x d Dimensions (SI) : C m 1 D (Debye) = 3335 10–30 C m



[PDF] ch ci4 : liaisons de van der waals et liaison hydrogene - solvants

2) Force de dispersion ou interaction de Debye Exemple : températures de fusion des gaz rares augmentant avec leur masse molaire : -270°C pour He 



[PDF] Fiche-bilan Modèle de DEBYE-HÜCKEL - ENS Lyon

Modèle de DEBYE-HÜCKEL : des origines aux applications où I désigne la force ionique dans l'échelle des concentrations qui quantifie les interactions 



[PDF] 1) Liaisons intermoléculaires - Prophychi

d'une distance d sont soumis à une force d'intensité commune : HCl par exemple qui est pourtant neutre nous Il s'exprime en Debye (D) ou C m



[PDF] Forces intermoléculaires - AlloSchool

À titre d'exemple ? =0819 10?30 m3 pour le dihydrogène et ? = 105 10?30 m3 pour le tétrachlorométhane CCl4 Interaction de DEBYE Il existe une interaction 



Forces de Debye - Wikipédia

Les forces de Debye sont les forces intermoléculaires résultants de l'interaction entre un dipôle permanent et un dipôle induit Les forces de Debye font 

:
Préparation à l"Agrégation de ChimieVincent WIECZNY École Normale Supérieure de Lyon vincent.wieczny@ens-lyon.fr - Tél. 81.58

Fiche-bilan

Modèle de DEBYE-HÜCKEL: des origines aux applications1. Aux origines du modèle de DEBYE-HÜCKEL

A. Des solutions idéales aux solutions réelles : écart à l"idéalité Dans une solution, le potentiel chimiqueid"un solutéis"exprime selon i=i(T) +RTlnai(1)

en négligeant l"influence de la pressionPsur les phases condensées et oùietaidésignent respectivement le

potentiel chimique standard du solutéidans un solvant donné à la températureTet l"activité chimique de l"espèce

i. Physiquement, le potentiel chimiqueicorrespond à l"énergie nécessaire pour placer une mole d"entitési,

initialement dans le vide et sans interaction, dans un solvant donné à la températureT. De fait, l"énergie molaire

en question prend macroscopiquement en compte la mise en place d"interactions microscopiques, notamment

entre le solvant et le soluté.

En référencesolution infiniment diluée, l"activité chimique du solutéiest définie par :

a i=giciaveclimci!0gi=1(2)

oùgietcidésignent respectivement le coefficient d"activité et la concentration de l"espèceien solution. Une

solutionest alors diteidéale, dès lors que le potentiel chimique peut s"écrire i=i(T) +RTlnci(3)

ce qui revient à considérer que la solution tend vers la référencesolution infiniment diluéeci!0et donc

quegi=1. Ce comportement traduit le caractère négligeable des interactions soluté-soluté, compte tenu de

la distance moyenne importante qui sépare deux entités de soluté aux faibles concentrations considérées. En

revanche, aux plus fortes concentrations, les interactions soluté-soluté - interactions électrostatiques, liaisons

hydrogène ou de VAN DERWAALS- ne peuvent être négligées : on parle d"unécart à l"idéalité, qui justifie

l"introduction de l"activitéai- ou de façon équivalente du coefficient d"activitégi- pour décrire unesolution

réelle.Dans ce qui suit, on noteraidéalietréeli, respectivement le potentiel chimique dit idéal et le potentiel chimique

dit réel, prenant en compte, quant à lui, l"écart à l"idéalité.B. Du coefficient d"activité au travail d"interaction soluté-soluté

À ce stade, le coefficient d"activité est introduit en tant que paramètre correctif, qui décrit l"écart au modèle

de la solution idéale infiniment diluée. Quel sens physique peut-on attribuer au coefficient d"activité?

Pour une solution contenant un solutéi, on considère la variation d"enthalpie libre molairegidéfinie par

gi=réeliidéali=RTlngi(4)

Compte tenu de la distinction entre la description de la solution réelle et la description de la solution idéale,gi

correspond au travail molaire d"interaction molaire soluté-soluté, notéewsoluté-solutéi, soit encore :

w soluté-solutéi=RTlngi(5)

Le coefficient d"activitégipeut donc se déduire de la détermination du travail molaire d"interaction soluté-soluté,

pour laquelle il est nécessaire de définir un modèle. 1

2. Au coeur du modèle de DEBYE-HÜCKEL

En 1923, DEBYEet HÜCKELproposent une approche s"appuyant sur la description d"uneatmosphère io-

niquepour déterminer lecoefficient d"activitégidans l"échelle des concentrations, à partir du travail molaire

d"interaction électrostatique entre des solutés ioniques.

A. Hypothèses du modèle de DEBYE-HÜCKEL

Pour décrire l"interaction d"un ion - en tant qu"ion de référence - avec les autres ions en solution, DEBYE

et HÜCKELmodélisent l"environnement ionique par un nuage chargé continu dont la distribution statistique -

spatiale et temporelle - se caractérise par une prédominance des ions de charges opposées à l"ion de référence :

on parle d"atmosphère ionique. Ainsi, pour assurer l"électroneutralité à l"échelle de la solution, l"atmosphère

ionique d"un ion donné est de charge opposée à la charge de l"ion considéré.Pour modéliser l"atmosphère ionique et déterminer le travail molaire d"interaction électrostatique, le modèle

de DEBYE-HÜCKELs"appuie sur les hypothèses décrites ci-après.

Lesinteractionsentre solutés ioniques sont purement de natureélectrostatique; les interactions de

VAN DERWAALSsont négligées du fait de leur effet à plus courtes distances.

Quelle qu"en soit sa concentration, l"électrolyteest considéré commetotalement dissocié, ce qui permet

de ne pas prendre en compte la contribution de paires d"ions.

La solution ionique est décrite comme unmilieu diélectrique homogènedepermittivité relative#r,

égale à la permittivité du solvant : les variations de la permittivité de la solution avec la concentration

en électrolyte sont négligées.

Les ions sont modélisés par dessphères dures uniformément chargées- donc non polarisables - à

l"origine de champs électriques à symétrie sphérique.

L"énergie d"interaction électrostatiqueest faible devant l"énergie d"agitation thermique.Le modèle de DEBYE-HÜCKELne permet que de décrire l"écart à l"idéalité dans le cas de solutions ioniques, en excluant

de fait les solutés neutres. Ce résultat se justifie dans le sens où les écarts à l"idéalité sont plus marqués dans le cas des

solutés ioniques que dans le cas de solutés neutres à concentrations égales, compte tenu des distances caractéristiques

d"interactions électrostatiques et de VAN DERWAALS.Modèle de DEBYE-HÜCKELet solutés neutresB. Éléments de construction du modèle de DEBYE-HÜCKELCette section ne prétend pas démontrer la relation de DEBYE-HÜCKELmais uniquement donner des éléments

de construction du modèle, afin d"appréhender les différentes hypothèses qui lui sont sous-jacentes.Pour déterminer l"interaction électrostatique entre l"ion de référence et son atmosphère ionique, il est néces-

saire de déterminer le potentielf(r)généré à une distancerde l"ion central via l"équation de POISSON:

f(r) =(r)#

0#r(6)

où(r)désigne la densité de charge. Par définition, la densité de charge(r)à une distancers"exprime (r) =å iz ieNi(r)(7)

avecNi(r), la densité volumique des ions d"espèceiet de chargezieà la distancerde l"ion central. Dans l"hypo-

thèse d"une distribution des ions en solution selon la statistique de BOLTZMANN, il vient : N i(r) =N¥iexpzie[f(r)f¥]k BT =N¥iexpzief(r)k BT (8) 2

en posantN¥ila densité volumique moyenne des ions d"espèceiet en prenant une référence en potentielf¥=0

à l"infini.

Dans la mesure où l"énergie d"interaction électrostatique est faible devant l"énergie de l"agitation thermique,

c"est-à-direzief(r)kBT, la densité volumique des ions se réécrit, par développement limité,

N i(r) =N¥iexpzief(r)k BT

N¥i

1zief(r)k

BT (9)

De fait, la densité de charge s"en déduit :

(r) =å iz ieN¥i

1zief(r)k

BT (10) qui se simplifie en (r) =å iz

2ie2N¥if(r)k

BT=e2f(r)k

BT" iz2iN¥i# (11) dans la mesure où åizieN¥i=0par électroneutralité de solution. Il vient alors, pour l"équation de POISSON, une équation différentielle linéaire : f(r) =e2f(r)#

0#rkBT"

iz2iN¥i# (12) qui se résout, compte tenu des conditions aux limites, en f(r) =qc4#0#r eka1+ka ekrr (13)

oùqcdésigne la charge de l"ion central de référence,ala distance minimale d"approche de deux ions, c"est-à-dire

la somme des rayons ioniques cationique et anionique, etkDladistance réciproque de DEBYEdéfinie par :

k

2D=e2#

0#rkBTå

iz2iN¥i(14) En introduisant la concentration molaire ioniqueci=N¥i/NA, il vient : k

2D=e2NA#

0#rkBTå

iz2ici=2e2NA#

0#rkBTIavecI=12

iz2ici(15)

oùIdésigne laforce ioniquedans l"échelle des concentrations, qui quantifie les interactions entre ions en

solution, à l"image de la force électrostatique proportionnelle également proportionnelle àz2i.

Ladistance de DEBYEk1Dpeut être interprétée comme le rayon moyen de l"atmosphère ionique, tel que repré-

senté sur la FIGURE1. Physiquement, la distance de DEBYEk1Dtraduit la distance d"écrantage de l"ion central :

toute autre charge, située à une distancer>k1Dde l"ion de référence, " ne verra pratiquement l"ion central » et

ne pourra pas interagir avec cette charge dans la mesure où, vue de l"extérieur, la charge centrale est quasiment

totalement écrantée par son nuage ionique.FIGURE1 - Représentation de l"atmosphère ionique autour de l"ion central de référence.

On pourra remarquer que la longueur de DEBYEk1Ddiminue avec la concentration en soluté, ce qui est cohérent

avec le fait que l"écrantage est plus efficace lorsque le milieu est davantage chargé. De même, plus le solvant

est dissociant (#rélevé), plusk1Dest plus élevé dans la mesure où les interactions électrostatiques sont moins

marquées. 3

Pour déterminer le travail molaire d"interaction électrostatique soluté-soluté, il faut déterminer le potentiel dû à

l"atmosphère ionique seulefatm(r): en effet, le potentielf(r)prend en compte à la fois le potentielV(r)généré

par l"ion central de référence et à la fois l"atmosphère ioniquefatm(r), si bien que f atm(r) =f(r)V(r) =qc4#0#r eka1+kae krr 1r (16)

Le travail molaire d"interaction soluté-solutéwsoluté-solutése déduit du passage d"une espèce initialement neutre

(qc=0) - donc sans interaction avec l"atmosphère ionique - au sein de potentielfatm(a)à une espèce de charge

q c=zce: w soluté-soluté=NAZ zce

0fatm(a)dqc=NA8#0#rkz2ce21+ka(17)

On en déduit finalement le coefficient d"activité de l"ionicentralcdans l"échelle des concentrations, donné par la

relation de DEBYE-HÜCKEL: loggci=Az2ipI

1+a BpI(18)

oùA=e3p2NA8(#0#rkBT)3/2ln10=0,509 molL1etB=NAer2

0#rRT=3,29109mol1/2L1/2m1pour

l"eau à25CsiIest exprimé enmolL1etaen mètres.

L"expression du coefficient d"activitégcine présente qu"un intérêt limité, dans la mesure où la déviation de l"idéa-

lité d"un cation ou d"un anion n"est pas accessible expérimentalement du fait de la contribution du contre-ion

pour assurer l"électroneutralité de la solution. On définit de fait un coefficient d"activité moyen, que l"on peut

estimer à partir de la relation de DEBYE-HÜCKEL C. Coefficient d"activité moyen et modèle de DEBYE-HÜCKEL On considère un électrolyte binaireC+Adissocié en solution, dont la dissolution s"écrit C +A!+Cz++Az(19)

On définit alors le potentiel (électro)chimique de l"électrolytemélectrolyte(noté temporairement˜mélectrolyte) par

mélectrolyte=+˜m++˜m(20) =+m++m=mélectrolyte(21) car, par électroneutralité,+z+Fj+zFj=0oùjdésigne le potentiel de phase de la solution.

Par définition,

oùgélectrolyte=g++g. Dans la mesure oùg+etgne sont pas accessibles expérimentalement, on définit un

coefficient d"activité moyengselon g =g++g1 ++=g1

électrolyte(24)

Compte tenu de la définition et de relation (18), on aboutit à larelation de DEBYE-HÜCKELétendue:

logg=z+zApI

1+aBpI(25)

qui permet de déterminer le coefficient d"activité moyen d"un électrolyte pour des concentrations pouvant al-

ler jusqu"à101molL1. Pour des solutions plus diluées, c"est-à-dire de concentrations pouvant aller jusqu"à

10

2molL1, la relation de DEBYE-HÜCKELse simplifie. On parle de larelation de DEBYE-HÜCKELsimplifiée:

logg=z+zApI(26)

Note.La relation de DEBYE-HÜCKELsimplifiée peut être issue également de l"hypothèse des ions modélisés par des charges

ponctuelles et non plus par des sphères chargées. 4

3. Applications du modèle de DEBYE-HÜCKEL

Maintenant que l"origine et la construction du modèle de DEBYE-HÜCKELsont plus claires. Qu"est-ce qu"on en

fait concrètement? En pratique, le modèle de DEBYE-HÜCKELs"applique dès lors qu"on considère des solutions

ioniques suffisamment concentrées pour présenter un écart à la solution idéale. Les sels fondus, les solutions

proches ou à la limite de saturation pour des espèces très solubles, les électrolytes supports en électrochimie sont

autant d"exemples qui ne peuvent être décrits thermodynamiquement sans prendre en compte la correction de

DEBYE-HÜCKEL.

EXEMPLES D"APPLICATION.

êFosset B., Lefrou C., Masson A., Mingotaud C.,Chimie physique expérimentale, Hermann,2000, 64-102-119-

248-327-381

Références

Girault H., Électrochimie physique et analytique, Presses Polytechniques et Universitaires Romandes,2012,

150-170

Miomandre F .,Sadki S., Audebert P .,Méallet-R enaultR., Électrochimie. Des concepts aux applications, Du-

nod,2005, 39-43

F ossetB., Lefrou C., Masson A., Mingotaud C., Chimie physique expérimentale, Hermann,2000, 64-102-

119-248-327-381CE QU"IL FAUT RETENIR SUR LE MODÈLE DEDEBYE-HÜCKEL

Le modèle de DEBYE-HÜCKELcherche à décrire l"écart à l"idéalité des solutions ioniques, vis-à-vis de

la référence de la solution idéale, par l"intermédiaire du coefficient d"activitég, que l"on peut relier au

travail des interactions électrostatiques ions-ions.

Le modèle de DEBYE-HÜCKELpropose une description de l"interaction électrostatique entre les ions en

solution à travers une approche d"atmosphère ionique, dont leshypothèsessous-jacentes sont listées

ci-après. interactions de nature uniquement électrostatiques ;

électrolyte totalement dissocié ;

solution décrite comme un milieu diélectrique homogène ;

ions considérés comme des charges ponctuelles (modèle simplifié) ou comme des sphères dures

uniformément chargées (modèle étendu);

énergie d"interaction électrostatique négligeable devant l"énergie d"agitation thermique.

La relation de DEBYE-HÜCKELétendue

loggci=Az2ipI

1+a BpI

met en évidence différents paramètres dont la force ioniqueI=12 åiz2ici, qui quantifie les interactions entre ions en solution; la distance minimale d"approchede deux ions de charges opposées,a; des paramètres numériquesAetB, qui dépendent du solvant via#ret de la températureT.

Les relations de DEBYE-HÜCKELsimplifiée et étendue ne sont applicables que pour des concentrations

inférieures respectivement à environ102molL1et101molL1.

Expérimentalement, le coefficient d"activité d"un ion n"est pas accessible dans la mesure où il est indisso-

ciable de son contre-ion, c"est pourquoi on définit uncoefficient d"activité moyengavec g =g++g1 ++5quotesdbs_dbs41.pdfusesText_41
[PDF] formule du champ magnétique

[PDF] exercice corrigé magnetisme

[PDF] induction magnétique formule

[PDF] clavier packard bell bloqué

[PDF] touche clavier packard bell ne fonctionne plus

[PDF] mémoire sur la satisfaction client pdf

[PDF] défi de fanfaron 7 lettres

[PDF] suivre le ramadan en 6 lettres

[PDF] mettre sous haute protection 8 lettres

[PDF] defi de fanfaron en 7 lettres

[PDF] amoureux transi en 5 lettres

[PDF] mouvement a force centrale exercices corrigés mpsi

[PDF] force centrale en 1/ r5

[PDF] exercices forces centrales mpsi

[PDF] force centrale conservative